Destruction de la Russie - Ethnocide
 

Ecrit par Sechy, le 14-04-2009 15:23

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Publié dans : Nouvelles Spéciales, Russie

Tags : Argent, Banques, Bolcheviks, Business, Cosaques du Don, Dictateurs, Destruction de la Russie, Juifs, Pouvoir, Révolution, Russie, Sionisme, Terreur, Terroristes


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Destruction de la Russie - suite 4
Faire prendre des vessies pour des lanternes
Ou comment faire parler un dieu de force (sophisme)
 
La manière dont le massacre de Nicolas II et de sa famille fut préparé et réalisé, d'abord nié et ensuite justifié, a quelque chose d'unique dans son caractère odieux, quelque chose qui le distingue radicalement des actes précédents de régicide et qui le marque comme un prélude aux meurtres de masse du 20ème siècle. (Richard Pipes, historien de l'Université de Harvard)

Ce fut un des points de départ de la courbe de croissance en asymptote vers l’infini à l’approche de 2010 - 2015.

Et il se pourrait bien que cette même race stupéfiante (Juifs) puisse être à l'époque actuelle dans un vrai processus de production d'un autre système de morale et de philosophie, aussi maléfique que le Christianisme fut bénéfique, et qui, s'il n'était pas stoppé, briserait irréparablement tout ce que le Christianisme a rendu possible. Il semblerait presque que l'évangile du Christ et l'évangile de l'Antéchrist avaient été destinés à naître parmi le même peuple ; et que cette race mystique et mystérieuse avait été choisie pour les manifestations suprêmes, à la fois les divines et les diaboliques. (Winston Churchill)
Ne pas oublier que Adam Weishaupt (fondateur des Illuminés de Bavière) était Juif.
 
L'inscription sur le mur : la citation de Heine

Des lignes dues au poète juif allemand Heinrich Heine (1797-1856) fut trouvées écrites sur le mur, près de la fenêtre, dans la cave de la maison Ipatiev, où les Romanov furent abattus et achevés à la baïonnette. La citation dit : « Belsatzar ward in selbiger Nacht / Von seinen Knechten umgebracht », c'est-à-dire « Belsatzar fut, la même nuit, tué par ses esclaves. »
 
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Belshazzar -- le Roi non-juif de Babylone, qui dans l'histoire bien connue de l'Ancien Testament, vit « l'inscription sur le mur » annonçant sa mort (Livre de Daniel, 5) -- fut tué en punition de ses offenses au Dieu d'Israël. En jouant habilement de la citation de Heine, l'auteur inconnu de l'inscription, presque certainement l'un des tueurs, a substitué « Belsatzar » à l'orthographe de Heine « Belsazar », pour signaler encore plus clairement son intention symbolique. Cette inscription de Heine révèle l'inspiration raciale et ethnique des meurtres : un roi non-juif venait d'être tué, en un acte de vengeance juive.

 
Rappel sur le Sionisme et le troisième Reich :
En dépit de l'hostilité fondamentale entre le régime de Hitler et le Judaïsme international, pendant plusieurs années les intérêts des Sionistes juifs et des Nationaux-socialistes allemands coïncidèrent. En collaborant avec les Sionistes en vue d'une solution humaine et mutuellement désirable à un problème complexe, le Troisième Reich consentait à sacrifier des échanges extérieurs, à détériorer ses relations avec la Grande-Bretagne, et à mécontenter les Arabes. En effet, durant les années 30 aucune nation ne fit plus que l'Allemagne de Hitler en faveur des objectifs lointains des Sionistes juifs.
 
 
 
Nouvel extrait du « Journal de Kolia » : La fuite en Égypte.

Rappel : il s’agit ici d’une court extrait du journal de mon père : Kolia, diminutif de Nicolas. Suite à la Révolution Bolcheviks, l’école des Cadets de Novotcherkassk Новочеркасск (capitale des Cosaques du Don), école pour officiers où se trouvait mon père, elle a été évacué avec tous ses jeunes élèves pour essayer de gagner l’étranger, car l’avance des Rouges devenait trop dangereuse.
L’école des Cadets fut évacué par les Anglais non pas en Angleterre, mais en Égypte.


Au matin du deuxième jour de navigation dans la Mer Noire, le bateau Saratov pénétra dans le Bosphore. Le spectacle était splendide, le soleil se levait et illuminait les deux rives. On apercevait de temps en temps les fortifications de châteaux forts bâties là depuis des siècles. Cela rappelait aux Cadets que leurs ancêtres avaient eu à affronter ce peuple.
Sur la rive asiatique, les palais de marbre blanc, intercalés de minarets éclairés par le soleil levant donnaient une impression féerique. Tous les Cadets admiraient ces paysages depuis le pont du bateau en direction de Constantinople.
Enfin le bateau entra dans le port de Constantinople et s’immobilisa devant la Corne d’Or, presque en face du centre de la ville. Le temps était merveilleux, et la ville était baignée de soleil, à la fois étincelante et mystérieuse par son emplacement. Les maisons et les églises paraissaient être placées comme sur une scène en gradins. Dès que le bateau fut immobilisé pour le ravitaillement, ce fut un véritable accostage par une centaine de petites embarcations, des marchands proposant toutes sortes de marchandises à vendre, des sucreries, des objets souvenirs.
Kolia en compagnie d’autres Cadets se précipita sur le pont. Il fit des signes pour pouvoir acheter quelques sucreries. Kolia mit quelques billets russes dans un petit cageot attaché au bout d’une ficelle, en échange de quelques sucreries, qu’il remonta rapidement sur le pont. Le marchand à qui Kolia avait donné les billets s’aperçut au bout de quelques minutes qu’ils n’avaient plus court, ce qui provoqua un déferlement de mots d’injures en tous dialectes, en turc, en demi-russe .....
L’escale de Constantinople dura plusieurs jours pour régularisation et ravitaillement, malheureusement il était interdit d’aller à terre en raison des mesures sanitaires. Quelques réfugiés civils parvinrent à débarquer, mais aussitôt ils étaient mis en quarantaine, isolés de la population.

Après avoir été ravitaillé en eau et en charbon, le bateau Saratov prit la direction de l’Égypte. Les Cadets furent très surpris d’apprendre qu’ils allaient en Egypte, car au départ de Novorossisk, il avait été spécifié par le Capitaine Crag, attaché militaire de Grande-Bretagne, que le corps des Cadets tout entier serait évacué vers l’Angleterre afin de poursuivre leurs études et leur formation. Pour cela, tous les uniformes des Cadets furent remplacés par des uniformes Anglais, ce qui les avait déjà attristés, parce que leur uniforme d’origine était de plus jolies couleurs et de meilleure coupe.
C’est donc à Constantinople que le Capitaine Crag reçu des autorités militaires anglaises, les instructions nécessaires de diriger les Cadets vers Alexandrie et de les y installer au lieu de prendre la route de l’Angleterre.
Après cette escale de quatre jours, le bateau Saratov mit le cap vers Alexandrie, en traversant la mer de Marmara, le détroit des Dardanelles, la mer Egée et la Méditerranée.
En sortant de la baie de la Corne d’Or, Kolia se rendît compte de tous ces changements, que ce soit les paysages, les gens, la température…. Cela éveilla en lui une sorte de curiosité pour connaître davantage les autres pays et les peuples. Et même cette succession de beaux paysages lui a fait oublier un peu ses chagrins et la perte de sa terre natale.
La prochaine escale désignée était l’île de Chypre. En pénétrant dans la Mer Egée, le bateau commença à tanguer et cela provoqua pas mal de remous parmi les garçons et souvent le mal de mer. Et pour la première fois, Kolia prit contact avec le mal de mer.
Mais le changement de climat, la végétation, les beaux horizons lointains, les couleurs de la nature faisaient oublier ces petits malaises.
Le contact avec la Mer Méditerranée se fit remarquer par les grosses vagues, et Kolia dut s’aliter un peu. La traversée jusqu’à l’île de Chypre fut mauvaise et les garçons allaient rarement sur le pont. Kolia ne se sentait pas bien, il commença à penser à ses Parents et cela le rendait très triste. L’arrivée dans le port de l’île de Chypre se fit sous un ciel splendide, la mer était toujours mauvaise, et les requins autour du bateau jouaient avec les vagues.
À l’escale à l’île de Chypre, le Directeur du corps des Cadets fit une revue de tous les garçons, ainsi qu’une consultation générale de l’état de santé de tous. Il en résulta que l’on découvrit plusieurs cas de typhus. En accostant, du pont du bateau, les Cadets pouvaient voir sur le quai une foule faisant des signes de bienvenue. Tous les garçons se rassemblèrent sur le pont face à la foule et entonnèrent des chants russes du Don, et l’orchestre jouait quelques marches militaires. Toute cette foule grecque se mit à offrir des produits en les jetant sur le pont du bateau, des cageots entiers d’oranges, de raisins secs, chocolat, biscuits. Cela était offert gracieusement, car ils savaient que nous étions des réfugiés russes et de la même religion qu’eux.
Le climat de cette région semblait très doux, malgré cette époque de l’année, fin janvier.
Le temps était beau et chaud, ce qui permit aux garçons de se baigner. Kolia se baigna aussi un peu, mais en fait, c’était dangereux à cause des requins qui rôdaient.
Le soir à la veille du départ, la chorale des Cadets avait improvisé un concert de chants russes accompagné aussi par un petit orchestre de Cadets.
Cette soirée fut merveilleuse et inoubliable, sous un ciel étoilé, par une douce température, éclairé par quelques projecteurs, une grande foule était venue et applaudissait sans arrêt. Cela avait éveillé en Kolia des sentiments nostalgiques pour son pays, qui était déjà loin derrière.
À la fin du quatrième jour, le bateau leva l’ancre en direction d’Alexandrie. La mer était assez mauvaise et Kolia était malade, les vagues parfois se jetaient sur le pont, il n’était pas possible de se tenir debout, à tel point que ses compagnons alertèrent l’infirmière. Kolia avait plus de quarante de fièvre, c’était le typhus.

Pendant ces trois jours de traversée, Kolia était au plus mal, toujours avec quarante de fièvre. Il se trouvait au bord du désespoir surtout la nuit venue. Les grosses vagues le réveillaient en sursaut, le mal au coeur le torturait et tout tremblant, il se cachait sous les couvertures et pleurait.
Toutes sortes de pensées parcouraient son esprit, tantôt il songeait à ses Parents, à ses frères et soeurs, tantôt il récitait des prières en souhaitant que ce voyage se terminât le plus tôt possible. II ne pouvait dormir à cause de la température et du roulis, alors il passait son temps à prier.
Dans le courant de la deuxième nuit de traversée, Kolia s’aperçut que le roulis avait cessé le bateau ne se balançant plus. Il put s’endormir, mais seulement pour une courte durée, car il se réveilla en sursaut et se mit à pleurer en pensant à ses Parents.

À ce moment-là, c’est-à-dire à la fin février 1920, à 900 km de distance, dans les steppes du Kouban ; son cher papa disparaissait sous la neige pendant la retraite de l’armée Blanche, car il avait été mobilisé par les autorités des Cosaques du Don. Ces faits furent relatés par la mère de Kolia, six mois après, par une lettre qu’elle avait écrite de son village, et qui fut acheminée via l’Angleterre.
Ce retard s’expliquait par la situation grave qui régnait en Russie. Cette lettre avait été adressée à son cousin qui la donna à Kolia un jour de juillet, accompagnée d’un rouble en argent.
Sa mère lui expliquait les difficultés qu’elle avait eu à endurer pour se rendre sur le lieu où était mort son mari. Elle avait été obligée de voyager à cheval.
Après cette très pénible nuit, le matin de bonne heure le bateau se mit à voguer à un rythme plus lent. Peu de temps après, l’infirmière descendit dans la cale pour annoncer que le bateau allait bientôt entrer dans le port d’Alexandrie. Elle déclara qu’étant donné la gravité de la maladie de Kolia. qu’il serait descendu à terre sur une civière à l’aide du monte-charge. Le débarquement avait commencé vers 7h.
Kolia fut mis sur la civIère, laquelle attachée au monte-charge s’éleva, et lorsqu’il sortit de la cale, il fut surpris par la chaleur et le soleil.
C’était une trop grande transition après avoir passé trois nuits dans la cale humide et dans la pénombre. Kolia sur sa civière était à la fois impressionné et effrayé, il pensa que sa fin était arrivée.
Finalement la civière fut déposée sur le quai et des infirmiers Anglais se précipitèrent pour charger Kolia sur le camion de la Croix-rouge anglaise, et le conduire à l’hôpital militaire. Une trentaine de garçons furent séparés du corps des Cadets pour être eux aussi conduits à l’hôpital, pour une durée de deux mois.
L’hôpital militaire était situé dans la banlieue de la ville, aux abords d’une plage.
L’accueil par le personnel de l’hôpital fut très gentil et très sympathique, même tendre.
Kolia se sentit très heureux, mais en même temps triste et abandonné, car il était séparé de ses camarades. Ce qui surprenait les garçons, c’était la propreté et l’hygiène ainsi que la nourriture, délicate et abondante. Cela faisait un grand contraste avec leur fuite dans la neige, la boue, le voyage dans le train à bestiaux, froid et sale, puis trois semaines dans une caserne aussi sale, sans chauffage, et enfin dans les cales du bateau .....

Au bout de six jours, Kolia eut une deuxième rechute de typhus. Le matin, il fut constaté 41°6 de température. Il se sentait très mal, au point qu’il commençait à perdre connaissance. Il se souvient qu’aussitôt après, l’infirmière appela les médecins, qui ordonnèrent de lui faire prendre un bain de glace. Kolia fut entièrement déshabillé et couché sur un drap de caoutchouc, les infirmières commencèrent à déposer des morceaux de glace sur lui et en même temps déversèrent de l’eau glacée, à partir de ce moment il ne se rappela plus de rien.
Au bout d’un quart d’heure, il se réveilla couché dans des draps secs et se sentait déjà mieux. Près de lui, une infirmière lui déclara que sa température était redevenue presque normale et lui donna du porto et du thé. Le lendemain, des piqûres de sérum particulier lui furent administrées, et vingt-quatre heures après il fut rétabli.

M. Roudakoff
 

Dernière mise à jour : 15-11-2009 22:35

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