Grégarisme des citoyenisés
 

Ecrit par Sechy, le 15-10-2020 02:42

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Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Mieux, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Panoptique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Yokaï

 
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Grégarisme des citoyenisés
« Je me protège, c’est pour les autres ».
« Mais il n’y a pas d’« autres » qui
doivent être aidés ».


OÙ SONT « LES AUTRES » ?
 
 
Tant qu’il restera une machine politico-sociale mélangeant pouvoir politique et pouvoir économique : fonctionnement sur la banque, sur l’État et le salariat, la « fraternité », les « autres », LE SOCIAL DES MASSES, ça fonctionnera pour le capital : CE SONT LES ACCIDENTS (le spatio-temporel, le corps et donc sa pesanteur) QUI ENGENDRERONT LES ESSENCES OU LE SPIRITUEL. Il y a inversion : c’est un communisme ou socialisme, une fraternité ou une Église à l’envers, comme l’envers d’un cuivre repoussé, parce que c’est la règle de l’opinion qui PREND LE MASQUE de l’Universel en renversant les rôles ; Macron est dans le rôle de ce cuivre repoussé. Le social est devenue sentiment, émotion, grégarisme très clair dans le jeu de Macron ce mercredi 14 octobre 2020, avec notamment son : « C’est dur d’avoir 20 ans en 2020, c’est dur », en forme de compassion politicarde nécessairement liée au capitalisme, les deux pouvoirs politique et économique étant indissolubles. De plus Macron montre clairement qu’il est à l’œuvre d’un pouvoir qui le dépasse et qui en fait une de ses marionnettes quand il parle de « La France, le pays des lumières et de Louis pasteur », soit la matrice du conventionnel et du Nouvel Ordre Mondial du Capital, ce monde des individualistes grégarisés de la dimension des cinq sens : le monde du Moi-individuel ou des identités liées à une MÊME OMNIPOTENCE INDIFFÉRENCIÉE, ÉGRÉGORE, TOUS ÉQUIDISTANTS ET CONFONDUS DANS LA COLLECTIVITÉ RELIGIEUSE OU SOCIALE, c’est très clair dans le discours de Macron et son « tous unis contre….. », afin de faire perdurer le « Plus ça change et plus c’est la même chose ». Alors il est tout confort ou sécuritaire de confondre l’État providence et ses « élites » avec son Soi ET DE PRÉTENDRE L’IMPOSER À TOUS : CE QUE FAIT MACRON QUI IMPOSE LE NOUVEL ORDRE MONDIAL DU CAPITAL À TOUS : LE SEMPITERNEL « PLUS ÇA CHANGE ET PLUS C’EST LA MÊME CHOSE » : TOUJOURS L’ÉTAT, L’IDOLE DE LA MARCHANDISE, ET LE SALARIAT.

Ayant perdu ou n’ayant jamais connu son Soi, chaque ‘moi’ consommateur et salarié est livré à une hypertrophie aliénante et dégénérant en IMPÉRIALISME SPIRITUEL, VISIBLE CHEZ MACRON : LA TÂCHE N’EST PLUS DE FACILITER QUE CHACUN PUISSE SE RÉALISER, DANS LE SENS DE RÉALISER SON AUTHENTIQUE NATURE, POUR LES MARIONNETTES MACRON ET CIE IL NE S’AGIT QUE D’IMPOSER AUX MASSES LE MÊME « SEIGNEUR » OU LE MÊME « SOI », UNE MÊME CIVILISATION : UN INVERSION DU SOI, EN CREUX, COMME UN CUIVRE REPOUSSÉ : CE SONT LES ACCIDENTS DU SPATIO-TEMPOREL QUI ENGENDRENT LES ESSENCES (comme déjà écrit).

OÙ SONT « LES AUTRES » ?

- Maharshi : Mais il n’y a pas d’« autres » qui doivent être aidés. Car un être réalisé voit le Soi, tout comme un orfèvre qui évalue la quantité d’or contenue dans divers bijoux. C’est seulement lorsque vous vous identifiez avec le corps qu’il y a des formes. Mais quand vous transcendez votre corps, les autres corps disparaissent en même temps que votre conscience du corps.
- Question : En est-il de même pour les arbres, les plantes, etc. ?
- Maharshi : Ont-ils quelque existence en dehors du Soi ? Trouvez cela. Vous pensez que vous les voyez.
Cette pensée est projetée hors de votre Soi. Cherchez d’où elle s’élève. Les pensées cesseront de s’élever et seul le Soi demeurera.
- Question : Théoriquement, je comprends. Mais les arbres et les plantes sont encore là.
- Maharshi : Oui. C’est comme une séance de cinéma. La lumière est projetée sur l’écran et les ombres qui y passent donnent l’impression aux spectateurs d’une représentation de film. Et ce serait pareil si dans ce même film on montrait aussi des spectateurs. Celui qui voit et ce qui est vu ne seront alors rien d’autre que l’écran. Appliquez cela à vous-même. Vous êtes l’écran, le Soi a créé l’ego et l’ego a ses formations de pensées qui se manifestent comme le monde, les arbres, les plantes, etc., dont vous parliez. En réalité tout cela n’est pas autre chose que le Soi. Si vous voyez le Soi, vous trouverez le Soi en tout, partout et toujours. Rien d’autre que le Soi n’existe.
- Question : Oui, je comprends, mais encore seulement en théorie. Et pourtant vos réponses sont si simples, belles et convaincantes.
- Maharshi : Même la pensée « Je ne réalise pas » est une entrave. En fait, seul le Soi existe.
(Ramana Maharshi, entretien 13a du 7-1-1935).

Emmanuel Marcon issu du monde juif Rothschild est un COMMERÇANT JUIF CRÉATEUR DE BESOINS : LES AUTRES, CE SONT SES CLIENTS POTENTIELS. Il fonctionne par les autres qui lui commandent des marchandises : il y a donc ÉCHANGISME CONFORMÉMENT À WALL STREET ET PLUS LOINTAIN CONFORMÉMENT AU TROC.
SANS « LES AUTRES », SANS LES SPECTATEURS, L’ACTEUR MACRON N’EST RIEN. SANS LES CLIENTS MACRON N’EST RIEN, IL SUFFIT DE LUI DIRE NON.
Macron où il est placé est incontestablement un cancéreux du POUVOIR : il recherche la reconnaissance et s’il n’en reçoit pas, il est malheureux. Il faut absolument que les autres l’apprécient.
« Le soi-disant occultiste (siddha) désire exposer ses pouvoirs afin d’être apprécié par les autres. Il recherche la reconnaissance et s’il n’en reçoit pas, il est malheureux. Il faut absolument que les autres l’apprécient. Il peut même rencontrer quelqu’un dont les pouvoirs sont supérieurs aux siens. Il en éprouvera de la jalousie et sera encore plus malheureux.
Un grand occultiste peut toujours rencontrer un occultiste encore plus grand que lui, et ainsi de suite jusqu’à ce que survienne quelqu’un qui volatilisera tout en un clin d’oeil. Un tel personnage est le plus haut adepte (siddha) et Il est Dieu ou le Soi.
Quel est le réel pouvoir ? Est-ce l’accroissement des richesses ou bien le fait d’amener la paix ? Ce qui conduit à la paix est la plus grande perfection (siddhi) ». (Ramana Maharshi, entretien 20 du 30-1-1935).

Même entretien : « Réfléchissez à ce qui doit être perdu. Y a-t-il quelque chose à perdre ? Ce qui importe vraiment, c’est seulement ce qui est naturel. Car c’est éternel et ne peut faire l’objet d’une expérience. Ce qui est né doit mourir. Ce qui est acquis doit être perdu. Êtes-vous né ? Vous existez depuis toujours. Le Soi ne peut jamais être perdu ».


LA FARCE

Depuis l’arrivée des Hébreux-Juifs au Pays de Canaan, c’est MENORAH CONTRE OUROBOROS (1) : création de la flèche du temps irréversible (évolutionnisme) contre éternel Retour ou Retournement de la Lumière au sens du ‘Je’ divin (sens du « Connaître toi-même par toi-même », sens du « Le Royaume des Cieux est en Vous» inhérent au « Qui suis-je ? »).

Naguère vivait un magicien dans une montagne assez profonde et sombre. Un jour, un vieil ami vint lui rendre visite. Tout heureux de l’accueillir, le magicien lui offrit un dîner et un abri pour la nuit. Le lendemain matin avant son départ, il voulu lui donner un cadeau. Il prit une pierre et, avec son doigt, en fit un bloc d’Or pur.
L’ami ne fut pas satisfait, alors le magicien pointa son doigt sur un énorme rocher qui, lui aussi, devint de l’or pur.
L’ami faisait toujours la gueule.
- « Que veux-tu donc ? », demanda le magicien.
- « Coupe ce doigt. Je le veux », répondit cet ami.
Depuis des millénaires les êtres humains sont ainsi : ils saisissent l’extrémité du doigt qui montre la lune et non la lune signalée par le doigt ; tout comme la lune est comparable à l’oiseau, et la forme, les mots et la syntaxe sont comparable au nid. Ceux qui regardent le doigt montrant la lune au lieu de regarder directement la lune sont les scolaires et étudiants universitaires qui partent de la raison et de la lettre pour invoquer un sens, soit imaginer l’oiseau à la convenance du nid. et avec l’artifice de l’informatique, tout est comme ça : inversé, faux.
Mais, « Le MOT est comme le NID, le sens est l’OISEAU ». (D’après Djalal od din Rumi, Mathnawî, Livre 5, 134 : « Un oiseau vole vers son nid au moyen de ses ailes : les ailes de l’homme sont l’aspiration, ô gens ! Quand l’amoureux est entaché de bien et de mal, ne regarde pas le bien et le mal, ne regarde que l’aspiration »)
De même ceux qui s’attachent aux paroles ne voient pas la Vraie Réalité (pour référence au Lankâvatâra et à la lune et à son doigt, chapitre VI : L’instantanéité. Le Magicien au doigt d’Or pour référence au Shin Jin Mei, Poème du VIè siècle sur la foi en l’Esprit ou Soi, dans le plus ancien texte du Chan chinois, courant bouddhiste qui donnera naissance six siècles plus tard au Japon à la tradition zen).

Le ‘je’ de l’ego est ce qui sert à donner ou à « éclaircir » par Retournement de la lumière un sens au ‘Je’ de la Pure Conscience infinie. Le sens est l’oiseau ou la lune, et l’oiseau est comme l’écran de cinéma, et les images projetées sur l’écran sont le nid avec la forme et leurs mots et leurs syntaxes ou séquences de plans cinématographiques à différentes échelles : le film-fiction de l’impermanence. L’écran de cinéma n’est pas influencé par les images projetées : une scène d’incendie ne brûlera pas l’écran. L’écran de cinéma est comparable au Soi immuable, éternel (en référence à Ramana Maharshi).
Tout est fait dans ce monde depuis la « liberté de penser » à partir de la Renaissance en Occident pour que les masses s’attachent uniquement à la lettre, aux images, à l’illusion projetée, à la raison, aux phénomènes, au VOIR ou à la POSSESSION, conformément à ce monde en train de se digitaliser, de se numériser en un artifice fabriquant des aliénés, des robots sous forme « d’Homme augmenté », comme s’il existait un « Homme diminué », UNE FAUSSE NATURE comme l’Homme invente des « mauvaises herbes », des « terroristes », dans cette dualité bon-mauvais, bien-mal, ou winners-losers, et dès le berceau instinctivement la dualité pur-impur (l’excrément étant l’impur, il est pourtant la symbolique de l’Or métal qui fait tant de ravages….).



« Si nous classons les pensées par ordre de valeur, la pensée la plus importante de toutes, c’est la pensée ‘je’. Cette pensée ou idée de personnalité est aussi la racine ou le tronc de toutes les autres pensées, car toute idée ou pensée n’existe que par rapport à celui qui la pense et ne peut pas exister indépendamment de l’ego. Par conséquent, l’ego manifeste une activité de pensée. La deuxième et la troisième personne n’apparaissent que pour la première personne. Elles n’existent qu’après qu’est apparue la première personne. Si bien que les trois personnes semblent apparaître et disparaître ensemble [c’est moi qui souligne].
Remontons donc jusqu’à la cause fondamentale du ‘je’, ou personnalité. L’idée de ‘je’ se manifeste dans un ego incarné et doit donc être en rapport avec un corps ou organisme. Cette idée du ‘je’ est-elle située dans un endroit spécial du corps avec lequel elle entretiendrait des rapports particuliers, comme la parole et l’émotivité qui ont leur centre dans le cerveau ? Pareillement, le ‘je’ a-t-il son centre dans le cerveau, le sang ou les viscères ? On considère que la vie de la pensée se déroule dans le cerveau et la moelle épinière, lesquels sont à leur tour alimentés par le sang qui leur apporte nourriture et oxygène sous forme d’un savant mélange se transformant en tissus nerveux. C’est pourquoi l’on dit que la vie végétative – comprenant la circulation, la respiration, l’alimentation, etc. –, appelée aussi force vitale, est la partie centrale ou l’essence de l’organisme. Ainsi, le mental peut être considéré comme la manifestation de la force vitale et celle-ci comme étant située dans le Coeur.

[…]
De par sa nature, le mental est agité. Commencez par le libérer de son agitation ; donnez-lui la paix ; tâchez qu’il soit libre de toute distraction ; exercez-le à se tourner vers l’intérieur ; faites qu’il en prenne l’habitude. On y parvient en ignorant le monde extérieur et en supprimant les obstacles à la paix du mental.
- Question : Comment peut-on se débarrasser de l’agitation mentale ?
- Maharshi : Les contacts extérieurs, c’est-à-dire avec des objets autres que soi-même, rendent le mental agité. La perte d’intérêt (vairâgya : absence de passion) pour le non-Soi est la première étape. Puis, suivent des habitudes d’introspection et de concentration caractérisées par la maîtrise des sens extérieurs, des facultés intérieures, etc. (shama, dama, etc. aboutissant au samâdhi (mental non distrait).

[…]
L’examen de la nature éphémère des phénomènes extérieurs conduit au vairâgya (l’absence de passion). Aussi l’investigation (vichâra, équivalant du Retournement de la lumière) est-elle le premier pas et le plus important à faire.
Lorsque le vichâra se déroule automatiquement, il en résulte un mépris pour la richesse, la renommée, le confort, les plaisirs, etc. La pensée ‘je’ devient plus claire à l’examen. La source du ‘je’ est le Coeur, le but final. Toutefois, si l’aspirant, par tempérament, n’est pas fait pour le vichāramârga (pour l’introspection analytique), il doit développer la bhakti (la dévotion) vers un idéal, que ce soit Dieu, le guru, l’humanité en général, la morale, ou même l’idée de beauté. Quand l’un de ces penchants prend possession de l’individu, d’autres attachements faiblissent et l’indifférence pour les choses du monde (vairâgya) se développe. En même temps l’attachement à l’idéal grandit et s’empare finalement de la personne tout entière. De cette façon, parallèlement et imperceptiblement, l’ekâgrâta (la concentration sur un seul but) s’accroît, accompagnée ou non de visions et d’aides directes…. » (R. Maharshi, entretiens 26-27 du 4-2-1935).

« En quoi consiste la supériorité ou l’infériorité ? Seul compte l’accomplissement du Réel. La perte du ‘je’ est importante, et non la perte du corps. Le véritable esclavage, c’est l’identification du Soi avec le corps. Abandonnez cette fausse notion et percevez intuitivement le Réel. C’est la seule chose qui importe. Si vous faites fondre un bijou avant de vous être assuré qu’il était en or, qu’importe la façon dont il est fondu, en totalité ou en partie, ou quelle était sa forme. Tout ce qui vous intéresse est de savoir s’il est en or ». (Entretien 32 même date que le précédent).

- Question : Le monde n’existe-t-il pas pour les autres même lorsque je dors ?
- Maharshi : Un tel monde se moque aussi de vous de vouloir le connaître sans vous connaître vous-même.
Le monde est le produit de votre mental. Connaissez d’abord votre mental et ensuite voyez le monde. Vous réaliserez qu’il n’est pas différent du Soi.
(Entretien 53 du 15-6-1935).


Note.
1. « Pour la première fois, une cosmogonie ne se vit pas comme cyclique [Tore, Circulus, Ouroboros] ; elle ne se donne pas pour but le retour du même. Elle fixe un sens au progrès ; elle fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre [et par là l’individualisme, la démocratie et le consommateur]. Ainsi est posé la fonction de l’économie : cadre matériel de l’exil et moyen de réinvention du paradis perdu [donc la religion de l’argent, de la marchandise et de la consommation]. L’humanité a désormais un objectif : dépasser sa faute [donc FABRIQUER LE « MIEUX », FABRIQUER LA NATURE, FABRIQUER L’HOMME AUGMENTÉ, FABRIQUER LE COMMERCE]. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre : METTRE EN VALEUR LE TEMPS [c’est moi qui souligne]. Page 18 du livre de Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent, qui résume étonnement tous les problèmes actuels. Merci Monsieur Attali pour votre « tiqoun ».

POURQUOI METTRE EN VALEUR LE TEMPS, SOIT L’INVENTER ?
Parce que RIEN N’AURA EU LIEU. Le pouvoir de Dieu est celui du Diable : les deux se confondent dans ce pouvoir du RIEN qui annule tout ce qui a existé, de faire en somme que ce qui existe n’a pas d’existence. Le monde ne souffre pas de devoir finir CAR IL N’A PAS ENCORE COMMENCÉ, d’où le radotage des révolutions avec leur « Plus ça change et plus c’est la même chose ».
Inventer le temps et en « même temps » développer les « bonheurs de la terre » : l’agneau de Dieu qui efface tous les péchés du monde, et avec le covid-19, la mort devient redoutable parce qu’elle efface tous ces « bonheurs » de la société de consommation du Macron ; alors il faut combattre « quoi qu’il en coûte » ceux qui empêchent ce bonheur-consommation tel le méchant virus…. tel le méchant terroriste….. C’est aussi simple que cela dans l'évolutionnisme de la Menorah.
LA CONNAISSANCE DE LA MORT, DU VIDE, EMPÊCHE TOUTE CONSOMMATION, TOUT BONHEUR. Ici en Occident surtout la menace qui pèse sur nôtre « bonheur » (de consommateur) c’est la mort, d’où l’actuel délire covid-19 !

La différence est fondamentale entre l’Ouroboros ou le « mythe de l’éternel retour » et la flèche du temps du judaïsme ; la différence entre la Réalisation du Soi, et l’opinion religieuse du SALUT, LA CAROTTE POUR FAIRE AVANCER, carotte qui ne doit jamais être mangé comme le messie ne doit jamais arriver ! La Carotte ou « L’AUTRE » doit demeurer INCONNU, CACHÉ, comme DIEU, comme NON IDENTITÉ, NON IDENTIQUE : LA PERSONNE EST NON IDENTIQUE À QUELQUE AUTRE PERSONNE QUE CE SOIT, SI ELLE SE PREND POUR UN CORPS, POUR UN FILM.

Dans l’Ouroboros il n’y a pas d’identité, pas de diversité ou « les autres », pas d’éternité qui invente déjà le temps, telle est l’Ouroboros et son mythe de l’éternel retour : ni spectateurs ni acteurs. La Nature de l’Éveil étant nôtre état naturel, je ne crois pas qu’il existe trois cas de Connaissance libératrice : l’Éveillé parfait et sa non-production de toutes choses ; l’Éveillé qui écoute un enseignement ; et l’Éveillé dans le spontané, hors de tous contact : sa Connaissance ne vient d’aucun entourage, d’aucun extérieur.
Dans l’histoire de la Caverne de Platon, la lumière extérieure MASQUE TOUT. Le prisonnier de la Caverne, habitué à une semi obscurité ne gagne rien à se faire aveugler par la lumière extérieure en sortant de sa caverne. Il désire rester dans sa Caverne-Matrice, soit rester dans ce qu’il prend pour « le réel », pour le film, rester au réel des choses qu’il peut saisir, voir : voir le FILM à l’exemple dans l’encadré de l’écran de cinéma et du film qui y est projeté. SEUL EST VISIBLE LE FAUX, LE VRAI CESSE D’ÊTRE VRAI DÈS QU’IL EST VU OU SAISIT (dès qu’on regarde seulement le film, on ne voit plus la trame de l’écran…).

Dans l’Ouroboros il y a ÊTRE ; dans le Salut ou l’évolutionnisme il y a AVOIR : VOIR LES ÊTRES TOUT EN NE LES VOYANT PAS : CAS DE LA PERTE, DU FLÉAU, DE L’APOCALYPSE OU RENONCEMENT : POUR QU’IL Y AIT UNE PERTE IL FAUT UN AVOIR (Sans avoir la perte n’existe pas : « Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume des Cieux est à eux ! »….). Dans l’Ouroboros il n’y a pas la dualité perte-avoir. Comme le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu ou possédé, en ne voyant pas, par la perte, on « accède » à la Libération, ON EST SUR LE SENTIER DE LA LIBÉRATION, la libération ne pouvant qu’être INCONCEVABLE, SANS DOUBLE COMME LIBERTÉ ET SON CONTRAIRE, ET ENCORE MOINS SANS DIVERSITÉ. POUR CELA LE SILENCE SERA LE LANGAGE ABSOLU (comme le « ni l’un ni l’autre »).

Sur le Sentier de la Libération inconcevable se profil, ENFIN, le mariage de l’Ouroboros et de la Menorah….. Se profil, EN-FIN, le FLÉAU de la balance aux deux plateaux Menorah-Ouroboros.
Le Fléau porte bien son nom parce qu’IL FAIT PEUR À CELUI QUI PRÉFÈRE LA CAVERNE DE PLATON, QUI PRÉFÈRE LA MATRICE ÉTAT-MARCHANDISE-SALARIAT, À CELUI QUI PRÉFÈRE ÊTRE MASQUÉ POUR NE PAS MOURIR : « Si on se voyait sans masque, on mourrait », dit le curé d’Ars.
Pourquoi ? Parce qu’on se trouverait hideux ? Mais plus surement parce qu’on ne trouverait que du VIDE (que la Menorah veut remplir et vendre……).
 
 

Dernière mise à jour : 15-10-2020 03:47

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