ALEPHTOCRATIE
 

Ecrit par Sechy, le 18-02-2009 18:42

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Tags : Accord, Alephtocratie, Capitalisme, Cité, communisme, Démocratie, Dictature, Échange, État, Gouvernement, Moteurs, Politique, Tao, Terrorisme, Transport, Voie

 
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Pour préciser tout de suite ce que pourrait être une ALEPHTOCRATIE, comme indiqué dans l’article ci-dessous, chacun d’entre nous doit être celui qui décide de sortir des systèmes Communiste et Capitaliste, lesquels sont une même chose s’appuyant l’un sur l’autre pour fonctionner et entrainant ainsi la destruction de notre civilisation.
Pour en sortir : « plein de petits moteurs », nous tous devons changer individuellement, nous devons avoir une prise de conscience planétaire, comme le disait Mohandas Karamchand Gandhi : « Nous devons devenir le changement que nous souhaitons voir dans le monde ».
D’ailleurs « les petits moteurs » sont en train de devenir une réalité dans le sens de prison : les nanotechnologies, qu’on commence a trouver partout, et déjà dans l’agriculture et bientôt jusque dans nos assiettes ! (Évitez les produits de Kraft Foods). Ici c’est donc une dérive technologique qui elle aussi pourra conduire à la destruction de notre civilisation.
 
L’économie actuelle est comme le feu, elle à besoin de matière pour dévorer ! Elle est pris au nier (1), elle s’engrosse d’elle-même. Hors seul le feu Originel transmet la vraie vie.

On part toujours de l’intérieur pour aller vers l’extérieur (2)
VIDE : on ne profite de l’Instant que quand celui-ci est déjà passé, tout comme on ne profite de la santé qu’au sortir de la maladie
.

« Que nous devions obéir à toutes les lois, qu'elles soient bonnes ou mauvaises, est une invention récente » (Gandhi)

« Dès que quelqu'un comprend qu'il est contraire à sa dignité d'homme d'obéir à des lois injustes, aucune tyrannie ne peut l’asservir » (Gandhi)

De la Signature des choses à l’Aleph (3), nombre cardinal d’un ensemble infinie, appliqué à la politique, ou art d’organisation d’une cité.
 
Dans La Signature des Choses, de Jacob Boehme, il explique au chapitre 6 que la première forme de la Nature est le désir. Je ne suis pas d’accord, c’est la lumière. Mais reste à savoir parce qu’il entend par désir, il entend le sens d’appétit, et ce que j’entend par lumière (un appétit des plantes pour la lumière).  Peut-être que ce désir est le « Mysterium magnum » de Boehme, peut-être que c’est le VIDE tout simplement ; et qu’est-ce que le vide ! Peut-être aussi est-ce un codage, un langage comme l’alphabet de l’ADN...

Sans m’étendre, je continue sur l’idée de la signature de Boehme. Il parle presque du Tao, cette voie à jamais inconnaissable, qui guide l’être dans sa qualité première et propre, où il n’entre rien d’étranger et qui donc s’épanouit dans sa volonté une. Par exemple, une main ou un pied naissent d’un « centre invisible » où LA FIGURE EXISTE DÉJÀ dès la première opération de l’esprit, si bien qu’ils n’ont plus qu’à se former pour la faire apparaître. Sorte de Pré-Matière. Selon Boehme, toute chose qui persévère dans sa qualité propre, est incorruptible, car le mystère dont elle procède est éternel. En naissant à elle-même (Je suis celui qui suis), elle manifeste ce mystère dans lequel elle prend racine. Ainsi le corps qui se formera sera à l’image du désir, selon sa qualité et en exacte proportion avec elle.

Comme entre l’intérieur et l’extérieur il y a un constant échange, dans l’idée de transport, il y a un constant ÉCHANGE DE VOLUMES, où « Donner de la chaleur aux pieds », selon une expression orientale.
Pour l’ALEPH, j’emprunte au lieutenant pilote Jean Plantier et à son livre : La propulsion des soucoupes volantes, l’idée du moteur par le VIDE, et des PETITS MOTEURS ; plutôt qu’un seul moteur, ou par analogie le chef, ou le commandant, ou le berger avec son troupeau. Ça correspond à l’Aleph : la partie est égale au Tout. Ou : le centre est partout et la circonférence nulle part. Ou : un oiseaux qui est d’une certaine façon tous les oiseaux (3).
 
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Force appliquée dans l’idée de Plantier :
Des billes de Fer attirées par un aimant. La soucoupe volante utilise une énergie qui applique une force à chacun de ses propres atomes et à chacun des atomes de l’air environnant.
 
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Les atomes se déplacent dans le sens de la force comme les billes, la soucoupe se déplace en entraînent de l’air avec elle. Le principe c’est appliquer à chacun des atomes présents dans un volume donné ou région de l’espace, une force proportionnelle à leur masse, orientable et modérable à volonté.                  
L’engin crée une pesanteur/force contrôlable et orientable qui est propulsive. Il n’y a pas de frottement d’air, donc pas de chaleur ni de bruit. (C’est une sorte d’antigravitation, que l’on trouve dans les livres de science-fiction). C’est un peu un moteur dans chaque atome !
(Les atomes restent les mêmes : il n’y a pas de transformation en enlevant des atomes ou en ajoutant iceux).
 
 
 

Plein de petits moteurs, la puissance étant réparti sur le Tout, il n’y a pas d’écrasement.
Dans ce cas, pour les OVNIs, pilote et vaisseau sont un ENSEMBLE : ils forment une entité vivante.

Imaginez cela appliqué à ce que j’appelle : Alephtocratie... Ainsi il y a enfin une égalité, et pourquoi pas une fraternité (4) ; et même si un ou plusieurs moteurs lâchent, l’ensemble continuera à fonctionner ; et on ne pourra jamais casser tous les moteurs, car ceux qui sont cassés auront entre-temps été réparés ou se seront réparés eux-même ! Chaque moteur sera son chef, il n’y a donc là plus de hiérarchie. Il faudrait demander aux éphémères volants en nuage dans un ciel d’été avec un synchronisme admirable, comment ils font pour évoluer d’un si bel ensemble. Un banc de poissons procède de la même manière. On a souvent évoqué la société des fourmis travailleuses et de leur esclavage, et de leur automatisme, mais nous ne sommes pas des fourmis.

De toutes façons, j’attends que l’on me dise le contraire, mais nous sommes tous dans la même Matière, et par la même, plus ou moins responsable les uns des autres. Change, et tu changeras le monde, est-il écrit. Ou : Connais-toi toi-même. Voilà bien « des petits moteurs ». Car pour être libre, seul solution, se connaître, puisque on est toujours agit par quelqu’un : l’autre, ce qui n’est pas visible, et actuellement par un patron ou celui qui a plus de pouvoir que vous.      
 
Site avec des indications du Lieutenant-Pilote Jean Plantier :
http://www.ovni.ch/archives/plantier.htm
Ou bien ICI.

anipucsac1.gifAutre vision d’un « gouvernement » appelée : Holostructure (de holo : entier)
 
« Il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres ; n’en ayons qu’un seul ; qu’un seul soit le maître, qu’un seul soit le roi ». Voilà ce que déclara Ulysse en public, selon Homère. (Un seul maître ou VOIE ou TAO, car il est connu que toute division enchaîne)
Mais il y a Maître et maître, sous peine de retomber dans une dictature ! Le vrai Maître, c’est celui qui est à l’intérieur de nous, notre Soi le plus élevé et le plus pur, et le plus libre de tout conditionnement surtout. Cherchez le « CENTRUM CENTRI », c’est-à-dire les éléments échappant au monde des accidents. Ce vrai Maître sera comme un moteur entrainant un ensemble, et un des ensembles prendra le relais entraînant à nouveau l’ensemble, et ainsi de suite. Il doit y avoir ACCORD, ce qu’il n’y a absolument pas dans ce qu’on ose appeler « république ». L’observation d’un simple nuage d’Éphémères un après-midi d’été suffit a s’en rendre compte.

« Ne remettez jamais votre liberté entre les mains d'hommes politiques ». Serge Monast
« Don't ever put your freedom in the trust of political men »

Page importante sur l’individu face au terrorisme de l’État, et réflexion sur un « bon » gouvernement. Le texte de Henry David Thoreau est dans le même paysage que Jean Coulonval, évoqué et cité un grand nombre de fois sur ce site.

Voir aussi le site http://www.desobeir.net/

Selon le principe du Tao et de Lao-tseu : un meilleur gouvernement est celui qui ne gouverne pas du tout ! En effet : seul compte la VOIE, et nul ne peut se l’approprier, comme nul ne peut s’approprier le dieu du monothéisme. C’est le gouvernement que j’appelle : ALEPHTOCRATIE. Aussi elle doit-être un outil au service de chacun, comme la VOIE, le « support d’une vibration ». Aussi une Alephtocratie ne peut pas être une anarchie.
Une Alephtocratie où chacun est un MOTEUR, une énergie et non une machine obéissante, nécessite d’être éveillé, c’est-à-dire d’avoir conscience de ce qu’il se passe et de ce que l’on désire. C’est-à-dire qu’il ne faut pas suivre une quelconque loi bonne ou mauvaise en aveugle ou par « obéissance ». Comme cela on a envoyé au casse-pipe des millions d’individus depuis de trop nombreux millénaires. Tout comme de nombreux conducteurs de trains obéirent au Gouvernement de Vichy en conduisant des Juifs à la mort dans les camps. Pareil pour la Russie des Juifs bolchevik. Pendant la première guerre mondiale des soldats refusèrent de tirer sur leurs frères humains ; ils furent fusillés « pour l’exemple ». Si ces exemples ne sont pas des démonstrations du terrorisme de l’État, le mot terrorisme comme on l’entend actuellement n’a plus aucun sens...
 
Terrorisme d’État de la Tchéka et du KGB - Surveiller les « camarades » ou citoyens.
« Même si vous ne posez aucun risque à l’État, il y a désormais une raison pour que vous soyez placé sous surveillance ». C’est le moderne concept inventé par un pouvoir faisant dans sa culotte : la DANGEROSITÉ. Mot traitre et trompeur, puisqu’il implique un état latent, une possibilité, une potentialité ; tous ces mots relevant de l’arbitraire et du subjectif. Tout innocent devenant coupable. Voilà à nouveau l’État terroriste qui consiste à faire PEUR.
C’est la même chose que sous Staline : « Jamais nous n’arrêtons un homme qui n’est pas coupable. Et même si vous n’étiez pas coupable, nous ne pourrions vous relâcher, parce que les gens raconteraient qu’on rafle des innocents ». Ici il y a inversion, mais l’idée est la même : une dictature où l’on pourrait vous mettre en prison pour vous éviter de commettre un crime d’opinion ou contre le pouvoir en place... La justice ne concerne donc que l’idée, l’opinion. Tout est faussé !
 
M. Roudakoff
 
 
 
Notes.
1. Pris au nier, expression d’après « L’Aumonyme » de Robert Desnos. Pris dans le nier, le négatif ; pris dans les formes-prisons comme les mots/maux, comme pris dans les stéréotypes qui empêchent la liberté de pensée.

2. De toutes les choses de la Nature crées ou engendrées, il n’en est aucune qui ne manifeste extérieurement sa forme intérieure, car toujours ce qui est dedans travaille pour se révéler. (Jacob Boehme)

3. J’emprunte ces derniers exemples à Jorge Luis Borges et à sa nouvelle : L’Aleph (1949).
 
4. Non, pas de communisme... Si tout ce qui se regroupe en un ensemble est comparé à une totalité, à un totalitarisme, à un communisme ; et si tout ce qui est de l’individu est comparé à la liberté, c’est la prison de l’Ouroboros, sans solutions pour très très très longtemps... Si personne ne cherche une solution de remplacement, là encore la prison est pour très très très longtemps...
 

Dernière mise à jour : 05-07-2010 20:33

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