Il n’existe rien en dehors de vous-même
 

Ecrit par Sechy, le 20-07-2021 21:57

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Tags : Dictature, Guerre, Oxygène, Peur, Raison, Résistance, Silence, Vie, Virus, Yokai

 
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Il n’existe rien en dehors de vous-même
Alors, où est le « social » (la matrice,
la convention) ?
Où est la « vie normale » et
QUI définit « la vie normale »
et l’impose aux autres ??
Les transhumanistes maintenant définissent-ils
la vie en se prenant pour des nouveaux Dieux
(avec leur « vaccins » ADNm) ?
 
Le Dehors (ou état de veille) engendre
le conventionnel du social et la
cause-effet sans fin.

Pour qu’il y ait un Dehors, il faut une
personne pour le voir et ainsi le fabriquer.
Celui qui « définit » la vie et l’impose par
convention aux autres est pire que
le plus petit virus.
Pour qu’il y ait un Dehors il fait donc
UNE CROYANCE À L’EGO.

La stérilité de ce monde, que Nous appelons souvent
« thermodynamique », est contenu dans sa loi
stérile de cause et effet, genre créationnisme du
Big bang fabricant d’un univers ; mais pour avoir
une poule il faut aussi un œuf, même stérilité
que dans la chaîne de causes et d’effets dont les
deux bouts ne se rejoignent jamais, que l’on peut,
selon l’opinion à la mode de l’égrégore du moment,
allonger à l’infini, sans qu’aucun
raisonnement ne soit valable.
La cause-effet ou l’action-réaction est typique
de la thermodynamique depuis la « découverte »
du feu vulgaire par l’humain actuel.

L’évolution vendue par les Juifs (Attali, page 18
de son livre : Les Juifs, le monde et l’argent)
est cette stérilité, qui va vers QUOI ? et
jusqu’à QUAND ? (leur « fin des temps » est ce
rêve de « Grand reset » du moment).
L’œuf et la poule est identique à la
théorie de la réincarnation et de devoir
recommencer le supplice sans fin des couches-culottes
et de l’« éducation » puis du salariat…
Évidemment il en est de même dans les trois
Règnes : Minéral, Végétal, Animal et Humain.


VIVE LE ZÉRO INDIEN !
VIVE LE RIEN DANS LE TOUT
ET TOUT DANS LE RIEN !


« Il suffit de s’abandonner. S’abandonner, c’est s’en remettre à la cause originelle de son être. Ne vous faites pas d’illusions en vous imaginant que cette source est un dieu en dehors de vous. Votre source est en vous. Abandonnez-vous à elle. C’est-à-dire cherchez cette source et immergez-vous en elle. C’est parce que vous vous imaginez être en dehors d’elle que vous soulevez la question : « Où est la source ? » (Ramana Maharshi, entretien 208 du 18-6-1936).

« L’Être suprême prend, par l’intermédiaire du mental, l’apparence de la diversité en état de veille et de rêve, tandis qu’il reste replié sur lui-même dans l’état de sommeil profond, d’évanouissement, etc. Par conséquent, vous êtes toujours Cela et ne pouvez pas être autrement.
Quels que soient les changements, le même Être unique reste toujours vous-même ; il n’existe rien en dehors de vous-même ». (Ramana Maharshi, entretien 323 du 7-1-1937).

« Vous voyez le monde en dehors de vous et l’idée associée à lui obscurcit votre nature réelle. Il suffit de dépasser cette ignorance et le Soi sera révélé. Aucun effort particulier n’est nécessaire pour réaliser le Soi.
Tous les efforts servent uniquement à éliminer l’obscurcissement présent de la vérité ». (Ramana Maharshi, entretien 490 du 4-5-1938).

« C’est parce que vous vous identifiez à votre corps que vous acceptez les objets comme étant en dehors de vous. Mais êtes-vous le corps ? Vous ne l’êtes pas. Vous êtes le Soi. C’est là que se trouvent tous les objets et l’Univers entier. Rien ne peut échapper au Soi. Comment pourriez-vous donc vous éloigner du Maître qui est votre Soi véritable ? Quand vous vous déplacez d’un lieu à un autre, pensez-vous que votre corps s’éloigne du Soi ? De la même manière, vous ne pouvez jamais être sans le Maître ». (Ramana Maharshi, entretien 503 du 17-8-1938).

« La Libération ne se trouve pas quelque part en dehors de vous. Elle est en vous. Si un individu désire la Libération, le guru intérieur le tirera vers lui et le guru extérieur le poussera dans le Soi. C’est là la grâce du guru ». (Ramana Maharshi, entretien 547 du 15-10-1938).


Comment le cœur d’une personne intelligente peut-il ignorer que, si un objet se meut, il faut quelqu’un qui le fasse se mouvoir ? [comme le temps n’existe que s’i y a une personne pour le voir]
Pourquoi ne te dis-tu pas : ”Comment le jour et la nuit peuvent-ils aller et venir par eux-mêmes sans un Seigneur ?”
Comme les soldats mongols, tire une flèche contre le ciel pour empêcher que ton âme soit arrachée (à ton corps) ;
Ou bien fuis loin de Lui [le Seigneur], si tu le peux, et va ton chemin ; mais comment peux-tu aller, puisque tu es un pion dans Sa Main ?
Quand tu étais dans la non-existence, tu n’as pas échappé à Sa Main (1) ; comment lui échapperas-tu à présent, ô homme faible ?
Rechercher son propre désir, c’est s’enfuir loin de Dieu [ou du Soi], et attaquer la piété en présence de Sa justice.
Ce monde est un piège (2), et le désir est le leurre : enfuis-toi loin des pièges, tourne vite ton visage vers Dieu.
Quand tu suis cette voie, tu jouis de cent bénédictions ; si tu empruntes la voie opposée, tu éprouves des maux.
(Mathnawi, Livre sixième 364-65 et 374-79).

La VOIE, c’est l’humain qui la fabrique, lui seul : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264, du 20 octobre 1936).


L’IMMENSE DANGER EST QUE LES WINNERS ACTUELS PENSENT EN MOTS/MAUX OU LETTRES (la fameuse « raison » si à la mode et son État de droit), ALORS QUE L’HUMAIN DES ANCIENS PENSAIT EN IMAGES. Mais l’image-ination ou le GRAND TEMPS, LE SAINT CHAOS, est relégué au rang des maladies mentales, des psychoses ou expériences pathologiques tels la schizophrénie, les syndromes confuso-oniriques, les bouffées délirantes polymorphes ; ou simplement Nos rêves et nos phantasmes (ah que j’aimerais coucher avec Julien Doré…)

ET NOUS Y SOMMES, LE GRAND TEMPS, LE SAINT CHAOS, PANique EST SUR LE POINT FOCAL DE REVENIR INTACT. TOUS LES REPÈRES CONSTRUCTION DE MENTAL OU D’EGO HUMAIN PAR LE CONVENTIONNEL SONT EN TRAIN DE TOMBER.

RAPPEL : Au fur et à mesure que le Saint Chaos recule et qu’un Dieu arrive pour fabriquer ses lois, à travers cette NOUVELLE dimension du Saint Chaos au Cosmos, par la transformation des Communautés de Chasseurs-Cueilleurs en sociétés agricoles et en sociétés pastorales, puis par la formation des sociétés citadines et leurs « citoyens », LE DOMAINE DE L’IMAGINAIRE ET DES IMAGE RECULE. Tout comme pour l’enfant, l’exploration progressive du deux-pièces-cuisine parisien, puis de la cave en passant par l’armoire mystérieuse dans la chambre des parents, puis dans la rue et ensuite du quartier, et jusqu’à quelques banlieues parisiennes ; au fur et à mesure que les angoisses imaginaires et hallucinées sur les objets laissent place à un conventionnel appelé « objectivité », parce qu’à l’état de veille uniquement, il s’installe à ce que par convention beaucoup nomment « construction du réel », et qui n’est autre que le fabrication de cette NOUVELLE dimension par passage du Saint Chaos à l’ordre du Cosmos (sens de « bon ordre » de l’univers).

Ainsi, peu à peu les Yokai abandonnent les bois, les sources, les arbres et les animaux, les pierres, l’air, le feu et l’eau, tous éléments qui symbolisent dans la perception conventionnelle du monde.
Nous en sommes encore à l’état du nourrisson qui trompe sa fin en suçant son pouce (il hallucine donc en prenant son doigt pour un sein dans une forme d’auto-érotisme), le désir engendré par le capitalisme est identique avec le fabrication du consommateur !!!
La pulsion sexuelle très animale est transformée en IMAGINAIRE (EROS) pouvant déboucher sur la dimension du spirituel (dualité destructrice du temporel-spirituel si présente dans les sociétés occidentales). Le culte de la Mère Divine si Sexuelle a été remplacé par les religions abrahamistes qui ont fait un GRAND RESET en qualifiant la spiritualité originelle et son imaginaire d’« IDOLES », de ces mêmes inventeurs de religions qui se font mutiler le sexe au huitième jour de leur naissance (chez les Juifs), autre forme d’idolâtrie pour marquer son appartenance à quelque chose !

Or l’acte sexuelle est par essence la RE-création originelle et la femme est cette Mère Divine passant de la Reine terrestre à la Reine céleste pour devenir Matrice de l’Univers : Saint Chaos, Mère Divine, telle la spiritualité originelle qui n’a que référence : les Arbres, les Sources, les Pierres, les Hauts lieux, donc tout ce que les prophètes des Hébreux-Juifs qualifiaient d’idoles, parce que se rapportant au culte de l’archétype féminin de la fécondité chez les Cananéens ; mais au culte de la Mère Divine il faut y ajouter l’archétype du Fils-Amant (style Attis, au bonnet phrygien, comme la Marianne judéo-maçonnique et républicaine…) à partir des hiérophanies agro-lunaires (à partir du GRAND RESET que fut le Néolithique avec la voie de l’Agriculture et la construction de l’urbain et de l’État).
L’apparition des religions abrahamistes ne pouvait survenir que SUITE à la spiritualité originelle de la Mère Divine, Source de toute vie, qui régnait sur les bois, les forêts, les cours d’eau et fleuves, les bêtes sauvages.



Notes.
1. AINSITÉ : ni s’enfuir, ni s’approcher. Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
Ni apparaître, ni disparaître, seulement « Je suis ce JE SUIS » ou immortalité, éternité du ‘Je’. Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».

2. « L’apparence de ce monde est une confusion ; de même que le bleu du ciel est une illusion d’optique. Mieux vaut ne pas s’y intéresser et l’ignorer ». (Yoga Vasistha I, 3).
 
 

Dernière mise à jour : 20-07-2021 22:20

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