Le Yahvé YHWH apparut à Moïse
 

Ecrit par Sechy, le 04-09-2021 02:11

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Tags : Aiguille, Argent, Banque, Commerce, Croyance, Feu, Guerre, Images, Nostalgie, Peur, Pointe, Raison, République, Silence, Spirale, Vie

 
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Le Yahvé YHWH apparut à Moïse
quand il reçoit « la Loi » ça se passe
dans le spatio-temporel ; en un lieu,
à une date, comme un temps gelé.
 
« Dieu dit à Moïse : Je suis celui qui
suis [ou Je suis de JE SUIS]. Et il
ajouta : C'est ainsi que tu répondras
aux enfants d'Israël : Celui qui s'appelle
"je suis" m'a envoyé vers vous ».
(Exode 3,14).

OÙ EST, ou ÉTAIT MOÏSE ? QUI EST-IL ?
Car le « QUI SUIS-JE ? » ne peut que
s’accompagner du « OÙ EST CELUI QUI VOIT
VRAIMENT CE QUE SON MENTAL VOIT ? ».

Et là : il chute dans la dualité
DEDANS-DEHORS !
Le « QUI SUIS-JE ? » ne peut que
s’accompagner du « OÙ EST CELUI QUI VOIT
VRAIMENT CE QUE SON MENTAL VOIT ? » si
seulement la personne se considère être née,
donc si elle s’attache à son corps !


Comment alors un Dieu peut-il se manifester
dans le spatio-temporel, alors que ce Dieu
est censé être le CENTRE QUI EST NULLE PART ?

Par la seule LOI DE SUCCION : cette naissance,
cette première fois sera consacré, COAGULÉE,
DOGMATISÉE, et elle servira à chaque circonstance
propice de singerie de l’Instant, du genre
messianique d’un « futur qui lavera ou
réincarnera le ”temps originel”  sans Temps] ».

Loi de succion : l’ego, le ‘je’ qui s’approprie.
L’ego qui se situe quelque part, qui se
situe DANS le cerveau,
et ainsi qui fabrique
UN CORPS, UNE MATIÈRE, UN UNIVERS,
UNE POSSESSION, UN LIEU.

« Vous n’êtes pas le corps », répète souvent
Ramana Maharshi, « alors qu’est-ce que cela peut
faire qu’il disparaisse d’une façon ou d’une
autre ? Il n’y a pas grand mérite à de tels
phénomènes ». (Entretien 32 du 4-2-1935).

Depuis l’apparition du cerveau, et donc du
LIEU et DATE du « Je suis ce JE SUIS »,
le cerveau ou mental est devenu une
AUGMENTATION DE L’HALLUCINATION QUI FAIT CROIRE,
QUI FABRIQUE LE « COMME SI »,
le cerveau-corps
est devenu un CONSOMMATEUR D’HALLUCINATIONS,
D’ILLUSIONS, D’IMAGES ET DE BRUITS : LA MAYA.


Bref, il n’y a pas de OÙ ? Ni de QUI ?

Le « Où » se désintègre à partir du Dehors ou des objets fabriqués par le mental à partir de substances matérielles. Une personne, au sens de Per : maison en égyptien hiéroglyphique, et sonne ou rayonne, est faite de ce qui, dans son mental pur, est fermement établie en tant que vérité de son Être : elle EST, CELA (2), et rien d’autre ; bref, elle est SINGULARITÉ : le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu ou copié [par dualité sujet-objet]. Pour référence au Yoga Vasistha, fin de L’histoire des fils d’Indu (Dix jeunes gens).
« ”Le mental est le seul créateur du monde ; et seul le mental est la personne suprême. Ce qui est fait par le mental est action, ce qui est fait par le corps n’est pas action” (YV III,39). Considère les pouvoirs du mental : par leur résolution, les fils du saint devinrent des créateurs de l’univers ! Par contre, quand un homme pense : « Je suis un corps de taille limitée », il devient un être mortel. Celui dont la conscience est extrovertie fait l’expérience du plaisir et de la douleur ; mais le yogi dont la vision est tournée au-dedans ne nourrit pas d’idées de douleur et de plaisir ».

Certain qu’avec l’arrivée du Néolithique et de sa voie de l’Agriculture, de la sédentarité et de construction des villes et des États avec le concept de « DONNEZ-NOUS NOTRE PAIN QUOTIDIEN », le corps et donc le mental allait considérablement AUGMENTER ! Et avec le corps-mental allant AUGMENTER les « spécialistes » (les métiers : charpentiers, tailleurs, commerces, orfèvres, police, juge, etc.) afin d’accéder au fameux « Pain quotidien » de cette voie de l’Agriculture.
Si la voie de l’HORTICULTURE avait été choisit : ce furent alors les « DONNEZ-NOUS NOS JARDINS QUOTIDIENS », ou « DONNEZ-NOUS NOSTRE PARADIS QUOTIDIEN ».
En 2021 Nous sommes encore dans cette si-vile-isation du « Pain quotidien », qui ne pouvait que fourbir le capitalisme…..

PAIN = NOURRITURE = LOI DE SUCCION OU EUCHARISTIE = ALIÉNATION MONSTRUEUSE DE VOULOIR VIVRE « ÉTERNELLEMENT » (ici-bas, le transhumaiste est une forme technologique mécaniste de l’eucharistie, une HOSTIE INFORMATIQUE).
Il y a confusion entre PER la Maison, qui peut être associé au FOUR À PAIN et à LA SÉDENTARITÉ inhérente au Néolithique, et PER la Maison des Dieux synonyme de VASE, VALLÉE, VAN (2). Car dans le judaïsme Beith-EL (de Beith : accueil en hébreux, et EL : le Divin) est la Maison de Dieu qui est la pierre dressée [linga] de Jacob devenue Beith-Iehem : la Maison du pain, comme si la pierre s’était transformée en pain, c’est-à-dire en HOSTIE, mot qui a l’étymologie de Hôte, donc dans le sens d’un lieu et d’une construction, tente, maison ou temple. La Pain est donc une loi de succion, une eucharistie, qui ne pouvait que devenir L’IDOLÂTRIE DE LA MARCHANDISES, DU COMMERCE, ET DE LA FINANCE QUI VA AVEC. À Y AJOUTER LE VIN, ET LES JEUX, ET VOUS FABRIQUEZ UNE SI-VILE-ISATION, ou un régime étatique.
PAIN, LEVAIN = AUGMENTATION, MULTIPLICATION (des pains)……
HOSTIE = MONNAIE = ON DONNE, ON REÇOIT, VENDEUR-CLIENT, ON TROC = LE MODERNE WALL STREET. Et HOSTIS (étranger, ennemi) qui deviendra HOSTIL, mot si présent depuis l’après 1945, surtout après le 11 septembre 2001 !!!…..

Cette si-vile-isation du Pain quotidien va fourbir le culte du narcissisme, ce PAIN DU CONSOMMATEUR : LA REPRÉSENTATION DEVENUE LE WINNER : L’IMAGE OFFERTE À L’AUTRE, AU DEHORS, ET À SOI PAR LA DUALITÉ SUJET OBJET DONT L’OBJET EST L’AUTRE, CE QUI DONNERA AUSSI LE « SOCIAL » (et ses réseaux sociaux de l’informe-atique). Réseaux sociaux = coïncidence de la chose ou de l’objet et du mot qui fait estimer l’opinion à la seule mesure de son existence (d’opinion). L’existence de la représentation, dans le phénomène réseaux, tient lieu de garantie de « réalité » et de valeur comme : « J’ai ceci, je fais cela, etc. » soit le triomphe de l’ego puisque c’est aussi le triomphe de la démocratie.
RÉSEAUX SOCIAUX = UNIQUEMENT TOURNÉS VERS LE DEHORS. Ce qui va fabriquer le chaos consistant en un confusion de savoir si c’est la complaisance à soi-même qui définit l’ego ou le Dehors, ou si ce n’est pas plutôt une total ignorance du Seul Réel, ou l’éloignement de son propre Soi ou Seigneur, qui favorise le culte du narcissisme ?

Le P de Pain sonne proche du P de Paix, de Pépère, du P de Point, de Principe, comme du P de caPut (diriger, comme le mot Pensée, Père, au sens de la tête ; le vulgaire du « caput » pour quelqu’un qui est mort). Et comme déjà écrit, Pied signifie la puissance génératrice, qui, sous la forme du PIED signifie la Réalisation du Soi : Padam, en sanskrit et au sens littéral signifie « pied », et est synonyme du Soi, l’Être véritable. Le vulgaire dit d’ailleurs « C’est le Pied ! » ; on dit aussi « Être bien dans ses pompes », ou « avoir trouvé chaussure à son pied », comme Cendrillon…

Si le Yahvé dit à Moïse « Je suis celui QUI SUIS » ou meilleur « Je suis ce JE SUIS » (car se rapprochant mieux de la redite Tautologique de sa propre personne, et ne peut plus prêter à l’interprétation : « OÙ EST CELUI QUI DIT QU’IL EST CE JE SUIS ? ». De là s’ouvre la régression à l’infinie comme le Zéro indien : L’ÉVIDENCE, OU LA VÉRITÉ, EST LA CHOSE INSAISISSABLE PAR LE MENTAL DE L’HUMAIN : c’est comme l’exemple du collier de la femme souvent donné par Ramana Maharshi (1) : car le Sentier des choses proches ou vérités, est pour le mental humain, de tous les temps, le plus long, ET POUR CELA IL EST LE PLUS DIFFICILE (la Simplicité : Elle s’apparente à l’Origine, l’Eau Primordiale. Elle vient dès la première fois en un seul coup, selon certaines Circonstances ; sinon il faut tout démêler pour retrouver la Source de la Simplicité.
Bible : Livre de la Sagesse : Ce qui est à notre portée nous ne le trouvons qu’avec effort.
« Nature ne connaît que la Simplicité ». (Elle est directe ou Maât). Avec la Simplicité, on peut enrichir, mais avec le compliqué, c’est difficile). « La Vie est un abîme de simplicité. Un abîme, c’est-à-dire une infinité de possibilités ». Par là, plus une chose est simple plus elle est compliquée, puisqu’elle offre une infinité de possibles, ou de variations.
« Seule l’abondance mène à la clarté, et c’est dans l’abîme que demeure la Vérité ». Vers de Schiller, cité par Werner Heisenberg dans “La Partie et le Tout”.

« Que nul autre que le pîr [le Seigneur, au sens d’Ibn’Arabi et du Soi] ne soit ton maître et capitaine ! Non le pîr du ciel tournoyant [le destin, l’opinion], mais le pîr de la direction juste [celle de son Seigneur].
L’amoureux de l’obscurité voit la lumière aussitôt (3) ». (Mathnawî, Livre sixième 4121-22).
En Occident, depuis 1789 et les « lumières », c’est l’inverse : les humains sont amoureux de leur lumière, c’est-à-dire de leur mental. Ils sont donc devenus de vulgaires consommateurs, du pain quotidien ou eucharistie du capitalisme !

En renforçant le mental on a AUGMENTÉ le crime : « Le mental est le tigre ou le daim. Un visiteur : Si tout est illusion, rien n’empêche alors de supprimer des vies ? Réponse du Maharshi : Pour qui est cette illusion ? Trouvez-le. En fait, chacun de nous est un « assassin du Soi » (ātmahan) à chaque moment de sa vie » (Entretien 17 du 24-1-1935).

« Celui qui conseille à un chercheur ardent de faire ceci ou cela n’est pas un vrai maître. Le chercheur est déjà assez éprouvé par ses activités et il aspire à la paix et au repos. Ce qu’il lui faut c’est la cessation des activités. Or, on lui demande de faire quelque chose en plus ou à la place de ses activités. Cela peut-il aider le chercheur ?
L’activité est création ; l’activité est la destruction du bonheur inhérent à chacun. Si une activité est recommandée, celui qui la recommande n’est pas un maître mais un tueur. C’est comme si le Créateur (Brahmā) ou la Mort (Yama) se manifestaient sous l’apparence d’un tel maître. Celui-ci, au lieu de libérer l’aspirant, renforce ses chaînes.
Un visiteur : Mais le fait de vouloir cesser toute activité est en soi une activité. L’activité semble donc inévitable. Le Maharshi répond oui. (Entretien 601 du 27-12-1938).

EUCHARISTIE, CAROTTE : le mental du « PAIN QUOTIDIEN » et son LEVAIN désire toujours l’AUTRE, la CAROTTE (attachée à distance de la tête de l’âne afin de le faire avancer) ; JAMAIS LE MENTAL NE DÉSIRE LE ICI ET MAINTENANT, IL DÉSIRE TOUJOURS AUTRE CHOSE, ce qu’avaient génialement compris tous les frères Oppenheim de la planète : en 1840 les frères Abraham et Simon Oppenheim déclaraient ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent).
Ainsi, l’humain désire toujours LA CAROTTE, et si par accident la carotte était mangée, l’âne ou l’humain en réclamerait une autre pour continuer à avancer, et ainsi de suite, sans fin ! Il y a d’ailleurs une possible confusion avec le « Gate gate… »(2) qui lui aussi fait « COMME SI » il y avait une projection avec une carotte ou l’attente d’un messie. Là est le phénoménale PROBLÈME !

Lucrèce parle de ce problème par la Vénus qu’il fait une vulgivaga (Lucrèce, De la Nature, Livre III, 1056) : une vagabonde (extravaga ou extravagante : qui erre), comme le mental et son idéation dont le principe est justement le vagabondage, une vagabonde qui navigue de Carotte en Carotte sans jamais s’arrêter à aucune et qui erre à l’aventure, indistinctement, parmi ce monde des noms-les-formes : vulgus, vagor, et fabrication d’un besoin selon les Oppenheim. LE DÉSIR ÉTANT INCAPABLE DE SE FIXER SUR UN OBJET OU UNE CAROTTE ; il s’ensuivra qu’il est toujours à court de carotte ou d’objet. Mais alors : QUEL OBJET, ET QU’ELLE EST LE « QUI SUIS-JE ? » DE CET OBJET ?? Quel est son EST, son VAN (2) ? En Astrologie Vénus incarne l’ATTRACTION INSTINCTIVE, LE SENTIMENT, LE DOUCEUR… Vénus, reine de l’amour et des plaisirs (et forcément du contraire : la douleur).

LE DÉSIR ÉTANT INCAPABLE DE SE FIXER SUR UN OBJET OU UNE CAROTTE = LE PRINCIPE OPPENHEIM OU DU CAPITALISME : créer sans arrêt un besoin en fabriquant le produit qui n’est autre que le CONSOMMATEUR, qui doit être en perpétuelle insatisfaction, agité, anxieux, et blasé. La propagande ou la « réclame » éduque le consommateur dans le style de vie de la consommation LOI DE SUCCION, y compris d’expériences « nouvelles » ou de « développement personnel ». C’est le principe du DOIGT QUI MONTRE LA LUNE : L’autorité et efficacité de tout messie consiste en son absence. Voir la Caverne de Platon où les ombres, fantômes ou illusions, sont préférables à la lumière, ou le doigt qui montre la lune est préférable à la lune elle-même. C’est là la DIFFÉRENCE ESSENTIELLE entre le judaïsme et son principe de PROJECTION : LE SALUT, et la tradition de l’Inde et de l’Orient pour le DIRECT, MAÂT (de la Déesse égyptienne). Les uns projettent, comme le fait le capitalisme des Frères Oppenheim ; les autres font dans le Ici et Maintenant. L’Occident en train de littéralement bouffer la planète au sens politique ou de façon de vivre, est celui des Juifs et de leur évolutionnisme : l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui Coule), cet occidental là est uniquement prisonnier de la FLÈCHE DU TEMPS ET DE LA CONSOMMATION OU UTILITARISME EUCHARISTIQUE.

Contrairement à l’humain de Maât ou du Ici et Maintenant, qui ÉTAIT LIBRE D’INVENTER SANS LIMITE, au sens des Anciens Atlantes, mais hélas pour eux comme la dramatique découverte d’une sorte de « feu » qui les fit sombrer pour la plupart et proche du Thème du moderne feu vulgaire de la thermodynamique, l’humain moderne de l’évolutionnisme des Juifs est incapable d’invention, c’est d’ailleurs pourquoi il confond le mot Science avec le mot Technique, parce que l’humain moderne N’UTILISE PLUS QUE LA TECHNIQUE HÉRITÉE DES GERMES DE DÉCOUVERTES DES ANCIENS, L’HUMAIN MODERNE N’INVENTE PLUS RIEN, PARCE QU’IL N’Y A PLUS QUE DES SPÉCIALISTES (des salariés ou ”collaborateur”), l’humain moderne se laisse manipuler, programmer, par un nombre toujours plus restreint d’autres humains qui non seulement interdisent aux masses de leur contemporain d’intervenir directement ou indirectement dans la flèche du temps qu’ils fabriquent ou qu’ils ont fabriqués, mais ces « élus » disposent maintenant d’énormes moyens pour obliger chaque citoyenisé à supporter quant à lui les conséquences de cette HOTC, C’EST-À-DIRE À VIVRE SANS ARRÊT UNE FRUSTRATION, UN MANQUE DE CAROTTE, AVEC LA CONSÉQUENCE D’UN MESSIE QUI NE DOIT JAMAIS ARRIVER, SINON, TOUT EST CASSÉ, COMME LE MARCHÉ MONDIAL DE LA DROGUE NE DOIT JAMAIS CESSÉ, NI CELUI DE L’INDUSTRIE DES ARMES, SINON LA FINANCE INTERNATIONALE S’ÉCROULE TOTALEMENT. Car la démocratie fonctionnant par conflits d’intérêts et créations de besoins, elle est condamnée à la frustration perpétuelle par ses propres limitations, et ne peut qu’être stérile, et même maintenant mortifère.

L’humain moderne est bien un CONSOMMATEUR : il lui reste la seule liberté de CHOISIR, entre le corps-consommateur, et l’absence de corps (comme le précise ci-dessous le Maharshi ou Grand sage).

À Chacun de choisir :
« Toutes les actions que le corps a à accomplir sont déjà décidées au moment où il vient à l’existence : la seule liberté que vous ayez est de vous identifier ou non avec le corps » (Ramana Maharshi). Et en 2021 avec ce monde des INJECTIONS-INJONCTIONS COVIDESQUES EN THÉRAPIE GÉNIQUE LE CORPS EST AUGMENTÉ, CONFORMÉMENT AU RÊVE TRANSHUMANISTE. (Heureusement de plus en plus de gens refusent cette programmation des profanes par le tout nombre d’initiés).
Quand une civilisation ne vit que pour son corps, donc pour son utilitarisme, pour sa sécurité, pour son ego-égoïsme, ELLE NE MÉRITE PAR DE VIVRE.
 
 
Notes.
1. « Une femme portait un collier autour du cou. Ne s’en souvenant plus, elle se mit à le chercher, questionnant son entourage. Une de ses amies, se rendant compte de ce qu’elle cherchait, lui désigna le collier autour de son cou. La femme le toucha de ses mains et fut aussitôt rassurée. Avait-elle récupéré le collier ? Là encore, l’ignorance causa la douleur et la connaissance, le bonheur.
Il en va de même en ce qui concerne l’homme et le Soi. Il n’y a rien de nouveau à gagner.
L’ignorance du Soi est responsable de la souffrance présente ; la connaissance du Soi apporte le bonheur ». (Ramana Maharshi, entretien 63 du 6-7-1935).

2. Le VAN : Dans la Vallée souffle le Vent, le Vent d’Hermès, au sens du VAN. Vent ou Van trouve son homonyme en FAN (paraître), mis en Fêmi dont la forme enclitique signifie : rendre visible, se manifester. Le latin vanna (van) trouve dans FANOS (Phanos ou Lanterne) la signification de lumineux, brillant, que le sens figuré affirme par « manifeste », « évident » ; c’est aussi proprement le Flambeau, que le second sens de Phanos ou Fanos désigne par Lanterne (la « Lanterne » ou Lumière d’Hermès, cette Pierre nécessairement volatil revivifiant le mort et donnant la vie au Soleil et à la Lune, au « mari et à la femme »…).
FAN : paraître, avec le F de Figure, Feu, Fléau, Fantôme, Finalité, Forme, Fond, Fin, Fleuve : « Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source » (Jean Coulonval, dans Synthèse et Temps Nouveaux). Le F de Feu comme du Fléau qui détruit tout et qui donne cependant au Fer après liquéfaction, la Forme ou la Figure-Fin. Ainsi est la définition du mot VAN : LE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE, au sens du Secret de la Fleur d’Or, manuel classique de méditation permettant l’accès à l’Être intérieur ; manuel incorporant la quintessence du bouddhisme et de la taoïcité. L’Or signifie la Lumière, celle de l’intellect qui « pointe » (AIGUILLE) ; la fleur signifie l’épanouissement, le jaillissement de la lumière du Soi. Ainsi, le nom même de cette technique désigne l’Éveil fondamental et inconcevable du Vrai Soi et de son potentiel caché, le « Zéro indien », appelé en Occident d’une façon utilitariste : « énergie libre », comparable au pouvoir surnaturel siddhi ; mais à distinguer de la Réalisation du Soi : « À la question de savoir si des pouvoirs occultes (siddhi) pouvaient être acquis en même temps que l’omnipotence (ishvaratva), comme cela est mentionné dans le dernier verset du Dakshinâmûrti-ashtakam, le Maharshi répondit : « Laissez d’abord l’omnipotence s’accomplir, et alors la question pourra être soulevée » (entretien 7 du 15-5-1935).
« Les pouvoirs occultes (siddhi) ne sont que dans le mental. Ils ne sont pas naturels au Soi. Ce qui n’est pas naturel, mais acquis, ne peut pas être permanent et ne vaut pas la peine que l’on s’efforce de l’obtenir » (entretien 20 du 30-1-1935).

3. Le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
 
 

Dernière mise à jour : 04-09-2021 04:25

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