Les ismes : covide, réchauffisme anthropique
 

Ecrit par Sechy, le 20-07-2022 01:33

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Tags : Addiction, Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Echo, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Yi King, Yokai

 
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Les ismes : covide, réchauffisme anthropique
LGBTQIA, capitalisme vert et voiture électrique, ”transition écologique” nouveau package capitaliste, fraternitalisme ou égalitarisme de ce monde inclusif qui singe la non-dualité Dedans-Dehors et la Communion des Saints sont tous le même vêtement D’UNE CHRISTOLOGIE THÉOPHANIQUE INCARNATIONNISTE : LA CHAIR OU CORPS ET L’HISTOIRE qui habille encore le capitalisme moribond dans ses derniers soubresauts avant de disparaître définitivement.
Cet habillage capitaliste désormais PRENANT LA FORME CHRISTIQUE INCARNATIONNISTE POURSUIT SA RÉVOLUTION RELIGIEUSE RÉPUBLICAINE ET EN SA DÉMOCRATIE MARCHANDE DU FAIT QU’ELLE PROCLAME LA RÉGÉNÉRATION SPIRITUALO-MARCHANDE, L’IDOLÂTRIE, LE VEAU D’OR, DE LA COMMUNAUTÉ MONDIALE.

C’EST LA ”GHOST-DANCE” FAISEUSE DE CROISSANCE DU MARCHÉ CAPITALISTE !
 
 
Le consommateur ou « citoyen » captif de ce monde du MONOTHÉISME UNILATÉRAL EN EIN SOF RÉPUBLICAIN ET DÉMOCRATIE MARCHANDE qui lui est imposé comme lui est imposé LA « RAISON » LE LANGAGE UNIQUE CONVENTIONNEL ET SON « ÉTAT DE DROIT » (1).

Les noms-les-formes y compris Dieu(x) ne sont que des désignations conventionnelles issues de l’inconscient collectif les dépourvus de référent, alors il n’y a pas d’objets. En l’absence d’objet, il n’y a pas la dualité sujet-objet, et en l’absence de cette dualité aucune dialectique matérialiste historique ou f(r)iction n’est possible. Ainsi, celui qui prie, va donc engendrer un nom-la-forme, il va se révélé à Nous sous son nom-la-forme : LE PREMIER-DERNIER : le Révélé, le Soi, le CHRIST puisque sa Manifestation ou Réalisation provient et dépend du FIDÈLE ou de la Conscience issu du « QUI SUIS-JE ? »
Le Dieu qui prie en Nous est précisément le Soi, le CHRIST, le « Trésor caché » de la fable de La Fontaine : Le laboureur et ses enfants. Et comme l’objet est dépendant de la conscience et la conscience dépendante de l’objet, c’est le Dieu qui crée le Fidèle dans son Centrum Centri par l’investigation permanente du « QUI SUIS-JE ? ».

Comme il n’y a pas d’Adoré sans Adorateur, ou de marchandise sans consommateur, ou de conscience sans objet, et inversement, il y a nécessairement « ailleurs » la Conscience infinie, le SEL-CHRIST-PTAH pour la Vraie Loi de Succion : le Connaissant mariant sujet et objet, donc la Conscience infinie ou le « Dieu » dont le Connaissant donne à l’existence : Il EST ; la Conscience infinie est le PREMIER-DERNIER : LA RÉALISATION (la Révélation) au sens ce CON-NAÎTRE (naître avec)   « Connaître toi-même par toi-même [et tu connaîtras l’Univers (puisque tu es l’Univers, tu es dedans)] », c’est le NOUVEAU-NÉ, L’ENFANÇON de la Taoïcité. C’est le Mystère ou le Trésor Caché qui est le Manifesté : le PREMIER-DERNIER.
L’Image que crée le fidèle du Soi, c’est l’Image du Soi qui révèle son ÊTRE même, sa Vraie Nature révélée par le « Trésor Caché ». RAPPORT AU MIROIR ET ZÉRO INDIEN : « Le Libéré Vivant ou Réalisé Vivant est comparé au reflet dans un miroir sans tâche [miroir clair] dans un autre miroir semblable. « Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur akasha [éther, ou Lumière de la Conscience]. De même, la Félicité reflétée du jnâni [Sage, Bienheureux] représente la véritable Félicité (ânanda).
Ce ne sont là que des mots. Il suffit que la personne devienne antamukti (tournée vers l’intérieur). Les shâstra [écritures sacrées] ne présentent pas d’intérêt pour ceux dont le mental est tournée vers l’intérieur. Ils sont destinés aux autres ». (Ramana Maharshi, entretien 513 du 16-9-1938).
Réciprocité de deux miroirs sans tain se faisant face : « Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur akasha », dit le Maharshi.

Ainsi la Réalisation (du Soi) peut prendre DEUX VOIES, et c’est ce qu’il se passe à ce hui avec le phénomène issue grandement du citoyenisme de 1789 : la glorification, l’idolâtrie de la louange à soi-même puisque le citoyen est désormais devenu le roi à la place du roi (tous les citoyens sont roi conformément à la saint bible républicaine noachique droit de l’hommiste) ; de là allait monter en puissance le « développement personnel » (sport, création, entreprises, égalitarisme, LGBTQIA, etc., bref : tout « dépassement de soi » ou « épanouissement » c’est-à-dire augmentation du corps-ego, ou augmentation du mental ou de la raison dont le transhumanisme fait la partie de produire le « mieux », l’augmentation, l'évolutionnisme.

- En s’engageant sur la voie actuelle de ce monde Luciférien, on trouvera le « citoyen responsable » ou la « raison » (1) winneriste confondu avec le moi-individuel issue de l’expérience empirique dans le spatio-temporel, parce que ce ‘je’ n’a aucune conscience de son Soi, son 'Je', son être est complètement aplati à la surface de la couverture sociale et du monde des cinq sens et des « évidences rationnelles et relationnelles ». C’est dans cette voie que naît la louange à soi-même et fausse réalisation du Soi qui explose chez les LGBTQIA, bref, chez tous les consommateurs au tabernacle ou à l’Arche d’Alliance du TOUT CONNECTÉ du « Grand Capital » (et de son Agenda 2030) ; louange à soi-même qui explose notamment si médiatiquement dans les jeux olympiques modernes, les courses cyclistes ou automobiles, les sports-business en général et toutes manifestations du social, qui sont tous des idolâtries du conformisme collectif tout aussi winner et idolâtrie   car il ne suffit pas d’éliminer le Moi-individuel pour atteindre la Libération ou le Divin, atteindre la Vraie Paix comme le rêve le messianisme.

- En s’engageant sur l’autre voie, celle de la VRAIE Réalisation du Soi, celle du « QUI SUIS-JE ? » PERMANENT, on se libère du Moi empirique attaché au spatio-temporel, à la consommation, au social de la croyance collective (habillé en France par la laïcité), pour réaliser le Soi, à la façon du parèdre Gnostique (son compagnon-archétype), c’est-à-dire en réalisant sa Conscience infinie éternelle dans la DEMEURE DU SANS DEMEURE, qui correspond au MYSTÈRE tel le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ », du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
Ce qui aussi veut-dire que l’humain est « Dieu » sans l’être, il n’en est qu’un composant : Par le Gate gate… être digne tel le SURFEU comme la BRAISE QUI S’ILLUMINE AVANT DE S’ÉTEINDRE, son dernier cri est ainsi étant le soupir lumineux de l’Après-Vie ou du ”Royaume des Cieux est en Vous”.
Qui s’engage sur cette voie s’engage sur le Sentier du : SAVOIR, POUVOIR, OSER, SE TAIRE ; dans le dernier terme, le SE TAIRE, le SURFEU, réside « l’Oraison du Service Divin », le « Sois tranquille et sache que Je suis Dieu » mentionné de nombreuses fois dans les entretiens de Ramana Maharshi.
Le « Sois tranquille…. » = LA SINGULARITÉ : « Il n’y a qu’un seul et pas de second » : Le Seul Réel ne se reflète dans aucun miroir, il n’a pas son complément dans un miroir qui pourrait lui être superposable. « L’Univers est une Singularité dont le complément en miroir n’existe pas, ou reste inconnu à jamais ». Aucun œil ne peut saisir le corps de la Vierge Noire. C’est pourquoi « Il n’y a qu’un seul et pas de second », parce que le Seul Réel est sans double, sans dualité sujet-objet et demeure réfractaire à toute entreprise d’identification, d’où le « Gate gate… ».

La VIERGE NOIRE : dans un Trou, il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à voir, ON GARDE LE SILENCE.

Oraison du Service Divin = LE SAINT SILENCE.
« Le silence, en revanche [par rapport à la parlote, à la conférence, aux débats], est permanent et rend service à l’humanité entière ». (Ramana Maharshi, entretien 20 du 30-1-1935).
À l’entretien 23 du 2-2-1935 un des fidèles prit l’initiative de répondre à cette question (à propos si le Maharshi prenait des disciples) :
« Le Maharshi ne voit personne hors de son Soi. Pour lui, il n’y a donc pas de disciples. Sa grâce est omniprésente, et il la communique en silence à quiconque la mérite ».

Et dans cet autre entretien 56 émouvant du 22-6-1935 :
Un jeune homme de 20 ans attendait assis en silence depuis plus d’une heure. Il s’apprêtait à partir quand il demanda : « Comment réaliser le Soi ? »
- Maharshi : Le Soi de qui ? Trouvez-le.
- Question : Qui suis-je ?
- Maharshi : Trouvez-le vous-même.
- Question : Je ne sais pas.
- Maharshi : Réfléchissez. Qui est-ce qui dit « Je ne sais pas » ? Qu’est-ce qui n’est pas su ? Dans cette affirmation, qui est le ‘je’ ?
- Question : Quelqu’un en moi.
- Maharshi. : Qui est ce quelqu’un ? Et en qui ?
- Question : Peut-être un certain pouvoir.
- Maharshi : Trouvez-le.
- Question : Comment réaliser le brahman ?
- Maharshi : Alors que vous ne connaissez pas le Soi, pourquoi cherchez-vous à connaître le brahman ?
- Question : Les shâstra [Écritures sacrées, Sciences traditionnelles] disent que le brahman est en tout, y compris en moi.
- Maharshi : Trouvez le ‘Je’ en « moi ». Ensuite il sera temps de penser au brahman.
- Question : Pourquoi suis-je né ?
- Maharshi : Qui est né ? La réponse est la même pour toutes vos questions.
- Question : Qui suis-je alors ?
- Maharshi : (avec un sourire) Êtes-vous venu ici pour me faire passer un examen et m’interroger ?
C’est à vous de dire qui vous êtes.
- Question : Lorsque je dors, l’âme sort du corps et demeure quelque part. Quand elle rentre, je me réveille. Est-ce ainsi que les choses se passent ?
- Maharshi : Qu’est-ce qui quitte le corps ?
- Question : C’est peut-être une force.
- Maharshi : Trouvez cette force.
- Question : Le corps est composé de cinq éléments. Quels sont-ils ?
- Maharshi : Sans connaître le Soi, comment pouvez-vous envisager de connaître les éléments ?
Le jeune homme resta un moment assis et puis partit après en avoir demandé la permission. Le Maître remarqua par la suite : « C’est bien, ça marchera ».

5 JUILLET 1935 - SUR LE MAUNA (LE SILENCE)
Entretien 60. Shrî Bhagavân : Le silence de la solitude est forcé. La retenue de la parole en société équivaut au silence. Car c’est alors que l’homme contrôle sa parole. Il faut que celui qui parle existe avant de parler. S’il est engagé ailleurs, la parole est retenue ; le mental tourné vers l’intérieur est occupé à autre chose et ne tient pas à parler.
Le mauna, conçu comme une mesure de discipline, a pour objet de limiter les activités du mental provoquées par la parole. Si le mental est déjà contrôlé, la discipline de mauna n’est pas nécessaire, car alors, le mauna devient naturel.
Vidyâranya a dit que douze années de mauna forcé entraînent le mauna absolu, c’est-à-dire rendent incapable de parler. Cet état ressemble plus à celui d’un animal muet qu’à autre chose. Cela n’est pas le mauna.
Le mauna est éloquence incessante. L’inactivité est activité constante [le Wou-wei ou Wuwéi : le "non-agir" de la Taoïcité, ou plus vulgairement : le "lâcher-prise”].

La Voie naturelle du Silence (comparable à la Vraie Télépathie) est ainsi la résolution et fin du dilemme Moi-individuel/Moi-collectif, dégageant non seulement des normes du social et de son inconscient collectif et des évidences toutes faites, pour amener naturelle le ‘Je’, LA SINGULARITÉ, LA VOIE DU TROU-VÈRE OU VOIE DU SILENCE : la vision du Trou ne saurait se faire en VÉRITÉ que dans le Trou, c’est-à-dire dans le SILENCE, car dans le Trou, il n’y a rien d’autre que le Trou, et donc pas de Trou à argumenter, à palabrer sans fin sans la chaine de causes et effets explicative en verbiage. C’est le SAVOIR, POUVOIR, OSER, SE TAIRE = cacher, enterrer et taire la Source (« Mors ultima linea rerum est »).

Le socialiste ou le consommateur dans son « vivre ensemble » de couverture sociale ignore que La Réalisation est une prière à soi-même, une forme de louange à soi-même horriblement caricaturée en particulier par la mode Queer et autres manifestations corporelles exhibitionnistes sociales du LGBTQIA-isme ou du syndicalisme, même Thème, qui restent inconscients du sens du « QUI SUIS-JE ? » en croyance que c’est uniquement le corps et qu’ils peuvent l’HABILLER, CHANGER DE PACKAGING COMME SUIVANT LE COURS DU MARCHÉ, COMME LE CAPITALISME ACCOMPAGNÉ DE SON RÉGIME RÉPUBLICAIN FONT DANS LE « PLUS ÇA CHANGE ET PLUS C’EST LA MÊME CHOSE » AFIN DE SE MAINTENIR EN VIE TEL « L’OISEAU PHÉNIX », SOIT CHERCHER À DEVENIR « ÉTERNEL »….. Ainsi les rouages du capitalisme dont font la partie les LGBTQIA, le réchauffisme climatique anthropique, le covidisme, le capitalisme vert ou la ”transition écologique”, etc., jusqu’aux projets de l’Agenda 2030 érigent-ils leur croyance de caricature du « Qui suis-je ? » en un dogme totalitaire, alors que leur croyance au corps ne peut que les concerner eux-mêmes, et que par conséquence leur croyance est nécessairement LIMITÉE et est aucunement un rayonnement libératoire et une Vraie Paix, une Vérité Absolue pouvant être imposée à toute la planète ! D’où ces impitoyables luttes entre croyances qui rivalisent dans leur dualité winners-losers, se rejettent les unes les autres, conséquence de la TYRANNIE DE L’OPINION, CETTE FAUSSE LOI DE SUCCION.
IL N’Y A QU’UNE SEULE VRAIE LOI DE SUCCION : la réalisation telle mentionnée dans l’entretien 56 ci-dessus.

Le phénomène Queer, le réchaufisme anthropique, le covidisme, la ”transition écologique”, etc., est donc un avatar de la vision de « la Forme de Dieu » [et son Nom], UNE CHRISTOLOGIE THÉOPHANIQUE INCARNATIONNISTE : LA CHAIR OU CORPS ET L’HISTOIRE, LE COMPUT DES CALENDRIERS OU LA MÊME SOUPE POUR TOUS.
Ce phénomène du MONOTHÉISME UNILATÉRAL DÉMOCRATIQUE MERCANTILE telle qu’il peut être configuré par une imagination créatrice ignorante totalement de son Soi et sous influence d’un ÉGRÉGORE désormais autonome, et CONFONDU EN CET ORGUEIL DE BOULIMIE, EN CETTE GOINFRERIE POLITICO-SPIRITUELLE ISSUE DU COURANT DES TIQOUNISTES EN CE MONOTHÉISME UNILATÉRAL QUI EST DEVENUE UNE CROYANCE IMPOSÉE COLLECTIVEMENT À TOUS, COMME SI ELLE ÉTAIT ISSUE DU PLUS PROFOND DE L’ÊTRE HUMAIN, C’EST-À-DIRE ISSUE DE SON SOI OU DE SA CONSCIENCE INFINE, comme si par enchantement l’être humain avait par miracle ENFIN APRÈS DE LONGS MILLÉNAIRES D’ERRANCE fait « société » avec lui-même au plus profond de son être, et qu’il re-naissait une seconde fois à l’état de « SAINT RÉPUBLICAIN », et qu’ainsi il pouvait désormais avoir des relations authentiques absolues avec ses semblables et avec évidemment toutes les autres formes de vie ; bien-sûr il n’en est rien c’est le contraire qui se réalise, le seul mot « écologie » ou « transition écologique » le prouve !!!
Ce phénomène en une Réalisation du Soi inversé, dans la RACINE DU MAL LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS RESSEMBLE COMPLÈTEMENT À LA RELIGION FRANÇAISE DE SA LAÏCITÉ ”INCLUSIVE” : elle fait semblant de ne pas s’imposer, ce ne serait pas « démocratique » ou pas « libéral », afin d’être bénéfique à l’ensemble de la communauté, tout en s’imaginant que ses paroissiens dès leur berceau seraient d’accord de façon innée avec leur concept de croyance en laïcité et ses principes. La laïcité à la française est une inquisition déguisée en forme de neutralité qui déniera ce qu’elle fait à l’instant où elle le fait, afin de pouvoir en faire plus sans avoir à s’expliquer, puisqu’elle a dénié ce qu’elle était en train de faire ! C’est exactement le principe de l’INQUISITION et de la Tchéka police politique de l’URSS qui copie l’Inquisition. Car en URSS comme en régime républicain étatique il s’agit de défendre un DOGME, appelé aussi ‘Valeur’, c’est-à-dire une position du mental qui, pour l’accusation ou le pouvoir, est censée être implicitement acceptée par tout le monde, comme la laïcité, comme un centre, une convention, dont on ne doit pas s’écarter sous peine de raisonnement faux. Aussi, si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux, et dans le régime actuel, le pouvoir envoie ses opposants en hôpital psychiatrique.
Auparavant, l’État pouvait s’appuyer sur l’Église de Rome pour gouverner les consciences avec les paroisses et les prédicateurs, les confesseurs et les directeurs de conscience. Maintenant, c’est fini. L’État n’a plus de recours et se trouve face à face avec ses plus de soixante millions de consciences... et en plus consommateurs ; ainsi la manipulation de l’opinion et le mensonge devient la règle de base de l’État républicain et de toute démocratie mercantile.

NOUS SOMMES BIEN EN PRÉSENCE DE LA PIRE DES IDOLÂTRIES de se donner en jouissance en publique, en CROYANT éliminer le Moi-individuel par des caricatures Queer en parfait nouveau conformisme révolutionnaire s’imaginant la « liberté » de pensée et d’être, cette croyance qu’éliminer le Moi-individuel pour devenir « conforme » ferait accéder au « paradis ». 1789 a déjà utilisé ce poncif avec son conformisme révolutionnaire du citoyenisme pourvoyeur des « Plus ça change et plus c’est la même chose », et son « pouvoir d’achat » de tout obtenir, et même LA VÉRITÉ !!!

Par la mode Queer et du LGBTQIA, le plus visible de l’iceberg du capitalisme mourant, par leur tentative de caricaturer le « Qui suis-je ? » en la croyance que changer de sexe, À L’ÉTAT DE VEILLE, ce serait ça leur Réalisation du Soi et donc de Re-trouver leur Félicité naturelle, il y a bien une tentative de l’ÉGRÉGORE ISSU DE CES CROYANCES EN UNE FAUSSE LOUANGE À SOI-MÊME DÉRIVANT VERS UNE GLOUTONNERIE SPIRITUALO-LIBÉRATOIRE MARCHANDE TENDANT VERS L’IMPOSITION D’UNE CROYANCE COLLECTIVE À TOUTE LA PLANÈTE (croyance facilitée par la technologie), puisque l’Union européenne à travers sa structure Erasmus a ainsi affecté 200.000 euros pour que les jeunes puissent être initiés au monde des Drag Queens…

La Réalisation du Soi ne peut pas être réalisé en aidant les jeunes à être « initiés » au monde des Drag Queens. C’est non seulement ignorer le vrai sens du mot initiation et vouloir les programmer selon les normes communes édictées par deS forts en ego et en argent et donc par les cancéreux du Pour-Voir (exécutif).
INITIATION = LE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE : la voie d’accès à la vision du EST de toutes choses, c’est-à-dire à partir des Essences (2). Retournement de la Lumière qui se réalise sans la dualité Dedans-Dehors inhérente aux sens et à leurs perceptions du sensible dans le spatio-temporel, le Dehors : ce qui fait que l’intellect n’est plus conditionné à n’utiliser que les observations puisées dans le monde sensible des phénomènes, mais porte ses jugements dans un Dialogue, le Retournement, avec la Conscience infinie. Ce Retournement de la Lumière ne se fait plus à partir de calculs ou de déductions ou d’idéations à partir des accidents du spatio-temporel qui sont le fonctionnement de ce qui est appelée « raison » ; mais il se fait par un dialogue DANS L’INSTANT entre l’intellect et le Soi.
L’initiation ce n’est plus dans les accidents de l’espace-temps qu’on recherche des critères de jugement, qu’on essaye de deviner comme au travers d’un voile ce que sont les Essences, mais c’est à partir des Essences (les EST de toutes choses ou leur « Je suis ce je suis ») que sont jugés les accidents ou PHÉNOMÈNES. Être initié, c’est être passé au-delà d’une barrière, d’un pont ou d'une Gate, et celui qui fait passer le pont est le Pontife. Ainsi ce ne sont nullement des résultats d’attitudes du behaviorisme comportemental et moral, lesquelles ne sont qu’une esthétique du sentiment, d’une expression de la croyance au corps confondu avec le Soi, attitudes du sentiment nécessairement variable dans la multiplicité indéfinie des situations concrètes, des complexes, des accidents ou phénomènes dans l’espace-temps (c’est d’ailleurs là que se font prendre au piège les pharisiens et de nos jours les LGBTQIA, etc.)
L’Union européenne avec son don de 200.000 euros pour « initier les jeunes au monde des Drag Queens » se situe bien dans la conscience relativiste ou profane qui prétend situer le « Je suis ce JE SUIS », ou le EST, à partir des accidents ou phénomènes devant construire le ‘Je’, comme si c’était le ‘je’, l’ego ou le corps qui devait produire les Essences (2), il y a inversion.

Il y a inversion parce que la Réalisation du Soi, donc l’Initiation de Soi-même est le Thème de la Fontaine de Jouvence ou ZÉRO INDIEN : LE DISCONTINUE DE LA NATURE (de chaque Réalisé), ET NULLEMENT LE TISSUS OU TRAME DE LA CAUSALITÉ DANS LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS QUI EST INEXISTENTE EN ELLE-MÊME PUISQUE TOUT EST DANS TOUT, ET QUE CETTE CAUSALITÉ DU DEHORS EST UNE ABSTRACTION POUR LES RÉALISÉS QUI LA VOIENT.
Ce qui existe, c’est le Réalisé, la Per-sonne, tandis que les « faits », dans le Dehors du sujet, le réalisé, ne sont que des phénomènes ; mais pour les ignorants pris aux pièges de la dialectique matérialiste historique les « faits » constituent ce qu’ils appellent « la réalité » (ou l’objectivité).
INITIATION = LE SURFEU, LA PUTRÉFACTION OU LE FLÉAU : MORT ET RÉSURRECTION DE L’INITIÉ, RÉVÉLATION OU ÉVEIL AUTHENTIQUE.

« Lorsqu’on utilise cette technique [du Retournement de la Lumière] pour la première fois, on a l’impression d’un non-être dans l’être. Mais une fois le travail achevé, quand on a un corps au-delà du corps, on a l’impression d’un être dans le non-être [le « sentiment océanique » de Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux] ».
« Ce n’est qu’au bout de cent jours de travail concentré que la lumière est réel, qu’elle est le feu du mental. Car au bout de cent jours, la lumière jaillit spontanément : de même que le rapport entre une femme et un homme forme l’embryon, soudain, d’un point d’authentique énergie positive, surgit une perle. Il convient de l’observer, calmement, tranquillement. Le retournement de la lumière est le processus de « mise à feu ». […] La Lumière n’est ni en soi ni en dehors de soi. Les montagnes, les rivières, le soleil, la lune et toute la Terre participent aussi de cette Lumière qui ne se trouve pas seulement en soi. Toutes les opérations de l’intelligence, la connaissance et la sagesse, participent également de cette Lumière qui ne se trouve donc pas en dehors de soi. De même que la Lumière du ciel et de la terre emplit l’univers, la Lumière d’un seul Être s’étend naturellement aux cieux et embrasse la Terre. Voilà pourquoi si l’on retourne la Lumière, le monde entier se retourne également », dit si clairement le Secret de la Fleur d’Or. Centrum Centri, se concentrer là-dessus « pour passer la Porte [Stargate] », pour vivre le Point Focal…

Dans la Réalisation du Soi, l’Initié est dans la Demeure sans Demeure, le « Fixe Cavalant », il a passé le Pont ou le Gate gate…, et lui seul peut le savoir, d’où l’aspect de SINGULARITÉ, D’IDIOTÈS, DE VIERGE NOIRE, DE TROU mentionné plus haut…
UN PHÉNOMÈNE NE PEUT EN EXAMINER UN AUTRE [LE TROU] ; soit une forme donnée que l’on voit apparaître dans un clair miroir en pensant que l’on voit une image. La forme et l’apparence de son reflet se manifestent comme deux choses différentes. De même en est-il pour la pensée ainsi produite et pour l’objet de recueillement (saisie) appelé « reflet », ou « image » : ils nous apparaissent comme des objets différents. Bref, ces images ne sont que des pensées et rien de plus.

Notes.
1. ÉTAT DE DROIT (d’après le juriste et psychiatre Pierre Legendre) : fondé sur le principe de la « raison », donc sur la France des gens riches qui se voulaient « philosophes » : les « lumières », et la France de Pasteur, selon la leçon du Prof. Macron.
Pierre Legendre, dans Le crime du caporal Lortie : « Je dirais, c’est une construction culturelle [?] d’une image fondatrice [inconscient collectif ?], grâce à laquelle toute société définit son propre mode de rationalité [c’est-à-dire que si deux individus sont d’une même opinion, ils fondent déjà une société, UNE CONVENTION] », « c’est-à-dire l’attitude de l’IMAGE, DE L’ILLUSION devant le questionnement humain sur la causalité ».
Pour Legendre cette construction du mental produit un « certain type d’institutions, une politique de la causalité [donc de la pure dualité guerrière ou d’opinion], dont procède ce montage de l’interdit [donc nécessairement de la LIMITATION PAR FRUSTRATION ET DE LA SOUMISSION] que nous appelons en Occident l’État et le Droit ».

« Selon cette perspective, le système institutionnel, porté par l’image fondatrice [causale genre Big Bang ou la Cause, la convention, LE CONTRAT, L’AGRÉGAT ou le faire comme tout le monde], a pour fonction de transmettre la Raison [la pensée si mortifère et paradoxalement utilitaire… sens d’outil…], d’inscrire la reproduction humaine dans ses rapports de causalité, de perpétuer l’interdit [l’inceste et le cannibalisme principalement], à travers les générations [donc en réseau…]. Ainsi une société n’est-elle pas un bétail d’individus comptabilisables [là, ERREUR MONUMENTAL de Legendre puisque nous sommes tous devenus des marchandises numérisables], mais dans le principe une composition historique [causisme et Histoire-Opinions-Temps] de sujets différenciés [non résolution du dilemme Moi-Individuel/Moi-Collectif]. De la sorte, nous naissons tous présumés raisonnables. Cette condition impose à la folie statut de décomposition, soit, en termes de tradition européenne, statut de maladie de l’esprit [seulement point de vue de Legendre et non certitude]. À proprement parler, l’esprit se défait (de-mentia) ».
Nous retrouvons là le même principe de construction de grumeaux selon les deux Anglais qui s’harmonisent pour former en premier, un match de football, et en second, avec un troisième Anglais, former pourquoi pas un Empire. PREUVE DE LA FRAGILITÉ EXTRÊME DE L’ESPÈCE HUMAINE. Ainsi, dans un système étatique, pas de différence entre une « démocratie » à l’occidentale et « État de droit » et le régime stalinien, hitlérien ou maoïste, ou de Mussolini, ce n’est QU’UNE QUESTION DE DEGRÉ…

Page 51 du livre de Legendre cité, il considère en note de bas de page UNIQUEMENT LE CORPS, LE SPATIO-TEMPOREL, L’EGO ou POSSESSION : « Dans cette perspective [celle du politisme lié à l’étatisme], il s’agit de notifier qu’aucun humain, en tant que sujet de la parole [donc seulement du mental et des cinq sens, et du conventionnel], n’a le pouvoir de se soustraire à son statut dans l’espèce »…. Encore la croyance, croyance… Et « Circulez ya rien à voir », c’est le ravage du fixisme, du dogme, le ravage du langage sonore tout simplement. Legendre ne jure que par la causalité : « la Loi des lois », donc ce qu’il appelle comme les perruques poudrées du 18è siècle : « la raison », le mental killer. Il associe ce mental à un PATRIARCAT, une paternité qui « institue la Raison des fils [sens du droit romain] ». Par contre Pierre Legendre reconnaît parfaitement en page 53 que « les sociétés techno-scientifiques sont prisonnières d’un engrenage [l’évolutionnisme] : des accès aveugles de moralisation [et de sentimentalisme en isme] et de répression, entrecroisés dans le discours gestionnaire du sujet libre ».

2. Le mot « Essence » peut se définir à travers l’entretien 363 du 20-2-1937 de Ramana Maharshi, le mot guide : « Par « guides spirituels », nous entendons ceux qui sont « spirituels » [entre guillemets parce que ce mot est un fourre-tout] par opposition à ceux qui sont « matériels ». L’Esprit est illimité et sans forme. Il en est de même du centre spirituel. Il n’y a qu’un seul centre de cette sorte. Que ce soit en Occident ou en Orient, il ne peut être différent ; ni être localisé d’aucune manière. Étant illimité, il inclut les guides, les hommes, le monde, les forces de destruction et de construction. Il n’y a pas de distinction. Vous parlez d’établir des contacts parce que vous pensez que les guides spirituels sont des êtres incarnés. Mais les hommes spirituels ne sont pas des corps ; ils n’ont pas conscience de leur corps. Ils ne sont qu’esprit, sans limite et sans forme. Ils sont toujours en unité entre eux et avec tous les autres ; bien plus, ils englobent tout.
L’Esprit est le Soi. Si le Soi est réalisé, ces questions ne peuvent pas s’élever ».

ESSENCE = CE QUE NE PEUT JAMAIS ÊTRE ILLUSOIRE, PARCE QUE LA SEULE RÉALITÉ (ce qui EST perdure à jamais. Ce qui apparaît nouvellement doit aussi disparaître).
« Le Soi ne peut jamais être illusoire. Il est la seule Réalité. Ce qui apparaît doit également disparaître, ce n’est pas permanent. Le Soi n’apparaît jamais et ne disparaît jamais, il est donc permanent ». (Entretien 363).
 
 

Dernière mise à jour : 20-07-2022 02:37

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