Démiurge, GADLU, Yahvé = IGNORANCE
 

Ecrit par Sechy, le 22-05-2018 00:02

Pages vues : 4801    

Favoris : 52

Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Capitalisme, Catastrophe, Chan, Chimère, Christ, Circoncision, Confort, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Fétiche, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Japon, Jardin, Juif, Klan, Langage, Liberté, Lucifer, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Phallus, Pierre, Porte, Puce, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Vérité, Vide, Vieux, washingtonisme, Yokaï

 
dieu-modernegadlu.jpg
 
 
Démiurge, GADLU, Yahvé = IGNORANCE, STUPIDITÉ
Par la création à cause du MENTAL
ils inventent la monstruosité nommée EGO
et par là même la pyramide hiérarchique,
et paradoxalement ils veulent « l’égalité »,
avec au sommet le CHEF-GADLU ou CHEF-GÉOMÈTRE
et VENDEURS EN GROS DU « BIEN » (sens des ”biens”
et des ”services” aux autres (1))
soi-disant pour « équilibrer » ou
jouer les FLÉAUX redresseurs du positif-négatif.
Leur « fléau » est le chaos fabriqué et contrôlé partout.
 
 
DÉMIURGE : illusion cosmique ou mental de cet univers spatio-temporel. Le Yahvé ou Démiurge intervient sans cesse dans l’Histoire-Opinion-Temps qui coule (HOTC).
Démiurge = Pour-Voir, comme l’œil en haut de la pyramide judéo-maçonnique spéculum ; et tout pouvoir doit se garder comme de l’argent au plus profond d’un coffre-fort, ou, maintenant, au plus profond d’un virtuel informatique, ou encore, au plus profond de son ego killer.
Le Démiurge est l’archonte fou des Gnostiques, le créateur colérique et jaloux de l’Ancien Testament (voir la page Le Nom-la-Forme et ses dangers).

DÉMIURGE : Dieu architecte de l’univers chez les platoniciens, soit le GADLU (Grand Architecte De L’Univers) chez les judéo-maçons spéculum de l’après 1717 londonien. Littéralement : le créateur et animateur du monde, soit le cas du Yahvé des Hébreux-Talmudistes. Le démiurge actuel, et depuis au moins un demi millénaire, c’est la City de Londres (La Couronne) nombril de la finance talmudique internationale (Rothschild) ET DEPUIS 1789 DE SA DÉMOCRATIE JUSQU’À SA FABRICATION DE L’ÉTAT « ISRAËL ».
 
DÉMIURGE = LE CRIMINEL MENTAL, soit l’idéation ou temps qui coule, c’est kif-kif. Si, d’après les judéo-maçons et leurs outils compas-équerre, le compas est le symbole du mental et qu’il aurait un pouvoir sur la matière, donc sur lui-même, c’est très mal parti depuis déjà des millénaires de travail du chapeau ou mental !!!
Compas = spatio-temporel, donc mental ou idéation.

Les judéo-maçons, ces pharisiens sauveurs du monde et leur ”service aux autres”, exactement comme l’antienne talmudiste QUI ANNONCE LES RÉSEAUX ET LE TOUT CONNECTÉ technologique et ses « réseaux sociaux » : « Rien n’est bon pour les Juifs si ce n’est bon aussi pour ceux qui les entourent » (1).
Vasistha, dans le Yoga Vasistha : « Ô Râma, celui qui se propose d’enlever la douleur de gens à l’intelligence pervertie s’évertue à recouvrir le ciel d’un petit parapluie ».
« Les instructions spirituelles diffèrent selon le tempérament des individus et leur maturité spirituelle. Il n’est pas possible d’instruire EN MASSE », explique Ramana Maharshi à l’entretien 106.

« Ceux qui se comportent comme des animaux ne peuvent être instruits, car, comme les animaux, ils sont menés par la longe de leur propre mental. Voilà pourquoi l’homme sage n’essaie pas d’enseigner ceux qui n’ont pas vaincu leur propre mental et sont par conséquent malheureux à tous égards. Par contre, les sages essaient bel et bien d’enlever la douleur de ceux qui ont vaincu leur mental et sont par conséquent mûrs pour entendre l’investigation sur le Soi », dit Vasistha. Définition de : « Que ceux qui ont des oreilles entendent ».
« Le mental n’est pas, ô Râma, ne te mets pas à imaginer en vain qu’il existe. Si tu imagines son existence, il te détruit, comme un fantôme. Ce mental imaginaire existe aussi longtemps que tu as oublié ton Soi. Maintenant que tu t’es rendu compte que le mental ne fait que croître et grandir quand on affirme sans arrêt son existence [comme la « raison » du siècle des ”lumières” et de son évolutionnisme], abandonne ce genre de pensée.
Quand l’objectivité apparaît dans ta conscience, icelle devient conditionnée et limitée : C’EST L’ESCLAVAGE. Quand on renonce à l’objectivité, on devient dépourvue de mental : C’EST LA LIBÉRATION ».

« Abandonne la pensée impure qui crée une dualité du monde du soi [ego]. ” mi-chemin du Soi en tant que celui qui voit et du monde en tant que ce qui est vu, tu es le voir (la vue). Ne quitte jamais cet état de conscience” (YV V, 14). Entre celui qui fait l’expérience et l’expérience, tu es le processus d’expérimenter. Sachant cela, demeure dans la connaissance du Soi.
Quand, abandonnant ce Soi, tu penses à un objet, alors tu deviens le mental (sujet) et du deviens ainsi le sujet du malheur. Cette intelligence autre que la connaissance du Soi est ce qui constitue le mental. Quand on s’aperçoit que « tout Cela n’est que le Soi », il n’y a pas de mental, pas de sujet, pas d’objet et pas de processus de pensée [tout est MAÂT ou directe]. Quand tu penses « je suis le jiva », etc., le mental apparaît et, avec lui, le malheur. Quand tu sais « Je suis le soi, le jiva et autres notions semblables n’existent pas », le mental cesse d’être et il y a Félicité suprême. Â la lumière de la vérité que « tout cet univers est le Seul Soi », le mental n’existe pas. Il n’y a peur que tant que ce serpent du mental [serpent : idéation] habite le corps. Quand il en est retiré par la pratique du yoga, qu’est-ce qui peut bien faire peur ? ».



Démiurge, GADLU, Yahvé = IGNORANT, STUPIDITÉ.
La stupidité et l’ignorance sont seules à l’origine de toutes les souffrances de ce monde. Cette création n’a été engendrée que par l’ignorance et la stupidité. Bien qu’ils le sachent, il est assurément étrange que des êtres vivants cherchent à renforcer cette non-entité fausse et irréelle.

Depuis au minimum les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, le mental est une imbécilité mystérieuse.
”Ce mental est inerte et n’est pas un entité réelle. IL EST DONC À JAMAIS MORT. Que cette bêtise est mystérieuse !” (YV V, 13). Le mental n’a pas de Soi, pas de corps, pas de soutien et pas de forme. Pourtant, par ce mental, tout est dévoré en ce monde. Voilà effectivement un grand mystère ! Celui qui affirme être détruit par le mental, lequel ne possède pas la moindre substance, déclare en réalité que son crâne a été fracassée par un pétale de lotus. Dire qu’on peut être blessé par le mental qui est aussi inerte, stupide et aveugle, revient à dire qu’on est rôti par la chaleur de pleine lune. Le héros capable de détruire un ennemi réel debout devant lui est lui-même détruit par ce mental qui n’existe même pas [ce sur quoi le médecin et Alchimiste Paracelse mettait effectivement en garde] », explique Vasistha.

« Cette illusion du monde peut se comparer à l’imagination du héros qui se croit attaché par les chaînes invisibles projetées par les yeux de son ennemi et se sent harcelé par l’armée invisible créée à la seule pensée de l’ennemi. Ce monde chimérique ainsi manifesté par le mental inexistant est également détruit par un autre mental tout aussi inexistant [paradoxe de la Réalisation du Soi]. Cette apparence du monde illusoire n’est autre que le mental ».
Comme le mental n’existe pas, celui qui trouve difficile de vaincre le mental inexistant souffre des effets d’un poison qu’il n’a pas ingurgité (effet psycho-somatique ou être victime de sa propre imagination, comme mettait en garde Paracelse, déjà cité).
« Un homme est brûlé par son propre mental qui se trouve dans son cœur, et qui est aussi virulent que du poison quand bien même il se trouve mêlé d’un petit peu de bonheur. Cet homme ignore la Vérité. Il se laisse bêtement mener en bateau par le mental ! Voilà qui est assurément un grand mystère ! », dit Vasistha.


SEUL ESCLAVAGE EN CE MONDE.

LE BINAIRE OUVERT-FERMÉ, OUI-NON, BIEN-MAL, etc. Seul existe cet esclavage en désir de posséder et l’angoisse d’éviter et de rejeter ce qu’on juge « indésirable ». Ainsi, ne jamais acquérir ce qui est jugé désirable, y compris des opinions en forme de « morale » ! En renonçant à ce binaire et ses deux attitudes, NE REPOSER QUE SUR CE QUI DEMEURE (Sans Pourquoi).
Vasistha : « Ceux chez qui les impulsions jumelles de l’acquisition et du rejet ont cessé de se manifester ne désirent rien et ne renoncent à rien non plus. Le mental n’a pas accès à l’état de tranquillité absolue tant que ces deux penchants (de possession et de rejet) n’ont pas été éliminés. Et même alors, tant que l’homme a l’impression que « ceci est réel » et que « ceci est irréel », le mental ne connaît ni la paix ni l’équilibre.
Comment la sérénité, la pureté ou le détachement peuvent-ils voir le jour dans le mental d’un être balloté par des pensées de « c’est bien », « c’est mal », « c’est profitable », « c’est dommageable » ? Quand il n’y a qu’un Brahman [Soi], qui est à jamais Un et multiple [et pas la singerie de l’Union Européenne…], que peut-on considérer comme bon et comme mauvais ? Tant que le mental oscille entre des pensées de ce qui est désirable et de ce qui est indésirable, il ne saurait y avoir tranquillité ».
GRATUITÉ = LIBÉRATION DE LA POSSESSION ET DE SON CONTRAIRE LE REJET. Alors seulement apparaissent, et spontanément : la sérénité, la stabilité inébranlable, la sagesse, le non-attachement, la non-action aussi bien que l’action, la bonté, le courage, la bienveillance, la douceur, la connaissance, etc.

RÉSEAUX ET TOUT CONNECTÉ = ESCLAVAGE, CONDITIONNEMENT, PRODUCTION DES DÉSIRS, DES INTENTIONS, DES MOTIVATIONS DES ACCEPTATIONS ET DES REJETS, TOUS PRODUCTIONS DE CE DÉLUGE D’APPARENCE DE CE MONDE.
« Même si tu donnes l’impression de fonctionner dans ce monde, enracine-toi bien dans la conscience de l’irréalité de tout cela et renonce ainsi à tout espoir et à toute attente [effectivement, sinon, on peut attendre longtemps…]. Enraciné dans la sérénité, accomplissant ce qui se trouve être l’action juste à chaque situation donnée et sans même réfléchir à ce qui t’advient et que tu n’as pas cherché [spontanéité, ici et maintenant, arts martiaux, etc.], mène ici une existence où ta volonté propre n’existe pas ». FAIRE TOUT, TOUT EN NE FAISANT PAS, CE QUI DOIT ÊTRE FAIT.

Vasistha (toujours à Râma) : « Tu es le connaissant de toute chose, tu es l’être qui n’est pas né, tu es le Seigneur Suprême [le Soi, Dieu]. Tu ne diffère en rien du Soi immanent à toute chose.


ÉNERGIE LIBRE, OU CONNAISSANCE, OU NOURRITURE PRÂNIQUE.

« Quand cette intelligence intérieure n’est pas éveillée, elle ne connaît ni ne comprend par grand chose, et ce qui donne l’impression d’être connu par les pensées n’est bien-sûr par la Réalité.
”Bien qu’elle paraisse intelligente, la pensée est incapable de comprendre quoi que ce soit, de même que la statue en granit d’un danseur ne danse pas, même si on le lui demande” (YV V, 13). La forme du soleil ciselée sur un rocher dissipe-telle les ténèbres ? Semblablement, que peut faire le mental inerte ? Tout comme le mirage qui ne paraît être de l’eau vive que lorsque le soleil brille, le mental ne fait l’effet d’être intelligent et actif que grâce à la lumière intérieure de la Conscience.
Les ignorants se figurent à tort que le mouvement de la force vitale [prâna] est le mental, mais ce n’est en fait rien d’autre que le prâna ou force vitale. Mais pour ceux dont l’intelligence n’est pas fragmentée ou conditionnée par les pensées, il ne fait pas de doute qu’il s’agit de l’Éclat de l’Être Suprême ou Soi. […] En vérité il n’y a pas de mental, pas d’intelligence, pas d’être incarné : seul le Soi existe de tout temps. Seul le Soi est le monde. Seul le Soi est le temps, et aussi le processus d’évolution. Étant extrêmement subtil, Il paraît ne pas exister (2), mais Il existe bel et bien. Même s’il paraît être un reflet ou une apparence, on se rend compte aussi qu’Il est la Vérité, mais le Soi est au-delà de toutes ces descriptions, et Sa Vérité ne peut être connue que par voie directe dans la connaissance de Soi [la dualité connaissant-connaissance de fait DANS L’INSTANT, PAN, et jamais par le mental et son « bagage intellectuel »]. Quand la lumière intérieure commence à briller, le mental cesse à la façon dont l’obscurité disparaît quand il y a de la lumière. Par contre, quand la conscience est objectivée afin de faire l’expérience des objets des sens, le Soi est oublié et des pensées voient le jour concernant les créatures du mental », explique Vasistha.

PRÂNA : le mental ne possède pas la moindre intelligence. « Le mouvement appartient à la force vitale qui est inerte. L’intelligence ou le pouvoir de la Conscience appartient au Soi qui est pur et éternellement omniprésent (2). C’est le mental qui imagine un rapport entre les deux, mais pareille imagination est fausse, et il en découle que toute connaissance née de ce rapport erroné est également fausse. Cela porte le nom d’ignorance, de maya ou d’illusion cosmique, laquelle donne le jour au terrible poison appelé apparence du monde.
Ce rapport entre la force vitale [prâna] et la Conscience est imaginaire. S’il n’est pas imaginé de la sorte, il ne peut y avoir d’apparence du monde ! Par son association avec la Conscience, la force vitale devient consciente et fait l’expérience du monde en tant que son objet (3).
Mais tout cela est aussi irréel que l’expérience d’un fantôme vu par un enfant. Seul le mouvement au sein de l’infinie Conscience est la Vérité ».

« Quand tu penses à un objet, tu abandonnes ce Soi, alors tu deviens le mental (le sujet face à cet objet) et tu deviens le sujet du malheur. Cette intelligence autre que la connaissance du Soi est ce qui constitue le mental [c’est-à-dire l’opinion].
 « Toutes les terribles souffrances et calamités qui minent le monde sont toutes filles du désir, ô Râma. ”Bien qu’il reste invisible et subtil, ce désir n’en est pas moins capable de dévorer jusqu’à la chair, les os et le sang du corps” (YV V, 15). À un moment, il donne l’impression de se calmer, pour revenir l’instant d’après plus imposant que jamais. Affligé par ce désire impérieux, l’homme devient pitoyable, faible, terne, vicieux, égaré, malheureux et déchu [comme ses religions du salut]. […] Il convient donc de renoncer de très loin à ce désir, qui est la source de tous les malheurs et qui détruit la vie de tous les êtres [et dans les trois Règnes]. […] Le désir ne diffère en rien du sentiment de l’ego. Le sentiment de l’ego est la source de tous les péchés. Tranche la racine même de ce sentiment de l’ego avec l’épée de la sagesse du non-ego. Soi libre de la peur », explique encore Vasistha au prince Râma.

« En cherchant si le mental existe ou non, on s’aperçoit qu’il n’existe pas. C’est là le contrôle du mental. Autrement, si on admet l’existence du mental et qu’on cherche à le contrôler [à le pointer, à le Pour-Voir], cela équivaut à obliger le mental à se contrôler lui-même, à l‘instar d’un voleur se transformant en policier pour procéder à sa propre arrestation. De cette manière, le mental continue à subsister, mais échappe à lui-même ». (Réf. Ramana Maharshi, entretien 43).
De la même manière, « Chacun connaît le Soi [ou l’Instant], et pourtant ne le connaît pas ».
« Comment savons-nous que nous existons ? Si vous dites que c’est à cause du monde environnant, alors comment pouvez-vous savoir que vous existiez pendant votre sommeil profond ? », répond R. Maharshi à l’entretien 146.
« Le mental est insaisissable [comme la poursuite policier-voleur]. En fait, il n’existe pas. La voie la plus sûre pour le maîtriser, c’est de le chercher. Alors, ses activités cessent [paradoxe de la Réalisation du Soi] » R. Maharshi, entretien 194.
 
À suivre…   

[Voyage en cette dimension en compagnie de Vasistha (ou Vasishtha), un des grands Sages de l’ère du manvantara. Énorme merci à son traducteur le Swami Venkatesananda (1921-1982). Hymnes composés par Vasishtha dédiés à Agni (Igné-Inné…]
 
 
Notes.
1. Antienne talmudique cité par Jacques Attali, dans : Les Juifs, le monde et l’argent, pages 340, 359 et 365.

2. Dieu ou Soi Unique, Indivisible : s’il y avait deux Soi, ou deux Instant, ou deux Universalité, on se retrouverait dans la dualité où chacun serait limité par ce qui le distingue de l’autre, et ainsi aucun ne pourrait être qualifié d’Instant, de Soi, et par conséquence être immortel. Bref, Dieu ou le Soi n’ex-iste pas, Il EST.

3. Ceci rappel notre état originel d’Eau Primordiale et c’est très important et prouve la réalité de la nourriture prânique, voir notamment le récent livre de Patrice Roy, Sans faim, cet infirmier de 64 ans, depuis deux ans s’est délivré de la nourriture solide pour ne plus boire que de l’eau additionnée de lait végétal ; sa vie s’en trouve transformée : joie, vitalité, énergie décuplée ; évidemment son social en périclite beaucoup puisque la « norme » est l’illusoire devoir de « manger pour vivre » et du tout bon pour le commerce capitaliste.

QUI TIENT LES CLÉS DU GARDE-MANGER EST LE MAÎTRE DU MONDE, SOIT CELUI QUI TIENT LES CLÉS DE L’ÉNERGIE EN SON EGO, alors, celui qui mange prânique, soit Rien du Tout, soit seulement liquide, devient un ennemi, un terroriste aux yeux du maître du monde et de ses ouailles. Le même Thème se trouve dans l’énergie industrielle : quelqu’un qui « invente » une énergie à partir de Rien, à partir d’une totale gratuité, se verra envoyer au cul toutes les armées des industries de la City de Londres et de leurs industries du pétrole et de Wall Street. Cette énergie existe pourtant, et de tous les temps……
 
 

Dernière mise à jour : 23-05-2018 00:41

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved