Dans l’opinion nous avons la naissance du stalinisme de l’URSS de ses débuts jusqu’à sa fin en 1991, DANS LE JACOBINISME DU RÉGIME RÉPUBLICAIN, le futur stalinisme ou totalitarisme est même très dessiné dans la fameuse
carte de France divisée en carrés, qui donnera les départements encore en place à nos jours, et dehors les Provinces autonomes. On trouve toujours ces mêmes dictateurs
« défenseurs de la liberté » ; ces mêmes dictateurs comme Staline (à y ajouter Charles De Gaulle) qui sont de grands niveleurs et des cancéreux du pouvoir,
DONT LE PREMIER SOIN EST DE SUPPRIMER TOUTE LIBERTÉ D’EXPRESSION OU DE PENSÉE CONTRADICTOIRE AU DOGME ÉNONCÉ PAR EUX. Depuis que la liberté de pensée est devenu la Reine, elle se guillotinait, s’auto-censurait elle-même, car il est évidemment impossible pour un gouvernement étatique de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d’accord. La « démocratie » dans un étatisme quelconque ça n’existe pas. Ceux qui prétendent le contraire sont des zombies, ou des judéo-maçons spéculum à obédiences style Grand Orient De France pépinière à paroissiens du régime républicain !
OPINION et LIBERTÉ D’EXPRESSION = RELIGION DE L’UTILITÉ.
NON-GRATUITÉ = DISSIMULATION, pas de Transparence, sorte d’inversion de la thermodynamique ou de chaleur externe-interne ; une inversion de la Chaleur Céleste.
Il n’y a pas plus dissimulateur que l’ego : sous son packaging il cache sa vulnérabilité, il n’est pas transparent, il se cache sous son verbiage d’opinions, il ne doit jamais montrer ses craintes pour paraître un winner, car dans la tyrannie de l’opinion quelqu’un pourrait s’en servir contre lui. En GENTIL winner il doit toujours paraître contrôler la situation, c’est ce qu’on appelle la
« Couverture sociale », qui de ce fait sera nécessairement toujours superficielle, non transparente, non gratuite. S’il l’ego devient le loser, il perd le contrôle de lui-même, comme s’il perdait la « raison » des perruques poudrées des « lumières ».
Cet ego dans la non-Gratuité se protège pour ne jamais être dans l’Instant, il ne doit jamais être spontané, mais toujours dans la raison, toujours « réfléchir », donc toujours DANS LE CALCUL PERMANENT qui colle tant aux GROS BONNETS OU GROS EGO DU CAPUT-RAISON. Agir dans la spontanéité sera pour ce gros bonnet devenir un loser ; il lui faut contrôler les choses, il sera alors AUTONOME, prisonnier de cette autonomie, ou un « loser autonome ».
Cela est plus particulièrement typique chez le « peuple élu » (les
”craignants Dieu”), les winners par leur Yahvé, gros bonnet au gros ego : la confusion, la vulnérabilité ou état de loser, le manque de détermination, la colère « incontrôlable », la sexualité, la peur, tout cela peut tomber en losers les gros bonnets élus. Pour eux la rationalité, la raison et le contrôle absolu est une question de winner ou de loser. C’est typiquement propre à l’égrégore, au grégarisme d’un groupe de population mutilé au huitième jour de naissance : le stéréotype de la circoncision développant une certaine géométrie du cerveau, notamment chez les psychiatres : il y a beaucoup de Juifs chez les psychiatres ; j’ai connue personnellement
Serge Lebovici, Monsieur très gentil et à l’écoute, mais un peu trop porté sur la chimie-confort de Big Pharma que c’est si pratique, donc porté sur la COUVERTURE-CONFORT !
Donc l’égrégore d’un groupe social va édicter un dogme (la Loi) ou stéréotype national ou régional que tout le monde devra respecter. Il demandera aux gens d’être aussi proches que possible de la norme de cet égrégore local, ou familiale, afin d’éviter les « difficultés » que pourraient provoquer un comportement trop individuel. De nos jours, c’est loser : règne du culte du narcissisme… de ceux qui se prennent pour des winners…
Gros bonnets, raison, winnerisme = âge du Faire/Fer : « Tes journaux ne sont pas encore lus, les lits ne sont pas faits, ton programme de culture physique t’attend, le jardin n’est pas désherbé, le robinet de la cuisine fuit, etc. », la liste du Faire/Fer en ce monde matérialiste du caput est sans fin.
C’est ce winnerisme qui semble omniprésent dans ce culte du narcissisme et son libéralisme. Libéralisme ou tout pour la raison, l’utilitarisme :
« travailler à la sueur de son front », interdiction de perdre son temps, de se reposer. C’est le temp du winnerisme du Faire/Fer. C’est ce monde OCCIDENTAL de l’activité et donc du temps c'est de l’argent, ce monde du winnerisme.
Bizarrement, le « temps libre » est réduit à quelques semaines à la saison d’été. Ils appellent ça « Congés payés », Graal de cette société de consommation. Le « temps libre » facilité depuis les encyclopédistes des Diderot & Cie et leur machinisme-raison à toutes les sauces : tout devient informatique, rapide, programmé ou calculé, c’est le tout confort. L’encyclopédie et 1789 venait d’inventer de façon latente le productivisme du libéralisme et de la machine et de la vitesse : la révolution industrielle a rendu caduques les anciennes formes de l’organisation professionnelle, qui correspondaient AU TRAVAIL ARTISANAL ET BIEN FAIT DE LEUR TEMPS. Sur le principe de la tabula rasa de 1789, le régime républicain des banques en puissance a condamné en bloc et sans examen des institutions qu’il aurait fallu, non anéantir comme de couper la tête du roi, mais adapter aux conditions nouvelles de la technique et du travail. Celui qui se penche un peu dans les pages de l’encyclopédie de Diderot et de sa bande s’apercevra sans effort que l’ordinateur est déjà enfermé dedans : tout pour la technologie, donc le matérialiste, la laïcité, le Faire/Fer et son productivisme. L’autre découverte de ce monde moderne : le bulletin de vote ! Grande invention issue de cette judéo-maçonnerie travailleuse du chapeau juif née à Londres en 1717. Ces gens là n’ont trouvé qu’un moyen de perpétuer l’instabilité et le développement de l’HOTC (Histoires-Opinions-Temps qui coule). L’élection par bulletin de vote ne fait qu’entretenir cette tyrannie de l’opinion et la division tout azimut des mécontents perpétuels !
Hyacinthe Dubreuil écrit si justement dans « J’ai fini ma journée » que « la perfection organique d’une association se manifeste quand les décisions qu’on y prend ne sont pas le résultat d’un vote ». Il explique que dans les coopératives on examine les faits plutôt que les votes ou opinions !
Le winnerisme du Faire/Fer commence presque dès la sortie du berceau, encouragé par les parents, les enseignants, puis ensuite par les employeurs. Certains « adultes » se vante de n’avoir pas pris de vacances depuis des années. C’est le Faire/Fer qui porte ses fruits, donc à fond dans le capitalisme : ÊTRE RÉCOMPENSÉ (attendre un salaire), par des honneurs, des amis ou parents, par des diplômes, des promotions ou montée en grade, un salaire ou des médailles. C’est génial s’il y en a qui veulent travailler en permanence comme des machines !
Le winner sera la proie de Big Pharma et son tiroir-caisse : dépression et tension, cancer, mal être, etc. C’est le monde et la civilisation DU SEUL CORPS, puisque nous serions en laïcité, donc dans cette tyrannie de l’opinion et sa « liberté d’expression ».
Le winner et l’activiste se retrouve particulièrement chez le TALMUDISTE de l’ère chrétienne, en ce principe
”d’altruisme juif” en forme parfaite de récolter des fruits de ses actions : « Rien n’est bon pour les Juifs si ce n’est bon aussi pour ceux qui les entourent ». Ainsi, il n’est point étonnant que nombre de Juifs fassent le métier de commerçants, en gros dans la finance, en petit dans le commerce « au détail ». « Les communautés vont chercher partout à mettre en avant les services [les fruits] qu’elles peuvent r(v)endre », écrit Jacques Attali dans :
Les Juifs, le monde et l’argent, page 340.
Les Juifs d’Attali sont ceux qui par principe récoltent des fruits de leurs actions : ils vendent même leur
« esprit de charité et de solidarité » et leur
« l’argent est vivant et doit travailler », donc ils font dans le pure idolâtrie qu’ils condamnent depuis leurs ancêtres les Hébreux. « L’argent est fécond, comme l’était les troupeaux de Jacob, et la richesse est saine. Il n’est pas un bien différent des autres ; il est aussi vivant que les autres. […] le Talmud autorise dans tous les cas le prêt à intérêt aux non-Juifs et l’autorise entre Juifs à condition de faire du prêteur l’associé de l’emprunteur », est-il écrit dans le livre d’Attali, pages 164-165.
Comme l’écrit Attali, les Juifs sont une « société nécessairement altruiste : réparer le monde », donc PROJETER, fuir l’Instant comme si cet Instant c’était pas bien. « Ils ne peuvent donc vivre heureux dans un environnement qui ne l’est pas. Aussi leur appartient-il de « réparer le monde » (
tikoun olam, car le monde est, dit la Mishna, le résultat d’une
« brisure de vases », écrit Attali, citant la doctrine d’
Isaac Louria qu’il se garde bien de citer et de ses suiveurs
Sabbataï Tsevi et
Jacob Frank.
RÉCOLTER LES FRUITS = FABRIQUER DES RICHESSES NOUVELLES, PRINCIPE DU SEUL BUSINESS DE L'ARGENT ET DE L’ÉVOLUTIONNISME ET DE LA FOLLE TECHNOLOGIE ET DE SON CAPITALISME, le tout évidemment et toujours « pour le bien(s) des autres »…. Or :
Rien ne donne Rien puisque TOUT EST ICI ET MAINTENANT, il n’y a donc rien à faire fructifier. L’opinion Hébreux-Juifs est totalement MORTIFÈRE.
Se vouloir winner, comme « être exemplaire » c’est déjà le marchandage de vouloir récolter les fruits, les bénéfices. C’est écrit par Jacques Attali dans son livre, page 165 : « Ainsi le Talmud se demande-t-il comment les Juifs doivent aimer Dieu. Réponse : en faisant en sorte, par l’exemplarité de leurs actes [sic], par l’altruisme de leur conduite [sic, sic, sic], que les autres aiment ce Dieu qui pousse Ses fidèles à une telle attitude ».
Ce principe juif va donner, comme l’écrit Attali page 166 : la terre, l’argent, l’intelligence, donc la raison, le calcul, les mesures, etc. toutes les horreurs actuelles.
Attali écrit même que l’Exode 19 et le Deutéronome 26 impose au « peuple juif » des devoirs, « librement consentis [sic], et d’abord celui de rendre les autres heureux, trouver son bonheur dans le bonheur des autres. Rabbenu Hananaël dit : ”les Juifs ne sont jamais mieux que quand les autres sont eux-mêmes mieux », faisant ainsi renforcer l’opinion de « peuple élu », de marchandage et de division !
Pourquoi seulement les Juifs seraient capable de « rendre heureux » les autres, les Gentils ???
Dans la même logique de
« l’altruisme juif » nous avons la fameuse et si hollywoodienne
« souffrance juive » : « Le malheur du peuple juif est donc un malheur pour tous les hommes », écrit Attali, comme le Jésus-Christ piqué, vaudouisé sur la Croix supporte la souffrance de tous les humains afin de les laver de leurs péchés.
Comme les Juifs sont avant tout des marchands (du Temple), ils copyright leur souffrance, seuls eux ont le droit à la souffrance, c’est leur logo marchand ! Alors ils n’aiment pas le vaudouisé !!!
My God !
Ces gens là font la partie de l’égalitarisme du « pouvoir d’achat » et que ça fait fonctionner les tiroirs-caisses de l’après 1789. Comme l’écrit
Gustave Thibon dans
Diagnostics : « Ce n’est pas d’ailleurs l’effet du hasard si les époques où le primat social est dévolu à l’argent sont aussi celles où sévit la pire fièvre égalitaristes ». Il pointe aussi cette civilisation du tout confort : « En face de l’argent surtout : tout le monde se sent digne d’être l’élu de cette divinité anonyme, tout le monde se sent capable, à la limite, de jouir et de ne rien faire ! ».
L’égalitarisme de 1789 c’est l’argent.
La Vraie Égalité la NON-DUALITÉ APPELÉE NATURE D’ÉGALITÉ (
samatâ, synonyme de
Zhenru, l’ainsité (1) nature universelle où toutes choses sont égales), c’est le tout GRATUITÉ (sinon on tombe dans le potentiel au sens d’attendre, atteindre un but ou récolter les fruits de ceci ou de cela). Dans le Saint Chaos les natures ne sont pas différentes en elles-mêmes, c’est dans leur utilisation qu’elles se différencient. Dans l’égarement apparaissent les différentes connaissances, la fameuse diversité à la mode (comme les cinq sens, le sixième étant le mental lui-même, le septième étant étant la base de l’ego, et le huitième sera le récepteur au sens radioélectrique actuel.
SAINT CHAOS = NON DISCRIMINATION, TOUT DANS L’INSTANT (pas de spatio-temporel).
ÊTRE ÉVEILLÉ, C’EST ÊTRE DAND LA GRATUITÉ : ÊTRE ÉVEILLÉ À SA NATURE ORIGINELLE ET À SA PROPRE DEMEURE : INNÉE-IGNÉE.
GRATUITÉ = VIVRE SEULEMENT L’INSTANT, PAS DE KARMA, SEULEMENT SYNCHRONICITÉ AVEC L’INSTANT SELON QUE LES CHOSES SE PRÉSENTENT, comme on peut l’observer dans quelques arts martiaux orientaux où les célébrants semblent maîtriser l’espace-temps quelques Instants et par moments seulement. Là est la Vraie Magie.
EXEMPLE : « Un jour, Xitang, Baizhang, Nanquan et Mazu se promenaient au clair de Lune.
- Mazu : En cet Instant propice, que faire ?
- Xitang : C’est l’Instant propice aux offrandes.
- Baizhang : C’est l’Instant propice à la pratique.
Nanquan épousseta sa manche et s’en alla ».
Mazu dit : « Les
sûtra [aphorisme philosophique] ont été compris par Zang (Xitang Zhizang, originaire de la préfecture Qian dans la province du Jiangxi), le
dhyâna [méditation, contemplation] par Hai (Baizhang Huaihai, 720-814). Seul Puyuan (Nanquan Puyuan, 748-834) est au-delà des choses extérieures ».
(Réf.
Les entretiens de Mazu (Mazu Daoyi, 709-788, un des plus grands maîtres chan (Zen) de la dynastie des Tang (618-907).
Note.
Ainsité : le Soi, la Seule Réalité, le « JE SUIS »,
tathata en sanskrit,
shinyo en japonais.
AINSITÉ : ni s’enfuir, ni s’approcher. Le Centre est partout et la Circonférence nulle part.
Ni apparaître, ni disparaître, seulement « Je suis ce JE SUIS » ou immortalité, éternité du ‘Je’. Jean Coulonval dans
Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner
« à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne
Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».