La Pesantueur et loi de succion
 

Ecrit par Sechy, le 09-10-2022 00:13

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Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Bimbo, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, MIB, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Yi King, Yokai

 
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La Pesantueur et loi de succion
cette attraction ”universelle” qui fait
confondre l’Être et l’Avoir ou le
« Je suis ce JE SUIS » et le
« Votre ceci votre cela » du consommateur
D’OBJETS (ou d’infos).
Attraction ”universelle” du « prix à payer »
cette loi de succion qui fait PESER LES OBJETS
COMME LE PÈZE (le blé LE FAIT POUR L’OBTENIR dans
cette civilisation de la voie de l’Agriculture.
 
 
Pesantueur : on TOMBE amoureux !
Roméo à sa Juliette : « O mon unique amour né de ma seule haine », chez Shakespeare, du genre « Je l’aimais trop, je l’ai tué ».
Il n’y a que Nous deux sur Terre = « Moi et Moi » (frères siamois) : l’Insaisissable, le non-identification, l’IDIOTIE (au sens de la Singularité, au sens de Ici et Maintenant, sans f(r)iction). Aucun miroir ne peut SAISIR le reflet de l’Univers comme aucun œil ne peut saisir le corps de la Vierge : ‘Moi’ et ‘Moi’ sommes effectivement UN : le monde et son contenant n’ont aucun complément en miroir, donc sans pesantueur. On est toujours SEUL : UN, le « Je suis ce JE SUIS ».
On TOMBE effectivement amoureux au sens A-dorer, du A privatif et dorer : privé d’Or ! On ne maudit que ce qu’on a adoré : loi de succion inversée.


NE ME LAISSE PAS SEUL ! (Loi de Succion Vraie,
et Verset 20 du Tao-tö king (4))

Le Poids, le Pèze qui pèse lourd, en confort
pour certains, en très lourd pour d’autres
parce qu’ils n’en ont pas ou peux.
Le poids, du genre : « Je t’aie tout donné ! »
Problème de BALANCE et donc de pesantueur !
Ça pèze (d’un côté ou de l’autre).

LA PIRE PESANTUEUR EST APPELÉE
« DÉMOCRATIE » OU « LIBERTÉ », SOIT LA
TYRANNIE DE L’OPINION, LE CHOIX, DONC LE LUXE
OU L’ARBITRAIRE, C’EST-À-DIRE LARGEMENT AU-DELÀ
DE CE QU’ON APPELLE DEPUIS AU MOINS LES
CONGÉS PAYÉS ET LA SÉCURITÉ SOCIALE :
« LE MINIMUM VITAL ».
LE CONSOMMATEUR ÉTANT DEVENU LE ROI,
IL PÈZE TRÈS LOURD DANS SON ARBITRAIRE, DANS
SON DROIT DE VOTE ET SA DÉMOCRATIE !
IL PÈZE D’AUTANT PLUS LOURD QUE SUCCOMBANT
À LA LOI DE SUCCION IL EST BRAQUÉ SUR LE
DÛ INFINIMENT PLUS QUE SUR LE DON OU
LE GRATUIT, L’AMOUR.

C’est en ce sens que l’abolition de la
tyrannie de l’opinion s’effectue : sans choix,
sans jugement, SANS TROC OU VALEURS D’ÉCHANGES
ENTRE DES CHOSES FINIES ET DÉJÀ OBSOLÈTES :
SEULE LA JUSTICE DES HOMMES RÈGNE SUR
LA LIMITE (elle maintient en survie
les échanges entre les choses fabriquées
par convention), tandis que l’Infini n’a
pas d’autre loi que l’Amour ou Gratuité.

LE PÈZE DU TEL EST BIEN PRIS QUI CROYAIT
A-PPRENDRE ! Les informations apprises et
acquises, saisies, n’entraînent pas la
Connaissance ou Félicité, surtout s’il s’agit
d’apprendre pas « cœur » c’est-à-dire par le
mental killer qui calcul !
Seul celui qui est libéré de la fausse loi de
succion du biberon-sein qui fait sucer tout ce
passe à sa portée peut re-trouver la Fontaine
de Jouvence en la Vraie Loi de succion dans le
BLANC de l’Instant : la fin de la dualité racine
du mal le Dedans et le Dehors qui provoquent la
saisie.

VRAIE LOI DE SUCCION = CON (avec) ET NAISSANCE :
PANique, le TOUT dans l’Instant, Ici et Maintenant,
et non par une idéation en bagage culturel de la
raison et de la quantité à la façon de récolter un
peu partout des petites vérités pour en former une
grosse, du genre de l’addition de toutes les
petites vérités RELATIVES pour aboutir à une GROSSE
VÉRITÉ RELATIVE, or il ne peu pas exister de vérité
relatives :
La Vérité est Une et indivisible comme dans la
Vacuité (1).

Ce dont procède cette civilisation qui fait dans
la QUANTITÉ, L’AUGMENTATION DE LA « RÉALITÉ » (de SA
certaine réalité) PAR L’AUGMENTATION DE SON EGO, DE
SON ‘MOI’, OR ON ÉCHAPPE À SES LIMITES PAR LA
GRATUITÉ, L’AMOUR, L’ACCUEIL, ET NON PAS L’AVOIR
LE WIONNERISMLE OU LA CONQUÊTE.

Le Nuit obscure de Jean de la Croix correspond au
« N’EST PAS X » conséquence que les noms-les-formes
ne sont que des désignations conventionnelles
construites par l’inconscient collectif et en
conséquence il n’y a pas d’objet ou de noms-les-formes.
En l’absence de nom-la-forme, la dualité Dedans-Dehors
ou sujet-objet n’existe pas, ni aucune idée fictive
issue du Dehors ou d’un égrégore quelconque.
Comme tout est conscience, y compris les noms-les-formes
au Dehors, et qu’il n’y a pas de nom-la-forme sans
conscience, il y a nécessairement une Conscience
infinie, un Centre nulle part qui manifeste ces
noms-les-formes ou circonférences partout.
Car sans conscience pas d’objet et inversement, MAIS
il faut bien un Conscience pour constater cela !
QUI EST-ELLE ?

Si la Conscience est antérieure à son objet,
quel est son point d’appui pour naître ?
Si elle lui est simultanée,
quel est-il encore ?
Et puis, si elle lui est postérieure, d’où naît
cette conscience ?
Ainsi il est impossible de concevoir la
naissance d’aucune chose.

Les noms-les-formes ne peuvent qu’être des désignations
conventionnelles au minimum entre deux êtres de même
nom-le-forme, désignations conventionnelles dépourvues
de référents, parce que ce ne sont rien d’autre que des
opinion-perceptions décidant de l’existence ou non,
des noms-les-formes au Dehors.
La Connaissance transcendante ne les trouve ultimement
pas. Cette absence de découverte empêche l’arrivée
des objets (par la conscience conceptualisante), et
quand survient la destruction de la fausse loi de
succion, c’est également l’oubli de la substance de
la Félicité.

Rien à voir avec la fausse loi de succion et les
phénomènes qui lient les êtres ignorants à l’immémoriale
habitude tout confort de juger et concevoir tous les
objets extérieurs, qui sont jugés existants ou inexistants
et pourvue d’une infinie variété de formes. C’est manière
de survivre s’appelle : « ignorance ».


TOUT CE QUI EST « AU DEHORS » DE LA DUALITÉ
SUJET-OBJET OU DEDANS-DEHORS SONT
DES F(R)ICTIONS CAR CONSTRUCTION DU MENTAL.
ET PESANTUEUR : CAPTIFS DES APPARENCES ET
DES LIMITES, COMME DES EXILÉS DU SEUL RÉEL.



MAUVAISE LOI DE SUCCION = DESTRUCTIONS PAR LES RÉFÉRENCES.
MAUVAISE LOI DE SUCCION = PRENDRE OU AVOIR CONFIANCE (l’ancien nom des banquiers était « marchands de confiance »)
RÉFÉRENCE = A-PRENDE, A-VOIR ET POUR-VOIR (POUVOIR) ET INFORM-ATIONS : LE PÈZE OU ATTRACTION (universelle) PAR LES MOTS/MAUX : LE POIDS DES MOTS : on examine un phénomène et la pesée de ceci et de cela.
LA PESÉE chère à Anubis l’Embaumeur : le poids des mots/maux, resté dans le mot latin libra (dé-libérer). Mais comme l’être humain n’est pas du tout l’Amour-Gratuité, il lui faut être consolé, conforté par une « exacte vérité », il dit parfois « Je m’en balance » pour tout ce qui remettrait en question son confort pépère. Ou bien il ré-fléchir ou fléchi devant son problème.

Paradoxe du QUI SUIS-JE ? : descendre en Nous-Mêmes donc en PESANTEUR dans le « fort intérieur » (a-prendre, donc « NE PAS PRENDRE », NE PAS SAISIR). C’est la GRAVE-ITATION ou CONSCIENCE GRAVE EN NON-SAISIE DE LA CONDITION HUMAINE, qui est en totale contraire avec cette condition du consommateur. Car paradoxalement il n’y a pas plus grande GRAVITÉ que de rester dans le LIT DU FLEUVE, ou d’avoir « les pieds sur Terre » au sens d’avoir trouvé « chaussure à son pied », comme Cendrillon :
PIEUVRE, PADAM OU PIED en sanskrit indique le Soi. Or en occident la Pieuvre est vu au sens négatif, destructeur, et même « porte des enfers » (le solstice d’été étant cette « porte » selon certaines opinions et autres analogies casse-gueule).
Padam en sens littéral du sanskrit est donc le « Pied » synonyme du Soi, l’Être véritable, le Réalisé vivant.
La Pieuvre comme les « mauvaises herbes » est transformé par le mental de l’humain en nuisible, en mauvais.

La première version de Cendrillon remote au rhéteur romain Elien : une courtisane prenait son bain, quand un aigle lui déroba sa sandale et la porta au Pharaon. Icelui frappé par la finesse du pied fit rechercher partout la jeune femme ; elle fut naturellement retrouvée et il la prit comme épouse. De même, la pantoufle qu’abandonne Cendrillon dans le palais du prince, lorsqu’elle s’enfuit aux coups de minuit, s’identifiait à la jeune fille.
L’étonnement, le PANique prit naissance quand Cendrillon montra le signe de reconnaissance ou preuve indiscutable : l’autre pantoufle minuscule qu’elle mit à son minuscule pied révélant comme plus qu’une vulgaire carte d’identité la non-identité de sa personne : Cendrillon était bien différente de toute autre jeune femme, soit non identique à quelque autre jeune femme que ce soit, garantissant ainsi son « identité » ou SINGULARITÉ par l’exhibition de sa pantoufle véritable Certificat universel de « non-identité » ! C’est-à-dire que le Réel est dans l’impossibilité d’apparaître en tant que tel, sauf à succomber par l’imagination d’une duplication qui le laissera deviner a contrario ! L’identité du Réel ne se laisse pas à connaître directement (voir la Caverne de Platon et ce qu’il advient quand on en sort…), comme si le Réel ne pouvait fonctionner que par un « Ailleurs », comme si pour Re-trouver une chose il faille faire un ailleurs en forme d’un nœud à son mouchoir, un fantôme en somme se distinguant de tous corps ! Car la différence se perçoit mais non ce dont elle diffère, donc l’identité.

Pieuvre comme Pomme renvoient à un « lieu » paradisiaque, un Jardin, un Tapis volant, un Van (2), Vase, Vallée, un monde modèle grec hyperboréen ; un monde de LIBÉRÉS (notamment du messianisme !…). D’ailleurs le film Arrival exploite le symbole de ce monde hyperboréen, monde originel….
PIEUVRE, Poulpe : étymologie du Thème Puy : mot issu du latin podium (console et éminence) ; voir ades, pied en gaulois, mot donné par Hésychios qui le glose en grec pôdes (pieds) et cite peut-être un mot galate ades (de podes avec le o long passé à a long en celtique ?) Remonterait à la racine ped- (pied). (Réf. Dictionnaires Français-Gaulois, de J.-P. Savignac). Voir aussi le roumain podium, l’italien podio, l’occitan pueg, puch, pech ; le catalan puig ; l’espagnole poyo et le portugais poio (banc de pierre), emprunté au grec podion, diminutif de pous, podos (pied).
« La famille gréco-latine a donné podium, doublet de puy, resté vivant comme terme d'histoire littéraire. Appuyer (et appui, appuie-tête) appartient à cette famille comme polype, poulpe et pieuvre (du normand), podagre, antipode, l'élément –pode (comme dans lycopode : LOUP), podaire en maths ou les composés podologue et podomètre, enfin le terme de musique appoggiature (de l'italien). — Les toponymes Le Puy-en-Velay, Puybarreau, Le Puch, Pech-Merle et les patronymes Puget, Pujol, etc. (Réf. dic. Le Robert).

Le Pied renvoie évidemment à la racine (ne pas oublier ses racines), le CONTACT, l’EMPRUNTE (du pied ou de la main, les cailloux de Petit-Poucet). Le Pied ne peut que renvoyer au Soi, à la Félicité (et dans son sens de prison, le plaisir, sexuel), voir l’expression populaire : « C’est le pied ! » ; on dit aussi « avoir les pieds sur terre » ou « être bien dans ses pompes ». Le Pied en tant que début du corps en est aussi la fin, puisque dans la marche, le mouvement commence par le pied et se termine par le pied. Et toutes déformations du pied peut révéler une faiblesse de l’âme ! Pour l’humain, chaussure ou soulier, ou sandale et pied vont ensemble dans le faire/fer : phallique chez les freudistes, symbole de l’âme pour Paul Diel, et contact terre-corps (avoir les pieds sur terre). Et naguère mettre un pied dans un champ c’était en prendre possession, tout comme franchir un SEUIL sans autorisation ! C’est d’ailleurs pourquoi chez certains peuples on se déchausse avant d’entrer dans un lieu (voir les mosquées et autres temples qui appartiennes à tous, ou même dans les maisons où l’on n’entre pas sans se déchausser).
Padam ou le Soi est très présent dans le conte Cendrillon : rapport de la personne et du soulier ou Padam. La première version de Cendrillon remote au rhéteur romain Elien : une courtisane prenait son bain, quand un aigle lui déroba sa sandale et la porta au Pharaon. Icelui frappé par la finesse du pied fit rechercher partout la jeune femme ; elle fut naturellement retrouvée et il la prit comme épouse. De même, la pantoufle qu’abandonne Cendrillon dans le palais du prince, lorsqu’elle s’enfuit aux coups de minuit, s’identifiait à la jeune fille.
L’étonnement, le PANique prit naissance quand Cendrillon montra le signe de reconnaissance ou preuve indiscutable : l’autre pantoufle minuscule qu’elle mit à son minuscule pied révélant comme plus qu’une vulgaire carte d’identité la non-identité de sa personne : Cendrillon était bien différente de toute autre jeune femme, soit non identique à quelque autre jeune femme que ce soit, garantissant ainsi son « identité » ou SINGULARITÉ par l’exhibition de sa pantoufle véritable Certificat universel de « non-identité » ! C’est-à-dire que le Réel est dans l’impossibilité d’apparaître en tant que tel, sauf à succomber par l’imagination d’une duplication qui le laissera deviner a contrario ! L’identité du Réel ne se laisse pas à connaître directement (voir la Caverne de Platon et ce qu’il advient quand on en sort…), comme si le Réel ne pouvait fonctionner que par un « Ailleurs », comme si pour Re-trouver une chose il faille faire un ailleurs en forme d’un nœud à son mouchoir, un fantôme en somme se distinguant de tous corps ! Car la différence se perçoit mais non ce dont elle diffère, donc l’identité.

Pieuvre comme Pomme renvoient à un « lieu » paradisiaque, un Jardin, un Tapis volant, un Van (2), Vase, Vallée, un monde modèle grec hyperboréen ; un monde de LIBÉRÉS (notamment du messianisme !…). D’ailleurs le film Arrival exploite le symbole de ce monde hyperboréen, monde originel….
La Pieuvre a surtout à voir avec L’INTUITION…… Thème étymologique de Tuer, du latin populaire tutare, de l’occitan tuar, du classique tutari : veiller sur, pointer sur, garder, défendre, se protéger contre. Les mots formés en français sont en rapport avec l’action d’oter la vie : tueur, tuerie, s’entretuer, etc. « La famille latine a fourni des mots évoquant un regard attentif (intuition, intuitif et l'expression juridique intuitu personæ) ou la protection : tuteur (et tuteurer, tutorat), tutelle, tutélaire. La ville de Tulle, qui était placée sous les augures de la divinité protectrice Tutela, a laissé son nom à un tissu léger, le tulle », écrit le dic. Le Robert. L’INTUITION ne passe pas par le temps de l’idéation inhérent à la raison qui calcul tout. L’Intuition est du même Thème que le Soi : les Êtres dans leur « Je suis ce JE SUIS ». Tout cela a bien un rapport avec l’ORIGINE, le PARADIS, le JARDIN et pourquoi pas l’Hyperboréen, qui est censé « appartenir » au Poulpe.
PIEUVRE, TENTACULES, NOUILLES = MÊME THÈME DE LA LONGÉVITÉ. Les nouilles ou les pates sont informes comme les tentacules de la Pieuvre ; les pâtes sont l’union de l’eau et de la terre, la pâte sera alors un des moteur du matérialisme : on dit d’ailleurs « mettre la main à la pâte », renvoie directe au KHOUM/CHNOUHIS le Divin Potier qui sur son Tour de Potier donne vie à l’Argile/ADN un nom-la-Forme : le Potier des Formes, le Logo manifesté, le mâle phallique qui féconde la Nature.
Chnouphis/Khnoum est :
1) le Potentiel
2) l’Ouvrier/Potier avec SES 2 MAINS (Involution/Évolution).
Quant aux « bras » ou tentacules des Pieuvres il sont symboles de force et de protections, et surtout le pouvoir de faire et défaire ! Shiva dansant est auréolé de multiples bras. Tentacules ou bras sont moyens d’efficacité, comme aussi la « main de justice ». Le bras sert à porter la nourriture à sa bouche. Et l’avant-bras, moyen terme entre le coude et la bouche, symbolise le rôle de l’intellect et du médiateur entre le Divin et le corps ; d’où d’ailleurs l’importance de la mesure égyptienne : LA COUDÉE. Voir aussi les bras levés des personnes qui « se rendent », prisonniers de guerre ou brigands arrêtés, précaution pour le winner que le loser ne cache pas d’arme ou de mauvaises intentions. Évidemment les bras levés signifiant avant tout le GESTE DE SOUMISSION, COMME LA QUEUE ENTRE LES JAMBES POUR LE CHIEN… C’est donc le geste par excellence de la reddition, du RENONCEMENT, en un état de LOSER. Dans la liturgie chrétienne copiée sur l’Égypte ancienne les bras levés signifie l’imploration de la grâce d’en Haut et l’ouverture de la Porte au Divin. Voir les deux bras levés signifiant le KA, en Égypte ancienne le Principe réalisateur (le Soufre) de la Création sans commencement ni fin ; les deux bras levés du KA signifie : LE VASE, LA VALLÉE OU COUR, le Haut et le Bas sont en communication. La KA est une Variation du Thème ZÉRO INDIEN : alimentation (« condensateur-pierre » au sens électronique actuel) de toute Vie ; de plus il y  un Ka collectif et un KA individuel, mais le KA n’est ni un égrégore ni un inconscient collectif dans le sens de C.G. Jung. Le KA est très lié à Maât, la Déesse qui représente l’Instant, le Ici et Maintenant, avec sa plume sur la tête (plume aussi énergie type Zéro indien… et énergie du Verbum mêlé du FLÉAU… qui peut renvoyer au sacrifice…..)

Enfin, la Pieuvre ou Octopus (8) ressemble à l’ARAIGNÉE (aussi 8 pattes). Symboliquement dans la pensée indo-européenne, dans les Upanishad, le FIL DE L’ARAIGNÉE EST IDENTIQUE À L’ENCRE DE LA PIEUVRE (3) : SYNONYME DE LIBERTÉ, SYNONYME DU MO(R)T SACRÉ ‘AUM’ (ou OM). Le Fil est la FRACTAL DE FRACTAL OU LA PORTEUSE DE LA SOUS-PORTEUSE….
« L’apparition et la disparition du monde sont comparables à l’araignée qui tisse sa toile et puis la résorbe. Dans cet exemple, l’araignée est sous-jacente aux trois états, ceux de veille, de rêve et de sommeil profond. Une telle araignée en l’homme est appelée âtman (le Soi), tandis que la même en rapport avec le monde (considéré comme issu du Soleil) est appelée brahman (l’Esprit suprême). « Celui qui est dans l’homme est le même que Celui qui est dans le Soleil (Sa yash câyam purushe / yash câsâr āditye / sa ekah [[C’est le même [être] qui, ici-bas, est l’homme et qui, là-haut, est dans le soleil. TaiU II.8 et III.10,4]) ». (Ramana Maharshi, entretien 25 du 4-2-1935).

PARADOXE DU PLOMB-EUCHARISTIE…..
On échappe à ses limites par l’apesanteur, et non par des conquêtes de ce monde de winners de l’avoir et de se faire voir et avoir.

Notes.
1. VACUITÉ (définition) : ce n’est pas ce qu’écrit le dictionnaire Le Robert : « État de ce qui est vide ».
La Vacuité est le Soi, l’état naturel ou ‘EST’ seulement (comme le « N’EST PAS X »), le Sans Pourquoi des choses qui n’ont pas d’essence, et dont aucune n’est ou n’existe en soi et pas soi, comme l’expression « N’EST PAS X » qui revient à dire que les choses ne sont que de simples imputations nominales dépourvues d’être en soi et par soi, ce qui est une définition dU FLÉAU (sens de la Balance). Vacuité = le Centre qui est nulle part et la Circonférence qui est partout…
FLÉAU, parce que lorsqu’il n’existe plus d’extrême, le milieu entre les deux extrêmes disparaît. Le FLÉAU est donc un Fléau parce qu’insaisissable, non-identifiable. Le milieu c’est la Vacuité, le Vide du Vide du milieu, c’est-à-dire le Centre qui est nulle part. Le « N’EST PAS X » se détache de l’opinion d’être et de non-être, il ne tombe pas dans l’opinion, le choix et le rejet sources de guerres et d’anéantissements de ce qui est rejeté comme une ordure ou de l’impur dans la dualité pur-impur.

La Vacuité est du Thème de la Fontaine de Jouvence, du Zéro Indien : l’Un véritable : ni être, ni non-être…
VACUITÉ, SIMPLICITÉ = CE QUI N’EST PAS OFFICIEL, CE QUI N’EST PAS SYSTÈME (L’OCCIDENT EST LE SYSTÈME, L’EMPIRE DE CETTE PLANÈTE).

2. Le VAN : Dans la Vallée souffle le Vent, le Vent d’Hermès, au sens du VAN. Vent ou Van trouve son homonyme en FAN (paraître), mis en Fêmi dont la forme enclitique signifie : rendre visible, se manifester. Le latin vanna (van) trouve dans FANOS (Phanos ou Lanterne) la signification de lumineux, brillant, que le sens figuré affirme par « manifeste », « évident » ; c’est aussi proprement le Flambeau, que le second sens de Phanos ou Fanos désigne par Lanterne (la « Lanterne » ou Lumière d’Hermès, cette Pierre nécessairement volatil revivifiant le mort et donnant la vie au Soleil et à la Lune, au « mari et à la femme »…).
FAN : paraître, avec le F de Figure, Feu, Fléau, Fantôme, Finalité, Forme, Fond, Fin, Fleuve : « Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source » (Jean Coulonval, dans Synthèse et Temps Nouveaux). Le F de Feu comme du Fléau qui détruit tout et qui donne cependant au Fer après liquéfaction, la Forme ou la Figure-Fin. Ainsi est la définition du mot VAN : LE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE, au sens du Secret de la Fleur d’Or, manuel classique de méditation permettant l’accès à l’Être intérieur ; manuel incorporant la quintessence du bouddhisme et de la taoïcité. L’Or signifie la Lumière, celle de l’intellect qui « pointe » ; la fleur signifie l’épanouissement, le jaillissement de la lumière du Soi. Ainsi, le nom même de cette technique désigne l’Éveil fondamental et inconcevable du Vrai Soi et de son potentiel caché, le « Zéro indien », appelé en Occident d’une façon utilitariste : « énergie libre », comparable au pouvoir surnaturel Siddhi inhérent au mental.

3. ENCRE : pourpre. Sainte Eulalie emploie l’expression d’encre pourpre ; le martyr devient une inscriptia Christo pagina : une page écrite pour le Christ [ou Soi]. L’encre pourpre était conservée à Byzance par un camériste au service de l’Empereur, qui seul pouvait ne faire usage. Encre pourpre = le sang, l’écriture qui lie dans une union indestructible… Quant au NOIR de l’encre il renvoie au Saint Chaos, et aussi à l’Initié hindou assis sur une peau de félin à poils noirs et ocres ou blancs, signifiant le non-manifesté et la manifestation. Le Noir brillant est identique au Blanc brillant symbolisant l’Instant (la réunion des 7 Couleurs de l’Arc-en-Ciel). Ce Noir brillant est identique au ROUGE ou POURPRE est le noir moreau des coursiers dans la tradition populaire russe, symbolisant l’ardeur et la puissance de la jeunesse. Bien-sûr le Noir renvoie à la Putréfaction ou Fléau, Renoncement… le TOUT…. (Homère voyait le Grand Réservoir de toutes choses dans l’Océan Noir, aspect chthonien : les VIERGES NOIRES accompagnent les : Isis, Déméter, Cybèle, Aphrodite). LA NUIT ORIGINE DE TOUTES CHOSES. Plus que le Blanc, le NOIR LA COULEUR ABSOLUE (comme le pense Djalâl-od-Dîn Rûmî : « Depuis que l’absence de couleurs (l’Unité) et devenue captive de la couleur (la manifestation), un Moïse est devenu l’adversaire d’un Moïse », Mathnawî, Livre premier 2467).

4. Fin du Verset 20 ; « Moi seul, je diffère des autres hommes parce que je tiens à téter ma Mère ». (Traduction : Liou Kia-hway).
 
 

Dernière mise à jour : 09-10-2022 00:49

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