Respiration ou Dieu brasse dans les 2 sens
 

Ecrit par Sechy, le 05-08-2022 04:42

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Tags : Addiction, Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Echo, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Yi King, Yokai

 
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Respiration ou Dieu brasse dans les 2 sens
comme Shiva-Arunâchala : Dissolution-Destruction
(des souffrances) et Transformation.
Comme le dit le Nouveau Testament, l’humain soumit à l’ego
respire pourtant naturellement, comme s’il aspirait ardemment
à la Félicité (l’état du Premier Homme au Paradis) ;
cette expire-inspire innée des noms-les-formes sont leur
prière intérieure, il n’y a pas à l’apprendre, elle est
au fond de tous les noms-les-formes.
 
Félicité ou ”Paradis” = FONTAINE DE JOUVENCE,
ou LA TRINQ (la Divine Bouteille), qui se traduit
de nos jours frelatés de capitalisme républicain par :
« Pouvoir d’Achat », devenu quasiment sacré,
avec le mot « consommateur » ou « citoyen » !

Non, non, la Divine Bouteille ce n’est pas ce que
le régime appelle depuis le siècle français des
loupiotes « raison », mais plutôt la LUMIÈRE du
Retournement de la Lumière : le QUI SUIS-JE ?
ME DÉCOUVRIR « ÊTRE », et non plus un citoyen
à côté d’autres citoyens, les consommateurs.
Car la « raison » du siècle des loupiotes n’est que
du MESSIANISME, DE LA PROJECTION, DU VIRTUEL(1),
car l’intellect ou idéation opère non seulement
en séquences de petits bouts de machins mais opère
seulement sur ce qui est déjà passé.
Il arrive vivant, mais saisit par le mental l’objet
marié à la conscience est mort, car la raison ne
se nourrit que de substance morte.
L’acte de la raison ou de cognition, le calcul,
massacre, coagule ou fixe la perception vivante.



« Lorsqu’un homme meurt, on prépare le bûcher funéraire et on y dépose son corps. Puis on allume le feu. La peau est brûlée, puis la chair, les os, jusqu’à ce que le corps entier soit réduit en cendres. Que reste-t-il après ? Le mental. La question se pose : « Combien y a-t-il de personnes dans ce corps, une ou deux ? » S’il y en a deux, pourquoi dit-on ‘je’ et non pas « nous » ? Il n’y en a donc qu’une seule. D’où naît-elle ? Quelle est son essence (svarûpa) ? Lorsqu’on poursuit cette enquête le mental disparaît lui aussi. Ce qui reste alors est perçu comme étant ‘Je’. Puis, s’élève la question :
« Qui suis-je ? » Le Soi seul. C’est cela la contemplation. C’est ainsi que j’ai procédé. En suivant cette méthode, l’attachement au corps (deha-vâsanâ) est détruit. L’ego s’évanouit. Seul brille le Soi.
Une autre méthode pour obtenir la dissolution du mental (manolaya) consiste à se tenir en la compagnie des grands – ceux qui ont atteint le yoga (yogarûdha). Ils ont une parfaite expérience du samâdhi [Contemplation]. La réalisation du Soi a été pour eux chose aisée, naturelle, et ils y demeurent perpétuellement. Ceux qui vivent en étroit contact avec eux et en affinité s’imprègnent peu à peu de leur habitude du samâdhi ». (Ramana Maharshi, entretien 34).

NON, NON, NON, LA TRINQ CE N’EST PAS LA LOI DE SUCCION À LA VALEUR (ajoutée) OU AU « MIEUX » MORTIFÈRE !!!
Tout ce qui est « valeur » est désormais perdition, car le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu et donc possédé.
« MIEUX » = A-PRENDRE = TYRANNIE DE L’OPINION (« C’est parce que vous désirez apprendre que la discussion est inévitable. Laissez tout cela de côté ». Ramana Maharshi, entretien 264 du 20-10-1936).

Le « Mieux » du projet de « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » sera une catastrophe de plus du capital qui n’œuvre par la mort de tout ce qu’il émet. Tout ce que le capital calcul ou pense et produit est STÉRILE, PASTEURISÉ, PFIZERISÉ.
Le « Mieux » mortifère du capital se retrouve dans la démence du SÉCURITAIRE commencée au 11 septembre 2001 : ingénierie sociale numérique, caméra de surveillance à tous les coins de rue, lois contre le moindre pet de travers et en prison les dévergondés et autres « terroriste »… Le « Mieux » contre les opposants au régime se traduit par l’augmentation des opposants… ce qui fabrique désormais l’inévitable SOCIÉTÉ FOURMILIÈRE : LA QUANTITÉ (2), LES TROUPEAUX, MAIS L’OLIGARCHIE DU HAUT DE SA PYRAMIDE REFUSE LES PÈRES-SONNENT, C’EST-À-DIRE LES ÊTRES DANS LE SENS QUALITATIF. Cela ne peut mener qu’à UNE GUERRE CIVILE MONDIALE, car la recherche de l’uniformité des choses qu’on donne à sentir et à vivre, ne peut tendre qu’à l’uniformité des cerveaux, impossible à atteindre, mais JAMAIS À LA TRINQ, JAMAIS À LA FÉLICITÉ.

La TRINQ ou LOI DE SUCCION, L’ATTRACTION ”UNIVERSELLE”, Loi de Succion autrement plus concrète dans la vie ici-bas que le machin « attraction ”universelle” » à la mode science-fiction moderne. En effet, le premier acte de tous les noms-les-formes du plus petit grain de poussière jusqu’au marmot de l’humain est de sucer tout ce qui passe à sa portée, comme une attraction, comme un aimant-amant. C’est par la succion qu’il s’assimile pour se maintenir vivant, et qu’il transforme en lui-même, PAR LE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE OU LE « QUI SUIS-JE ? ». C’est l’EUCHARISTIE, la Vraie Loi de Succion, évidemment pas celle de nos jours : « le pouvoir d’achat » dont le produit est distribué par l’idolâtrie de la marchandises et distribué à nouveaux par le cul, sous forme d’excrément, l’inconscient collectif appelle ça maintenant : « CONSOMMATION », « CONSOMMATEUR ».

Il n’y a pas pire SURFACE que cette société de consommation-consommateur et son pouvoir d’achat. Tout AU DEHORS, rien au Dedans : du berceau au tombeau Nous ne voyons jamais le Dedans de Nous-mêmes et de quoi que ce soit, car quoi que Nous fassions et quelle que soit la direction vers laquelle Nous nous tournions, nos cinq sens tombent toujours sur des SURFACES, DES VOILES, DES RIDEAUX, LESQUELS SONT TRIDIMENSIONNELS, COMME LE SONT NOS SENS ET AUCUN DOUTE COMME L’EST ÉGALEMENT LE RÉSULTAT DU CALCUL PAR NOS SENS (suffit de voir le succès dans l’entertainment avec le relief ou la 3D., toujours les calculs et la perpective qui fit fureur en Europe à la Renaissance, là encore poursuite de la Félicité naturelle).

OÙ SE TROUVE LA RACINE DU MAL, LA SAISIE ?
Mais en Occident dans une civilisation prétendument chrétienne !

Dans une civilisation de l’ego ou de l’individualisme triomphant dans le capitalisme et sa « fraternité-liberté-égalité » commerçante où le PLAISIR DE CONSOMMER est la seule activité du berceau au tombeau. Un plaisir qui pourra se transformer en viol, en meurtre et en violence sans freins ni fin, d’où d’ailleurs l’amplification de tout sécuritaire aboutissant à la société fourmilière ou au totalitarisme autoritaire.
Pouvoir d’achat = fabrication des besoins, fabrication des consommateurs perpétuellement insatisfait pour faire vendre, comme le malade ne doit jamais être guérit, sinon l’industrie de Big Pharma ferait faillite, aussi on « soulage » seulement le malade, ON LE SÉCURISE… Un médicament ou une lessive ça doit rapporter à ses actionnaires. L’aliénation de l’individu provoquée par le « pouvoir d’achat » devient elle-même une marchandise : elle se tourne uniquement VERS LE DEHORS, vers le « monde moderne » en abandonnant la RICHESSE DU DEDANS et propose À LA PLACE LA CONSOMMATION DU DEHORS COMME UNIQUE MÉDECINE. C’EST LA RACINE DU MAL.
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion ou Eucharistie (dans son
sens en la croyance au corps ou attraction ”universelle”].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir,
du Sans-Forme, la gloutonnerie spirituelle].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans
l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors,
lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable,
chapitre V, 14)
Ils sont introuvables pour la raison naturelle
que Nous sommes l’Univers et que la racine du
mal fait SORTIR de l’Univers comme pour l’examiner
et POUR-VOIR comment il fonctionne : ON SORT DU TROU
POUR EXAMINER LE TROU, et comme dans un Trou il
n’y a rien à voir pas même le Trou :
C’EST LA CHUTE : SORTIR, DEHORS, SAISIR…


POUVOIR D’ACHAT = PROPAGANDE DU RÉGIME CAPITALO-RÉPUBLICAIN DANS LA LOGIQUE DU TOUT SÉCURITAIRE = EMPÊCHER TOUTE PROTESTATION ET TOUTE RÉBELLION OU REMISE EN CAUSE.
Le salarié fatigué sans même qu’il s’en rende vraiment compte au lieu de changer sa condition de vie, cherche à se revigorer en renouvelant la peinturlure de son existence au moyen de nouvelles marchandises et de services supplémentaires dans son covid « pouvoir d’achat ».


Seul le ‘Je’ ou seul celui qui VOIT est réel, et certainement pas le « monde » ou le « ce qui est vu » : « Vous ne voyez les objets que lorsque vous oubliez votre propre Soi. Maintenez-vous dans le Soi et vous ne verrez pas le monde objectif ». (Ramana Maharshi, entretien 6 du 15-5-1935).

« Êtes-vous dans le monde, ou le monde est-il en vous ? Vous devez admettre que vous ne percevez pas le monde dans votre sommeil, bien que vous ne puissiez pas y nier votre existence. Le monde apparaît quand vous vous réveillez. Où est-il alors ? Il est clair que le monde n’est autre que votre pensée.
Les pensées sont vos projections. Le ‘je’ est créé en premier et ensuite vient le monde. Le monde est créé par le ‘je’ [l’ego] qui, à son tour, s’élève du Soi. L’énigme de la création du monde est donc résolue si vous résolvez la création du ‘je’. C’est pourquoi je dis : trouvez votre Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 455 du 10-2-1938).

- Maharshi : Êtes-vous dans le monde ? Ou bien le monde est-il en vous ?
- Question : Je ne comprends pas. Le monde est, sans aucun doute, autour de moi.
- Maharshi : Vous parlez du monde et des événements qui s’y déroulent. Ils ne sont que des idées en vous. Ces idées sont dans le mental. Et le mental est en vous. Donc le monde est en vous.
- Question : Je ne vous suis pas. Même si je ne pense pas au monde, il n’en existe pas moins.
- Maharshi : Voulez-vous dire que le monde est séparé du mental et qu’il peut exister en l’absence de celui-ci ?
- Question : Oui.
- Maharshi : Le monde existe-t-il dans votre sommeil profond ?
- Question : Il existe.
- Maharshi. : Le voyez-vous dans votre sommeil ?
- Question : Non, pas moi. Mais les autres qui restent éveillés le voient.
- Maharshi : Dans votre sommeil, en étiez-vous consciente ? Ou ne serait-ce pas plutôt maintenant que vous savez que les autres voient le monde ?
- Question : Oui, dans mon état de veille.
- Maharshi. : Vous parlez donc de votre perception du monde à l’état de veille et non pas de votre expérience dans le sommeil. Vous admettez l’existence du monde dans les états de veille et de rêve parce qu’ils sont le produit du mental. Le mental se retire durant le sommeil profond et le monde se trouve dans la condition d’une graine. Au réveil, le monde se manifeste à nouveau. L’ego s’élance, s’identifie avec le corps et voit le monde. Ainsi, le monde est bien une création du mental.
- Question : Comment cela se peut-il ?
- Maharshi : Ne créez-vous pas un monde dans votre rêve ? L’état de veille est également un rêve, mais prolongé. Il faut qu’il y ait quelqu’un qui voie les expériences du rêve et du sommeil. Qui est-il ? Est-ce le corps ?
- Question : Il ne peut pas l’être.
- Maharshi : Est-ce le mental ?
- Question : Ce doit être lui.
- Maharshi : Mais vous existez aussi en l’absence du mental.
- Question : Comment ça ?
- Maharshi : Oui, en sommeil profond.
- Question : Je ne sais pas si j’existe alors.
- Maharshi : Si vous n’existiez pas, comment pourriez-vous vous souvenir de vos expériences d’hier ?
Est-il possible qu’il y ait eu une cassure dans la continuité du ‘je’ durant le sommeil ?
- Question : C’est possible.
- Maharshi : Si c’était le cas, un Johnson pourrait alors se réveiller comme un Benson. Comment l’identité de l’individu est-elle alors maintenue dans ces conditions ?
- Question : Je n’en sais rien.
- Maharshi : Si cet argument n’est pas clair, suivez alors un autre raisonnement. Vous admettez « J’ai bien dormi », « Je me sens reposé après un bon sommeil ». Vous avez donc fait l’expérience du sommeil. Celui qui a fait cette expérience s’identifie maintenant avec le ‘je’ de celui qui parle. Ce même ‘je’ doit avoir existé aussi durant le sommeil.
- Question : Oui.
- Maharshi : Donc le ‘je’ a existé durant le sommeil. Si le monde s’y trouvait aussi, vous a-t-il dit qu’il existait ?
- Question : Non. Mais le monde me prouve maintenant qu’il existe. Même si je nie son existence, lorsque je me heurte à une pierre et blesse mon pied, la blessure me prouve l’existence de la pierre et donc celle du monde.
- Maharshi : C’est cela. La pierre blesse le pied. Le pied dit-il qu’il y a une pierre ?
- Question : Non, moi ‘je’ le dis.
- Maharshi : Qui est ce ‘je’ ? Il ne peut être le corps, ni le mental, comme nous l’avons déjà vu. Ce ‘je’ est celui qui fait l’expérience des états de veille, de rêve et de sommeil profond. Ces trois états sont des changements qui n’affectent pas [l’identité de] l’individu. Les expériences sont comme des images qui défilent sur un écran de cinéma. L’apparition et la disparition des images n’affectent pas l’écran. Ainsi, les trois états alternent successivement laissant le Soi non affecté. Les états de veille et de rêve sont des créations du mental. Le Soi les englobe toutes. Savoir que le Soi demeure heureux dans sa perfection est la réalisation du Soi. C’est la réalisation de la Perfection et ainsi du Bonheur.
- Question : Le bonheur de la réalisation du Soi peut-il être complet si l’on ne contribue pas au bonheur du monde ? Comment peut-on être heureux quand il y a une guerre en Espagne, une guerre en Chine etc. ? N’est-ce pas de l’égoïsme que de rester dans l’état de Réalisation sans aider le monde ?
- Maharshi : On vient de vous démontrer que le Soi englobe tout l’Univers et le transcende aussi. Le monde ne peut rester séparé du Soi. Si la réalisation d’un tel Soi est appelée égoïsme, cet égoïsme doit aussi englober le monde. Il n’y a là rien de méprisable.
- Question : Les êtres réalisés ne continuent-ils pas à vivre comme les êtres non réalisés ?
- Maharshi : Oui. Avec cette différence que l’être réalisé ne voit pas le monde comme séparé du Soi. Il possède la véritable connaissance et le bonheur intérieur d’un Être parfait. Tandis que l’être non réalisé voit le monde comme séparé [éjection du Paradis], ressent son imperfection [d’où la course indéfinie au « mieux »] et en devient malheureux. Autrement, leur comportement extérieur est semblable.
- Question : L’être réalisé sait donc, comme les autres, que des guerres font rage dans le monde.
- Maharshi : Oui.
- Question : Comment peut-il alors être heureux ?
- Maharshi : L’écran de cinéma est-il affecté par des scènes d’incendie ou d’inondation ? Il en est de même avec le Soi.
L’idée « je suis le corps ou le mental » est si enracinée qu’il est difficile de s’en défaire, même quand on est convaincu du contraire. Quand on a fait un rêve, on sait au réveil qu’il était irréel ; et l’expérience de veille devient irréelle dans les autres états. Par conséquent, chaque état contredit les autres. Ils ne sont donc que des états changeants qui se déroulent dans la conscience de celui qui les perçoit. Ce sont des phénomènes apparaissant dans le Soi qui, lui, ne change pas et reste non affecté par eux.
Tout Tout comme les états de veille, de rêve et de sommeil profond ne sont que des phénomènes, la naissance, la croissance et la mort ne sont, elles aussi, que des phénomènes dans le Soi, lequel continue à demeurer inchangé et non affecté. Naissance et mort ne sont que des idées. Elles relèvent du corps ou du mental. Le Soi existait avant la naissance de ce corps et demeurera après la mort de celui-ci. Il en est de même de tous les corps qui ont été pris successivement. Le Soi est immortel. Les phénomènes changent et sont mortels. La peur de la mort relève du corps, pas du Soi. Une telle peur est due à l’ignorance. Réalisation signifie vraie connaissance de la perfection et de l’immortalité du Soi. La mortalité n’est qu’une idée qui cause la souffrance. Vous pouvez vous en débarrasser en réalisant la nature immortelle du Soi.
(Entretien 487 du 2-5-1938).

L’ÂGE D’OR est toujours là, seuls quelques humains au gros ego foutent dans la tragédie leurs semblables : « Rappelez-vous l’exemple de la femme qui croyait avoir perdu le collier qu’elle portait au cou. On ne voit pas le monde ou son propre corps en étant loin du Soi. On est toujours le Soi et c’est ainsi qu’on voit tout le reste. Dieu et le monde, tout est dans le Coeur. Voyez celui qui voit et vous trouverez que tout est le Soi. Changez votre façon de voir. Regardez vers l’intérieur. Trouvez le Soi. Qui est le substrat du sujet et de l’objet ? Trouvez-le et tous vos problèmes seront résolus ». (Ramana Maharshi, entretien 331 du 18-1-1937).

L’ordinateur ne peut pas tuer l’Âge d’Or, la « raison » issue du siècle de loupiotes a inventé l’ordinateur, lequel est en train de tuer l’humain, son créateur, en le rendant loser, INUTILE dans la conduite des affaires dans le spatio-temporel, en supprimant ce qu’il croyait être sa raison d’Être. L’intellect humain engendre depuis près de 80 ans sa propre négation et meurt en accouchant de l’ordinateur. L’humain est mis en équation pour devenir robot-marchandise : le consommateur. Aussi c’est plus que jamais maintenant le temps du QUI SUIS-JE ? Le ÊTRE du Jardin d’Eden ou Âge d’Or.

LE SALARIAT OU LE COLLABORATIONNISME FORCÉ À POUR COROLLAIRE LE PLAISIR OU LE LOISIR FORCÉ, et entre les deux le sécuritaire forcé.
Il est tragique et instructif de voir le prolétariat et ses meneurs revendiquer avant tout et uniquement, un accroissement des salaires et des loisirs-confort ou « bien-être » (le pouvoir d’achat). Les « démocraties » de l’après 1789 ont trop vite confondu vie dure et vie inhumaine ; et par là elles se sont condamnées presque exclusivement à corrompre sous prétexte d’humaniser !


Notes.
1. Nous survivons dans un monde de PSEUDO-ÉVÉNEMENTS ou de « PRÉSUMÉS ÉVÉNEMENTS » et de « QUASI INFORMATIONS », où le spatio-temporel humain est saturé de déclarations qui ne sont ni vraies ni fausses, mais seulement CRÉDIBLES : DES APPARENCES, telles les spectaculaires tours du 11 septembre 2001. Propagande commercial et politique sont CONFONDUS, ON NE LES DISTINGUE PAS.

2. La quantité aliénation de nostre époque, tel d’imaginer que le Cosmos existe depuis tant d’années ou même depuis un « temps infini », qui est encore une quantité (ce n’est pas parce qu’on ne peut assigner un terme à une quantité que ce n’est plus une quantité), cela n’a aucune réalité. De même, dire que l’Univers en sa globalité a un rayon de X années-lumière, ou de dire que l’Univers est infini, cela n’a aucun sens.
Inventer une « Univers en expansion » est une imbécilité proprement humaine, ou proprement d’anthropomorphisme !
 
 

Dernière mise à jour : 05-08-2022 05:05

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