Trop fort : les anti-complots qui
 

Ecrit par Sechy, le 28-01-2021 01:31

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Tags : Alchimie, Amour, Ampoule, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Trop fort : les anti-complots qui
appellent les anti « ismes » ou anti-État :
les « HÉRÉTIQUES » (ceux qui sont contre la
pensée unique ou officielle et les mensonges),
des hérétiques ou « complotistes » qu’ils pourraient
à l’aise aussi appeler : ANTÉCHRIST, JUDAS.
Car l’hérétique, l’Antéchrist, est celui
qui CHOISIT (du grec hairesis) le I Axe par
rapport au E : d’E-ver-gon-d’E : vers I.
Les gens du E sont les anti-complotistes
anti-Antéchrist, anti-dévergondés.
Ils sont des I-mbéciles car le I ou Axe est
contenu qu’on le veuille ou non dans le E,
ces gens du E s’O-pose à la Gens du IL :
le Clan-destin des Fidèles d’A-mor
(privation de mort).
 
 
Albert Einstein aurait dit : « Dieu ne joue pas aux dés », ce à quoi Niels Bohr aurait répondu : « Mais qui êtes-vous, Albert Einstein, pour dire à Dieu ce qu'il doit faire ? »

De la même manière un peu plus tard Jacques Lacan dans son séminaire Livre II de 1978, se demande pourquoi les planètes ne parlent pas ? Il croit peut-être qu’elles sont EN DEHORS DE SON CERVEAU. Pas de parole de la part des planètes selon Lacan :
- Parce qu’elles n’ont rien à dire.
- Parce qu’elles n’en ont pas le temps !
- Parce qu’on les a fait taire !
Jacques Lacan se prenait- il pour Dieu ? Ou au mieux pour un scénariste !
En tous cas, Lacan est dans la dualité sujet face à l’objet fictionnel. Un écart entre une chose et une autre chose qu’elle pourrait être, comme sa négation par exemple ; mais plus surement une chose désirable (pouvant fort bien devenir sexuelle).   Si, et si tout est conscience, y compris les objets extérieurs, et qu’il n’existe pas de conscience sans objets extérieurs, qu’elle est la Vérité de la Conscience infinie seulement ? En d’autres mots, de chrétienté, aucune chose n’existe sans l’éclairage du Verbe (ou conscience éclairante) ; comme si l’Instant ou l’Ici avait besoin de son contraire l’Ailleurs, comme si le dedans avant besoin du dehors en une fiction quelconque ! LÀ EST LE PROBLÈME…..

Aussi je remets en refrain la Racine du mal de la maladie :
- La « saisie » [loi de succion ou Eucharistie].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)

Tous enseignements, toutes lois et doctrines et logiques sont de vains bavardages : « Dès que l’encre est séché, nos formules [ou lois] sont fausses » disent les Anciens Chinois de l’École du Dhyâna. C’est pourquoi un Réalisé vivant ne donne jamais d’enseignement à quiconque ou de conseil particulier. A celui-là on peut lui confier le monde.
Bref, les planètes ne parlent pas parce qu’elles sont CELA, Ici et Maintenant, Sans Pourquoi.
Le « dehors » révèle le « dedans » que par le genre du « Je est un autre » de Rimbaud.
Le ‘Je’ de Rimbaud ne parlera pas dans ce monde, mais seulement à la condition de refléter les mots soufflés par un autre (d’une autre dimension...).
L’effet sucre ou domino est identique à l’hypostase en théologie et philosophie comme la circumincession de chacune des trois personnes de la Trinité universelle en tant que distincte des autres et consubstantielle avec elles. Donc chaque sucre se comporte de façon hypostatique et c’est exactement que fonctionne l’influx nerveux, du moins dans le corps humain, fait observé à l’hôpital sur l’avant-bras droit de mon père une heure avant sa mort quand il agonisait, lorsque un « fil » de filet nerveux « circulait bien visible » assez lentement, et pour cause, sur son avant-bras. C’est dans ce principe que se situe LE GRAND PARADOXE À MOTEUR DE CONTRADICTION que ne pourra jamais comprendre une intelligence artificielle ! Les mythes relatifs aux Dieux et par exemple chez les Égyptiens et chez les Grecs en sont un exemple, ces Dieux émettent des affirmations parfaitement contradictoires au sujet d’un même Dieu ou d’une même chose ; pourtant, ces mythes-opinions peuvent exister à l’aise parallèlement les uns aux autres sans se gêner mutuellement.
Donc la conscience ne « prend » conscience que par l’entremise d’un objet, comme si le Vide avait besoin de la loi de succion pour être habité par un « ailleurs », une « visitation » aussi miraculeuse que celle de la Vierge, enfanteuse d’humains autres que l’humain ordinaire et consommateur et salarié.

Si la psychanalyse se targue d’être une « science humaine », elle est une mascarade : la connaissance de l’humain par lui-même dans une dualité qui ne veut pas être dualité mais qui l’est quand même puisque dialogue d’un sujet qui étudie un objet étudié ; puis ce sujet humain étant l’Univers lui-même, il est dans l’impossibilité de se poser comme sujet étudiant d’un Univers qui lui serait extérieur. C’est géométriquement impossible. Ceux qui prétendent le contraire inversent tout : les accidents du monde corporel engendrent les Essences de la Conscience infinie !!!
La recherche de sa propre identité est le PARADOXE MÊME : parce qu’il est impossible d’identifier ce qui est Réel, sans double par essence, et qui ne peut que demeurer réfractaire à toute entreprise d’identification. Seul est visible le faux, la fiction ; le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu.

Les soucoupes volantes et autre Thème Ovnis reposent sur la LOI DE SUCCION : comme la carotte qui fait avancer l’âne, les soucoupes n’ont d’effet que si elles ne sont pas Ici et Maintenant car elles se dérobent à toute vérification : non qu’icelles risquent d’infliger un démenti à la croyance, mais, tout le contraire, parce qu’une telle vérification, pour être winner, ferait comme si l’âne avait bouffé la carotte et alors n’avancerait plus : le désir est anéanti. La carotte comme la « fin des temps » doit garder ses distances avec l’Instant ou Ici et Maintenant ; faute de quoi l’Ailleurs est un non-sens.
UN MYTHE (une fable) EST UNE OPINION PRENANT FORME PAR UN ÉGRÉGORE : son efficacité est en permanence menacée par l’Ici et Maintenant, par l’Instant ou Seul Réel.
Comme la carotte à distance de la tête de l’âne pour le faire avancer, le messianisme du Judaïsme doit avoir un messie qui ne doit jamais arriver dans l’Instant ; comme un extraterrestre se définit parce qu’il demeure hors de la Terre. Nous sommes bien dans la RACINE DU MAL ET LOI DE SUCCION OU EUCHARISTIE DÉCRITE PLUS HAUT.

EUCHARISTIE OU SUCCION = CONFORTER, RASSURER, COMME ENFANT ON SUCE SON POUCE POUR TROMPER QUELQUE CHOSE. On prétend RECEVOIR, C’EST LA CROYANCE : du latin credere (confier en prêt, le premier nom des banquiers était MARCHANDS DE CONFIANCE) ; croire : admettre pour « vrai » et donc croire, dans l’ambiguïté du « Faut-il le croire pour le voir, ou le voir pour le croire ?? »).

L’aliénation est donc de croire à un extérieur : « Ce n’est pas moi qui délire, c’est le monde qui est bizarre : si je me suis mis ces idées [extérieures] dans la tête, qui vous paraissent folles, c’est parce que vous aussi vous pourriez les observer tout comme moi ». Là encore : CAROTTE, on met une distance… entre le Seul Réel et le sujet face à l’objet prit pour le Seul Réel. L’aliéné ne peut que se définir par la négation de son délire : il est à fond dans la dualité du sujet qui voit l’objet-monde qui dérape. D’où l’inattaquable certitude, qui distingue en gros le domaine de l’aliénation des simples névroses, par la persuasion que sa certitude ne procède pas d’un dérangement personnel mais d’une provenance d’un extérieur, comme si l’aliéné était « sorti » de l’Univers. Certitude pouvant prendre la forme de dogme terrible, puisque c’est le sort de n’importe quel objet ou monde que d’être perçu par une conscience, et qu’il n’existe pas de conscience sans percevoir un objet ou un monde ! Le délire peut être facilité par ce qui est incertain et donc qui peut se trouver n’importe où, partout (à l’extérieur, dans des médias, dans la politique). Voir partout la même chose, incertaine, sans pouvoir la préciser, mais estimer qu’elle est primordiale.

Lacan dans son séminaire au Livre II analyse ce phénomène de la croyance. Bref, Lacan explique que dans le monde du langage parlé, chaque homme a à reconnaître un appel, donc un extérieur, une vocation, qui se trouve lui être révélé, comme par un guru, genre du fameux : « Bon Dieu, mais c’est bien-sûr ! ». Le Dieu sera donc vu comme un EXTÉRIEUR, un OBJET. Comme si chaque objet ou nom-la-forme devait se révéler dans l’aporie du Soûtra de l’Entrée à Lankâ, fondamental : conscience = objet, et objet = conscience, et entre les deux : le FLÉAU ou CONSCIENCE INFINIE INHÉRENTE À CHACUN, MAIS QUI N’EST PAS L’EGO. « En l’absence d’objet, il n’y a pas de sujet ; et en l’absence du sujet et de l’objet, aucune idée fictive n’est possible ».


Si aucune idée fictive n’est possible : QU’EST-CE QUI RESTE ?
Mais, le fait de poser cette question est déjà de l’utilitarisme !!!
Prendre connaissance du monde c’est « prendre », et faire de l’utilitarisme ! Et faire de l’intimitarisme ou utilitarisme c’est ARRÊTER, FIXER DES IDÉES comme l’exemple de l’encre séchée cité en début de page. « Prendre » connaissance du monde c’est fabriquer l’ego : le désir d’être reconnu, désir qui ne peut se passer de ce monde-extérieur !
Pour Lacan le langage parlé passe par une fiction nécessairement dans la dualité du sujet face à un objet (parole) « venu d’ailleurs », une sorte de « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). Les propos ici-bas ne deviennent compréhensibles que sous le confort de propos venu du DEHORS. Il y a donc un problème face à la RACINE DU MAL énoncée par le Soûtra de la Liberté inconcevable ; ce n’est pas un problème mais le PARADOXE DE LA RÉALISATION DU SOI SI ON CONSIDÈRE LE LANGAGE INHÉRENT À UNE PERSONNE-PERSONA, et ça, Lacan semble l’avoir oublié dans son séminaire Livre II, parce que le Paradoxe de la Réalisation du Soi prouve l’impossibilité du soi ou ego ou toutes fictions nécessairement inhérentes à cet ego.
La VRAIE PAROLE ne peut qu’être le DHARMA Lui-même ou Seul Réel, Dharma visible au chapitre V du Soûtra de la Liberté inconcevable dans la Racine du Mal.
La Vraie Parole est en dehors : Elle est sans attachement (sans Eucharistie), sans caractéristique, et sans souhait (qui n’est que la dualité inhérente au désir). « Voilà ce qu’on appelle ”Libération par la Connaissance transcendante associée aux méthodes habiles” », écrit le Soûtra.

« Encore une fois : le monde vient-il vous demander : « Pourquoi est-ce que j’existe ? Comment ai-je été créé ? » C’est vous qui posez cette question. Celui qui pose la question doit établir la relation entre le monde et lui-même. Il doit admettre que le monde est le fruit de sa propre imagination. Qui imagine tout cela ? Qu’il trouve le ‘je’ et ensuite le Soi.
De plus, les explications scientifiques et théologiques ne s’harmonisent pas entre elles. La
diversité des théories montre clairement l’inutilité de rechercher ce genre d’explications. Elles sont purement intellectuelles ou mentales et rien de plus. Et pourtant, selon le point de vue de l’individu, elles sont toutes vraies. Mais, dans l’état de Réalisation, il n’y a pas de création. Quand on voit le monde, on ne se voit pas soi-même [c’est moi qui souligne]. Quand on voit le Soi, le monde n’est pas vu. Voyez alors le Soi et réalisez qu’il n’y a jamais eu de création ».
(Ramana Maharshi, entretien 455 du 10-2-1938).
« Vous voyez le monde et les gens qui s’y trouvent. Ce sont vos propres pensées. Le monde peut-il être séparé de vous ? » (entretien 476 du 21-3-1938). L'Univers est DANS le mental.


Le mythe, l’allégorie, la fable, ce sont des fictions, DES SIGNES (empruntes, marques) : « L’allégorie est une opération RATIONNELLE, n’impliquant de passage ni à un même niveau de conscience, de ce qui peut être déjà fort bien connu d’une autre manière. Le symbole annonce un autre plan de conscience que l’évidence rationnelle ; il est le CHIFFRE d’un mystère, le seul moyen de dire ce qui ne peut être appréhendé autrement ; il n’est jamais EXPLIQUÉ une fois pour toute, mais toujours à déchiffrer de nouveau [le ”Gate gate…” et jamais de fixation…], de même qu’une partition musicale n’est jamais déchiffrée une fois pour toutes [sauf cas de digitalisation ou numérisation…], mais appelle une exécution toujours nouvelle [dans le cas des concerts publiques, mais pas dans le cas des enregistrements sur un support quelconque qui fixent définitivement] ». (Réf. Henry Corbin, dans L’imagination créatrice dans le soufisme d’Ibn’Arabi).

Corbin écrit aussi que ce qui existe, c’est le sujet, tandis que les faits, ne sont que des caractéristiques, des fictions ou opinions et rien de plus ; ils ne sont que de l’irréel.
« En revanche, pour nous qui sommes pris au piège de la dialectique et de la causalité historique [HOTC, Histoire-Opinions-Temps qui coule], les faits constituent la ”réalité objective” ».
« En revanche, impossible de faire une philosophie de l’histoire, ni même de l’Histoire, avec des théophanies ni avec l’Imagination théophanique. Le Christos des théophanies ne connaît ni l’évolution ni la Passion ; il ne devient pas le Pantokrator [Tout puissant] ; il reste puer aeternus, Christos Angelos, l’Adolescent des visions du Prophète et d’Ibn’Arabi », écrit Corbin page 287. À ce hui, quand on parle de christianisme, il faut éliminer le « isme » qui en fait une fixation, un dogme, le Vatican, un ré-confort confortable….

L’Imagination créatrice au sens d’Ibn’Arabi est encore présente chez l’enfant qui voit dans un soldat de plomb, d’abord l’imaginaire du soldat de plomb, soit sa vulgaire réalité, mais AU-DELÀ, dans le « Gate gate… » : le soldat de plomb peut être : un avion, un sous-marin, un canon, un char, un oiseau, et parfois un soldat, selon les besoins du moment. Alors qu’aux yeux d’un adulte le soldat de plomb est FIXÉ DÉFINITIVEMENT comme un soldat de plomb. Ainsi le même objet dépend :
- D’une détermination partielle
- D’une détermination stricte
- D’une imagination créatrice ou mouvante
- D’une définition fixée, conventionnelle.

Le ‘moi’, s’il désire d’être re-connu, ne parvient à ses faims (succion) que s’il se conduit dans le « Je est un autre » de Rimbaud, c’est-à-dire qu’il « sorte » de son Soi, de sa Singularité, de son Idiotès au profit d’un « autre », un être vague et informe comme un FANTÔME, une TRANSCOMMUNICATION-LARSEN vidéo, parce qu’alors il sera un Instant instrument en communication avec l’INCONSCIENT COLLECTIF (seulement, et à une certaine dimension).
Et là réside un gros DANGER (issu de l’Ange, qui protège ou qui averti), parce qu’avec le futur tout connecté de la 5G, pour commencer, non seulement les transhumanistes des Juifs Google arriveront à leur faim de posséder une conscience-inconscience collective fabriquée sous la forme d’une « puce informatique » ou autre nano-machin, mais qu’ils empêcheront tout imprévu, ILS EMPÊCHERONT TOUTE IMAGINATION CRÉATIVE, TOUTE THÉOPHANIE, TOUTE NOÉTIQUE (échange conscience conceptualisante et Conscience infinie), ils empêcheront tout « Gate gate pâragate… ».
Quoi qu’en puisse dire ou écrire, puisque c’est fait, Jacques Lacan reste dans la dualité, le double du Vrai qui cesse d’être vrai parce qu’il est dédoublé, copié, perdant son originalité à cause de son ego…. à cause de son ALTER EGO (son « Je est un autre » ou son « second lui-même », un « sosie », et déjà un « isme »), soit UNE PERSONNE DE CONFIANCE SUR LAQUELLE SE CONFORTER, UN SPÉCIALISTE. VOILÀ BIEN LE CENTRE DU PARADOXE…. Un A-mi, au sens du A privatif et mi : pas de moitié…
Tout Être qui est CELA, ou « Je suis ce JE SUIS », ne peut pas échapper à la stricte coïncidence avec Lui-même. S’il désire « faire comme un autre » ou « comme tout le monde », il CHUTE inévitablement dans un ailleurs, un DEHORS, qui va l’aliéner, ou le faire retourner à son robotique ego. C’est la Liberté inconcevable, ni par l’inconscient collectif ou Moi-Collectif, ni par un Moi-Individuel : Paradoxe… Puisque le Seul Réel est sans double, sans caractéristique, et est réfractaire à toute identification par l’entremise d’un sujet face à un objet à identifier (lui-même) ; l’Être ne peut pas « sortir » de l’Univers pour l’identifier, il EST cet Univers….

Le régime du capitaliste et de sa république veut SON CONFORT, SES HABITUDES, pour cela il fera tout pour éviter les incertitudes, les imprévus, CAR LE SEUL RÉEL EST ÉVIDEMMENT LA SEULE CHOSE DU MONDE À LAQUELLE ON NE S’HABITUE JAMAIS. L’AVÈNEMENT DU SEUL RÉEL PREND EN FAUTE TOUTES LES ANTICIPATIONS QU’ON S’EN ÉTAIENT FIGURÉES PAR SON MENTAL ET SES CALCULS (surtout avec des machines) ! Le Seul Réel étant plus que la somme des parties, il ne peut que déborder à l’infini des descriptions intellectuelles qu’on peut en opinioner !
Quand la persona, quand le masque est arraché, la Réalité demeure….
RIEN DANS LE TOUT ET TOUT DANS LE RIEN (comme dirait l’autre Occidental et fixiste, et laïque, et CROYANT : « la Réalité c’est ce qui n’existe pas ». En effet, SEULE L’OPINION EST RÉELLE PUISQUE DANS LE TEMPS QUI COULE….. (Et le Vrai cesse d'être vrai dès qu'il est vu). C’est d’ailleurs pourquoi RIEN N’EST PLUS AMBIGUE QUE L’IDÉE DU RÉEL QUI SE LAISSE LEURRER FACILEMENT COMME MAINTENANT. L’INSTANT COMMENCE PAR LA PERTE, LES FÈCES.....

LE COVID-19 REND SOSIE : TOUS PIQUÉS, TOUS MASQUÉS, TOUS CONDITIONNÉS (confinés), etc., TOUS « JE EST UN AUTRE » DANS SA FORME DE L’INCONSCIENT COLLECTIF OU NOOSPHÈRE DE TEILHARD (et de l'actuel tout connecté). Cette obsession d’unicité que l’on retrouve dans le rêve d’un Nouvel Ordre Mondial sous la houlette d’un seul individu ou d’un petit groupe…



OUI, OUI, CAPITALISME = PULSION DE MORT ET DE DESTRUCTION PLANÉTAIRE. Comment ne pas devenir fou dans ce régime capitaliste et républicain.
Si Monsieur Bernard Stiegler, pour sortir de ce chaos de l’ego humain, la seule issue est la Coïncidentia oppositorum ou Mariage des contraires et cependant semblables, soit la Réalisation du Soi, du « Qui suis-je ? » : mais évidemment que les Pour-Voir empêchent, consciemment ou inconsciemment, cette UNION universelle.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 28-01-2021 02:21

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