Les ignorants serviles qui croient à la démocratie, PARCE QU’ILS CROIENT QUE CE SONT EUX-MÊMES, GRÂCE À LEUR « LIBERTÉ D’EXPRESSION » DONC À LEUR DÉMOCRATIE, QU’ILS CHANGENT EUX-MÊME LEUR DESTIN, QU’ILS SE LIBÈRENT EUX-MÊMES. Mais depuis plus de deux siècles maintenant Nous savons bien que c’est la pire illusion que l’humain n’ai jamais eu à supporter, et que, même dans le cas des 1789 en France et 1917 en Russie, dans ces deux cas où illusoirement la révolution ou le coup d’État, parce qu’il ne s’agit que de cela dans les deux cas, la révolte n’a pu jaillir dans le « Je suis ce JE SUIS » de chaque Français et de chaque Russe : l’homme de la foule est en proie À L’ÉGRÉGORE DU MOMENT, donc en proie aux MENEURS ; un instrument aussi aveugle que le légionnaire romain qui se battait pour établir la dictature de Sylla ou de César. Mais il y a une différence : tandis qu’un César se bornait à COMMANDER à ses légions de soutenir sa propre révolte, un démagogue ou un meneur du genre « C’est notre projet » persuade les foules comme un BONI-MENTEUR de « voter » pour leur « salut » et en 1789 et 1917 de se révolter pour leur salut, pour leur « bien ». Un meneur comme Macron qui a pratiqué le théâtre comme comédien feint de n’être que le « serviteur » et le porte-parole des masses qui l’ont élues : son art de théâtre, de spectacle, consiste à leur donner l’illusion de mener le jeu de « profondes réformes par eux-mêmes » (puisqu’ils ont votés pour lui) ; d’être la cause première là où les masses ne sont qu’instrument servile comme les actuels porteurs de masques casques covid-19.

LA RÉVOLUTION STYLE 1789 ET 1917 EST UNE ÉPIDÉMIE IDENTIQUE AU COVID-19, UNE MALADIE INFECTIEUSE. La prise la Bastille fut une poussée de fièvre conduisant direct en « réanimation ».
Bref, UNE RÉVOLUTION RÉUSSIT NE PORTE DES FRUITS QU’EN MOURANT, EN CÉDANT LA PLACE AU VIEIL ÉQUILIBRE TRADITIONNEL QU’ELLE EST VENUE DÉTRUIRE ; TOUT COMME LA FIÈVRE DONT LES EFFETS PURIFIANTS NE SE FONT SENTIR QU’APRÈS LA MORT DE L’INFECTION ET LE RETOUR DE L’ORGANISME À SON ÉTAT ORIGINEL.

1789 fut et RESTE un messianisme républicain, actuel : une autosuffisance, suffit d’entendre prononcer le mot « valeur », une autosuffisance en la « bonté » absolue de l’opinion révolutionnaire. Le pur républicain d’un gouvernement français est tout prêt à chercher les bases d’un politisme « durable et constructif » dans des dogmes qui sont, par essence, destructeurs, comme la médecine sous Louis Pasteur, et dont l’influence doit, sous peine de mort, rester strictement transitoire. L’actuelle idolâtrie révolutionnaire de 1789 consiste à vouloir éterniser, comme conforme au bien suprême de l’humain, une régime de purgation et de désintégration, un état de crise (puisqu’il engendre des réformes sans arrêt à chaque changement de chef d’État) qui ne peut se justifier que par un prompt retour de l’organisme social à son mode naturel, actuellement toujours chaotique dans son dilemme Moi-Individuel/ Moi-Collectif.
La preuve est faite par les plus ruineuses et sanglantes expériences que les fictions et frictions qui président à la marche des révoltes (lutte et suppression des classes, dictature du prolétariat, etc.) ne possèdent aucune force organisatrice, aucune vertu constructive.
Bref, voilà plus de deux siècles que les miasmes de 1789 continuent de contaminer le monde : la crise, grosse d’une rêverie de résurrection, n’a engendré que le chaos du capitalisme partout.
La corruption réside par essence DANS LA CASTE DIRIGEANTE : QUI EST POUR LES PEUPLES UNE SOURCE D’OPPRESSION ET D’INFECTION, LES DEUX À LA FOIS.

LES RÉVOLUTIONS SONT ENGENDRÉES PAS LE MANQUE (de quelque chose), ou PARCE QU’IL Y A EN TROP. Les révolutions sont engendrées par le « péché », la TARE de l’élite placé sur le trône par les élections des peuples devenus des tarés et uniques consommateurs (voir ou revoir le film Idiocracy).

LA SEULE VRAIE RÉVOLUTION, QUI DURA, EN APPARENCE, PEU DE TEMPS, FUT LE CHRISTIANISME DES PREMIÈRES ANNÉES. Cela fait longtemps mais en apparence c’était hier…….
De nos jours, puisque depuis 1789 tout le monde est devenu le roi, les masses prétendent se diriger elles-mêmes : c’est le libéralisme, la démocratie et le droit de voter, LE POUVOIR D’ACHAT ET DONC L’APPRENTISSAGE À SE SERVIR SOI-MÊME : ON A LE DROIT DE CECI ET DE CELA, LES DOMESTIQUES NE DOIVENT PLUS EXISTER : L’HOMME DOIT SE SERVIR LUI-MÊME (principe du libéralisme et du « Enrichissez-vous » à l’américaine) ; c’est la laïcité, l’atmosphère athée, le chaos et la mort que l’on poursuit au nom de « l’unité » (donc en France au nom de la République judéo-maçonnique et de l’« unité des citoyens » : une nouvelle Église judéo-maçonnique spéculative).
Le citoyen se sert lui-même selon le principe du : « votre député, votre santé, vos proches, votre voyante, votre boulanger, votre mutuelle, vos vacances, etc. » de tous ces spécialistes, ces intermédiaires, ces commerçants ou échangistes cancérigènes.





Notes.
1. « Dieu n’a pas besoin d’un intermédiaire. Occupez-vous de vos affaires et tout ira bien ». (Ramana Maharshi, entretien 594 du 15-12-1938).

2. RAPPEL : en 1840, les frères Oppenheim déclaraient ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent).