La fionalisation du monde
 

Ecrit par Sechy, le 30-08-2022 05:20

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Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Echo, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Yi King, Yokai

 
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La fionalisation du monde
Qu’est ce qui entre par la bouche et qui
sort par le fion (anu(s) le trou, et un de
ses spécialistes : Freud et son stade anal) ?
Mais l’Or, les excréments, en radiesthésie
vibrent comme l’Or métal. On parle bien de
BESOINS, être dans le besoin et faire ses besoins…..
La fionalité est ainsi une VALEUR D’ÉCHANGE :
LE PRODUIT DE LA DIGESTION, ou
LA PRODUCTION INTERDÉPENDANTE puisque issue de
la LOI DE SUCCION : CECI ÉTANT, CELA SE PRODUIT.
Soit par ignorance le conditionnement des formations
karmiques, puis la formation de la conscience, puis
le conditionnement des noms-les-formes, ensuite
le conditionnement des cinq sens, ainsi jusqu’à
la SAISIE, le DEVENIR qui conditionne la naissance
le vieillissement et la mort.
Quand il n’y a pas ignorance, il n’y a pas de
va(o)leur d’échange ni de rapport !
 
La fionalisation du monde c’est encore entrer dans
le courant (comme l’électrique) en croyant avoir
atteint le fruit de l’entrée dans le courant (du
social), et c’est se laisser bouffer par la loi de
succion dans la croyance au ‘moi’, à l’être animé,
à l’existence et au consommateur ou citoyenisme.


Le terme populaire dit : « Le pauvre ! il croit que c’est arrivé ! ». Comme c’est du spatio-temporel, ce n’est qu’une opinion, un événement qui n’a aucunement le sens d’événement (historique) car demain il sera balayé et remplacé par d’autres événements (aux infos) ; RIEN DE CE QUI ARRIVE DANS LE TEMPS QUI COULE N’EST VRAIMENT UN FIONALITÉ (ou une arrivée, une certitude) : le SURFEU seul fait le mariage entre l’événement et l’Être, et certainement pas l’événement dans le spatio-temporel fugace.
Arriver (a-teindre), et arriver (survenir, avoir lieu) désigne le même mot mais deux concepts qui s’excluent l’un l’autre : tant qu’il arrive quelque chose, on n’est pas arrive, c’est encore la dialectique matérialiste historique, et quand on est arrivé c’est la mot FIN sur l’écran de cinéma : il n’arrive plus rien.
Si bien que si on atteint la condition de Réalisé ou de Libéré vivant, et si on pense : « J’ai atteint la condition de Libération », alors ce « Réalisé », ce « Libéré », laisse entendre au Dehors et à lui-même qu’il croit encore au ‘moi’, à l’être animé, à l’existence, au consommateur.
Croire à Rien et à son contraire Tout est encore cette croyance au ‘moi’, à l’existence, à l’être animé et au consommateur. Comme l’exprime si clairement le Secret de la Fleur d’Or : « Un mental purifié est élixir, un mental vidé est remède. On dit du mental qu’il est purifié quand il ne s’attache plus à rien. On le dit vidé lorsqu’il ne garde plus rien en lui. Mais si l’on s’attarde sur le vide de cette vacuité, c’est que la vacuité n’est pas encore vide. Un mental vide et qui ne pense pas à sa vacuité, voilà ce qu’on appelle la véritable Vacuité », dit Le Secret de la Fleur d’Or, traduction de Thomas Cleary.

Le SCALAIRE (toute grandeur définie par un nombre, échelle) du « N’EST PAS X » est incompatible avec le binaire de la raison du siècle des loupiotes qui fionalise en pensée binaire de zéro et de un ou de oui-non, et terminée par : « Circulez ya plus rien à voir ! ».
Binaire du Oui-Non qui se retrouve si on applique la formule : « non-X », qui revient à opinioner la négation de X, ce qui est contraire à la vision vacuitiste du Secret de la Fleur cité plus haut, là où il n’y a RIEN a opinioner, pas même une négation.
Mais, si l’on utilise le « N’EST PAS X » : AUCUNE FIXATION, AUCUNE FIONALITÉ OU AUCUNE FIN DES TEMPS, AUCUNE RAISON POSSÉDANTE, TOUT RESTE OUVERT, SANS CENSURE, et la formule revient à exprimer que les choses ne sont que des imputations nominales (en tibétain : tha-snyad), qu’elles sont dépourvus d’être en elles-mêmes, ce qui est du même Thème que le FLÉAU, ou Seul Réel : lequel ne naît pas, ne cesse pas, ne fait pas, n’est pas conditionné ou identifiable, n’adopte pas et ne rejette pas, est dans le « Reste tranquille et sache que je suis Dieu » ; car s’il possédait une ou plusieurs de ces caractéristiques, il serait le FAUX (le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu ou possédé). Bref, ceux qui peuvent ainsi voir les choses, iceux sont dans le « Reste tranquille » : ils savant qu’il n’y a pas de préjudice, ou chute, maladie et plaie ; bref, il n’y a pas de manque donc pas de saisie ou de besoin, pas d’invention de valeur d’échange.

SCALAIRE = VERTICALE DE DIA-BOLE-IQUE.
Dia : au travers, traverser, passer.
La Chaise d’Isis est une « arme scalaire »…


Les Anciens se représentaient la Terre sous la forme d’une TOUPIE portée par un PIVOT-AXE très aigu : la fusée-fuseau.
PTAH = par ses bandelettes représente le PARADOXE de la Réalisation du Soi : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935). Les bandelettes symbolisent la Vraie Loi de Succion ou Eucharistie, et le RAYONNEMENT du Soi sous forme du SILENCE : le Centre qui est nulle part : l’Univers, le TROU : Le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu ou possédé ; c’est le TROU où il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à voir. Équivalent du SILENCE ou du « Sois tranquille et sache que JE-SUIS Dieu ». Donc « JE-SUIS » est Dieu. [Savoir, Pouvoir, Oser, SE TAIRE] et ainsi LE SURFEU.

Techniquement les bandelettes de Ptah représentent le VIMANA : LA ROUE : LE PTAH ”MULA DJADI NA BOLON” indonésien (Celui qui a son commencement en Lui-même), indiquant LES COMMUNICATIONS PERMANENTES QUAND LA RACINE DU MAL LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS N’EXISTAIT PAS ET QUE DIEUX ET HUMAINS COMMUNIQUAIENT COMME À CE HUI AVEC UN SMARTPHONE ; mais à cause de l’ego de l’humain et de la croyance à son mental, le Saint Chaos disparaît et le SENTIER, le Gate, vers le Monde Céleste a été interrompu (mythe du Paradis perdu et du rachat des péchés).

La ROUE est évidemment ce CENTRE QUI EST NULLE PART : c’est le VIDE du moyeu qui la fait tourner (voir le condensé de Cela dans le Verset 11, Nombre du TAO, dans le Tao-tö king, qui se termine par le fulgurant voir violent : « L’Être donne des possibilités, c’est par le non-être qu’on les utilise ».
EN SON CENTRUM CENTRI, PTAH DANS SES BANDELETTES, FAIT TOURNER LA ROUE : c’est le Soi, l’Humain réalisé, le Bienheureux chevauchant le Dragon en Chine, l’IDIOTÈS DU TAO (la Singularité). Ce Vide du moyen est l’activité du TOUT. Passage du E à son Centre qui est nulle part : la fusée-fuseau (couvert des fils du TISSAGE du TISSERAND VULCAIN-PTAH). Dans la spiritualité ancienne il y avait nombre de divinité du fuseau, comme Ariadne, dont le nom signifie « fuseau ». Les Dieux du fil et de la corde ont conservé le nom de « funestes » (qui annonce la mort) ; le fil représentait en effet le dernier degré de l’exténuation du jour et de la vie ou la mort, LE SURFEU : ainsi les divinités infernales ont la tête ceinte d’un fil ou d’une bandelette et tiennent à la main une lance ou une mince baguette de myrte ayant même signification. Cheveu, épine, épée, voile, tout ce qui a une extrême petitesse ou finesse. Voir Tanit (Athéné ou Esprit saint) Croix de Vie et Stargate SOURCE.
D’E vers gond d’E, depuis le E (matière trinitaire) vers le pivot ou Shiva-chaise du I. Voir aussi la page Isis la Vierge Noire et le Fuseau. Isis la Vierge Noire et le Fuseau, le voile et le fil tissé par le fuseau, « couvert de fil » (fuseau ou écheveau).

Toupie, rejoint aussi la HACHE à la fois arme et outil. En anglais hache se dit AX, AXE, comme le Centre de l’Univers. L’Axe est un symbole fondamental, comme l’essieu plus tard nous donnera le CHARIOT. L’essieu supporte la totalité du poids du chariot ; il est fixe et les deux roues tournent sur les fusées. Donc nous avons une triade (voir la Triskell celte avec le signe du S cher à l’art gaulois), et l’idée de « roue » ou chose qui tourne ou figure un cycle, un rythme, évoque les cycles lunaires et solaires, l’ombre courant sur un cadran solaire indiquant une PÉRIODE, etc.
La Vacuité est représentée par l’immobilité du Vide au centre du moyeu-Axe d’une roue qui ne cesse de tourner : comme la TOUPIE. Le Centre est nulle part (et la Circonférence est partout).

Le FUSEAU tourne uniformément entraînant la rotation de l’ensemble, comme un éternel retour. Le symbolisme du Fuseau est celui du destin : sans pitié ni sentiment, les Parques filent et défilent le temps de la vie : le double aspect de la vie, Involution/Évolution révèle le PARADOXE DE LA RÉALISATION DU SOI : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935). Le pouvoir de Dieu est aussi celui du Dia-ble : à travers, les deux se confondent, comme les Parques, dans ce pouvoir de la mort qui est d’annuler ce qui a existé, de faire en somme que ce qui existe n’est pas d’existence. Ainsi : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264 du 20-10-1936). Comme si la nécessité de la mort résidait dans la non nécessité de la vie…

Tchouang-tseu invente le souverain Jan-siang au chapitre 25, qui « se tenait au centre du cercle autour duquel tout se parachevait. Il oubliait la fin et le commencement, l’instant et la durée. Il participait à la transformation quotidienne des choses, ne faisant qu’Un avec ce qui ne se transforme pas [la ”Fixation Cavalante” ou paradoxalement le TAO excluant toute nature changeante]. Qui veut prendre le ciel comme maître n’y parvient pas car il risque d’être entraîné par les choses, et comment alors pourrait-il faire son œuvre. Il n’y a donc pour le saint ni le ciel, ni l’homme, ni le commencement, ni les choses. Le saint accompagne la marche du monde sans entrave : ses actes pourvoient à tous sans jamais faillir. À quel point se conforme-t-il aux circonstances ? ».
Les bandelettes de Ptah sont aussi évoquées dans ce chapitre 25 : « Étant dans nom [le TAO non saisissable, non identifiable], il n’agit pas, et cependant par son non-agir tout se fait ». Ce qui veut dire : TAO non saisissable (le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu ou possédé), il ne peut qu’être UN ; or pour qu’une action soit possible, comme la conscience dépendante d’un objet, il faut donc un objet et un sujet. N’ayant pas de dualité distincte entre sujet et objet, le TAO n’agit pas Il est comme le CENTRE NULLE PART. C’est lorsque le TAO n’agit pas à la manière de l’HOMME-CORPS-MENTAL qu’il n’y a rien qui ne se fasse selon sa Nature propre, ou selon sa Signature (pour employer ce mot de Jakob Boehme). En d’autres mots, c’est lorsque le TAO opère DANS L’INSTANT ABSOLU que tous les noms-les-formes SE RÉALISENT SELON LEUR PROPRE NATURE, selon le sens du Soi donné par les quelques 653 entretiens-enseignements de Ramana Maharshi.

C’est ce Pivot auquel présidait Isis, et c’est pourquoi elle était appelée « La Chaise », à un pied (Padam en sankrit signifiant le Soi, et comme la Cendrillon du conte : ”Trouver chaussure à son pied”), comme on pouvait en voir autrefois chez les montagnards Auvergnats qui s’en servaient pour traire leurs vaches, avec cette chaise-pivot, en forme de T, dont le pieux s’enfonçait en la terre. C’est le T portant la double barre horizontale : samek (escabeau, support). Rejoint MIR-IAM : L’AURORE, LA POINTE DU JOUR : LE SEUIL ENTRE LA VEILLE ET LE LENDEMAIN…  CONCRÈTEMENT ET AVANT TOUT : « LE ROYAUME DES CIEUX EST EN VOUS ».

« N’EST PAS X » sera la FLÉAU de la raison du siècle des loupiotes, car le « N’EST PAS X » est l’inconnaissable, l’incompréhensible, l’insaisissable (infiniment au-delà du capitaclysmique « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux »).

« N’est pas X » : PURIFIER LE MENTAL À LA FOIS DE TOUTES NÉGATIONS ET DE TOUTES AFFIRMATIONS, DONC LIBÉRÉ DE LA TYRANNIE DE L’OPINION CONDITIONNÉE PAR LA RAISON.
En Inde il y a 25 espèces de Vide !

Complément au niveau de la vie vulgaire sur le NON-AGIR représenté par les bandelettes, la ”Fusée” de Ptah, le Centre qui est nulle part.

Sucres-grains : « Ceci devient cela » - Cause et effet, une règle d’Or :
En Égypte Antique, Grain(prt) et Hiver (prt) : dans le sens de faire des provisions pour cette difficile période. Le grain est CAUSE ou son sens abstrait et l’EFFET est l’Hiver, et pas la caractéristique ou effet direct de froideur de l’Hiver, ou son sens concret, matérialiste.
Homonyme de Grain : ænxt avec ænx la Croix de Vie ANKH. Les Anciens Égyptiens jouent sur les mots, et sont champion de l’euphémisme.
Donc tout phénomène est « réactif » (comme les sucres-grains). Une cause active (Grain) ne produit jamais un effet direct ou caractéristique, puisqu’elle reste abstraite ou cachée, SIMPLE, si la résistance manque…
Un autre exemple avec le mot àb, écrit avec la lettre concrète : à, exprime la soif ; le mot ab, écrit avec la lettre abstraite : a, exprime le désir : ab. Ce double aspect d’une fonction : physique et psychique, se retrouve dans le sens donné au mot cœur : àb, selon qu’on entend le cœur organe, ou le Cœur comme le Soi, le Centrum Centri ou lieu d’où s’élève le ‘Je’-‘Je’.
IMPORTANT, IMPORTANT, car ça illustre la dualité de cause-effet par la non-dualité effectué par le CROISEMENT. Correspond aussi aux phénomènes des Interférences lumineuses et sonores : lorsqu’une résistance, de même nature que la cause agissante, absorbe cette cause et l’annule, le premier croisement est comme « une mort » ; la résistance réagissant, devenant active à son tour, donnera un phénomène-Vie (2ème croisement).
(La lumière n’est pas le contraire de l’obscurité : voir le cas des interférences révélant l’aspect ondulatoire de la lumière qui peut se superposer à elle-même. Expérience de Thomas Young en 1801). L’eau coule vers ce qui est humide ; le feu coule vers ce qui est sec (Yi-king) ; différent parce que deux, mais semblable, car ils coulent tous les deux !


Exemple de scalaire, sans temps, délivré de la tyrannie de l’opinion, pour les nuls, dont le scribe de cette page, avec l’emploi du « N’est pas X » permettant une amplification, comme l’Arche d’Alliance, Thème du Zéro Indien, forme du ZPE (Zero Point Energy) :
CE QUE L’ÉVEILLÉ A DIT FORMER UN SYSTÈME DE MONDES ET DE DIVERSITÉ, IL DÉCLARA QUE CE N’ÉTAIT NI UN SYSTÈME DE MONDES NI UNE DIVERSITÉ. VOILÀ POURQUOI ON PEUT PARLER DE « SYSTÈME DE MONDES ET DE DIVERSITÉ ».
CE QU’ON APPELLE IDÉATION OU CONTINUUM DE PENSÉE, L’ÉVEILLÉ L’A DÉCLARÉ N’ÊTRE PAS UNE IDÉATION. VOILÀ POURQUOI ON L’APPELLE CONTINUUM DE PENSÉE OU IDÉATION. POUR QUELLE RAISON ? PARCE QUE LA PENSÉE PASSÉE N’EST PAS SAISISSABLE, PAS PLUS QUE LA PENSÉE FUTURE, ET LA PENSÉE QUI SURGIT DANS L’INSTANT NE L’EST PAS DAVANTAGE. (Réf. Soûtra du Diamant).
Or la raison si à la mode depuis le 18è siècle français des loupiotes fionalise tout, SAISIE TOUT, POSSÈDE TOUT, COMME SON ÉTAT DE DROIT REPOSANT SUR LA RAISON (1), REPOSANT SUR LA MÉCANISATION, SUR LA DIGITALISATION DU MONDE DANS L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE.

Or la numérisation du monde comme l’alphabétisation du monde de l’humain ne parviennent pas a représenter totalement la forme TÉLÉPATHIQUE et encore plus la forme verbale d’une expression. Elles ne parviennent pas à restituer sa valeur d’illocution (de locuteur : ce que l’ont veut dire en parlant, et il- élément négatif, du préfixe latin in- variation de il- devant l, im- devant b, m, p, ir- devant r). Elles transcrivent fidèlement ce qui a été dit, mais ne parviennent pas à rapporter LA MANIÈRE dont cela a été dit, pas plus que ce que le locuteur voulait que son public comprenne. Ce qui est perdu par l’acte de transcription ou de numérisation, c’est précisément ce qu’il est si difficile de retrouver en lisant. Empédocle dit que la mer salée est la sueur de la Terre, mais, parle-t-il littéralement ou métaphoriquement ? L’enregistrement écrit, embryon de numérisation avant l’heure, ne nous en dit rien.
Et c’est là par la digitalisation du monde ou LA MÊME SOUPE POUR TOUS, que commence réellement la robotisation non seulement de l’humain, mais aussi des trois Règnes qui en deviennent artificiels, dans le Minéral, le Végétal, l’Animal et l’Humain.
Dans cette marche vers la numérisation du monde et son conditionnement par une intelligence artificielle, COMME LE MODÈLE DE L’ÉCRIT : CE QUE LE MODÈLE DE L’ÉCRIT ET À CE HUIT DE LA NUMÉRISATION DU MONDE LA MÊME SOUPE POUR TOUS NE REPRÉSENTA PAS, PEUT DIFFICILEMENT ACCÉDER À LA CONSCIENCE.
On a tendance à croire que le modèle de l’écrit, puis du numérique est un modèle total de tous les aspects du langage, et qu’il restitue le « réel ».

RIEN NE PERMET DE CROIRE QUE NOS MANIÈRES DE PENSER ET DE COMPRENDRE (de saisir) SONT CULTURELLEMENT UNIVERSELLES.

N’EST PAS X : LA VACUITE (définition) : ce n’est pas ce qu’écrit le dictionnaire Le Robert : « État de ce qui est vide ».
La Vacuité est le Soi, l’état naturel ou ‘EST’ seulement (comme le « N’EST PAS X »), le Sans Pourquoi des choses qui n’ont pas d’essence, et dont aucune n’est ou n’existe en soi et pas soi, comme l’expression « N’EST PAS X » qui revient à dire que les choses ne sont que de simples imputations nominales dépourvues d’être en soi et par soi, ce qui est une définition dU FLÉAU (sens de la Balance). Vacuité = le Centre qui est nulle part et la Circonférence qui est partout…
FLÉAU, parce que lorsqu’il n’existe plus d’extrême, le milieu entre les deux extrêmes disparaît. Le FLÉAU est donc un Fléau parce qu’insaisissable, non-identifiable. Le milieu c’est la Vacuité, le Vide du Vide du milieu, c’est-à-dire le Centre qui est nulle part. Le « N’EST PAS X » se détache de l’opinion d’être et de non-être, il ne tombe pas dans l’opinion, le choix et le rejet sources de guerres et d’anéantissements de ce qui est rejeté comme une ordure ou de l’impur dans la dualité pur-impur.
La Vacuité est du Thème de la Fontaine de Jouvence, du Zéro Indien : l’Un véritable : ni être, ni non-être…
ACUITÉ, SIMPLICITÉ, SILENCE = CE QUI N’EST PAS OFFICIEL, CE QUI N’EST PAS SYSTÈME (L’OCCIDENT EST LE SYSTÈME, L’EMPIRE DE CETTE PLANÈTE ; vous trouvez des bouteilles de Coca Cola et des Églises chrétiennes même en Chine !!!).

Voilà où est l’actuelle situation guerrière mondiale : une guerre de pensées.
C’est la guerre, il y a plus de 3000 ans des Hébreux et leurs prophètes contre les Païens et leur Tout, PAN, la Nature et donc la Fertilité accusée de « prostitution », les Hébreux ne jurant que par le sable de leur désert (c’était là qu’ils restaient le plus fidèle à leur Dieu).

Actuellement surtout par cette lointaine guerre de la pensée, la pensée qui subit cette guerre cruelle est la Pensée Originelle, CELLE DE L’ÉTERNEL RETOUR, la pensée analogique, anagogique, celle des similitudes et par conséquence en totale AMBIGUÏTÉ, NON COAGULATION, NON BINAIRE, conformément à la devise alchimique : « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore », ou comme dans le Sûtra du Diamant : « GATE GATE PÂRAGATE PÂRASAMGATE BODHI SVÂH » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi), pensée antique de : Nature esjoir Nature, ou le semblable attire le semblable. La Nature contient la Nature et la Nature vainc la Nature.

La pensée des SIMILITUDES, de l’AMBIGUÏTÉ (amphibolos et racine hébraïque BL, comme Belenos : Beau) et des SIGNATURES (Jacob Boehme) est totalement incompatible avec la NAISSANCE de la « raison » et du rationalisme en France au 18è siècle des loupiotes, lesquels ne pouvaient que donner par la suite de l’électricité et de l’arrivée massive des banques au 19è siècle : l’inform-atoc et cette pensée occidentale en dualité, la pensée en 2D, ce que Jean Coulonval termine par la dernière phrase de son livre, Synrhèse et Temps Nouveaux : « Le Deux, c’est la guerre » (seul le Triangle de la Trinité et première figure fermée est naturel).

Ambiguïté ou Amphibolos, de Beau, qui dérive vers Baleine, Besace ou Bissac, Boule (sym-bole), et traduisible par DIA-ble : à travers comme DIA-logue ou la Verticale de l’Ascension de DIA-BOLIQUE, et le Deux (DI et le Bissac), comme Dichotomie et Diffamateur, avec les implications de non-dualité de l’Origine qui permet la Félicité de la Conscience infinie (le ”retour” ou Retournement de la Lumière, ”Qui suis-je ?” dans les apparences). Important le mot Ambiguïté, qui donne une clac au binaire et fixisme de la raison qui se croit tout fionaliser…
Comme disait Jean 14, 2 : « Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place ».
Donc Veiller, la Vigie, la Mère-Veille ou L’Éveil du Gate gate… Car, où est le « bon camp » ? Certainement pas au Dehors, lequel n’existe pas : « Quelle est alors la Réalité ? Seul celui qui voit est réel, et certainement pas le monde.
Ceci étant la vérité, l’homme n’en continue pas moins de discuter en se basant sur la réalité du monde. Qui donc lui a demandé de plaider la cause du monde ? (2)
Le Yoga-vâsishtha définit clairement la Libération comme étant l’abandon du faux pour demeurer en tant qu’Être ». (Ramana Maharshi 442 du 8-1-1938). De nos jours de consommatueurs, tout est pour l’AVOIR et bien-sûr se faire voir et faire avoir.
« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux », dit le nouveau slogan du capitaclysme, faisant ainsi le comble de la possession comme jamais dans l’histoire humaine !!!

C’est la GUERRE du MENTAL, qu’on se le rappel !

[En haut de page : l’Atome ultime, selon la Chimie Occulte. Anu composé de vagues de vie. La spire est formée par 7 rangs de spirilles, chaque spirille de l’ordre supérieur de grandeur étant formée par l’enroulement de la spirille de l’ordre de grandeur inférieur (1ère vague de vie, vie atomique). En haut à droite il y a 3 spires : troisième vague de vie, puis 7 spires, vie monadique et 7è vague de vie. Atome : indivisible, comme la république… qui de ce fait se prend pour le Soi…
ANU (sanskrit) : « Un anu est un atome infinitésimal. Il prend fin dans la perception subtil. Cette subtilité procède du mental, le sûkshma ou corps subtil. Au-delà du mental, il y a le Soi. Les plus grandes choses ne sont aussi que des conceptions, et les conceptions relèvent du mental ; au-delà du mental, il y a le Soi. Ainsi, le Soi est plus subtile que le subtil [et rejoint ainsi le Gate gate… l’insaisissable] », Ramana Maharshi 388 du 6-4-1937]

Notes.
1. ÉTAT DE DROIT (d’après le juriste et psychiatre Pierre Legendre) : fondé sur le principe de la « raison », donc sur la France des gens riches qui se voulaient « philosophes » : les « lumières », et la France de Pasteur, selon la leçon du Prof. macron-rothschild.
Pierre Legendre, dans Le crime du caporal Lortie : « Je dirais, c’est une construction culturelle [?] d’une image fondatrice [inconscient collectif ?], grâce à laquelle toute société définit son propre mode de rationalité [c’est-à-dire que si deux individus sont d’une même opinion, ils fondent déjà une société, UNE CONVENTION] », « c’est-à-dire l’attitude de l’IMAGE, DE L’ILLUSION devant le questionnement humain sur la causalité ».
Pour Legendre cette construction du mental produit un « certain type d’institutions, une politique de la causalité [donc de la pure dualité guerrière ou d’opinion], dont procède ce montage de l’interdit [donc nécessairement de la LIMITATION PAR FRUSTRATION ET DE LA SOUMISSION] que nous appelons en Occident l’État et le Droit ».

« Selon cette perspective, le système institutionnel, porté par l’image fondatrice [causale genre Big Bang ou la Cause, la convention, LE CONTRAT, L’AGRÉGAT ou le faire comme tout le monde], a pour fonction de transmettre la Raison [la pensée si mortifère et paradoxalement utilitaire… sens d’outil…], d’inscrire la reproduction humaine dans ses rapports de causalité, de perpétuer l’interdit [l’inceste et le cannibalisme principalement], à travers les générations [donc en réseau…]. Ainsi une société n’est-elle pas un bétail d’individus comptabilisables [là, ERREUR MONUMENTAL de Legendre puisque nous sommes tous devenus des marchandises numérisables], mais dans le principe une composition historique [causisme et Histoire-Opinions-Temps] de sujets différenciés [non résolution du dilemme Moi-Individuel/Moi-Collectif]. De la sorte, nous naissons tous présumés raisonnables. Cette condition impose à la folie statut de décomposition, soit, en termes de tradition européenne, statut de maladie de l’esprit [seulement point de vue de Legendre et non certitude]. À proprement parler, l’esprit se défait (de-mentia) ».
Nous retrouvons là le même principe de construction de grumeaux selon les deux Anglais qui s’harmonisent pour former en premier, un match de football, et en second, avec un troisième Anglais, former pourquoi pas un Empire. PREUVE DE LA FRAGILITÉ EXTRÊME DE L’ESPÈCE HUMAINE. Ainsi, dans un système étatique, pas de différence entre une « démocratie » à l’occidentale et « État de droit » et le régime stalinien, hitlérien ou maoïste, ou de Mussolini, ce n’est QU’UNE QUESTION DE DEGRÉ…

Page 51 du livre de Legendre cité, il considère en note de bas de page UNIQUEMENT LE CORPS, LE SPATIO-TEMPOREL, L’EGO ou POSSESSION : « Dans cette perspective [celle du politisme lié à l’étatisme], il s’agit de notifier qu’aucun humain, en tant que sujet de la parole [donc seulement du mental et des cinq sens], n’a le pouvoir de se soustraire à son statut dans l’espèce »…. Encore la croyance, croyance… Et « Circulez ya rien à voir », c’est le ravage du fixisme, le ravage du langage sonore tout simplement. Legendre ne jure que par la causalité : « la Loi des lois », donc ce qu’il appelle comme les perruques poudrées : « la raison », le mental killer. Il associe ce mental à un PATRIARCAT, une paternité qui « institue la Raison des fils [sens du droit romain] ». Par contre Pierre Legendre reconnaît parfaitement en page 53 que « les sociétés techno-scientifiques sont prisonnières d’un engrenage [l’évolutionnisme] : des accès aveugles de moralisation [et de sentimentalisme en isme] et de répression, entrecroisés dans le discours gestionnaire du sujet libre ».

2. Qui donc a demandé à l’homme de plaider la cause du monde ? Certainement un Juif puisqu’il est le peuple élu de son Dieu, et qu’en conséquence il se doit de « sauver » ou de réparer le monde en tant que « peuple prêtres » (noachisme, droits de l’homme et république), alors il « rachète » les fautes, le monde, par la réinvention du paradis perdu. Par sa fionalité, il invente le temps et sa valeur d’échange avec : le temps c’est de l’argent. Évidemment ce temps artifice va déraper comme toute entreprise par l’ego humain et sa fionalité. (Pour le rachat des péchés, la réparation, en référence à la page 18 qui résume tout, dans le livre de Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent).
 
 

Dernière mise à jour : 30-08-2022 06:26

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