Les gens ont peur de la mort
 

Ecrit par Sechy, le 27-08-2020 21:56

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Tags : Accident, Adam, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Blanc, Bombes, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Clown, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Fléau, Foi, Forêt, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Jehovah, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Logique, Masque, Matrice, Méditation, Mental, Messianisme, Montagne, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Noir, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Porte, Pouvoir, Privilège, Race, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Viscères, washingtonisme, Westinghousé, Yokaï

 
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Les gens ont peur de la mort
ça veut dire qu’ils se considèrent nés !
Alors ils demandent un roi ou
une protection à leur État,
lui-même un MASQUE à lui tout seul.

Le VACCIN cette NOBLESSE moderne
(vaccin = immunité, dispense, privilège)
mais, nous sommes tous des rois depuis 1789
alors certainement tous « majeurs et vaccinés ».
 
En inventant l’ICI, ils ont inventés l’AILLEURS, et par conséquence le TEMPS.


Si la vie sur Terre est le prélude d’une autre vie post-mortem, elle est tellement stupide dans ce monde de la démocratie marchande et sa laïcité qu’il faut avoir beaucoup d’imagination à la Hollywood pour avoir envie de connaître la suite de la f(r)iction dans une éventuelle Après-Vie !
De plus, comment voulez-vous retourner au « néant » ? On ne peut pas retourner à « quelque chose » qui par définition, ne peut-être le néant, le rien !

Qui dit peur de mourir dit demande de médecin, de remèdes, et actuellement l’État français JOUE DANGEREUSEMENT AU MÉDECIN, ET CELA DEPUIS LE 11 SEPTEMBRE 2001 (médecine contre le terrorisme et maintenant contre des virus où désormais par ce qui est devenue, comme de tout : VIRTUEL, NON DÉTECTABLE PAR LES SENS, tout sera possible pour l’État pour asservir les masses au nom de la « sécurité sanitaire » identique à celle contre le terrorisme : INTERDICTION DE CONTAMINATION, ENTENDRE : INTERDICTION DE PENSER AUTREMENT QUE CE QUE LE GOUVERNEMENT ÉDICTE).
Cette médecine mondialisée s’appelle « sécurité » laquelle est totalement liée à l’ego ou corps.
Cet ego qui sera dressé, éduqué, coulé dans un moule, celui de la république et de sa démocratie marchande.
Ce plan de séparation très nette et brutale entre fabricants (l’oligarchie financière et à la limite un seul individu) et les fabriqués (Nous les 7 milliards de Terriens) n’a jamais été aussi nette que depuis l’après 1945. Ainsi le plan se poursuit avec la couverture si pratique du sanitaire avec ses « distanciations sociales », son port obligatoire du masque, et prochainement le vaccin obligatoire contenant probablement des nanoparticules (1)… TOUT CELA N’EMPÊCHERA PAS LES PETIOTES CHOUSES DE CONTINUER LEUR BAL.
NON, le plan étatique n’est pas là pour « protéger » les individus, mais pour refondre la trame sociale ; le sanitaire artificiel n’est qu’un artifice du plan visant à préparer mentalement les masses à ce qui va arriver : mise en place de la dictature électronique avec ses rouages d’intelligence artificielle, d’onde 5G et pourquoi par de 1842G dans cette logique de la géométrie de la ligne droite évolutionniste jumelée à l’hygiénisme qui refait surface et tout contrôle jugé opportun pour maintenir l’oligarchie et son capitalisme en place.

MÉDECINE = PAROLE, DIVIDU (individu), SOUFFRANCE : le « Je suis ce JE SUIS » en parlant, le VERBE, DEVIENT ÉTRANGER À LUI MÊME, JEHOVAH EN SE DÉVOILANT À MOÏSE DEVIENT ÉTRANGER À LUI-MÊME ; la chose, à la considérer en et par soi est vouée au SILENCE (« Mors ultima linea rerum est ») ; si elle vient à parler, ici à Moïse, c’est par la grâce d’une parole étrangère à elle-même. Bref, le monde ne s’éclaire pas tout seul comme le temps ne se fabrique pas sans une personne qui le verra. L’intelligibilité du seul monde, du seul temps, n’existe pas. C’est pourquoi par exemple Rimbaud pouvait écrire : « Je est un autre » ; le ‘Je’ de Rimbaud ne parlera pas dans ce monde, mais seulement à la condition de refléter les mots soufflés par un autre, un Libéré vivant par exemple. Ou dans l’époque actuelle en appeler au symbolique ne sera qu’une façon autre d’en appeler au Divin.
Le Seul Réel ne se coagule qu’à la condition d’être « habité » (la Nature a horreur du vide ; Nature s’éjouit en Nature). UN SENS VENU D’AILLEURS, comme celui des Grands Vœux des Bienheureux venant « occuper les lieux », les remplit par la grâce d’une Visitation miraculeuse comme celle rendue à la Vierge, rôle de l’enfantement d’homme à celui de fabricante d’autre que l’homme faiseuse de Dieu et ensuite l’homme lui-même faiseur de Dieu(x).    

La fiction marchandise ne fonctionne plus pour le capitalisme, les Gilets Jaunes se révoltèrent et il y aura des suites tant les gens commencent à se réveiller ; ainsi la dictature démocratique marchande se transforme en machine de peur : celle d’une menace invisible aux sens humains : un virus combiné en laboratoire.
Nous sommes complètement dans un scénario de Hollywood avec le psychose des masques qui ne servent qu’à éviter de prendre des amendes de 135 euros, et la dernière mode sera de porter le masque à sa ceinture comme dans les années 2000 (chaîne de pantalon), et quand au loin arrive les « représentants de l’ordre », on ajuste en un instant son masque comme on dégaine son révolver….
DÉMOCRATIE MARCHANDE = L’OLIGARCHIE PAR LE CITOYENISME ÉLECTORAL NE SE GUÉRIT JAMAIS DE SON CANCER DU POUVOIR.
MONDE DU NÉOLITHIQUE = GUERRE PERPÉTUELLE, SURTOUT DEPUIS 2001, ADDITIONNÉ DES VIRUS QUI EUX AUSSI RENVOIENT À L’ÉTERNALISME.
 
 
PRÉCEPTE SURTOUT VALABLE OÙ IL Y A DE PLUS EN PLUS DE ROIS ET D’AUTORITÉS.
« Si tu rencontres Dieu ou un Messie, ou le Buddha, ou le représentant d’une république quelconque, tue-le ! ». Nul ne représente quoi que ce soit ; nul n’est le créateur de quoi que ce soi, pas même un Dieu qui ne peut se trouver que dans le mental humain ! Dieu est une simple opinion qu’un ego peut contrôler :
- « Les dieux Ishvara ou Vishnou et leurs demeures sacrées, le mont Kailâsa et Vaikuntha, sont-ils réels ? »
- Maharshi : Aussi réels que vous êtes dans ce corps.
- Question : Possèdent-ils un vyavahāra-satya, c’est-à-dire une existence phénoménale comme mon corps ? Ou bien sont-ils une fiction comme les cornes du lièvre ?
- Maharshi : Ils existent vraiment.
- Question : S’il en est ainsi, ils doivent se trouver quelque part. Où donc ?
- Maharshi : Des gens qui les ont vus disent qu’ils existent quelque part. Nous devons donc les croire.
- Question : Où existent-ils ?
- Maharshi : En vous.
- Question : Mais alors, ce sont simplement des idées que je peux créer et contrôler ?
- Maharshi : Il en va ainsi de toute chose.
- Question : Mais je peux créer de pures fictions, par exemple des cornes de lièvre ou bien des choses qui ne sont que partiellement vraies, comme des mirages, etc. Par contre, il existe des faits indépendants de mon imagination. Les dieux Ishvara et Vishnou entrent-ils dans cette dernière catégorie ?
- Maharshi : Oui.
- Question : Sont-Ils sujets au pralaya (la dissolution cosmique) ?
- Maharshi : Pourquoi le seraient-ils ? L’homme qui devient conscient du Soi transcende la dissolution cosmique (pralaya) et atteint la Libération (mukti). Pourquoi pas Dieu (Ishvara) qui est infiniment plus sage et plus capable ?
- Question : : Les dieux (deva) et les démons (pishācha) existent-ils de la même manière ?
- Maharshi : Oui.
- Question : : Comment devons-nous concevoir la Conscience suprême (chaitanya-brahman) ?
- Maharshi : Comme ce qui est [Je suis ce JE SUIS, résumé par le mot JEHOVAH].
(Entretien 30 du 4-2-1935).


MASQUE = COUVRIR. DÉCOUVRIR = RECOUVRIR : découvrir est par définition, le contraire du sens conventionnel qu’on nous impose : comme avec la couverture sociale, on recouvre toute chose de son ego formant le voile de son obsession, de ses tendances. Comme cela l’évolutionnisme actuel fonctionne À L’ENVERS.

« Mors ultima linea rerum est » : LA VÉRITÉ ne se découvre jamais, elle peut seulement se faire approcher, parce qu’il est impossible de jamais identifier le Seul Réel, le Soi, sa Vraie Nature, le Seul Réel étant précisément ce qui, pour être sans double, demeure réfractaire à toute entreprise d’identification. LA QUESTE DU SAINT GRAAL, OU LE LABOUR DE L’ALCHIMIE, EST LA QUESTE DE L’IDENTITÉ DE CHACUN. SEUL EST RÉEL CE QUI N’EST PAS IDENTIFIABLE. TOUT LE RESTE EST FICTION ET FRICTION. SEUL L’ORDINAIRE DES CHOSES PEUT ÊTRE EXTRAORDINAIRE, MERVEILLEUX.
Je répète par expérience : SEUL L’ORDINAIRE DES CHOSES PEUT ÊTRE EXTRAORDINAIRE, MERVEILLEUX. (De nos jours de capitalisme juif des frères Oppenheim on fait évidemment le contraire).
SEUL L’ORDINAIRE DES CHOSES PEUT ÊTRE EXTRAORDINAIRE, MERVEILLEUX : PARCE QUE LES CHOSES « ORDINAIRES » (NATURELLES) DEVIENNENT EXTRAORDINAIRES, MERVEILLEUSES, QUE DANS LA MESURE OÙ LE DÉSIR DÉPASSE LES CAPACITÉS DE CELUI QUI DÉSIRE, COMME UN MENTAL PUR EST CELUI QUI NE PENSE PAS À SA VACUITÉ. Le désir qui ne saisit pas le désir dépasse le désir et devient LA SOURCE DU ZÉRO INDIEN… DONC LE DIVIN, L’INFINI… LE « TOUT EST POSSIBLE MAIS TOUT N’EST PAS PERMI » (parce que ça renvoie au « Mors ultima linea rerum est », ou au « Jamais l’âme et Dieu ne peuvent coexister » de Saint Bonaventure).

Désir qui dépasse le désir, soucoupe volante, Éveil, sont un seul Thème : aucune identification, aucune possession possible, l’ego est comme INEXISTANT, LA MORT-NAISSANCE SERA COMME INEXISTANTE. C’est la FONTAINE DE JOUVENCE ; FONTANELLE, « au creux d’un vieux Chêne », Embryon : Vaisseau, et Chêne peut signifier à un moment la cendre sur laquelle repose le Vaisseau…. Le TOUT est fermé par des « murailles-athanor ». Cette fontaine sera productrice de célestes vertus puisqu’elles peut dissoudre les Corps Parfaits, sans violence, sans détruire leur substance, et qui s’incorpore intimement à eux faisant qu’ils ne font plus qu’un mais amplifiés par rapport à un état précédent. Cette Fontaine, de Zéro indien est seulement pour le Réalisé... à un moment....


SAGESSE : Ça je estre : l’espace, sans appui, sans essence, sans lieu propre, mais qui se manifeste constamment d’Instant en Instant et qui fait murir. S’appuyer, se sécuriser = BÉQUILLES, PANSEMENT, SIGNES ET ENGENDREMENT DE SOUFFRANCES. En étant libre de point d’appui ou de béquilles la Sagesse resplendit d’elle-même. Ainsi réaliser que rien ne repose sur rien, ce qui n’empêche pas de connaître les caractéristiques des formes qui différencient les choses entre elles, mais aussi, fort de la connaissance de l’irréalité des couleurs, de possiblement manifester une infinité de corps bien visibles….

Découvrir est dévoiler les objets fictifs, ceux du monde appelé « réel », monde de la discrimination et de l’opinion, monde du cycle des existences et des morts, monde de la longueur, de la pureté, de la quantité et du nombre (surtout depuis l’arrivée de l’électronique et de la physique).
La sagesse est au-delà des filets de toutes les fictions et frictions discriminantes et monnayables, par delà les montagnes que forment les affects négatifs et les voiles qui sont censés dévoiler mais qui s’accumulent et recouvrent toujours plus. Le Soleil est associé à l’opinion de jour et de nuit mais il est indifférent à cette notion. Il lui suffit de se lever pour qu’on parle de ‘jour’ et de se coucher pour qu’on parle de ‘nuit’. Ainsi en va-t-il de la dimension de la Sagesse des Libérés vivants, laquelle ignore les fictions discriminantes, de même que la division du temps en passé, présent, futur.
Comment les représentations mentales ne pourraient-elles pas être des erreurs ? Dans ce cas où est la plus petite vérité ? Seuls les Libérés vivants peuvent « voir » le Réel ; ce qu’ils savent, c’est que tous les mondes et leurs « extraterrestres » sont comparables à des rêves, à des fantasmagories (le cinéma au 19è siècle et ses tables tournantes). Pour les Libérés les êtres n’existent pas réellement et ce n’est que poussés par leur grande compassion et leurs grands vœux qu’ils apparaissent aux « réels » pour les conseiller et les faire mûrir (Tout est dans TOUT).

Par exemple les passeurs ou pontifes qui sont au centre des eaux : ils ne se basent ou ne s’appuient pas sur une rive ou un port, ils ne s’attachent par à l’autre rive, et ne s’arrêtent pas au milieu, mais font traverser les êtres sans s’accorder de répit. De même procèdent les Libérés vivants qui, sur le bac des vertus transcendantes, au cœur des eaux du cycle des existences, ne se basent pas sur la rive, ne s’attachent pas à l’autre et ne s’arrêtent pas au milieu, mais sauvent les êtres sans répit. Bref, jamais les Libérés ne s’abandonnent à des fictions ils sont dans le spontané.
Il en va de même comme de l’espace infini où tous les mondes se font et se défont sans qu’il faille à l’espace faire la différence : cet espace étant fondamentalement pur ; rien ne le souille ou le dérange, ne le bloque ou l’opprime ; il n’est ni long ni court et, jusqu’à la « fin des temps » futurs il retiendra tous les univers. De même en est-il des Libérés qui, dans l’espace immense de leur aspiration la plus profonde, produisent le rayonnement de leurs grand vœux de l’Omniscience.


Note.
1. Comme la logique au sécuritaire est de tous côtés, en cas d’effets secondaires graves sur des vaccinés, les laboratoires fabricants de vaccins ne seront pas responsables, ils sont ainsi « sécurisés »….
 
 

Dernière mise à jour : 27-08-2020 22:25

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