Capital ou Caput, Chef comme la raison sujet-objet
 

Ecrit par Sechy, le 12-02-2020 21:34

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Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Circoncision, Conflit, Confort, Conscience, Corde, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Duoversel, Eau, Ego, Fétiche, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Ignocratie, Information, Innocence, Instant, Intelligence, Intérêt, Japon, Jardin, Juif, Langage, Langue, Liberté, Lucifer, Marsyas, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Migrant, Morale, Mort, Mot, Narcisse, Nature, Nihilisme, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Phallus, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Trouvère, Vérité, Vide, Vieux, Viscères, washingtonisme, Xatemme, Yokaï

 
 
 
Capital ou Caput, Chef comme la raison sujet-objet.
Raisonner : user de sujet-objet dans un amas de pensées.

Capital : de tête (chef), essentiel, base ou fonda et mental.
Capitalisme et libéralisme-démocratie :
nous sommes tous devenus le Roi au divin pouvoir d’achat.
 
 
Faisant suite à page précédente : Les spécialistes = la Représentation , explication de la dérive du Bien ou Félicité vers les biens, le commerce et ce qui s’en suit l’invention de l’État. Ça commence par la division sujet-objet ou ombre-lumière, ou pire : ‘je’ et ‘Je’ devenant l’individualité et ses pensées (le jiva ou âme individuel). « L’analyse mène à la conclusion que l’individualité de la personne fonctionne en tant que connaisseur de l’existence des pensées et de leur succession [l’idéation ou vagabondage des pensées]. C’est l’individualité, c’est l’ego ou ce que les gens appellent ‘je’. L’intellect n’est pas le vrai ‘Je’, il n’est que son enveloppe », explique Ramana Maharshi à l’entretien 25 du 4-2-1935. Cette idéation va être à la base du mécanisme des SUCRES (effet domino), des PERLES-FILET, le COURANT, le JUS (effet domino mais dans les deux sens), le FIXE et le VOLATIL ou le INNÉ-IGNÉ, l’UN et le MULTIPLE et tous de se CONFONDRE ou SE MARIER SANS SE CONFONDRE (article à venir prochainement).
 
Même entretien 25 : « Le monde est appréhendé par les sens dans les états de veille et de rêve ; il est l’objet de perceptions et de pensées, les deux étant des activités mentales. Si l’activité mentale du rêve et de l’état de veille n’existait pas, il n’y aurait pas de perception du monde ni la conclusion qu’il existe. Dans le sommeil profond, cette activité est absente ; donc les objets et le monde n’existent pas pour nous dans cet état. En conséquence, la « réalité du monde » ne peut être créée que par l’ego [l’opinion], par son émergence du sommeil ; et cette réalité est engloutie ou disparaît [dans l'OMBRE, le CACHÉ] lorsque l’âme reprend sa propre nature dans le sommeil profond.
L’apparition et la disparition du monde sont comparables à l’araignée qui tisse sa toile et puis la résorbe. Dans cet exemple, l’araignée est sous-jacente aux trois états, ceux de veille, de rêve et de sommeil profond. Une telle araignée en l’homme est appelée âtman (le Soi), tandis que la même en rapport avec le monde (considéré comme issu du Soleil) est appelée brahman (l’Esprit suprême). ‘Celui qui est dans l’homme est le même que Celui qui est dans le Soleil’ (C’est le même [être] qui, ici-bas, est dans l’homme et qui, la-haut, est dans le Soleil).
Tant que le Soi ou l’Esprit suprême est non manifesté et sans activité, il n’y a pas de couples d’opposés, comme par exemple sujet et objet ou drik et drishya. Si l’on pousse la recherche jusqu’à la cause ultime de la manifestation du mental, l’on s’apercevra que le mental n’est pas autre chose que la manifestation de la Réalité qui est aussi appelée âtman ou brahman ».

Même entretien : « Le mental se manifeste toujours en rapport avec - ou agissant sur - quelque chose qui est son mental ou matière [effet sucres] ; il ne se manifeste jamais seul. Par conséquent, mental et matière coexistent ».

Avec le mental apparaît le double : l’idéation ou vagabondage du mental dans l’outil sujet et objet [ou le sucre basculant sur le suivant et ainsi de suite). Cela À LA FAVEUR D’UN CERTAIN PARASITISME DOUBLÉ DE PARADOXE ET D’IGNORANCE produisant à la fois son bonheur et son malheur, car de fait du double ou OMBRE, cette dualité va œuvrer complémentairement, mais le plus souvent en ADVERSAIRE qui engendre le combat, rien que les mots OPINION et POLÉMIQUE le prouvent et conduisent à des guerres. Dans la fiction du voyage dans le temps, rencontrer soi-même ou son double, et c’est l’annihilation !!! Le conte d’Andersen : L’ombre, illustre cela. D’un autre côté « Celui qui connaît son Seigneur [sens de Soi] connaît soi-même » [mariage ou accord de l’Inné-Igné, ”Inné, j’ai besoin de mon Seigneur l’Igné”] comme le montre L’Imagination créatrice dans le soufisme d’Ibn’Arabi, développée par Henry Corbin. D’une certaine façon moins probante ce « Seigneur » est transformé en « Ange Gardien » par le christianisme.

OMBRE = LE SOI OU ICI ET MAINTENANT, L’INSTANT, LA GRATUITÉ que le capitalisme combat et refuse car il bouffe absolument tout.
De nos jours cette le Soi est devenu cette ombre-capitaliste qui bouffe tout comme le montre le conte d’Andersen : Un savant désireux d’en savoir plus sur l’appartement qu’il aperçoit à travers sa fenêtre et qu’un bref instant il croit avoir vu une belle jeune fille, désir s’en rapprocher ; une nuit, en se plaçant sur son balcon, une bonne lumière derrière lui afin de prolonger son ombre jusqu’à l’appartement voisin, le savant encourage mentalement son ombre à ne pas en rester là et à aller « visiter les lieux ». Bref, l’ombre finit par posséder une vie « autonome », dans le sens rêvé d’un républicain et capitaliste de 1789 et de sa démocratie. Ce qui veut dire que l’ombre devenue autonome finit par se détacher de son propriétaire, comme l’argent qui passe d’une fortune devenant une infortune en faisant autre part une infortune devenant fortune. Bref, l’ombre SE REND UTILE SELON LE PRINCIPE TALMUDISTE… Comme le montre le conte où l’ombre émancipée et « autonome » est devenu une individualité extraordinairement maigre mais très bien habillé, soit apparemment devenu très riche ! Le savant et ancien maître de l’ombre lui demande de raconter ce qu’il se passe dans l’appartement d’en face sa fenêtre. L’ombre accepte mais fixe la condition que le savant n’aille raconter à personne ce qu’il y a dans cet appartement. Bref il se passe un lent processus d’inversion des rôles comme le transfert d’une fortune à une autre. Cette inversion permettra à la riche ombre de tutoyer son ancien maître et de le réduire à l’état de domestique, comme une ombre fidèle doit le faire à chaque fois qu’il y a de la lumière, ici dans le sens du calcul ou du mental. C’est-à-dire que l’ombre émancipée est devenue méchante et sadique, tandis que le savant est devenue le masochiste, avant qu’il n’essaye de se rebeller, ce qui entraînera sa mort ; entre-temps le savant sera dénoncé par son ancienne ombre comme un fou dangereux, on dirait de nos jours « un complotiste », un « Gilet Jaune », un anti-mondialisme, un souverainiste ou un anti-capitaliste.

En fait le conte d’Andersen se résume à un mot : ÉCHANGE (dans le sens de MUTATION).

L’individu, le corps, l’ombre, le Soi, mais dans le conte c’est inversé, l’individu comme le savant meurt, le corps meurt, mais le soi voleur ou faux soi avec un s minuscule est cet ego-voyeur qui veut « voir » en douce la jeune fille dans l’appartement. L’ombre étant inséparable du corps comme le ‘je’ ego et le ‘Je’ le Soi, de sorte que, qui perd son ombre perd son Soi, chose évidemment impossible comme souvent énoncé ici puisque « LE FLEUVE QUI VA À LA MER NE PEUT SUPPRIMER SA SOURCE ». Le nihilisme est impossible et n’est qu’une vue du mental, une fiction, une opinion. Le vampire ne se reflète pas dans un miroir ce qui ne fait pas, paradoxalement, de lui un Réalisé, tel un mental sans pensée en face d’un autre miroir sans tain : les deux miroirs l’un en face de l’autre N’ÉCHANGENT ENTRE EUX AUCUN REFLET (réf. fin de l’entretien 485 de Ramana Maharshi) ; donc on n’a pas deux « vampires l’un en face de l’autre » et chacun devant un miroir sans tain….. Une ombre indépendante de la lumière existe-t-elle ? Et un miroir peut-il refléter une telle ombre « autonome » façon république de 89 ? Fiction, fiction, fiction… Même pas comparable aux Élementals (Yokaï au Japon).

CE MONDE PRIT POUR LA « RÉALITÉ » EST BIEN COMME CETTE OMBRE : UN SIMULACRE, UNE PARODIE, UNE SEMBLANT, UNE ILLUSION PROJETÉE SUR UN ÉCRAN DE CINÉMA OU DE SMARTPHONE OU LA PAROI D’UNE CAVERNE DE PLATON, COMME LE CHIEN QUI LÂCHE SA PROIE POUR COURSER L’OMBRE (de sa queue). LA CAVERNE N’EST ABSOLUMENT PAS UN SIMPLE EXEMPLE DE DÉMONSTRATION DU SEUL RÉEL PUISQUE TOUTE SA LOGIQUE REPOSE SUR L’EGO ET SES CINQ SENS ET SUR LA DUALITÉ SUJET D’UN OBJET QUI EST : ET LA LUMIÈRE, ET LES PRÉTENDUS OBJETS, ET LES EGO NÉCESSAIREMENT À L’ÉTAT D’ÉVEIL POUR VOIR LES OMBRES SUR LA PAROI DE LEUR CAVERNE.

On a aussi la  Caverne de Platon et ses ombres qui n’auraient pas de corps ou de ‘je’ : l’individu n’a accès qu’aux ombres, pas aux objets réels qui font ces ombres, alors l’individu CROIT à la réalité des objets en les prenant pour des ombres, soit le processus de la dualité du sujet face à l’objet, MAIS À L’ÉTAT DE VEILLE…. En sommeil profond il n’y a ni caverne ni ombres, ni lumière ni personne pour voir ces ombres….. il faut bien un individu pour voir ces ombres ou ces objets, et ainsi les fabriquer, et les ombres, et les supposés objets producteurs d’ombres, à y ajouter qu’il faut principalement de la LUMIÈRE symbolisée par l’état de veille et ses cinq sens du mental….

Le Capitalisme c’est l’ombre émancipée du savant dans le conte qui devient une ombre autonome, individuel, soit comme un ‘Je’ ou Soi prenant la place du ‘Soi’ un ‘je’ hybride du ‘Je’ devenu faux puisque le savant est devenu une ombre de lui-même jusqu’à en disparaitre, alors qu’il est naturellement éternel (Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source).
On a le tétralemme : 1) Savant avec ombre, 2) savant sans son ombre, 3) le savant devient l’ombre de lui-même, 4) le savant meurt par cessation et de ce corps et d’ombre.


OMBRE = LE SOI OU ICI ET MAINTENANT, L’INSTANT, LA GRATUITÉ : LA VIERGE NOIRE : l’image reflétée dans un miroir ne renvoie aucun reflet ou n’est pas superposable à ce que de nos jours on nomme « réalité », comme l’Univers ne peut qu’être un « être » sans double, sans complément en miroir, donc sans ombre et totalement invisible, comme la VIERGE et en plus noir (sans ombre puisque le noir indique qu’il n’existe aucune lumière). Alors aucune image, aucun miroir, aucun œil quelconque vivant ou artifice d’une « intelligence artificielle », ne peut saisir, posséder, le corps de la Vierge, d’où l’appellation de « vierge », pur. Notez qu’à nôtre époque des statues de Vierge sont détruites dans des églises en France, comme si une guerre de religions qui ne dit pas son nom était déclarée et effective depuis plusieurs décennies maintenant.

C’est autour de l’an 1000 que nous voyons Re-surgirent ces Vierges Noires, un peu partout en Europe et surtout en France Méditerranéenne et en Auvergne. C’est la France où commence à s’installer le capitalisme qui va trouver sa nourriture pendant les Croisades, et partout se construisent églises, cathédrales et monastères. Cependant, cette Vierge Noire se retrouve partout en sa symbolique, depuis l’Isle de Pâques jusqu’à nous, en passant par l’Asie Mineure, la Grèce, la Crète, les grottes de Ténériffe, etc., et évidemment c’est intemporel !
Pourquoi Isis en Egypte, Déméter dans la Grèce Antique, Kali en Inde sont-elles noires ?
NOIR = INSTANT-ORIGINE-CHAOS-VACUITÉ et Putréfaction (Œuvre au Noir) la Clé de l’Alchimie et spirituelle et opérative (Putréfaction le réservoir ou la SOURCE de toutes choses). LA NUIT PORTE CONSEIL (dit-on). Le noir en son aspect négatif s’appelle IGNORANCE. On voit quelquefois une photo de Ramana Maharsi assis sur une peau de fauve claire tâché de noir en un symbolisme de Vishnu (la conservation) et Shiva (dissolution-destruction) signifiant le non-manifesté et la manifestation [le spatio-temporel] ; l’équivalent de l’Eau-de-Mort et Eau-de-Vie des deux pleureuses Nephtys et Isis.

Les vierges noires retrouvées au Moyen-Âge sont en bois. Elles représentent symboliquement non seulement la matière mais aussi la substance universelle, la Materia Prima [Eau Primordiale]. Par extension, chez les Anciens, chaque Dieu avait son bois sacré, comme sa Maison, où il recevait les hommages et les prières. C’était un centre de vie, une réserve de fraîcheur, d’eau et de chaleur associés comme dans une matrice protectrice et sécurisante apportant une Vraie Paix intérieure. Une vignette des textes des sarcophages nous montre une Isis Hator faisant corps avec un sycomore. Une vignette des textes des sarcophages nous montre une Isis Hator faisant corps avec un sycomore ; la vierge noire de Foggia en Italie est assise au milieu d’un arbre. « L’arbre, précise Mircea Eliade, présuppose que la source de vie se trouve concentrée dans ce végétal, donc que la modalité humaine se trouve là, à l’état virtuel, sous formes de germes et de semences ». Le bois devient alors un matériau sacré qui franchira la limite du manifesté pour pénétrer dans le réfléchi et y introduire l’inspiré. Quant à l’enfant, qui le plus souvent est assis sur les genoux de sa mère la Vierge, il nous rappelle que nous sommes dans une symbolique d’innocence, de pureté, de spontanéité. Nous avons à entrer dans une sorte d’état édénique, antérieur à la Chute modèle biblique, un état préalable, qui seul pourra nous amener à la Conscience infinie.
Les auteurs qui ont écrit sur les Vierges noires ont tous souligné la parenté d’attitude entre les Déesses-Mères de l’âge préhistorique et les Vierges romanes. L’installation du christianisme n’a pas fait disparaître cette vision universelle répandue sur tous les continents.

La vierge noire contient la plénitude, clé de voûte de l’édifice macroscopique, elle va déclencher le processus de la manifestation universelle. Sa couleur noire, est l’image de ce qui n’est pas manifesté, de ce qui reste caché : « Le meilleur », dirait un Nasr Eddin Hodja, est ce qui est caché : la CAROTTE, celle qui attire ou qui comme un moteur faisant marcher ce monde… Comme le messianisme juif fait marcher ce monde (du moins en certains endroits de l’Occident).

LA MERDE EST CACHÉ DANS LES INTESTINS, ET ELLE SE TRANSFORME, L’ARGENT EST CACHÉ PAR LES ACTIONNAIRES, DANS DES COMPTES EN BANQUES ET DES « PARADIS FISCAUX », ET IL SE TRANSFORME AUSSI. TOUS DES MOTEURS.
 
Doublement Mère du TOUT : Vierge et Noire, ni ombre ni lumière (Dieu ou la Vérité n’a pas de nom-la-forme, Il est caché). Le UN est entier dans le Multiple et inversement. Et tous de se CONFONDRE ou SE MARIER SANS SE CONFONDRE (article à venir prochainement).
Nous avons assisté pendant les 11ème et 12ème siècle à une entreprise générale prodigieuse de restauration de la tradition celtique greffée sur le christianisme dans le domaine social, politique, intellectuel et spirituel. Ce qui se fit alors n’est rien de moins que la constitution définitive, après les soubresauts du premier millénaire, de la véritable société chrétienne dans un esprit parfaitement en harmonie avec la tradition sacrée universelle (le CIRCULUS, Vrai Communisme).
L’ombre, inséparable du corps et de la lumière : si aucune lumière, c’est le noir, le Saint Chaos, aucun corps et encore MOINS une ombre… il n’y a aucun risque de « perdre son ombre ».

Corps et ombre : à CAUSE du mental, aucun Ici et Maintenant ne fonctionne dans la béquille qui est l’AILLEURS-CAROTTE, COMME CELA ON FABRIQUE LE TEMPS (idéation ou principe du vagabondage du mental, aussi vagabondage de l’argent qui est accepté partout et donc n’a ni « odeur » ni haine puisque bien vu partout). Dès que le VERBE est déclenché, LE TEMPS EST AUSSI ENCLENCHÉ. Toutes les choses étant, dans leur EST ou dans leur Ici et Maintenant, dans leur Instant, si elles viennent à signifier quelque chose, c’est par un mécanisme ou parasite extérieur à elles. LE MONDE NE S’ÉCLAIRE PAS TOUT SEUL, ET C’EST SON DRAME : « QUI A DEMANDÉ À L’HOMME DE PLAIDER LA CAUSE DU MONDE ? [soit d’inventer la cause genre Big Bang] », s’exclame Ramana Maharshi dans l’entretien 442 du 8-1-1938. Il dit aussi : « Le Yoga-vasishtha définit clairement la Libération comme étant l’abandon du faux pour demeurer en tant qu’ÊTRE ». Avec le délire de la technologie actuelle la cause du monde est devenu UN CAUSISME SUPÉRIEUR (une causalité presque suprême) !
Ainsi avec le Inné-Igné ou le Sujet et son Seigneur, Arthur Rimbaud est obligé d’employer : « Je est un autre », comme si cet « autre » était ailleurs, à l’extérieur (d’outre-monde), soit parasité ! Et puis, inventer le Vide c’est aussi et par là même inventer le Plein ! Un Vide « habité » qui rejoindrait le questionnement du Maharshi de l’entretien 442, ET DU 264.
Le Vierge Noire a son enfant sur les genoux, elle est donc une CAUSE, MAIS NOIRE, UNE NON-CAUSE EN PLUS, SANS LUMIÈRE ; ELLE EST PLUS COSTAUD QUE LA VIERGE CLASSIQUE ET BLANCHE EUROPÉANISÉE.

CAROTTE = CAPACITÉ DE DÉPASSER CE QU’ON DÉSIR, SOIT L’ÉQUIVALENT DU ZÉRO INDIEN OU ÉNERGIE LIBRE.
DÉPASSER CE QU’ON DÉSIR : LE CAPITALISME EST STÉRILE DEVANT CE ZÉRO INDIEN, IL NE SAURA JAMAIS DÉPASSER CE QU’ON DÉSIRE AVEC SON PITOYABLE POUVOIR D’ACHAT. CAR LE TOUT N’EST PAS UN BIG DATA DE VÉRITÉS PARTIELLES RÉCOLTÉES UN PEU PARTOUT, MAIS IL EST AUTRE CHOSE ET AU-DELÀ DE LA SOMME DES PARTIES ; LE TOUT EST AU-DELÀ DU CAPUT, DU CAPITAL, DE LA TÊTE, DU CHEF, IL EST NON LOCAL, NON POSSÉDABLE EN UN ENDROIT,
IL EST NOIR, GRATUITÉ, AMOUR.

 
À suivre…

ŒUVRE AU NOIR, en quelque sorte. L’ombre et la lumière.
 
 
 

Dernière mise à jour : 14-02-2020 02:18

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