Frottement = électricité.
« Toute Matière contient une certaine quantité de fluide élastique appelé PAR CONVENTION : ÉLECTRICITÉ. Si un corps vient à contenir + ou – de fluide élastique qu’il n’en peut contenir que sa quantité naturelle (déséquilibre), il en résulte des surprises ». (D’après
William Gilbert, 16ème siècle).
AMBRE JAUNE : résine fossilisée (Minéral/Terre) qui a la propriété de « s’électriser » quand on la frotte.
A – Deux corps frottés l’un contre l’autre puis séparés, dégagent de l’électricité statique.
Dans un corps non conducteur, les charges restent à l’endroit où elles ont été générées par le frottement.
Dans un corps conducteur, les charges sont réparties sur la surface, et peuvent se transmettre sur d’autres corps conducteurs en contact avec icelui.
B – Deux corps chargés avec deux « fluides » différents produisent un champ « électrostatique ». Si un corps conducteur pénètre dans ce champ il sera chargé sans contact. L’humide diminue l’électricité statique.
Exemple : le frottement sur un tapis de qualité à 25 % d’humidité dégage environ 30.000 Volts.
INTENTION : « Chaque chose fuit son contraire et se réjouit de son semblable » (Bernard Le Trévisan).
« Notre Œuvre, dit Le Trévisan, est composée d’une racine et de deux substances mercurielles (Mercure possédant une
“animation”) qui étant cependant de même nature se réduisent à un Seul Principe ». (Page 402 du
Dictionnaire Mytho-Hermétique de A.J. Pernety).
Le Code de Vérité du Trévisan est en opposition momentanée avec l’électricité et avec
« le sec attire l’humide » :
- Chaque chose fuit son contraire.
- Et se réjouit de son semblable : Nature jouit/contient Nature, ou principe d’identité.
Le – attire le + : pour garder un troupeau de moutons, il faudrait un autre mouton (similitude) ; et bien non, on place un BERGER pour garder les moutons, un conducteur (analogie, hétérogène). (Voir
La Doctrine Secrète. Tome 3, page 467. H.P. Blavatsky).
Électricité dans l’analogie si propice aux COURT-CIRCUITS :
L’eau coule vers ce qui est humide. Le FEU coule vers ce qui est sec (
Yi King). Différent parce que deux Éléments, mais semblable car ils coulent tous les deux. Conduit au FLUIDE ou COURANT : Nature jouit/contient Nature = RÉALISATION DU SOI.
LE FEU EST EN NOUS AVANT DE VENIR DU DEHORS GENRE « frappé par la foudre » ou par la colère d’un Dieu EXTÉRIEUR. Ce Feu intérieur est évidemment le Soi, Shiva…
Frottement : Vent, Eau, Putréfaction. Il n’y a pas de résistivité, c’est FLUIDE et NE CHAUFFE PAS (paradoxe technique……)
IL N’Y A PLUS DE JUS, PAS DE COURANT, PLUS PERSONNE N’EST AU COURANT AVEC LE CAPITALISME ET SON INDISTINCTION VENDUE POUR UNITÉ ET DIVERSITÉ (
laquelle n’est qu’une fonction du mental et donc pure ignorance [
R. Maharshi]).
INDISTINCTION = POUR LA
« RAISON » OU LE MENTAL DES NOUVEAUTÉS
« INTARISSABLES » (en évolutionnisme) NOUS SONT VENDUES CHAQUE JOUR ET EN TOUTES SAISONS. Cela produit des consommateurs ou BRÛLEURS toujours frustrés et anxieux et jamais comblés (par le principe du vagabondage du mental), parce que l’amplification de l’évolutionnisme matériel et de son
« tout tout de suite » provoque la mort des facultés d’étonnement ou d’émerveillement dans l’Instant et que les blasés se trouvent parmi les Couilles en Or et les cancéreux du pouvoir (d’où par exemple le recourt à des extrêmes comme les meurtres rituels ou tortures d’enfants et de bébés… pour s’envoyer en l’R. Les riches blasés vont avoir recours aux drogues dures….).
INDISTINCTION : Victor Hugo prophétisait déjà le transhumanisme des Google et autres Juifs
« tueurs de mort » quand il écrivait : « La mort va donc devenir inutile ! » (il devait déjà penser à l'electricité), dans un pressentiment jouissif en des voyages futurs de l’humain s’envoyant en l’R à l’extérieur de sa planète, soit une mort réduite à l’état d’embarcadère pour une croisière interstellaire !
Avec « l’aide » des Juifs « tueurs de mort » et leur Google, l’humain perdra sûrement son âme pour conquérir l’Univers en le croyant extérieur, de sorte qu’il trouvera alors SA PLUS MORTELLE DÉFAITE DANS SA SUPRÊME VICTOIRE. C’est à cet Instant là, qu’arrivé aux limites absolues du possible, mais toujours prisonnier de son ego qui n’existe pas et donc prisonnier du monde ou de lui-même, il n’aura plus d’autre issue que du côté de l’IMPOSSIBLE et prendra enfin conscience, sans retour arrière possible, qu’il est nativement fait, non pour l’illimité comme le voudraient les Juifs des Google, MAIS POUR L’INFINI (Christ ou Ramana Maharshi, et bien d’autres comme Mazu Daoyi). L’Être humain est fait pour l’Éveil.
INDISTINCTION = NON FROTTEMENT, PAS DE JUS, PAS DE COURANT (d’où l’invention des
« réseaux sociaux » puisque paradoxalement, à y ajouter les smartphones, PLUS PERSONNE NE COMMUNIQUE, LES ÉCHANGES SONT AMPLIFIÉS À L’ARTIFICIEL, À LA COUVERTURE SOCIALE : tout ce qui se rapporte au social ne peut qu’être superficiel et apparence. La qualité ou la profondeur n’est jamais sociale ; elle est de l’ego, ou du Soi (si elle est du Soi, alors le mot social n’a jamais existé, car dès que ce social a existé, il n’a pu qu’engendrer cette superficialité qui fout le chaos partout par oublie du Soi).
Le jus ou sperme moderne du capitalisme est le migrant dans le même sou(s) (monnaie), la même soupe pour tous (indifférencié, lessivé, pasteurisé, sans odeur, sans protestation, toutes les couleurs mélangées qui donneront un caca grisâtre) ; c’est-à-dire que le migrant sera DÉRACINÉ afin qu’il ne puisse plus se réaliser, SAUF DE FAIRE DU FRIC, C’EST-À-DIRE SE RÉALISER
UNIQUEMENT PAR RAPPORT À SON EGO QUI EN SERA D’AUTANT AMPLIFIÉ.
- IL N’Y A PLUS DE JUS = ÉPOQUE DE LA CROYANCE AMPLIFIÉE (INTERDICTION D’ÊTRE UN SACHANT, INTERDICTION D’ÊTRE AUTHENTIQUEMENT AUTONOME, contrairement à ce que vend le capitalisme avec sa
« voiture autonome » ou
« intelligente »… TOUT EST INVERSÉ.
- IL N’Y A PLUS DE JUS : NOUS SOMMES AU TEMPS DE LA F(R)ICTION.
- IL N’Y A PLUS DE JUS : LE VRAI DISPARAÎT À GRANDE QUANTITÉ DEPUIS L’APRÈS 1789, SURTOUT PAR AMPLIFICATION PAR LES MÉDIAS ET TECHNOLOGIES LIÉS AU FRIC/FLIC (argent-censure-réseaux-ego). Voyez les cas récents en France : Notre-Dame de Paris incendiée, l’attaque au
« couteau » dans la Préfecture de police de Paris, etc.
IL N’Y A PLUS DE JUS DANS LE CAPITALISME : PARCE QU’IL SEMBLE ACTUELLEMENT N’AVOIR JAMAIS ÉTÉ AUSSI WINNER, QU’AUTOMATIQUEMENT IL VA TRÈS RAPIDEMENT ENTRER DANS L’AUTOROUTE EN DIRECTION DU LOSER
SANS ESPOIR DE JAMAIS POUVOIR SE REFAIRE COMME IL AVAIT LE POUVOIR DE LE FAIRE DEPUIS DES MILLÉNAIRES
LE PHÉNIX LUI SERA INTERDIT POUR TOUJOURS. Le changement de packaging c’est terminé. L’illusion du capitalisme c’est terminé.
Le JUS est en train de revenir (notamment par le courant des Gilets Jaunes…).
RAPPEL : l’État et sa démocratie fonctionnent à égalité sur le principe des conflits d’intérêts, ils ne peuvent aucunement être homogène ou être une unité comme le voudrait la
« république universelle et INDIVISIBLE ». L’État et sa démocratie sont condamnés à la frustration permanente par leurs propres limitations. Ils ne peuvent mener qu’à la stérilité sous forme de chaos et pire : À LA VIOLENCE (voir ce qui arrive avec la violence scandaleuse contre les Gilets Jaunes, et prochainement ça va probablement aller au crime
« légal »). Cette VIOLENCE étatique et
« légale » est uniquement possible par le capitalisme groupée sous le nom :
« État profond » ou
« Complexe militaro-industriel » un État mondialisé DANS TOUS LES ÉTATS À RÉGIME RÉPUBLICAIN. Donc les États républicains seront TOUJOURS EN CONFLITS AVEC L’ÉTAT PROFOND OU COMPLEXE MILITARO-INDUSTRIEL (et en conflits d’intérêts avec l’économie mondiale de la drogue qui, si elle disparaissait, il n’existerait plus ni État ni banque…), à ces conflits il faut ajouter l’entité sioniste qui tient un bon bout des chaînes du complexe militaro-industriel, surtout dans le
« sécuritaire ».
Tout acte terroriste très spectaculaire et médiatique ne peut qu’être un attentat étatique par essence, c’est-à-dire que cet attentat ne sera pas forcément organisé par l’État bien visible, celui pour qui les citoyenisés votent, mais plutôt par l’État profond invisible dont fond nécessairement partie les banques qui fournissent l’argent pour acheter les outils de la violence, du crime légal et du sécuritaire.
IL N’Y A PLUS DE JUS :
« France-Info, et tout est plus claire », comprendre l’inverse conformément au capitalisme qui inverse tout pour imposer la pensée dominante du régime capitalo-républicain. Les régimes les plus puissants veulent convaincre les masses qu’il est des mots inutiles dans le monde, comme
Monsieur ou
Madame, mais grâce à l’extraordinaire couple FRIC/FLIC, l’oligarchie du régime tente d’imposer sa langue et sa forme de pensée, DE TOUTES LES FAÇONS POSSIBLES. Dans des situations de
« paix », de petits comités, voir de sociétés secrètes genre
think tank ou de loges judéo-maçonniques à opinions sont formés dans le but de surveiller la
« pureté morale » du langage parlé et écrit afin d’éliminer ou transformer toute scorie déplaisante à leur ego. On peut contraindre le sens des mots en le travestissant en morale ou sentiment, mais on ne peut pas toucher aux locutions et expressions populaires ; de même on ne peut pas censurer des mots d’argot… LA LANGUE RECUEILLE ET REFLÈTE LA CIVILISATION DE SES USAGERS…
Une radio comme
France-Info est dans la dimension du capitalo-république de la marchandise, tout comme une école, une université doivent produire de
« bons » citoyenisés, de bons salariés consommateurs.
TOUT CE QUE SERINE L’HISTOIRE OFFICIELLE EST FAUX PAR ESSENCE OU NE RENSEIGNE OU N’INFORME ABSOLUMENT PAS (je renvoie à la
« couverture sociale » décrite plus haut). Ou encore, tout ce qui est
« information » sera INFORME, NON PERCEPTIBLE, NON COMPRÉHENSIBLE, DONC À AVALER SANS BRONCHER POUR FAIRE COMME TOUT LE MONDE !
Tous ce qui est émit par le capitalisme SERA FAUX PAR ESSENCE (indistinction et inversion systématique ; je renvoie de nouveau au récent slogan de
France-Info : « Et tout est plus clair »… et clac, dans la gueule ! TU DOIS DEVENIR UN IGNORANT, CONSOMMES, CONSOMMES, CONSOMMES OU BRÛLES, BRÛLES, BRÛLES ET NE POSE PAS DE QUESTION
FRANCE-INFO TE DONNE LES RÉPONSES… CLAIRES… PARCE QUE L’INFORMATION DEVIENDRA DE PIRE EN PIRE ET DE PLUS EN PLUS GROTESQUE, DE PLUS EN PLUS GRAND-GUIGNOLESQUE [incendie de Notre-Dame de Paris, Tuerie à la Préfecture de Police de Paris….. Lubrizol…..).
Alors nous nous laissons tous TRINGLER (le courant est inversé).
Le FAUX, le SOCIAL qui va avec est répandue de façon totalitaire et grotesque. Probablement dans l’histoire de l’humanité, nous n’avons jamais vécu une période aussi aliénée ou débilitante de façon aussi grégaire, et sur tous les sujets, même si, surtout avant 1914-1918, le Paysan et l’Ouvrier n’avaient besoin que de savoir compter et lire et écrire un minimum pour administrer son ouvrage et sa maison ; mais là, je renvoie à la description de ce Vrai Ouvrier du temps passé si bien décrit par
Hyacinthe Dubreuil dans son dernier livre et dernier PRÉCIEUX témoignage :
« J’ai fini ma journée », où il décrit l’Ouvrier d’avant 1914 :
« La presse fait parfois allusion à la « Belle époque », mais c’est là une expression qui comporte une certaine équivoque, car on peut en tirer des conclusions erronées… Comme celle que nous vivons est remplie de difficultés, on peut en penser qu’au contraire la vie de ce temps-là était facile. Or ce n’est certainement pas exacte. Les grèves dont je parlerais plus loin apportent la preuve qu’il y avait aussi des problèmes, fort analogues à ceux d’aujourd’hui. Ce qui est exacte, mais difficile à faire comprendre à la nouvelle population, c’est que la physionomie de la vie était quand même différente. S’il n’y avait certainement pas du bien-être pour tout le monde, il y avait néanmoins une certaine gaité de vivre, sur laquelle la guerre de 1914 s’est abattue pour la détruire, en même temps qu’une quantité de caractéristiques du passé qui avaient subsisté jusque-là.
Je ne sais pas si je réussirai dans cette entreprise, mais je voudrais montrer que l’année 1914 a marqué la destruction brusque de vestiges de survivances d’un lointain passé pour entrer, après tant de ruines matérielles et morales [comme en 1789], dans une difficile période de reconstruction, qui ne pourra certainement être achevée qu’après de nombreuses générations. Car si les ruines matérielles peuvent être réparées dans un temps relativement court, celles qui sont d’ordre intellectuel et moral seront beaucoup plus longues à reconstituer.
Il n’est pas meilleur moyen de faire comprendre le caractère de la véritable révolution qui a commencé du fait de ces destructions que de rappeler que la France a perdu, pendant des quatre années de guerre, un million et demi de morts... et de constater que, du fait des conditions de recrutement militaire, qui écartent les déficients, ces morts constituaient la plus grande partie de ce qu’on peut appeler la richesse humaine d’une nation. Avec eux ont été ensevelies des qualités séculaires, des traditions précieuses et ce qu’on peut définir comme une grande partie du génie de notre nation. Sur le simple plan de travail, qui au fond intéresse tout le monde, car tout le monde a besoin d’objet bien faits, et répondant exactement à ce qu’on leur demande, n’entendons pas constamment des plaintes sur la disparition de la « conscience professionnelle » ? Or cette valeur sociale précieuse existait au plus haut degré avant la grande catastrophe [guerre de 1914], sans que d’ailleurs on y prêtes attention, tant cela paraissait naturel. Comme la personne en bonne santé qui ne pense pas qu’elle pourrait être malade...
Ces valeurs humaines étaient comme l’héritage des siècles. Les ruines matérielles, les cinq cent mille maisons détruites, n’étaient rien en comparaison de ce capitale irremplaçable, ou tout au moins irremplaçable pour longtemps, car il faudra des générations pour en retrouver l’équivalence.... Le véritable changement résulte de ces pertes humaines, qui ont entraîné une transformation considérable dans l’esprit de la population. L’ancienne gaieté a disparu, pour faire place à un mécontentement permanent, même si, en fait, la situation des gens ne le justifie pas absolument [le texte date de 1970]. Il en est qui n’ont réellement pas à se plaindre des conditions de leur existence, mais sont quand même mécontents et grincheux ».
Avant 1914 l’être humain restait encore la mesure de toutes choses. Après 1914 et 1945 l’être humain va être mesuré par les choses (de l’économie capitaliste).
Ce n’est pas avec Google et Amazon ou Apple que l’on retrouvera la douceur de vivre d’avant 1914 décrite par Hyacinthe Dubreuil. Car le temps des Google, Amazon, Apple etc. EST CELUI DES MASSES TOUJOURS MÉCONTENTES, HARGNEUSES, CONTESTATAIRES, CRITIQUES, QUI SE PLAIGNENT CHAQUE JOUR MALGRÉ LE GALOP TECHNOLOGIQUE. LES ÉCRANS INFORMATIQUES INCONNUS EN 1914 ONT RENDUS LES HUMAINS ENCORE PLUS IRRITABLES QU’AUTREFOIS.
LIBÉRATION = RÉALISER L’EAU PRIMORDIALE ou COMMUNAUTÉ DU CHRIST SUR LA TERRE, déjà un « enfançon » [embryon d’Infini] de l’Eau Primordiale.
Nôtre pire ennemi C’EST L’ÉVOLUTIONNISME OU FIN DES TEMPS, LA JÉRUSALEM CÉLESTE À LA GOOGLE DE LA MARCHANDISATION DE LA TERRE, QUAND L’HUMAIN RÉDUIT À UNE PUCE INFORMATIQUE SERA TOUJOURS UN CROYANT SELON LA FORMULE DE SIMONE WEIL : cet être devenu non-humain aura toutes les raisons (informatiques) de ”se croire au paradis par erreur” (cité par G. Thibon : L’ignorance étoilée) ; un paradis seulement valable pour les humains, mais pas pour les « hommes augmentés » des Juifs de la Jérusalem céleste informatique des Google, CES MODERNISATEURS OU NOUVEAU PACKAGING DE LA MARCHANDISE SOUS LEUR FORME D’« HOMME AUGMENTÉ » OU « ILLIMITÉ » (dans sa consommation, dans son marché digitalisé et speedé).
TRINGLER L’ÉTAT, SES BANQUES ET SON ARGENT, SES « SPÉCIALISTES » ET SON SALARIAT EN SON POUVOIR D’ACHAT DE MARCHANDISES SUPERFLUES = LES EXPLOSER, LES ATOMISER, LES DÉTRUIRE DÉFINITIVEMENT. EXPLOSER LA VIOLENCE ABSOLUE DU RÉGIME CAPITALO-RÉPUBLICAIN.
EXPLOSER AU FINAL L’ILLUSION TEMPOREL, ALORS, QUE RESTERA-T-IL ? UN RETENTISSANT ET OMNIPRÉSENT EFFONDREMENT AUQUEL HIROSHIMA ET NAGASAKI SERONT DEUX PETS DE LAPIN.
AU FAIT, QUI A DÉJÀ OSÉ ? ALORS HUMAINS, OSEZ ! (Et ne venez surtout pas dire que sans temps et sans État et sans soumission aux chefs la vie serait impossible, parce que ce serait le chaos…. parce que le chaos VOUS L’AVEZ VOUS-MÊMES MENTALEMENT ORGANISÉ ET COAGULÉ EN ESPACE-TEMPS…).
ALORS HUMAINS, OSEZ, COMME LE CHRIST, COMME RAMANA MAHARSHI ! PUISQU’IL EST NOUS TOUS (le Soi (1), dans l’Instant).
ALORS OSEZ LA NON-DUALITÉ : NOUS NE SOMMES NI DEDANS NI DEHORS DONC SANS TEMPS, PARCE QUE L’INFINI EST NOUS ET QUE NOUS SOMMES LUI.
1 Savoir, 2 Pouvoir, 3 Oser, 4 SE TAIRE.
ou plus naturellement (selon H.P. Blavatsky) :
1 Oser, 2 Savoir, 3 Vouloir, 4 SE TAIRE.
En haut de page nous avons le PHÉNIX (aquarelle de M. Roudakoff) avec la
devise : « J’y suis et je le blanchis », couplé avec le même sens du
symbole que l’ÂNE-CRONOS-SATURNE-CHRIST (page à suivre). Le Phénix
blanchis à l’Œuvre du BLANC DE L’INSTANT, à ne pas confondre avec le
« blanchiment d’argent » surtout que le Phénix pourrait être salopé ou
vulgarisé, donc détruit pour longtemps, si les Couilles en Or Rothschild
en font le nom de leur monnaie « universelle » !
Phénix passe de l’Œuvre au Rouge (Rubification ou Salamandre, ou
Création, Rythme) puis au Blanc de l’Instant (en réalité les deux sont
intimement mélangés : paradoxe puisque Tout est dans Tout et FRACTAL…
comme de noyer l’intellect-outil dans l’ego et l’ego dans le Soi).
Blanchir = non-dualité, les « Laveurs » en « Feu de non-dualité » (toute
pensée est incompatible avec l’Œuvre ou Réalisation…). Car si vous
dites oui à tout, en causisme d’ignorant, comme en système républicain
en allant voter ou en disant « oui » aux « ismes », C’EST FOUTU, OU
C’EST COAGULÉ DANS LES PENSÉES (mémorisé, temporisé) ; COAGULER EMPÊCHE
L’ÉVEIL QUI SE TROUVE DANS LE THÈME ACTUEL APPELÉ « PROBABILITÉ », DONC
L’ÉVEIL N’EST JAMAIS FIXÉ OU NE DEVIENT JAMAIS UNE « CONSTANTE »…
PHÉNIX-SHIVA. Phénix et Salamandre sont symboliquement dans le même Thème.
FEU : Tout est contenu dans le ‘Je’ (éternellement Le même). L’autre ou
l’extérieur, ou le monde ne peut être connu que si le Soi ou Centrum
Centri est admis. « Sans le sujet, les autres n’existent pas », dit le
Maharshi à l’entretien 380 du 2-4-1937.
À suivre…