Voilà maintenant que la république est « inaltérable ».
C’est étonnant ce que l’opinion peut faire sortir comme ignorance !
Tout étatisme, monarchiste ou républicain, ne peuvent qu’être SALES parce qu’ils sont liés AUX BANQUES ET PAR CONSÉQUENCE AUX MENSONGES.

 

La démocratie est le piège étatique humain comme jamais il n’y en eu avant le Néolithique et sa voie de l’Agriculture. La démocratie construite uniquement sur l’opinion ne peut que fonctionner PAR CONFLITS D’INTÉRÊTS donc aussi D’ÉMOTION, alors elle est condamné à la frustration permanente par ses propres limitations. La démocratie et en conséquence son régime républicain ne peuvent que conduire, non seulement à une stérilité, mais à un chaos permanent AUTO-ENTRETENU.

La démocratie qui veut dire, en résumé : TOUS DES ROIS, n’a jamais et ne pourra jamais fonctionner : À CAUSE DE L’EGO, et donc du dilemme individuel-collectif ou illusions individuelles-nationales ET DE L'AVOIR.
LE PIRE : si l’on accepte que l’illusion existe aussi longtemps que le corps existe, alors l’illusion, et la démocratie, deviennent une réalité.
Le mental gonflé d’opinions et de tendances (vasana) fait l’expérience de la perception par les cinq sens et devient le jouet de l’illusion. C’est la conscience conditionnée ESCLAVE. « Quand il n’y a pas conscience du conditionnement de la conscience conditionnée, il advient le nirvana », dit Vasistha.
Conditionnement ou corps semblant exister à cause des tendances ou programmation par les opinions. Quand cesse les opinions, on cesse de voir le corps ou d’en faire l’expérience, tout comme on ne fait pas l’expérience de l’objet du rêve en se réveillant.

« Quand la conscience perd la conscience, elle n’est plus la Conscience. Toute chose doit être ce qu’elle est [Sans Pourquoi], et il ne saurait en être autrement. Il en résulte que la Conscience infinie est pure existence à tout moment (ici et maintenant) et qu’elle ne subit aucune diminution. Elle brille par son propre éclat, n’a ni commencement, ni milieu, ni fin, et est omnipotente. À la fin d’un cycle du monde c’est elle-même qui apparaît en tant qu’espace et plan de la Terre, etc., et semble subir des calamités naturelles et une destruction systématique ; bien que dans tout cela il n’y ait aucune réalité », dit Vasistha.

Dans cet état du Soi il n’existe ni autre soi à connaître ni concepts ou opinions émergeant rapidement.

À suivre…

[En références à : Padamalai, enseignements de Ramana Maharshi recueillis par Muruganar (1890-1973). Et en compagnie de Vasistha (ou Vasishtha), un des grands Sages de l’ère du manvantara. Énorme merci à son traducteur le Swami Venkatesananda (1921-1982)]