Darwinisme et transhumanisme
 

Ecrit par Sechy, le 11-10-2017 00:13

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Tags : Banques, Capitalisme, Chrétien, Civilisation, Ego, Empire, Évolution, Fractale, Gentil, Gratuit, Guerres, Histoire, Instant, Juif, Laïcité, Langage, Liberté, Loi, Loser, Lucifer, Lumières, Maçon, Mahométan, Médecine, Microbes, Multiculturalisme, Opinion, Orgie, Ouvrier, Païens, Paix, Peste, Radicalisme, Raison, Réalité, Religions, République, Réseaux, Simple, Socialisme, Spiritualité, Technique, Terrorisme, Transhumanisme, Universel, Valeur, Vérité, Vin, Winner

 
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Darwinisme et transhumanisme
Évolutionnisme et filiation (LIGNÉE)
et HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule)
de l’humain né de la matière.
Si cette doctrine de l’évolution s’écroule,
le monde retrouve la Vraie Paix.
Le darwinisme ou évolutionnisme est une
tentative de réalisation du Soi, ou Christ,
À L’ENVERS.


Pas de filiation, que ici et maintenant.

SANS FAMILLE.

Dilemme multi-millénaires Individualisme-Collectivisme.
 
 
« Avez vous réfléchi aux conséquences fatales qui résulteront d’un progrès illimité ? » (Fulcanelli, Les demeures philosophales)
 
« Déjà, à cause de la multiplicité des acquisitions scientifiques, l’homme ne parvient à vivre qu’à force d’énergie [électricité] et d’endurance, dans une ambiance d’activité trépidante, enfiévrée et malsaine. Il a créé la machine qui a centuplé ses moyens et sa puissance d’action, mais il en est devenu l’esclave et la victime : esclave dans la paix, victime dans la guerre. La distance n’est plus un obstacle pour lui ; il se transporte avec rapidité d’un point du globe à l’autre par les voies aérienne, maritime et terrestre. Nous ne voyons pas cependant que ces facilités de déplacement l’aient rendu meilleur ni plus heureux ; car si l’adage veut que les voyages forment la jeunesse, ils ne semblent guère contribuer à raffermir les liens de concorde et de fraternité qui devraient unir les peuples. Jamais les frontières n’ont été mieux gardées qu’aujourd’hui [avec le capitalo-socialisme en marche c’est l’inverse]. L’homme possède la faculté merveilleuse d’exprimer sa pensée et de faire entendre sa voix jusqu’aux contrées les plus lointaines, et pourtant ces moyens mêmes lui imposent de nouveaux besoins. Il peut émettre et enregistrer les vibrations lumineuses et sonores, sans y gagner autre chose qu’une vaine satisfaction de curiosité, si ce n’est un assujettissement assez peu favorable à son élévation intellectuelle. Les corps opaques sont devenus perméables à ses regards, et s’il lui est possible de sonder la matière grave, en revanche que sait-il de lui-même, c’est-à- dire de son origine, de son essence et de sa destinée ?

Aux désirs satisfaits succèdent d’autres désirs inassouvis [société de consommation]. Nous y insistons, l’homme veut aller vite, toujours plus vite, et cette agitation rend insuffisantes les possibilités dont il dispose. Emporté par ses passions, ses convoitises et ses phobies, l’horizon de ses espoirs recule indéfiniment. C’est la course éperdue vers l’abîme [géométrie de la ligne droite fonction de l’opinion ou ego], l’usure constante, l’activité impatiente, forcenée, appliquée sans trêve ni repos. « Dans notre siècle, a dit fort justement Jules Simon, il faut marcher ou courir : celui qui s’arrête est perdu. » A cette cadence, à ce régime, la santé physique périclite. Malgré la diffusion et l’observation des règles d’hygiène, des mesures de prophylaxie, en dépit des innombrables procédés thérapeutiques et de l’amoncellement des drogues chimiques, la maladie poursuit ses ravages avec une inlassable persévérance. A telle enseigne que la lutte organisée contre les fléaux connus ne semble avoir d’autre résultat que d’en faire naître de nouveaux, plus graves et plus réfractaires.

La nature elle-même donne des signes non équivoque de lassitude : elle devient paresseuse. C’est à force d’engrais chimiques que le cultivateur obtient maintenant des récoltes de valeur moyenne. Interrogez un paysan, il vous dira que « la terre se meurt », que les saisons sont troublées et le climat modifié. Tout ce qui végète manque de sève et de résistance [voir aussi que depuis l’apparition de la religion chrétienne les miracles sont devenus rares]. Les plantes dépérissent, — c’est un fait officiellement constaté, — et se montrent incapables de réagir contre l’envahissement des insectes parasites ou l’attaque des maladies à mycélium.

Enfin, nous n’apprendrons rien en disant que la plupart des découvertes, orientées d’abord vers l’accroissement du bien-être humain, sont rapidement détournées de leur but et spécialement appliquées à la destruction. Les instruments de paix se changent en engins de guerre, et l’on connaît assez le rôle prépondérant que la science joue dans les conflagrations modernes. Tel est, hélas ! l’objectif final, l’aboutissement de l’investigation scientifique ; et telle est aussi la raison pour laquelle l’homme, qui la poursuit dans cette intention criminelle, appelle sur lui la justice divine et se voit nécessairement condamné par elle.

Afin d’éviter le reproche, qu’on n’eût pas manqué de leur adresser, de pervertir les peuples, les Philosophes refusèrent toujours d’enseigner clairement les vérités qu’ils avaient acquises ou reçues de l’antiquité. Bernardin de Saint-Pierre montre qu’il connaissait cette règle de sagesse lorsqu’il déclare, à la fin de sa Chaumière Indienne : « On doit chercher la vérité avec un coeur simple ; on la trouvera dans la nature ; on ne doit la dire qu’aux gens de bien. » Par ignorance ou par mépris de cette condition première, l’exotérisme [l’ego] a jeté le désordre au sein de l’humanité.

LE RÈGNE DE L’HOMME
Le Règne de l’Homme, prélude du Jugement dernier et de l’avènement du Cycle nouveau [mythe de « fin des temps »], est exprimé symboliquement en un curieux tableau de bois sculpté, conservé à l’église Saint-Sauveur, autrement dite du Chapitre, de Figeac (Lot). Sous la conception religieuse voilant à peine son évident ésotérisme, il montre le Christ enfant endormi sur la croix et entouré des instruments de la Passion (pl. XLIII). Parmi ces attributs du martyre divin, six ont été, à dessein, réunis en X, de même que la croix où repose le petit Jésus et qui a été inclinée pour qu’elle donnât cette forme par la perspective.

Ainsi, rappelant les quatre âges, avons-nous quatre x (khi) grecs dont la valeur numérique de 600 nous fournit, en produit, les 2400 années du monde. On y voit donc la lance de Longin (Jean, XIX, 34) assemblée au roseau (Matthieu, XXVII, 48 ; Marc, XV, 36) ou tige d’hysope supportant l’éponge imprégnée d’oxycrat (Jean, XIX, 34) ; puis le faisceau et le flagellum entrecroisés (Jean, XIX, I ; Matth., XXVII, 26 ; Marc, XV, 15) ; enfin, le marteau qui servit à enfoncer les clous de la crucifixion et les tenailles utilisées pour les arracher après la mort du Sauveur.

Triple image du dernier rayonnement, formule graphique du spiritualisme déclinant, ces x marquent de leur empreint la seconde période cyclique, à la fin de laquelle l’humanité se débat dans les ténèbres et la confusion, jusqu’au jour de la grande révolution terrestre et de la mort libératrice. Si nous réunissons ces trois croix en sautoir et si nous plaçons le point d’intersection de leurs branches sur un axe commun, nous obtiendrons une figure géométrique à douze rayons, symbolisant les douze siècles qui constituent le Règne du Fils de l’Homme et qui succèdent aux douze précédents du Règne de Dieu ». (Fulcanelli, Les demeures philosophales).

Voici ce qu’il écrit sur l’Âge d’Or.
L’ÂGE D’OR
« Dans la période de l’âge d’or, l’homme, rénové, ignore toute religion. Il rend seulement grâces au Créateur, dont le soleil, sa plus sublime création, lui semble refléter l’image ardent, lumineuse et bienfaisante. Il respecte, honore et vénère Dieu dans ce globe radiant qui est le coeur et le cerveau de la nature et le dispensateur des biens de la terre. Représentant visible de l’Eternel, le soleil est aussi le témoignage sensible de sa puissance, de sa grandeur et de sa bonté. Au sein du rayonnement de l’astre, sous le ciel pur d’une terre rajeunie, l’homme admire les oeuvres divines, sans manifestations extérieures, sans rites et sans voiles. Contemplatif, ignorant le besoin, le désir et la souffrance, il garde au Maître de l’univers cette reconnaissance émue et profonde que possèdent les âmes simples, et cette affection sans borne liant le fils à son Père. L’âge d’or, âge solaire par excellence, a pour symbole cyclique l’image même de l’astre, hiéroglyphe employé de tout temps par les anciens alchimistes, afin d’exprimer l’or métallique ou soleil minéral. Sur le plan spirituel, l’âge d’or est personnifié par l’évangéliste saint Luc. Le grec LoucaV, lumière, lampe, flambeau (latin lux, lucis), nous porte à considérer l’Evangile selon saint Luc, comme l’Evangile selon la lumière. C’est l’Evangile solaire qui traduit, ésotériquement, le trajet de l’astre et celui de ses rayons, revenus à leur premier état de splendeur. Il marque le début d’un ère nouvelle, l’exaltation du pouvoir radiant sur la terre régénérée et le recommencement de l’orbe annuel et cyclique (LucabaV, dans les inscriptions grecques, signifie année). Saint Luc a pour attribut le taureau ou boeuf ailé, figure solaire spiritualisée, emblème du mouvement vibratoire, lumineux et ramené aux conditions possibles d’existence et de développement des êtres animés.

Ce temps heureux et béni de l’âge d’or, pendant lequel vécurent Adam et Eve dans l’état de simplicité et d’innocence, est désigné sous le nom de Paradis terrestre. Le mot grec ParadeisoV, paradis, semble provenir de la racine persane ou chaldaïque Pardès, qui veut dire jardin délicieux. Du moins est-ce dans ce sens que nous le trouvons employé par les auteurs grecs, — Xénophore et Diodore de Sicile en particulier, — pour qualifier les magnifiques jardins que possédaient les rois de Perse. La même signification est appliquée par les Septante, dans leur traduction de la Genèse (ch. II, v. 8), au séjour merveilleux de nos premiers parents. On a voulu rechercher sur quelle portion géographique du globe, Dieu avait placé cet Eden au cadre enchanteur. Les hypothèses ne s’accordent guère entre elles sur ce point ; aussi, certains écrivains, comme Philon le Juif et Origène, tranchent-ils le débat en prétendant que le Paradis terrestre, tel que le décrit Moïse, n’a jamais eu d’existence réelle. Selon eux, il conviendrait d’entendre au sens allégorique tout ce qu’en rapporte l’Ecriture sainte.

Au demeurant, nous considérons comme exactes toutes les descriptions qui ont été faites du Paradis terrestre, ou, si l’on préfère, de l’âge d’or ; mais nous ne nous arrêterons pas aux différentes thèses visant à prouver que l’espace de refuge, habité par nos ancêtres, se trouvait localisé en une contrée bien définie. Si, à dessein, nous ne précisons pas où elle se situait, c’est uniquement pour la raison que, lors de chaque révolution cyclique, il n’existe qu’une mince ceinture qui soit respectée et qui reste habitable sur ses parties terrestres. Nous y insistons cependant, la zone de salut et de miséricorde se trouve tantôt dans l’hémisphère boréal, au début d’un cycle, tantôt dans l’hémisphère austral, au début du cycle suivant.

Résumons-nous. La terre, comme tout ce qui vit d’elle, en elle et par elle, a son temps prévu et déterminé, ses époques évolutives rigoureusement fixées, établies, séparées par autant de périodes inactives. Elle est ainsi condamnée à mourir, afin de renaître, et ces existences temporaires comprises entre sa régénération, ou naissance, et sa mutation, ou mort, ont été appelées Cycles par la pluralité des anciens philosophes. Le cycle est donc l’espace de temps qui sépare deux convulsions terrestres de même ordre, lesquelles s’accomplissent à l’issue d’une révolution complète de cette Grande Période circulaire, divisée en quatre époques d’égale durée, qui sont les quatre âges du monde. Ces quatre divisions de l’existence de la terre se succèdent selon le rythme de celles qui composent l’année solaire : Printemps, été, automne, hiver. Ainsi, les âges cycliques correspondent aux saisons du mouvement solaire annuel, et leur ensemble a reçu les dénominations de Grande Période, Grande Année, et, plus fréquemment encore, de Cycle Solaire ».


AVEC LE DARWINISME ET LE « PROGRÈS », ET SURTOUT LE DILEMME MULTI-MILLÉNAIRES INDIVIDUALISME-COLLECTIVISME, L’ÊTRE HUMAIN EST CONDAMNÉ, IL SERA TOUJOURS ALIÉNÉ S’IL NE RETROUVE PAS SON SOI. C’est aussi simple que ça. Le psychiatre David Cooper disait qu’il fallait se masturber DANS LA JOIE pour véritablement avoir la possibilité d’entrer en contact avec l’autre, de se socialiser, donc une forme de Réalisation du Soi mais poussé seulement au corps. C’est-à-dire que le mot « masturbation » devrait être remplacé par AMOUR : du A privatif et mort : privation de mort. Cela veut dire, comme le répète souvent Ramana Maharshi, LA FÉLICITÉ EST NOTRE ÉTAT NATUREL. AINSI LA FILIATION EST À ABOLIR, TOUT COMME LE SOCIAL, et les Hébreux-Juifs font totalement le contraire et depuis des millénaires !!! Comme écrit ici un grand nombre de fois, avant de se lancer à faire société avec les autres, tout être humain doit faire société avec lui-même, au plus intime de son être. Des relations authentiques ne peuvent avoir lieu qu’entre personnes authentiques ; sinon ce sont comme maintenant des relations MARCHANDES… ce que le capitalo-socialisme nomme « social », ou « fraternité ».

Le plus étonnant est que depuis le freudisme il y a beaucoup de psychiatres juifs ! Le capitalisme est pas essence FILIATION, FAMILLE (RÉSEAUX… SOCIAUX… DÉMOCRATIE), et c’est pour ça qu’il veut l’abolition de la famille, paradoxe, paradoxe… Mais pas tant que ça, puisque acheter à l’individuel ça rapporte plus au système que d’acheter en gros, ou groupé… Le social marchand est LA RELIGION du capitalo-socialisme.

Pas de filiation : casser le cellule du père, de la mère et des enfants. Oui, oui, d’accord avec David Cooper : SOYONS TOUS LE SOI : CE QUI RENDRA CE MONDE INGOUVERNABLE : DISPARITION DU RÉGIME RÉPUBLICAIN : suppression du salariat et donc de l’esclavage, par exemple tous les ouvriers d’une grosse usine se mettent à rêver, à délirer, de l’orgie à tous les postes, une fête dionysiaque surgirait DANS L’INSTANT des abîmes de l’homme-robot et se propagerait de proche en proche entraînant rapidement jusqu’aux grands syndicats, jusqu’aux patrons et jusqu’aux banquiers et à la City de Londres pour réaliser une monstrueuse saturnale qui transformerait l’Occident malade et transhumanisé en un gigantesque asile de fous, d’authentiques aliénés, dont par exemple les « primitifs » du tiers-monde seraient les psychiatres et infirmiers et infirmières, donc beaucoup de Chamans. Voilà, par exemple, par la généralisation de la démence, comment combattre le Nouvel Ordre Mondial et son capitalo-socialisme. D’ailleurs certains condamnés au Goulag s’essayèrent à « jouer au fou » mais furent rapidement découvert et sévèrement punis ou même en crevèrent. Bref, l’homme blanc doit devenir fou et être délivré de sa violence et de son racisme par l’homme « primitif », de façon qu’il s’établisse un égalitarisme retrouvé comme à l’Âge d’Or (comme avant les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture).


NON, NON, PAS DE FILIATION Monsieur Pierre Legendre (1).

« Femme, qu’ai-je à faire avec toi ? » dit Jésus de Nazareth à sa mère. Ainsi il n’a plus de lien terrestre et d’ego. Il revient seulement vers sa mère lorsqu’il est crucifié sur le bois, de l’arbre mort (symbole maternel) identique à l’Arbre de Vie (réf. Ania Teillard).

Devenir fou c’est : « LAISSER LES AUTRES TRANQUILLES. Si vous prenez soin de vous, les autres sauront prendre soin d’eux » dit Ramana Maharshi à l’entretien 644, ce qui ne veut pas dire tomber comme actuellement dans cette culture du narcissisme. Dans le même entretien R. Maharshi revient sur le darwinisme, qui évidemment est une production du mental : « Dire que l’âme doit être perfectionné après la mort revient à admettre l’existence de l’âme. Par conséquent, l’individu ne serait pas le corps, il serait l’âme.
Quelqu’un voit en rêve un édifice qui s’élève. Alors, il commence à penser que cet édifice a été édifié pierre après pierre, par beaucoup d’ouvriers et pendant très longtemps. Cependant, il ne voit aucun ouvrier au travail. Il en va de même de la théorie de l’évolution. C’est parce qu’il se prend pour un homme qu’il pense avoir évolué du stade primaire de l’amibe jusqu’à son stade actuel ». Bref, une autre personne remarque que l’évolutionnisme est l’adage que l’humain voit l’Univers plein de causes et d’effets.
Ramana Maharshi répond : « Oui. L’homme rattache toujours un effet à une cause [notamment : à chaque problème une loi] ; et puisque la cause elle-même doit avoir une cause, cette argumentation devient interminable [évolution et « fin des temps »]. En rattachant un effet à une cause, l’homme est obligé de penser. Finalement, il est conduit à découvrir qui il EST lui-même. Quand il connaît le Soi, il atteint la Paix parfaite.  Ce n’est que pour aboutir à cette perfection que l’homme doit évoluer ». En résumé, R. Maharshi dit que l’intellect doit servir uniquement vers la réalisation du Soi (le « Connaître toi-même par toi-même »).

Chaîne sans fin de cause-effet = Enfer sur Terre. Histoire de l’œuf et la poule cité par Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, comparable à l’entretien 644 ci-dessus sur le darwinisme : Pour avoir un œuf il faut une poule et pour avoir un monde il faut un Dieu. Jean répond alors : Pour avoir une poule il faut aussi un œuf. Ce qui forme la parfaite prison de chaîne sans fin de causes-effets dont les deux bouts ne se rejoignent jamais, et que l’on peux allonger à l’infini, sans qu’aucun raisonnement soit valable. C’est le principe de la tyrannie de l’opinion qui n’a pas de fin, la polémique n’a jamais de fin, c’est le principe de l’évolutionnisme façon Darwin et transhumanisme et judaïsme : le « progrès » (assimilé à regagner le Paradis…).

Plus la technique avance vite et plus elle est fragile : en cas de problème « d’ondes », s’il n’y a plus aucune source de courant dit « électrique », donc aussi bien en continu (piles, batteries) qu’alternatif, c’est la fin de cette technique qui se prend pour Dieu ; c’est la fin de l’évolutionnisme. Et là encore ce seront les « primitifs » qui seront les winners.



Note.
1. Pierre Legendre qui fonde son « Traité sur le père » [Crime du caporal Lortie] sur la filiation, de même que sur « l’État de droit »…), et évidemment sur la « raison » (enchaînement sans fin de causes-effets ou idéation, ou vagabondage mental, principe de la raison… actuelle).
Filiation et racine sont différents.
« Les castes [clan, tribu, famille, filiation, « peuple élu » des circoncis au huitième jour] concernent le corps et non pas le Soi. Le Soi est Félicité. Quand on réalise la Félicité, on réalise le Soi. Nul besoin de se soucier des castes ». (Ramana Maharshi, entretien 433). Ici il y a contradiction par rapport à Jean Coulonval qui attribue le sens de caste à l’esprit et le sens de classe à la terre ; le sens de la classe est attaché uniquement au corps et à l’ego : le travail qui « classe » les individus hiérarchiquement, surtout en fonction de leur compte en banque. Ce mot de « classe » doit indubitablement dater du temps où l’on classait les esclaves d’un côté, et de l’autre les gens « libres », bref, en losers et en winners…
 
 

Dernière mise à jour : 11-10-2017 00:41

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