HAINE, VIOLENCE : BATTRE MONNAIE
 

Ecrit par Sechy, le 19-11-2021 21:51

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Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Banque, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, Images, Jardin, Marchandise, Nostalgie, Paradis, Peur, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Serpent, Silence, Social, Spirale, Transhumanisme, Vie, Vierge

 
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HAINE, VIOLENCE : BATTRE MONNAIE
ou faire de la monnaie (fausse) légalement
(par les États en cheville avec le privé).
L’économie, et des armes, et de la drogue légale
et illégale C’EST LE CRIME EN BANDES ORGANISÉES :
« Par essence, la création monétaire ex nihilo que
pratiquent les banques est semblable, je n'hésite
pas à le dire pour que les gens comprennent bien
ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie
par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par
la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes
résultats. La seule différence est que ceux qui
en profitent sont différents ».
Maurice Allais, physicien, économiste et prix Nobel
d’économie en 1988.
Donc, et depuis longtemps, presque, aucune différence
entre le « légal » définit par les forts en ego et en
argent, et l’illégale avec les mêmes forts en
ego et en argent.

Dieu est le locataire de sa Création.
Alors que ce qui EST, l’Instant, n’est que
spirituel, parce que libéré de la pensée.


LE LUPANAR MONDIAL SOUS THERMODYNAMIQUE
(frottement ou va-et-vient : mécanisme, mouvement,
alternatif, usure, échange ou troc)
 
 
AUCUNE DIFFÉRENCE ENTRE POUVOIR ÉCONOMIQUE ET POUVOIR POLITIQUE : LE PIÈGE DES PIÈGES (donc ce n’est pas la dette ou l’usure comme le prétendent certains).

PIÈGE DES PIÈGES : l’illusion de trouver votre sécurité dans le monde inclusif de l’opinion dont chaque « citoyen » vous enferme dans une prison mentale où vous avez l’illusion de trouver la sécurité de votre ÊTRE, alors qu’en réalité vous y perdez votre liberté.
Ce piège ultime des 10.000 ans du Néolithique c’est l’identification du pouvoir économique mélangé intimement avec le pouvoir politique ou d’« organisation » d’une communauté.

- POUVOIR POLITIQUE : implique celui ou celle qui SAIT ce qu’est un Être humain, ce qui est une Connaissance identique à la Réalisation du Soi, et donc d’ordre QUALITATIVE.
- POUVOIR ÉCONOMIQUE : implique le co-naissance de la Matière (la Science), des techniques, des possibilités pratiques de leur mise en œuvre pour le plus grand bien-être matériel des peuples. Il requiert donc la Connaissance de la Matière, du manifesté et du QUANTITATIF.

Toutes les propagandes de l’État républicain Nous entretiennent dans l’illusion que ces deux pouvoirs en sont un seul, une seule preuve : « le pouvoir d’achat ». L’État profond, soit les puissances occultes qui mènent le monde des 10.000 ans du Néolithique, entretiennent en Nous cette illusion qui est vitale à l’exercice de leur pouvoir. La démocratie, qui n’a jamais existé, nous confère le pseudo-devoir de posséder notre petite vérité personnelle, en toute propriété de « droit d’auteur » et de libéralisme, en contradiction avec le fait que la Vérité est, ou n’est pas, qu’Elle ne peut être l’objet de possession, qu’elle NE trouve donc pas ses critères de vérité dans des résultats électoraux. Par contre, on nous refuse la démocratie là où elle serait légitime, dans le domaine quantitatif du pouvoir économique où serait nécessaire un modus vivendi décidé par les bulletins de vote (par exemple, la BRI, Banque des Règlements Internationaux, ça devrait être Nous les organisateurs de « monnaies », et non des banques centrales qui sont actionnaires… Bulletins de vote de chacun(e) par exemple décidant de la machine Union européenne…)

Le principe démocratique actuel est stérile, car construit sur les conflits d’intérêts, il est condamné à la frustration par ses propres limitations. Au minimum, élagué d’un maximum d’ego, il devrait être appliqué, et dans le pouvoir politique, et premièrement dans le pouvoir économique DES BESOINS VITAUX POUR LA SURVIE DE L’ESPÈCE : NOUS TOUS (et pas seulement l’oligarchie comme c’est le cas à ce hui….).
Aucune solution n’est possible sans la distinction incarnée dans les structures sociales de la distinction ontologique de ces deux pouvoirs. On nous les présentent comme s’ils en constituaient un seul, sous la dénomination de « pouvoir temporel », ou de « laïcité », par opposition au « pouvoir spirituel » (assimilé par certains à une « croyance », comme si la seule vérité c’était le pouvoir temporel, l’illusion du temps qui coule).
L’histoire passée a établi la distinction du spirituel et du temporel, du pouvoir spirituel et du pouvoir politique. Mais, le deux étant source de dualité et de guerres sans fin, seul le TROIS est capable de Re-trouver la Vraie Paix : en chaque individu, entre individu, et entre communautés. Le Deux, c’est la guerre. (En référence à la dernière lettre, n°52, du 1er décembre 1978, de Jean Coulonval, dans Synthèse et Temps Nouveaux, qui est un recueil de 52 lettres en une correspondance avec divers personnalités des années 1960-70, dont principalement Aimé Michel).

« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » (You’ll own nothing, and you’ll be happy) est typiquement le système communiste de l’URSS le plus dure dans les années 1930 :
Dieu est le locataire de sa Création.
Alors que ce qui EST, l’Instant, n’est que spirituel,
parce que libéré de la pensée.
Le mot « location » implique un spatio-temporel,
un lieu, une « mère porteuse » éprouvette.
BATTRE MONNAIE = LA DÉPOSSESSION ABSOLUE DES PEUPLES.
Depuis 1789 Nous sommes passés d’une entente pour la vie (entente patriarcale) à une lutte pour la vie (le code civil [code Napoléon] diviseur et naguère la loi militaire, et maintenant le libéralisme ou l’égoïsme intégral masqué par son « vivre ensemble » ou « tous vaccinés-connectés » suivant la logique transhumaniste).

BIENTÔT, VOUS ÊTES SEULEMENT LOCATAIRE DE VOS VÊTEMENTS Y COMPRIS DE VOS SOUS-VÊTEMENTS (puisque vous ne possédez plus rien et qu’alors vous devrez être heureux), bien-sûr, vous n’êtes que locataire de votre propre corps, lequel appartient à l’oligarchie des industries du marché et de leurs banques au sommet de la pyramide en compagnie du transhumanisme. Il n’y a plus de « code civil » ni de code militaire, seul existe le code civil de l’entreprise internationale côté en bourse.

Klaus Schwab-Lénine, c’est le socialisme modèle Lénine-Staline URSS : suppression de la propriété privée, les « biens » furent récupérés et donc n’appartenaient plus à leur possesseur, tout le monde devenait « locataire » de l’objet mutualisé, singerie de la suppression de l’ego, ou diablerie du libéralisme, pouvant être poussé jusqu’à la folie comme en URSS où votre corps ne vous appartenait plus mais appartenait à l’État, et donc vos vêtements ne vous appartenaient plus : « ”Faire travailler [au Goulag] tous les déshabillés [tels ceux qui se reposaient nus sur leur paillasse] en leur attribuant les vêtements des détenus revenant du travail après avoir rempli leurs objectifs chiffrés [déjà !]” : c’est une instruction que la Direction du SLON a envoyée à tous les camps dès qu’elle a pris conscience du problème. Désormais, le détenue de retour du travail, épuisé, affamé, trempé de neige et de sueur, à peine capable de mettre un pied devant l’autre, doit avant toute chose ôter ses vêtements et les donner à un camarade. Tant qu’il avait ses vêtements, il pouvait encore se réchauffer et reprendre un peu de forces. Et voilà que même cela, on le lui prend. Il ne lui reste qu’à ramasser des branches de sapin, à les poser sur les planches nues qui lui servent de lit et à se coucher dessus pour essayer de dormir. Mais il n’a toujours pas de quoi se couvrir… La nuit, quand il commence à grelotter de froid, il saute au bas de sa couche, court jusqu’au poêle et s’y réchauffe quelques instants. Puis il revient à sa place et se rendort pour une courte période, avant de se réveiller de nouveau… C’est ainsi que se passe la nuit du « propriétaire » des vêtements, et la journée de celui qui les lui « emprunte ». En revanche, le bois d’exportation soviétique ne cesse d’augmenter, et l’URSS fournit le bois à de nombreux pays du monde [tel est le capitalisme d’État, qui lui, possède tout, du moins son oligarchie…] ». (Nikolaï Kisselev-Gromov, Les camps de la mort en URSS, Shanghai 1936, page 282).

Du temps de la révolution des Juifs bolcheviques, tous les détenus du SLON portaient, pour commencer, leurs propres vêtements et sous-vêtements. Ils ne recevaient un uniforme (de mauvaise qualité et totalement inadapté aux conditions climatiques) qu’une fois que leurs habits sont complètement tombés en lambeaux. Et encore : seuls ceux qui travaillent dans la forêt et atteignent les objectifs chiffrés qui leur sont fixés y ont droit. C’est pourquoi certains détenus sont, d’après l’expression officielle, « déshabillés » : ils n’ont rien, hormis quelques sous-vêtements déchirés, crasseux et pouilleux (en réf. à Nikolaï Kisselev-Gromov déjà cité).

IMPORTANT ET PARADOXE : par rapport aux animaux, l’être humain est aussi un animal parmi le règne animal, en circulus avec le règne végétal et minéral, l’humain ayant naturellement les trois règnes en lui, SA LIBÉRATION NE PEUT PASSER QUE PAR LUI-MÊME, INDIVIDUELLEMENT, ET CERTAINEMENT PAS PAR LE SOCIAL-SOCIALISME NOUVEAU PACKAGING À LA SCHWAB, BILL GATES, FMI, ETC. Donc la naissance dans un corps humain est une VICTOIRE, car d’entre tous les animaux, seul l’être humain a une possibilité de LIBÉRATION SPIRITUELLE (voir encadré en fin de page). Mais c’est aussi le PARADOXE DE LA RÉALISATION DU SOI et LE DILEMME MOI-INDIVIDUEL/MOI-COLLECTIF, tel que montré par Nagarjuna dans la Stance 16,9 : « Un jour je m’éteindra, libéré des groupes d’appropriation physique et psychiques, le nirvana m’atteindra ». Prendre les choses ainsi, c’est le comble de l’appropriation » (et c'est ce que fait déjà le transhumanisme). Ceci implique que l’aspirant à la Liberté est soumis à la loi de succion en forme de croyance en une personnalité susceptible de se « libérer », par rapport aux autres animaux, personnalité qui implique la dualité : ‘moi’, et ce qui est à ‘moi’ ; un messianisme un peu comme dans le conte de Blanche Neige : « Un jour mon prince viendra, un jour il me prendra » ; un DORG : Demain On Rase Gratis.

Liberté : personnalité qui implique la dualité : ‘moi’, et ce qui est à ‘moi’, comme le mot YOGA l’indique : l’union de quoi avec quoi ? « Qui doit s’unir à qui ? Vous êtes le chercheur qui cherche l’union avec quelque chose. Ce quelque chose est séparé de vous. Votre Soi vous est intime. Vous êtes conscient du Soi. Cherchez-le et soyez-le. Il s’étendra à l’infini. Alors il ne sera plus question de yoga, etc. Pour qui est la séparation (viyoga) ? Trouvez-le ». (Ramana Maharshi, entretien 211 du 19-6-1936).

Nagarjuna nous met en garde, comme la Bhagavad-Gîtâ, chapitre IV,18 : « Celui qui dans l’action peut voir l’inaction, et qui peut voir l’action continuant encore dans la cessation des œuvres, celui-là est parmi les hommes l’homme de raison vraie et de discernement ; il est en yoga et il est l’ouvrier universel aux capacités nombreuses [pour le bien du monde] ».
Mais la nature humaine a quelque chose d’obsessionnel : la nostalgie de l’ÊTRE (voir l'encadré en fin de page), le désir d’éternité (voir le mouvement anglo-américain transhumaniste ces vendeurs de béquilles-prothèses en tous genres….). Seulement le Soi, la Conscience infinie est impersonnel, mais N’EST PAS ce mondialisme socialisant avec à sa tête au sommet de la pyramide une oligarchie qui décide de la vie et de la mort, et à la base les peuples, que le « haut libérerait »

Le Soi étant impersonnel, il n’existe donc pas d’immortalité individuelle comme veulent nous le faire gober les transhumanistes et leur Laurent Alexandre qui se voit déjà Dieu immortel dans sans maison ici-bas : il n’est qu’un fantôme, comme tous ses chers transhumanistes.

« Les gens pensent que la Liberté (moksha) se trouve quelque part au-delà et que l’on doit aller la chercher. C’est faux. La Liberté consiste simplement à connaître le Soi en soi-même. Concentrez-vous et vous y parviendrez. Votre mental est le cycle des naissances et des morts (samsâra) ». (Ramana Maharshi, entretien 31 du 4-2-1935).

« Le libre arbitre de qui ? « Le mien » direz-vous. Vous êtes au-delà du libre arbitre et de la fatalité. Demeurez Cela et vous les transcendez tous les deux. C’est la signification de « vaincre son destin par la volonté ». La fatalité peut être vaincue. La fatalité est le résultat des actions du passé.
Dans la présence des sages, les mauvaises tendances sont vaincues. Les expériences de chacun sont alors perçues dans leur juste perspective.
J’existe en ce moment. Je suis celui qui jouit. Je jouis des fruits des actions. J’étais dans le passé et je serai dans le futur. Qui est ce ‘je’ ? En découvrant que ce ‘Je’ est pure conscience, au-delà de l’action et du plaisir, on obtient la liberté et le bonheur. Alors il n’y a plus d’effort à faire, car le Soi est parfait, et il ne reste plus rien à obtenir.
Tant qu’il y a individualité [le citoyen, le consommateur], on est le jouisseur et l’acteur. Mais si elle disparaît, la volonté divine l’emporte et dirige le cours des événements. L’individu reste perceptible à ceux qui ne peuvent pas percevoir la force divine. Restrictions et disciplines sont pour les autres, et non pour les libérés.
Le libre arbitre est sous-entendu dans l’injonction d’« être bon », donnée par les Écritures. Il implique la faculté de vaincre le destin et cela grâce à la Sagesse. Le feu de la Sagesse consume toutes les actions. La Sagesse s’acquiert en compagnie des sages, ou plutôt dans leur atmosphère mentale ». (Ramana Maharshi, entretien 209 du 19-6-1936).
Et à l’entretien 210 : « L’homme est redevable de son activité à une Puissance autre que lui, alors qu’il croit accomplir tout de lui-même – tout comme un invalide assurant par bravade que, si on l’aidait à se tenir sur ses pieds, il pourrait combattre et chasser l’ennemi. L’action est mue par le désir ; le désir ne s’élève qu’après la montée de l’ego ; et cet ego doit lui-même son origine à un Pouvoir supérieur dont dépend son existence. Il ne peut pas demeurer séparé. Alors pourquoi ce verbiage « Je fais, j’agis ou je travaille » ?
Un être réalisé ne peut faire autrement qu’être bénéfique au monde. Sa simple existence est le plus haut bien ».

« On devrait être libre de faire ce qui nous plaît et ne pas être servi par autrui [par les spécialistes et spécialités qui pullulent].
Être dépourvu de désir est la plus grande félicité. On ne peut le comprendre que par l’expérience. Même un empereur n’est pas à la hauteur d’un homme sans désir. L’empereur dépend des vassaux qui sont sous ses ordres. Tandis que l’homme sans désir n’est conscient de rien d’autre que du Soi. Qui a le meilleur sort ? », dit le Maharshi à l’entretien 648 du 17-3-1939.

Celui qui sait ne parle pas,
celui qui parle ne sait pas.
(Début du Verset 56 : 5+6=11, du Tao-tö king, trad. Liou Kia-hway)
Valable surtout pour les politistes depuis l’invention de l’État, monarchique ou républicain, car la politique, c’est le VERBE-iage (et du chiffre pour la finance) !

Depuis longtemps Nous vivons dans ce monde de la MÉPRISE : prendre position, opinioner, donner son avis, voter, choisir, désirer, placer, faire, saisir, etc. Méprise ou chaos, ambiguïté (1), soit PRENDRE POUR PERMANENT CE QUI EST IMPERMANENT, POUR BIEN-ÊTRE CE QUI EST MAL-ÊTRE, POUR PUR CE QUI EST IMPUR, POUR SOI CE QUI N’EST PAS SOI : FLAGRANT EN CET ÉPISODE DE COVIDISME OÙ L’INGÉNIERIE DU RÉGIME MANIPULE LES MASSES PAR LA PEUR (de mourir) À L’ÉPOQUE OÙ LE TRANSHUMANISME ANGLO-AMÉRICAIN NOUS PROMET « LA VIE IMMORTELLE » (ici-bas). S’éveiller consiste  à voir nos méprises, nos ambiguïtés, ce qui n’a rien à voir avec le « monde objectif », lequel ressemble à ce que met en garde le Yoga Vasistha : « L’apparence de ce monde est une confusion ; de même que le bleu du ciel est une illusion d’optique. Mieux vaut ne pas s’y intéresser et l’ignorer ». Parce que PERSONNE N’EST LIÉ (pas de « vivre ensemble » ou de « social » dans cette thermodynamique de l’échange, du frottement totalement symbole sexuel en un LUPANAR MONDIAL), ET COMME PERSONNE N’EST LIÉ IL N’Y A PAS DE LIBÉRATION NON PLUS ET PAS DE LIBÉRAL-ISME, CAR LORSQUE L’ÉVEIL EST PARFAIT, LORSQUE LA COMPRÉHENSION EST PARFAITE, SON OBJET S’ÉVANOUIT.

Nous sommes en plein LUPANAR MONDIAL SOUS THERMODYNAMIQUE : frottement ou va-et-vient : mécanisme, technique, mouvement, alternatif, usure, échange ou troc. Frottement et échange, chaleur (fraternité et social), solidaire : LIÉ (du genre : « vous et vos proches »).

Personne n’est lié, pas besoin d’inventer la liberté-libération-libéral-isme tous des ismes en vente en gros :
« Moi seul, je diffère des autres hommes
parce que je tiens à téter ma Mère
[le TAO ou Soi] ».
(Tao-tö king, fin du Verset 20. Trad. Liou Kia-hway)
Verset qui invite à se libérer de la tyrannie du mental.


Note.
1. Paradoxalement dans ce monde de la sécurité par le chiffre, notre monde est de plus en plus sous l’AMBIGUÏTÉ, LE VRAI DANGER EST ANAGOGIQUE (se dit d'un sens spirituel de l'Écriture fondé sur un type ou un objet figuratif du ciel et de la vie éternelle, réf. Dic. Le Robert). CE DANGER EST DONC TYPIQUEMENT UTILITAIRE, OUTIL, qui entraîne des associations cycliques, comme les symboles (sun, du grec : avec) qui codent les images entre elles, comme le rébus, comme ils s’additionnent eux-mêmes dans leurs sources nombreuses, même si moindres en nombre, des Archétypes issus de l’inconscient collectif. Bref, l’Ambiguïté signale un DANGER : issu de l’Ange, le Gardien… pour permettre l’Éveil… Ainsi un grand nombre de mots nous Ré-vèlent : nous VOILENT de nouveau pour attirer notre attention sur ; car tout symbole peut se dévoiler un Instant pour mieux re-voiler et encore plus fort dans l’Instant suivant (Ré-vèle) : utilité de cette ambiguïté, donc sur la loi de succion sur le double des structures : tout symbole est double (négatif-positif), de là, notre Vision est Ré-intégrée : voir le Y, la Source de V et I, le commencement de la Vie.

RÉBUS doit s’entendre par SUR LE SENTIER : le symbole n’est jamais fixe, jamais possédé, il est comme l’effet sucre ou domino : horizontal sur le Sentier : lier entre par une CONDUITE verticale : per-ce-voir ou capere : prendre, permettant à chaque Instant d’A-teindre : ne pas colorer ou ne pas opinioner terrestrement cet Instant, le POINT FOCAL….

Dans nostre monde de la Re-présentation de Re-présentation, les fictions, le virtuel informatique, certains veulent Nous faire confondre par leurs mots plein de choses ; et pour s’y employer ils digitalisent ou numérisent tout, en faisant passer leur technique pour de la vérité, puisque c’est numérisé, le chiffre le ment pas, ce qui ne pouvait qu’engendrer la TYRANNIE NUMÉRIQUE, CELLE DU BIG DATA, DE L’INFO !… Voilà où se dirige ce monde dans lequel le mot « Bien » ne signifiera bientôt plus rien. C’est le monde du sot qui regarde le doigt (ou les chiffres, ou les infos) que montre la lune et non la lune elle-même, « De même ceux qui s’attachent à mes paroles [ou à mes chiffres ou à mes infos] ne voient pas ma vraie Réalité. L’esprit [l’idéation qui calcule et bouge sans arrêt dans l’état de veille et de rêve] est comparable à un grand danseur, le mental est son assistant et son maquilleur, les cinq consciences sensorielles les accompagnent, et dans la conscience mentale s’incarnent les spectateurs ». Tout est dit, résumé, dans le Soûtra de l’Entrée à Lankâ (Lankâvatâra), chapitre L’instantanéité.

Pourquoi sur le site ici il est souvent cité le mot FLÉAU ? Parce qu’il est synonyme de RENONCEMENT, DE PUTRÉFACTION, DE LA NUIT OBSCURE OU NOIR telle décrite par Jean de la Croix : C’EST LA SIMPLICITÉ MÊME, CE QU’IL Y A DE PLUS DIFFICILE, DONC LE FLÉAU… Le Fléau bien-sûr pour les cancéreux dont leur cancers s’appelle : POUVOIR. L’Alchimie se résume à un seul mot : PUTRÉFACTION, ou RENONCEMENT… Et c’est ce qu’il y a de plus difficile, surtout à nostre époque où tout le monde veut son petit confort et tout posséder suivant le libéralisme arrivant à son comble avec sa copie socialiste de l’URSS : « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ».

En fait, qu’est-ce qui rend heureux ? C’EST LA SIMPLICITÉ : Lors d’un stage sous la tente à Vaugrigneuse pour être moniteur de colonie de vacance et obtenir le brevet, je me souviens de cet état extraordinaire inhérent à la simplicité : faire des gâteaux minuscules cuits entre quatre ou six briques posées sur la terre en un petit feu de bois pour chauffer ce petit four et cuire les gâteaux. Simplicité hérité d’un passage DÉTOURNÉ (tant il fut négatif) chez les Scouts de France de la Salésienne de Paris à l’époque, avant Vatican II, rattachée à la riche paroisse Saint-François de Sales (riche par ses paroissiens qui habitaient de riches logements à Paris 17è, ce qui n’était pas mon cas).

LE CONTRAIRE DE LA SIMPLICITÉ, C’EST LE « ISME », LA TECHNIQUE, LE CONTRÔLE, et de nos jours, l’AUTOMATISME DU CHIFFRE « QUI NE MENT PAS », il y en a de plus en plus, à commencer PAR LE CHIFFRE DE L’INFORMATIQUE ET DU TOUT CONNECTÉ. Chiffre, de l’arabe sifr : vide. Évidemment, le vide vient AVANT l’Unité… Ensuite, ne pouvait que venir : la paire, puis le pluriel. Le commerce et la valeur d’échange va être inventé par les Sumériens…. LE CHIFFRE DEVIENT LA SÉCURITÉ SUPRÊME, DIEU : tout connaître grâce aux chiffres : connaître le plus vrai, ou tentative de tout faire dire par les nombres : « Alors cherche le dans les nombres et la fonction géométrique ; ils te donneront des résultats qui s’imposent, et qu’aucune considération personnelle ou sentimentale ne peut dévier » (est-il dit dans “Her-Bak disciple” de Isha Schwaller de Lubicz). Avec le chiffre, le numérique, les grands risques et grands défis ont disparus, tous se font « vacciner » et s’avancent sur une route tellement bétonnée, goudronnée, chauffée, dont on a bouché les fondrières, relevé les tournants, adouci les pentes et que bordent à intervalles réguliers, des plaques lumineuses indicatrices et des refuges.
 
L’Absolu, c’est ce que l’être humain essaye de Re-trouver, aussi bien chez ceux qui se disent « civilisé » et chez ceux que ces mêmes civilisés qualifient de « sauvages » ou « primitifs » ; hélas, il est aussi vrai que l’humain a toujours été tenté de rechercher cet Absolu à travers les accidents du spatio-temporel, voir le courant transhumaniste anglo-américain, et qu’il est maintenant difficile d’atteindre la SIMPLICITÉ du « Je suis ce JE SUIS ». CIVILISATION : signifie construire sur des compromis, des ambiguïtés entre l’Absolu et les perceptions par le mental et limité par sa croyance en la dualité Dedans-Dehors, et donc limité par la saisie, à cause du « trouvable », qui n’est qu’une fabrication du mental.

ABSOLU : Retournement de l’Univers ou de l’ego : Svetashvatara Upanishad 6, 20 : « Seulement lorsque les hommes seront capables d’enrouler le Ciel comme un parchemin, verra-t-on alors la fin de leurs misères sans qu’ils aient besoin de réaliser la Divinité ». OISEAU PHÉNIX : dans le courant des 2021 et suivant, les jours des CENDRES sont arrivés, soit celui de l’extinction de l’activité mentale et symbolisme de l’Éternel Retour ou Éternel Retournement de la Lumière.
 
 

Dernière mise à jour : 19-11-2021 22:59

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