Tyrannie du dogme ou croyance
 

Ecrit par Sechy, le 03-06-2019 00:24

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Tags : Alchimie, Amour, Apocalypse, Apparence, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Chimère, Christ, Confort, Contrat, Corps, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Étoile, Gnostiques, Gratuit, Héros, Histoire, Humain, Idolâtrie, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Jardin, Juif, Langage, Liberté, Lucifer, Maux, Méditation, Mental, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pierre, Plume, Porte, Ptah, Race, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Sophisme, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Tore, Vérité, Vide, Vieux, Viol, washingtonisme, Yokaï

 
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Tyrannie du dogme ou croyance
son principe repose sur le fait
qu’ELLE EST INDÉRACINABLE :
ÊTRE SANS OBJET, GENRE MONDIALISME, SANS ODEUR.
Croyance ou désire de rien, d’où l’incapacité
de préciser la nature de ce à quoi elle croit,
ce qui va faire les beaux jours de gens comme
les Abraham et Simon Oppenheim qui, en 1840,
déclaraient ceci : « Vendre une perle que vous
avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est
pas faire des affaires ; mais vendre une perle
que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas,
voilà ce qui s’appelle faire des affaires » (1).
Donc croyance dans le capitalisme : créer des besoins.
Donc pour ces gens le « meilleur des mondes » N’EST PAS
un monde où l’on obtient ce que l’on désire,
mais un monde où on désire QUELQUE CHOSE (la croyance).
Désire et démocratie sont un couple indissoluble,
symbolisé notamment par ALADIN et sa lampe,
symbolisé par l’ailleurs, par le salut ou messianisme.

L’ailleurs est un repère insuffisant de l’ici et maintenant.
L’autre est un repère insuffisant du même, de l’idiotès.
Le rapport au Seul Réel sera paradoxal, insolite par essence
parce que le court ordinaire de l’Ici et Maintenant est
toujours extraordinaire en tant que spontané, solitaire,
et idiotès.

Dogmer l’exceptionnel est aussi une tyrannie, UNE POSSESSION !
 
 
 
SANS LA CROYANCE, LE MONDE DES HÉBREUX-JUIFS (et de leur finance internationale, de leur historicité) NE FONCTIONNE PLUS (2). LE MONDE DES HÉBREUX-JUIFS NE PEUT DONC FONCTIONNER QUE S’IL Y A UNE CAROTTE : MESSIE, SALUT OU « FIN DES TEMPS » ; CAROTTE AYANT POUR STRICTE LOI QUE CE SALUT OU CAROTTE NE SOIT JAMAIS BOUFFÉ, QUE LE MESSIE N’ARRIVE JAMAIS, CAR LE VRAI CESSE D’ÊTRE VRAI DÈS QU’IL EST VU. La lumière attribué à l’autre doit demeurer le privilège de l’autre : le « peuple élu », et rester étrangère à l’égard de ses propres ombres… L’histoire de la caverne de Platon illustre cette Carotte. De même que tout messie sera une carotte qui brille par son absence, par son inaccessibilité pour faire avancer les masses, comme le principe de faire des affaires énoncé ci-dessus. Ainsi, de là pouvait à l’aise se développer le capitalisme, et surtout L’HISTOIRE (HOTC : Histoire-Opinion-Temps qui coule).
FIN DES TEMPS : L’ORIGINAL, LE VRAI, NE SE RE-CONNAÎT QU’UNE FOIS DÉFUNT ! Ainsi, le rayonnement du Saint ou Libéré vivant est immense, à condition d’être occulte… Rejoint la Singularité : Celui qui sait la Vérité s’efforce de l’appliquer à lui-même d’Instant en Instant, selon la Voix du Silence ! Seul celui qui est dans l’erreur pratique l’opinion, la parole, et l’impose à l’extérieur aux autres : parole, parole, parole, surtout des serviteurs de l’État, ces fonctionnaires bien payés et très bruyants en partis !
SEUL LE SILENCIEUX PEUT ÊTRE DANS LE VRAI, LE SILENCE ÉTANT LA MEILLEURE PAROLE.


La CROYANCE ou le DOGME en son essence EST LIMITÉ CAR CONDITIONNÉ, d’où les terribles luttes, surtout en religions et en politisme étatique de divers régimes, entre croyances qui rivalisent, se rejettent et se réfutent les unes les autres, comme nous le vivons surtout depuis l’après 1789 où s’est fermement établis la tyrannie de l’opinion…

LA CROYANCE FABRIQUÉE PAR LES JUIFS ET LES CHRÉTIENS DE L’ÉGLISE DE ROME N’EST QU’OPINION, et les gens soumis à cet égrégore ne peuvent pas comprendre ce qu’implique cette parole de Fidèle d’Amour comme Ibn’Arabi : « Je me conforme à l’opinion que mon fidèle a de moi » (cité par Henry Corbin dans : L’Imagination créatrice dans le soufisme d’Ibn’Arabi), ce Fidèle est le Soi.
Des diviseurs comme le traditionaliste chrétien Pierre Hillard qui rejette les Gnostiques, ignore, et ne pourra qu’être scandalisé si on le lui suggère, que DANS LE COUPLE DU FIDÈLE D’AMOUR, LA LOUANGE QU’OFFRE LE FIDÈLE À CELUI EN QUI IL CROIT (en qui il SAIT qu’il le SAIT), EST BIEN-SÛR UNE LOUANGE QU’IL NE PEUT QUE S’ADRESSER À LUI-MÊME, ÉTANT PAR NATURE IDIOTÈS OU SINGULARITÉ, SANS DOUBLE, COMME DIEU, COMME LE SOI OU CONSCIENCE INFINIE. Les gens ennemis des Gnostiques ignorent le processus de la Réalisation du Soi, de cette « Création » à l’œuvre sans son état de Réalisé ou de Sachant (et non de croyant), et restent inconscient de ce qui en fait la réalité. Ainsi ces diviseurs vont ériger leur croyance, leur dogme, en une tyrannie avec ses limites de prisons (voir les attaques de Pierre Hillard contre les Gnostiques, contre H.G. Wells qu’Hillard en fait un « gros méchant mondialiste » caricaturale).

Le Dieu de Pierre Hillard et du Vatican est celui créé de la croyance : une opération de l’opinion (épuration) que tente la raison ou le rationalisme des théologiens, tout ce monde vont saloper les divinités dans leur raison, dans leur mental ; ils vont faire dans le même totalitarisme qu’ils dénoncent à coups de conférences et de quelques livres comme Pierre Hillard, pour fourguer leur monothéisme « unilatéral » et rêvé mondialiste : leur même soupe pour tous, comme le groupe intégriste (dogmé, qui se croit détenteur de la vérité) : Civitas, qui rêve encore d’une « France catholique »… et dont Pierre Hillard est l’un des participants actifs.

Un Dieu créé dans la croyance ne peut qu’être une dictature en puissance et en actes prochains : par exemple il suffit d’entendre ou de voir des opinions émises par les gens de Civitas ; leurs propos ne laissent deviner aucun grain de poussière de Vraie Paix. Et c’est ce genre de dogmatisme théologique qui va se trahir aux yeux du Fidèle d’Amour comme étant tombé dans une épuration façon Nazi : guerre à mort entre le Judaïsme, et l’Orient (pour résumer à l’extrême… et il ne s’agissait nullement de « racisme » de la part du pouvoir allemand de l’époque, où les consciences étaient arrivées à un point étonnamment avancé…) ; nous retrouvons de nos jours cette même guerre entre le temps cyclique et le temps évolutionniste ou historicisme, si bien décrit dans : Le mythe de l’éternel retour, de Mircea Eliade.
GUERRE ENTRE CEUX QUI VOIENT UN DIEU À L’EXTÉRIEUR (« au ciel »), ET CEUX QUI ONT UN DIEU INTÉRIEUR, UN UNIVERS À L’INTÉRIEUR.

Depuis la tyrannie de l’opinion accentuée après 1789 et sa démocratie marchande, et sa « suppression de la peine de mort » (en France et en nombre d’autres pays), TOUT DEVIENT IMPOSSIBLE, FERMÉ, alors qu’avant même la découverte et utilisation de l’électricité dynamique (courant alternatif et continu et sans avion ni chemin de fer) TOUT ÉTAIT ENCORE POSSIBLE, POUR NOUS. En régime républicain tous les possibles sont réservés aux têtes d’œufs oligarchiques soumis à leur Mère-Finance-internationale de la City de Londres.
Bref, les gens de Civitas, les Pierre Hillard et Marion Sigaut sont tombés par l’épuration de leur monothéisme totalitaire dans une idolâtrie métaphysique qui va leur arriver dessus ! Ils sont en tous cas dans un dogme où la croyance est dégradé en actuel historicité, puisque cette croyance fait de leur Dieu une création de cette croyance.

DICTATURE DU MONOTHÉISME DES TRADITIONALISTES : ceux de la raison, ceux du sens commun ou de la pensée unique, qui, chez les êtres humains, sont beaucoup plus volontiers disposés à admettre que ce qui existe n’existe pas (dualité du choix avec le binaire oui-non), comme de dénoncer les Gnostiques de méchants égoïstes parce qu’ils se prennent pour leur propre créateur, et que ce serait l’image du « totalitarisme » (pouvoir entre les mains d’un seul individu ou jacobinisme mondialisé en un « seul à l’envers » !). Bref, diviser, diviser à n’en plus finir, comme toute opinion.
MONOTHÉISME = TOUT CONFORT tant la vérité est dure à entendre, tant elle EST (sans l’historicité et la Carotte ou Salut des Hébreux-Juifs, il n’y a pas de recours ou histoire possible). La Vérité est à l’écart des chemins arpentés par la pensée unique et conventionnelle, contractuelle, égrégorienne. La Nature des choses étant SINGULARITÉ, elles seules SONT.

Le Fidèle d’Amour se retrouve exactement dans le principe de l’Alchimie : le couple Adepte et sa Matière : IL Y A ÉCHANGE entre l’Adepte ou le Laboureur et sa Matière. Aider et s’aider à se trouver par la Nature, « faire pousser les Métaux » ou Minéraux. Tuer et marier, réconcilier les contraires. « Le mythe de l’alchimie est un des rares mythes optimistes : l’Opus alchimicum en plus de transformer et de régénérer la Nature, confère la perfection à l’existence humaine en lui donnant santé, jeunesse, et même immortalité ». (D’après le Mythe de l’Alchimie, Mircea Eliade, Cahier de l’Herne).
L’Alchimie ou le Fidèle d’Amour : L’intérieur de la Matière reflète l’intérieur de la personne qui travaille cette Matière. C’est donc du Thème de la Réalisation du Soi, labour sur l’Or-igine ; et de quel Or s’agit-il ?
L’Alchimiste est ministre de la Nature (selon GEBER), dans le sens administrer, dans le sens de L’ART DE S’ADMINISTRER SOI-MÊME (et non se laisser administrer ou soumettre par un État ou un pouvoir extérieur quelconque, ou par une fonction rémunérée). C’est le serviteur de la Nature, de SA Nature (Ouvrier, Ouvrir, Labour).
Ministre/Serviteur parce que la masse humaine est assujettie à la Nature, à SA Nature, et fonctionne par des puissances naturelles. Le ministre libère ce qui était prisonnier, non naturel, il aide la Nature et s’aide en s’en occupant.
Aider la Nature autant qu’il est possible. Car si le cerveau fonctionne mal, ou si la tête est encombré par des choses extérieures, il y aura des difficultés. L’Art et le mental s’entraînent mutuellement : donc pratique et réflexion.

Alchimiste l’Adorant, et sa Matière l’Adorée, chacun tour à tour le « Premier » et le « Dernier », le Glorifié-Glorifiant. C’est là que le Fidèle d’Amour prend conscience de la fonction originelle, et divine, de son Être. Le Dieu créé par la croyance ne se manifeste plus pour lui imposer la tyrannie de son opinion, MAIS POUR LUI EXPOSER LES LIMITES DES COLORATIONS DE TOUTES LES ÉNERGIES LIBRES POSSIBLES : À SAVOIR, NE PAS RETOMBER DANS LE TEMPS QUI COULE ET SA DUALITÉ SUJET-OBJET !!! Car le Salut lui-même, la croyance, la Carotte, est par essence la création du temps, de l’histoire. LE MONOTHÉISME EST UNE VALORISATION DU TEMPS, DE L’HISTOIRE, comme l’invention du Big Bang, comme Moïse recevant « la Loi » à un certain endroit et un certain moment, une certaine date ou saison, et ça va devenir un ÉVÉNEMENT HISTORIQUE : on ne recule plus, l’événement a eu lieu une fois pour toute, on ne revient pas dessus (comme pour la « religion shoahique » de l’après 1945) .
Si la prière (du Fidèle d’Amour) « demande », ce ne sera plus dans le sens mercantile de l’offre et de la demande, MAIS DANS LE SENS DE L’ÉNERGIE LIBRE : VOIX(E) VERS UNE « CRÉATION NOUVELLE », CONFORMÉMENT À SA SIGNATURE, À SON ESSENCE-PRINCIPE, et sans retomber dans le temps et l’histoire, puisqu’annulation de la dualité. PRIER = CRÉER, SOIT MANIFESTER DIEU, LE DIVIN, qu’Il contemple dans le miroir de son soi, parce qu’il est Soi, ce miroir pur, sans dualité.
Comme avec l’Alchimiste et SA Matière, ce qui incite le Fidèle d’Amour à glorifier son Dieu, sa Vraie Nature, son Soi, c’est précisément son état spirituel de pureté, c’est-à-dire ce qui en Lui détermine ce Dieu, ce Soi issu du « Qui suis-je ? », sous tel ou tel « Nom-la-Forme » PUR (de SA et LA Matière). C’est donc savoir que de Dieu, de Soi, ne lui donne et ne peut lui donner que ce que comporte son Essence ou Vraie Nature.

Le Réalisé vivant ne voit que son propre « Nom-la-Forme », comme : « Un mental sans pensée est comparable à deux miroirs clairs, l’un en face de l’autre, n’échangeant entre eux aucun reflet » (R. Maharshi, entr. 485). Réciprocité des rapports comme deux miroirs clairs se faisant face et se réfléchissant la même image : le non-reflet.
LE PÈRE-MÈRE : Tu es le Créateur qui m’enfanteras et me formeras, et tu es l’enfant de ma pensée (l’Univers dans le mental), celui qui enfante, celui que crée ma pensée de toi. En référence à la Nature parfaite ou Vraie Nature, dans un psaume composé par Sohravardi (cité par Corbin), identique à cette pensée de Rûmî : « Mon enfant spirituel, l’enfant de ma pensée ».
Le Réalisé vivant ne voit pas « Dieu » en son Essence ; la réponse donnée à Moïse est toujours actuelle : « Tu ne me verras pas » (cité par H. Corbin). Ainsi dans le miroir, la personne qui contemple sa forme, voit sa forme mais pas le miroir, tout en sachant que la personne ne peut voir sa forme que DANS ce miroir : « Tu ne peux regarder à la fois l’image qui apparaît dans ce miroir et le corps du miroir ».
« VOUS NE POUVEZ PAS DEVENIR L’OBJET DE LA CONNAISSANCE. L’INTELLECT VOUS PERMET DE VOIR LES CHOSES À L’EXTÉRIEUR, ET NON PAS CE QUI EST SA PROPRE SOURCE », dit Ramana Maharshi à l’entretien 618.
Ibn’Arabi, selon Corbin, estime cette comparaison adéquate : Dieu est TON miroir, c’est-à-dire le miroir DANS lequel tu te contemples toi-même, et toi, tu es SON miroir, c’est-à-dire le miroir dans lequel Il contemple ses Noms divins.

FIDÈLE D’AMOUR OU DE LA GRATUITÉ, DE L’ÉNERGIE LIBRE.


Notes.
1. Réf. Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent, page 451.

2. Comme dans le cas de Ali-Baba, où deux voleurs sont envoyés par leur chef pour découvrir en ville la porte de la maison d’Ali-Baba, qui y a entreposé leur trésor ; et la caractériser pour qu’on puisse la reconnaître lors de l’expédition projetée de récupération du butin. Si les voleurs réussissent dans la première tâche, à la seconde ils échouent à chaque fois : ils ont bien découvert l’Ici recherché, mais n’ont trouvé aucun « ailleurs » qui permettent de désigner sans erreur cet Ici en tant qu’Ici, ou en tant que Soi. Les marques extérieures sur lesquelles comptaient les voleurs (telle croix sur la porte de la servante d’Ali-Baba annule l’effet distinctif en la reproduisant sur les portes avoisinantes, genre « Moi-Collectif », ou socialisme, genre quantité du productivisme et du social) qui se sont effacées pendant la nuit, ou qui ont cessé d’être des marques distinctives ; cela précisément parce qu’elles étaient des marques EXTÉRIEURES (comme la couverture sociale si superficielle…), soit des repères incapables de signaler un Ici en tant que tel pour demeurer nécessairement étranger à lui. Ainsi il ne peut pas y avoir de « reconnaissance des lieux » ou de l’Ici qui échappe à toute identification… comme le Soi éternellement Ici, et ne supportant pas l’identification par un sujet qui ferait de cet Ici ou Soi un objet…


À partir de l’avénement du christianisme, la menace de l’Orient se fera permanente jusqu’à l’époque de l’Empire Turc (les Tartares, les Huns, les Mongoles envahissant la Russie : période d’Andréi Roublev, etc.). Cette guerre Orient et monde Occidental de l’évolutionnisme se retrouve caricaturée dans la bande dessinée Le Secret de l'Espadon, avec l’Empereur Jaune : Basam-Damdu, ayant résidence à Lhassa au Tibet, et qui prit d’aliénation dangereuse déclenche une guerre à tous les pays du monde.
Un chapitre du Traité du Vide parfait, de Lie tseu s’intitule : L’empereur jaune, décrit comme ayant une chair desséchée, un teint noirâtre, une esprit égaré, hébété ; il soupirait en disant « Mon erreur fut extrême de m’occuper de moi et de diriger les êtres ». Bref, il se retire de sa cour principale et passe trois mois sans gouverner… SANS POUVOIR.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 03-06-2019 01:29

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