Pour-Voir l’Objet-Objectivité
 

Ecrit par Sechy, le 24-12-2018 21:57

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Banques, Capitalisme, Catastrophe, Chan, Chimère, Christ, Circoncision, Confort, Corps, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Gratuit, Humain, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Japon, Jardin, Juif, Klan, Langage, Liberté, Lucifer, Maux, Méditation, Mental, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Opinion, Orient, Pagan, Panique, Paradis, Phallus, Pierre, Porte, Puce, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Serf, Simple, Social, Soi, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Violet, washingtonisme, Yokaï

 
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Pour-Voir l’Objet-Objectivité
qui n’est QUE DU FAUX, DE L’ILLUSION
OBJECTIVITÉ = MANIPULATION DU SUJET ENVERS L’OBJET
(ou la ou les autres personnes : les médias
se veulent « objectifs », donc FAUX PAR ESSENCE
puisqu’ils sont liés à leur porte-feuille
lié lui-même au régime : le média qui n’obéit pas
au régime sera ruiné, ou au mieux « mis au placard »,
voir ses journalistes licenciés)

Il n’existe pas de laïcité car
toute chose que nous percevons (Pour-Voir)
n’est « réelle » que dans la mesure où
l’opération de notre conscience
conceptualisante rend présente cette chose.

La Loi de l’objet est de mourir en
l’acte de la conscience conceptualisante
qui « bouffe », consomme l’objet.
Ce Pour-Voir ou Mental est identique au POLICIER :
« En cherchant si le mental existe ou non,
on s’aperçoit qu’il n’existe pas.
C’est là le contrôle du mental.
Autrement, si on admet l’existence du mental
et qu’on cherche à le contrôler [à le pointer,
à le Pour-Voir ou à l’administrer],
cela équivaut à obliger le mental à se
contrôler lui-même, à l‘instar d’un voleur
se transformant en policier pour procéder
à sa propre arrestation.
De cette manière, le mental continue
à subsister, mais échappe à lui-même ».
De la même manière, « Chacun connaît
le Soi [ou l’Instant], et pourtant
ne le connaît pas. Étrange paradoxe ».
(Réf. Ramana Maharshi, entretien 43).
 
 
Page dédiée à l’aliéné et cancérisé de Pour-Voir qui est un serf républicain : Benjamin Griveaux, qui attise la haine, qui discrimine ; ce monsieur qui ne respecte pas les autres, et qui, OH PARADOXE, est « porte-parole du gouvernement », ÇA NE S’INVENTE PAS, comme le monsieur qui s’appelle « Petit » et en fait des complexes… Déjà que la parole est illusion, alors un type qui se dit porteur d’illusions ça génère à l’aise des amplifications d’illusions TYPIQUES DE RÈGNE DE LA TYRANNIE DE L’OPINION… Donc pas de surprise, tout baigne, c’est encore tout confort pour ce régime de démocratie marchande construit sur le principe de l’opinion ou conflits d’intérêts… Vous avez déjà vu une opinion qui mette l’humanité en harmonie ?
 
 
Nulla re indiget ad existendum (hurle le mental qui se croit un policier, QUI VEUT UNE IDENTITÉ : TEL EST LE PRIVILÈGE DE LA DUALITÉ QUE D’ÉVOQUER SA PROPRE VANITÉ ET D’EN SUGGÉRER UNE RELATIVE VISIBILITÉ (Pour-Voir), à partir de l’évidence de sa propre invisibilité, comme l’indique l’entretien 43 ci-dessus). Le Seul Réel ou Essence de la Réalité n’apparaît jamais aussi clairement que dans son incapacité à épouser les contours de quelque double que ce soit : le Seul Réel n’a aucune duplication, IL N’EST PAS IDENTIFIABLE, DONC LE POLICIER EST UN IMBÉCILE EN VOULANT PROCÉDER À SA PROPRE ARRESTATION D'ANCIEN VOLEUR, C’EST-À-DIRE QUE TOUTE DUPLICATION SERA UNE ILLUSION.
La recherche de sa propre identité comme le tenterait ce voleur devenu policier pour procéder à son propre contrôle d’identité (savoir qui il est, un ”Qui suis-je ?”) est un Faire/Fer absolument imbécile (et paradoxale), car le Seul Réel est précisément ce qui ne peut avoir de double, et par conséquence demeure réfractaire à toute entreprise d’identification.

Le mental n’existant pas, seul le Réel existe, donc LE COUR(S) ORDINAIRE NE PEUT QU’ÊTRE EXTRA-ORDINAIRE CAR IL NE PEUT QU’ÊTRE SINGULARITÉ, INSTANT, ICI ET MAINTENANT ; IL EST SEUL DE SON ESPÈCE OU DE N’IMPORTE QUELLE ESPÈCE DE NOMS-LES-FORMES. Ce ‘Je’, Source Absolue, le Soi ou Conscience infinie par laquelle se dispose autour de moi, le ‘je’, ET COMMENCE À EXISTER PAR MOI, PUISQUE JE SUIS DIEU (AINSITÉ OU INSTANT, le « Je suis CE JE SUIS », le tathata en sanskrit, le shinyo en japonais : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source », écrit Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux.

Si l’on demeure dans l’Instant, on se situe dans l’Absolu, alors tout sera Absolu, car on se situe dans l’Ainsité. Si l’on se tient dans l’Absolu, toutes les choses sont absolu, si l’on se tient dans le monde phénonémal, celui de Benjamin Griveaux et de son Macron-Rothschild, toutes les choses seront le phénoménal, l’illusion, la marchandise, et seront attaquées par l’Inquisition de la tyrannie de l’opinion.
Le Soi ou Ainsité étant sans double, Il ne s’appuie sur rien, Il ne tombe pas dans le confort (con : avec, et fort, doublure du fort le faisant tomber dans l’inconfort…)

Le monde de Benjamin Griveaux c’est celui de L’INÉGALITÉ, CELUI DES PHÉNOMÈNES (ou du karma). Or la Vraie Égalité ne peut être que dans la NON-DUALITÉ appelée Nature d’Égalité (samata, synonyme de Zhenru, Ainsité ou Nature, seul Universel où toutes choses sont égales). Les Natures ne sont pas différentes en elles-mêmes, c’est par leur utilitarisme qu’elles se différencient. Dans l’égarement apparaît la culture (grégarisme, inconscient collective et pensée unique…), dans l’éveil apparaît la sagesse intuitive (non discriminante, primordiale, spontanée). Lorsqu’on est en phase avec l’Absolu ou Soi, on parle d’éveil (seul celui qui voit DANS L’INSTANT est réel, et certainement pas le monde, comme dit le Maharshi à l’entretien 442) ; lorsqu’on est en accord avec les phénomènes, comme Benjamin Griveaux, on parle d’égarement : être égaré c’est avoir perdu le Cœur, avoir perdu son Soi, donc en être ALIÉNÉ, ou ÊTRE EN DÉCALAGE PAR RAPPORT À L’INSTANT, DONC ÊTRE DANS LA DUALITÉ.


SEUL EST VISIBLE LE FAUX, L’ILLUSION, CAR LE VRAI OU SEUL RÉEL CESSE D’ÊTRE RÉEL DÈS LORS QU’IL EST VU. C’EST LA LOI DE L’UNIQUE RÉALITÉ OU VÉRITÉ.

Maintenant, j’en viens à ce monde d’illusions ou de phénomènes qui devient de plus en plus, enfer, infecte, dangereux. Il n’a échappé à personne que depuis quelque semaines, de l’attentat de Strasbourg au samedi 22 décembre 2018, le régime républicain nous refait le coup de la pleurniche internationale juive ou sentimentalisme à la juif : une « vieille dame » chahutée par des gilets imbibés de jaune pas très net, qui se déclare « victime » des méchants nazis jaunes, ou un  membre de sa famille, vu l’âge qu’a maintenant cette dame elle ne pouvait subir les « récréations » des camps allemands ; et voilà maintenant que des gilets jaunes révoltés contre ce régime destructeur qu’est la démocratie marchande et sa république sont assimilés à des ANTISÉMITES : PROTESTER CONTRE LE RÉGIME RÉPUBLICAIN ET SES BANQUES DEVIENT UN « ACTE ANTISÉMITE ». ALORS, COMME LES 3/4 DE MON SITE SONT UNE PROTESTATION ÉCRITE PLUS QUE VIRULENTE CONTRE CE RÉGIME CAPITALO-RÉPUBLICAIN, C’EST POUR MOI DÉSORMAIS UN HONNEUR ET UN DEVOIR D’ÊTRE ANTISÉMITE ! JE REFUSE D’ÊTRE DANS LA CERVELLE DE MONSIEUR GRIVEAUX OU DE TOUT CITOYENISÉ TÔLES-BOULONS-ACIER-VERRE-SION…

Nous sommes dans cet enfer capitalo-républicain tellement bien représenté à ces jours par le Macron-Rothschild et sa juiverie financière internationale des Attali, Drahi, de leur City de Londres et de leur sinistre-sionisme impérialiste. Les vrais criminels contre l’humanité ce sont eux. Donc ceux qui protestent contre le régime capitalo-républicain sont maintenant, au choix ou opinion : soit des fascistes, soit des antisémites, soit des putschistes (dixit le serf de la république Benjamin Griveaux qui méprise le peuple : voir la vidéo en fin d’article. BENJAMIN GRIVEAUX EST UN FOUTEUR DE MERDRE, IL ENGENDRE LA HAINE ET LE CHAOS. CE TYPE EST UN IGNORANT. ELLE EST PAS BELLE ET MODERNE L’INQUISITION ET SA « LIBERTÉ D’EXPRESSION » ?

ELLE EST PAS BELLE « L’ACTUALITÉ », SOIT CE QUE LE POUR-VOIR DU SUJET PORTE SUR SON OBJET ? En d’autres mots/maux, comme la perception N’EST PAS UNE PROPRIÉTÉ DE SON CONTENU, MAIS DE L’ACTE PAR LEQUEL NOUS APPRÉHENDONS ICELUI, il apparaît que le contenu de l’expérience qui ne peut avoir qu’une ESSENCE SPIRITUELLE (pas de laïcité), que toute chose que nous percevons n’est réelle que dans la mesure où la conscience conceptualisante S’ACTUALISE, S’INSTANTISE, SE COAGULE ICI ET MAINTENANT, à partir de la Conscience infinie.

Tout ce qui se qualifie « d’objet-objectif » n’est qu’une image, une opinion, une pensée. Ainsi ce que certains appellent « connaissance » ou « culture » n’est qu’une opinion ou une fabrication du mental, que certains nomment actuellement « liberté d’expression ».
Comme le Vrai cesse d’être Vrai dès qu’il est vu, AUCUNE CHOSE NE VOIT QUELQUE CHOSE : le Pour-Voir sera alors seulement une opinion, non dangereuse si elle reste solitaire, dangereuse si elle se répand dans des bouquins ou des médias, REDOUTABLE ET MEURTRIÈRE SI ELLE SE RÉPAND DANS UN GOUVERNEMENT DE RÉGIME RÉPUBLICAIN À DÉMOCRATIE MARCHANDE. ENCORE PLUS REDOUTABLE ET ENCORE PLUS MEURTRIÈRE SI ELLE SE RÉPAND DANS LES INDUSTRIES NÉCESSAIREMENT SOUS DOMINATION DES BANQUES DE LA CITY DE LONDRES.
Toute pensée qui naît ainsi, de causes et de conditions, apparaît de la sorte, sous le double aspect d’une « pensée qui voit » (le Pour-Voir), et d’une pensée qui est vue. C’est cela la dualité.

Nous vivons à l’époque du Pour-Voir : les « neurosciences » (et leur ingénierie sociale) avec leur appareil de mesure essaye de Pour-Voir ou d’objectiver le fonctionnement du cerveau, alors que : NOUS NE VERRONS JAMAIS LE MOUVEMENT OU IDÉATION SE TRANSFORMER EN REPRÉSENTATION DE MOUVEMENT ! NOUS NE VERRONS JAMAIS CE QUI N’EST QUE PURE EXTÉRIORITÉ DEVENIR L’INTÉRIORITÉ D’UN SUJET, pour la raison QU’ON NE PEUT PAS DOUBLER LE SANS POURQUOI OU LE VRAI SANS TOMBER AUTOMATIQUEMENT DANS LE FAUX !!! Les transhumanistes semblent être des spécialistes du doublement, soit de la re-présentation ou présentation tout court (par besoin du re).
Le mot re-présentation est une saloperie : il amplifie la dualité déjà présente dans le mot « présentation », la chose présentée n’étant donnée dans la re-présentation que par procuration (comme la démocratie représentative du régime capitalo-républicain, procuration ou mandant, pouvoir)…

La dualité a été inventé RÉCEMMENT parce qu’on ignore ce qu’est la Vraie Réalité. On invente la dualité faute d’apercevoir le « Je suis CE JE SUIS » de toute chose, leur Sans Pourquoi. Comme il ne saurait y avoir de fils sans père (même en GPA et truc), c’est le sujet lui-même qui se transforme en objet perçu, car il ne peut pas y avoir de vue sans un sujet de la vue, par plus que de fils sans père ou de nourriture et produit de consommation sans le sujet et son « pouvoir d’achat ». Le sens de la vue, ou autre, que comporte la conscience conceptualisante qui a le Pour-Voir de transformer les objets perçus, est identique au fait que l’Or métal a la potentialité de se transformer en divers ornements (réf. Yoga Vasistha, YV III 81, 64-66).

Mais alors, comment existe le mode d’existence des objets que nous ne percevons pas ? À l’encontre du matérialiste qui opinione que l’objectivité de l’objet n’est pas dans la conscience, mais à l’extérieur ou en face de cette conscience, pour le Yoga Vasistha, il n’est jamais d’objet qu’en fonction de l’acte mental, le Pour-Voir, qui l’appréhende ; du moins si l’objet existe en dehors de cette saisie par le sens, son statut demeure problématique, CAR IL ÉCHAPPE, PAR DÉFINITION MÊME, à la conscience et ne constitue qu’une abstraction en dehors des limites de l’expérience possible.
Exemple : Les objets ont-ils leur propre vie ? Font-ils des bêtises comme de tomber derrière la lourde commode juste au moment où l’on en a besoin, et que l’on ne récupérera qu’au prix de longs efforts ? En notre absence, nous ne savons pas ce que font les objets. Sont-ils toujours là ? ou ailleurs ? Il n’y a aucun moyen de le vérifier… (qu’on ne me parle pas de caméra, etc….), car la diversité des choses chères au capitalo-républicains de la City avec leur identité policière-marchande propre n’existe que lorsqu’elles sont perçues, soit identifiées ou inventées en noms-les-formes, sinon, elles se « dissolvent derrière la lourde commode » assimilable au néant sitôt que l’on cesse d’avoir un œil sur elles. Le Yoga Vasistha dit bien que les objets de l’expérience ne sont rien en dehors de leur présentation instantée (actualisée) à la conscience conceptualisante, c’est-à-dire que leur réalité ne consiste que dans leur parution à la conscience sous la forme d’une image (un nom-la-forme, une pré-sent(s)ation)…

COMMODE OU OBJETS = PENSÉE. Vouloir les étudier, les mesurer, équivaut à la tentative de mettre un pied sur la tête de sa propre ombre pour l’immobiliser : plus on avance et plus l’ombre avance aussi (comme le voleur devenu policier qui veut procéder à sa propre arrestation et qui fera tout pour que cela n’arrive pas, voir plus haut). Il est donc impossible de poser le pied sur la tête de sa propre ombre (réf. entretien 485 de Ramana Maharshi). Dans ce même entretien le Maharshi dit que « l’Univers n’est qu’un objet créé par le mental et qui a son existence dans le mental. Il ne peut être mesuré comme le serait une entité extérieure. Il faut atteindre le Soi pour atteindre l’Univers », il dit la même chose que Jean Coulonval… Il dit donne aussi la définition du mental : UN FAISCEAU DE PENSÉES (les data que veulent stocker les Google et leurs transhumanistes en réseaux sociaux…).

Dans l’entretien 443 : « Un personnage apparaît sur un écran de cinéma observant le monde entier. Qu’elle est la réalité du sujet et de l’objet dans le même film ? Un être illusoire observe un monde illusoire ». Une personne rétorque que pourtant elle est le témoin du film. « Vous l’êtes, bien entendu. Vous et le monde êtes aussi réels que le personnage du film et le monde du film ».

Sur ce, se souhaiter « joyeux noël » est pour moi une forme de SADISME SOCIAL inhérent à la morale-opinion du capitalisme, car si on souhaite cette période « joyeuse », cela veut dire qu’elle est également sinistre, comme cette même forme de politesse tout confort qui consiste à dire à l’autre lorsqu’on le rencontre après une certaine absence : « vous allez bien ? », comme si on voulait le forcer à ce qu’il ou elle aille mal… Bref, on pratique la dualité sujet-objet la plus dure, la plus violente.
Quant au mythe de l’éternel retour (à l’Origine ou au Soi), ce n’est pas au premier janvier de l’année qu’il faut le vivre (ou seulement le souhaiter), mais tous les jours-nuits ou absence de jour-nuit… Sinon, on est victime du temps…. et on en meurt….. comme doivent le savoir les transhumanistes….
Se souhaiter « joyeux Noël » ou bonne année ou « comment ça va ? » c’est faire comme le voleur-policier qui veut procéder à sa propre arrestation et qui ainsi renforce la défense de son mental et de sa protection de voleur !!! En d’autres mots/maux, c’est ajouter de l’huile sur le feu, et pratiquer une feinte de compassion, une compassion sociale totalement artificielle, hypocrite, violente surtout.
 
 
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Dernière mise à jour : 24-12-2018 22:36

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