C(T)COUCHER au Pieu
 

Ecrit par Sechy, le 16-02-2023 17:48

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Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Démocrapitaliste, Diable, Dragon, Echo, Egopinion, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, Hararielisme, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Messianisme, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Spontacratie, Tore, Transhumanisme, Utotalitarisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Yi King, Yokai

 
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C(T)COUCHER au Pieu
Aller au PIEU, le Vrai,
pas celui où l’on c(t)ouche avec
l’autre pour ”faire l’amour” en
prenant l’autre, le Dehors, pour
UN OBJET (éventuellement de reproduction
de soi-même : ”faire un enfant” comme pour
se rendre ”immortel” ici-bas, dans la
croyance au corps et la ”perpétuation
de l’espèce”
ou ”mise en valeur du temps”.
 
”Espère de crétin, tu veux c(t)oucher le
corps de l’autre, le DÉSIR, l’ATTRACTION,
LA PESANTEUR OU LOI DE SUCCION confondue
avec l’Eucharistie ou Vraie Loi de Succion”.
Mais : “À qui apparaissent ces désirs ?”
”Vous croyez que vous êtes le corps, vous
voyez l’autre comme étant un corps.
Ainsi naît la différence de sexe. Mais vous
n’êtes pas le corps. Soyez le vrai Soi.
Alors il n’y a pas de sexe”.
(Ramana Maharshi, entretien 169, 24-2-1936).

AU PIEU : ÊTRE, Ouroboros/Tore/C(T)oucher/
LIT-ÊTRE AU PIEU.

”L’autre sexe et la relation à lui ne sont
que des concepts mentaux. Dans une Upanishad,
il est dit que tous les êtres sont chers
parce que le Soi est aimé de tous [dimanas
tu kâmâya sarvam priyam bhavati
(BAU II.4,5)].
Le bonheur est intérieur ; l’amour ne vient
que du Soi. Il est à l’intérieur de chacun ;
ne pensez pas qu’il est à l’extérieur
:
alors toute différenciation cessera”.
(Entretien 335 du 21-1-1937).


On ne peut pas être NÉ sans
AUPARAVANT, ÊTRE.

En prenant quelques minutes de conscience
là-dessus, on peut s’apercevoir que c’est
impossible.
ON NAIT SEUL ET ON MEURT SEUL dans un
”ANTRE” SANS COMMENCEMENT NI FIN.
LA MORT PHYSIQUE N’EST PAS LA FIN
MAIS SEULEMENT LE COMMENCEMENT :



AU PIEU : Le Seul Réel tel qu’Il EST, Ici et Maintenant : Iti désigne l’ainsité (ainsi), le Soi, la Seule Réalité, le « JE SUIS », tathata en sanskrit, shinyo en japonais (‘Je’ et ‘je’ et devient ku : au-delà de l’ego et de ses différences sur-mortelles par leur vulgaire loi de succion et du C(T)OUCHER (1)).

AINSITÉ : ni s’enfuir, ni s’approcher. Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
Ni apparaître, ni disparaître, seulement « Je suis ce JE SUIS » ou immortalité, éternité du ‘Je’. Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».

L’œil ne peut fonctionner qu’en utilisant la lumière émanée du soleil, sans cela l’œil est inutile. De même, le jiva ou individu ne peut fonctionner qu’en utilisant la Conscience [le Sel…] qui émane du Soi. Également, de même que l’œil ne peut fonctionner que dans la lumière réfléchie du monde des Essences. S’il l’œil se tourne pour regarder le Soi, il sera entièrement effacé et se fondra dans le Soi avec lequel il ne fera plus qu’un, comme le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source. C’est le EST, le « Je suis ce JE SUIS ».

Un dividu qui a perdu son Axe ou Vraie Nature sera A-lité, afin de se RE-poser, se RE-laxer : l’être humain fatigué de ne plus pouvoir supporter sa station d’humain : DEBOUT, se couche en  retournant un moment, à son état originel : colonne vertébrale à l’horizontale : ALLER AU PIEU (ou aller à l’Axe, le re-trouver).

Avoir trouvé comme Cendrillon chaussure à son pied rappel que l’âme ou le Soi en toutes traditions est associée à cette partie du corps qui, grâce au sou-lier, garde ”les pieds sur terre” et aussi image du FLUX, du COURANT tel le LIT DE LA RIVIÈRE au sens du DRAGON que nombre de Réalisés tels Michel doivent DOMPTER (et non tuer).

AU PIEU : ÊTRE : GALAXIE, GALA : LAIT (être dans son JUS).
LAIT = symbole du ”lieu” d’Immortalité (en Inde et dans la Tradition Orphique, chez les Celtes). Héraclès suce le lait de l’Immortalité. On verse du LAIT sur les 365 Tableaux d’Offrandes qui entourent le Tombeau d’Osiris (Il ressuscite chaque matin des jours de l’année). Lait : symbole lunaire et féminin lié au renouveau printanier : LIBATION = BLANCHEUR DE L’INSTANT réunissant les Couleurs de l’Arc-en-Ciel (faussé dans le cas du LGBTisme (1)).

AU PIEU : CHICOT (pieu, axe, pivot, centre du lait ou galaxie) : À L’INSTANT DE SA PERTE QUAND ELLE DEVIENT INSAISISSABLE, la fameuse « vie ».
MIR-IAM : L’AURORE, LA POINTE DU JOUR : LE SEUIL ENTRE LA VEILLE ET LE LENDEMAIN…  CONCRÈTEMENT ET AVANT TOUT : « LE ROYAUME DES CIEUX EST EN VOUS » (gratuit et pour tous).

Le Seuil participe de la transcendance du Centre qui est nulle part et en conséquence participe au « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).

En expliquant la cinquième (en rapport avec le sens du Trou) et la sixième stance (en rapport à ce qui n’a pas de copie et qui est toujours l’Éveil) du Arunâchala-ashtakam, Shrī Bhagavân [Ramana Maharshi, Bhagavân signifie « divin »] fit remarquer :
« La 5e stance se termine par les paroles suivantes : “Y a-t-il quelqu’un [à part Toi]… ?” Les premiers mots de la 6e stance répondent : “Oui, il y a Toi, l’Être unique…” Puis la stance poursuit :
“Bien que seul et unique, Il se reflète néanmoins, en vertu de Ses pouvoirs merveilleux, sur le minuscule point ‘je’ (l’ego), appelé également ignorance ou ensemble des tendances latentes ; cette lumière réfléchie est la connaissance relative. Selon le prârabdha (les fruits des actions passés) de chacun, elle permet aux tendances intérieures latentes de se manifester sous la forme du monde matériel et d’intérioriser ce monde matériel encore sous formes de tendances intérieures subtiles. Ce pouvoir est appelé mental sur le plan subtil et cerveau sur le plan physique. Ce mental ou cerveau sert à l’Être éternel comme un verre grossissant, à travers lequel Il apparaît comme l’Univers. En état de veille et de rêve, le mental est tourné vers l’extérieur et dans le sommeil profond il est tourné vers l’intérieur. L’Être suprême prend, par l’intermédiaire du mental, l’apparence de la diversité en état de veille et de rêve, tandis qu’il reste replié sur lui-même dans l’état de sommeil profond, d’évanouissement, etc. Par conséquent, vous êtes toujours Cela et ne pouvez pas être autrement.
Quels que soient les changements, le même Être unique reste toujours vous-même ; il n’existe rien en dehors de vous-même [le scribe de cette page souligne].

La 5e stance dit : Une fois exposée au grand jour, une plaque photographique, sensible à la lumière, ne peut pas capter d’images. De même, le mental (la plaque sensible), une fois exposé à Ta lumière, ne peut plus refléter le monde. De plus, le Soleil n’a d’autre source que Toi-même. Si ses rayons sont si puissants qu’ils empêchent la formation d’images, combien alors plus forte doit être Ta Lumière ? Voilà pourquoi il est dit que rien n’existe à part l’Être unique, Toi-même.
La 6e stance : le point minuscule (l’ego) est constitué d’obscurité ; c’est l’ego formé de tendances latentes. Lorsque le sujet percevant (l’ego) se manifeste, il se déploie en objet perçu ou en antahkarana (organes intérieurs). La lumière doit être faible pour permettre à l’ego de se manifester.
En pleine lumière du jour, une corde ne peut ressembler à un serpent. Dans l’obscurité profonde, ne pouvant être vue, il n’y a aucune chance de la prendre pour un serpent. Ce n’est que dans la pénombre, au crépuscule, que peut se produire la méprise. Il en va de même pour l’Être pur et radieux qui se manifeste sous forme d’ego : ce n’est possible que lorsque l’éclat de Sa lumière se diffuse au travers de l’obscurité. Cette obscurité est également appelée ignorance originelle (le péché originel [croquer la pomme]). La Lumière qui passe à travers elle se nomme Lumière réfléchie. Cette Lumière réfléchie, par ses qualités, est connue habituellement comme Mental pur ou Ishvara ou Dieu. Il est bien connu qu’Ishvara est uni à la mâyâ ; en d’autres termes, la lumière réfléchie est Ishvara.

L’autre nom, celui de Mental pur, implique aussi l’existence d’un mental impur. C’est le mental actif, rajasique ou l’ego ; celui-ci ne peut être projeté par le mental sattvique qu’à travers une autre réflexion de lumière. L’ego est donc le produit d’une seconde obscurité (avidyâ). Vient ensuite le mental lourd, tamasique, qui se manifeste sous la forme dantahkarana (organes internes) et qui permet d’apercevoir le monde.
Quant au corps physique, on peut dire qu’il se projette vers l’extérieur en tant que monde par le moyen du cerveau. Mais le corps physique n’est qu’une conception du mental. Le mental peut être considéré comme constitué de quatre organes internes ou comme un principe composé de pensées ou encore comme le sixième sens ; on peut aussi le considérer comme une combinaison de l’intellect avec l’ego et de chitta avec le mental (c’est-à-dire la faculté de la mémoire avec la faculté de la pensée) et en conclure que le mental consiste en deux parties (l’ego et la pensée). Dans ce cas, le vijnanatma (le soi intellectuel) ou l’ego ou le spectateur constituent le sujet, tandis que l’enveloppe mentale ou le spectacle constituent l’objet.

Les états de veille, de rêve et de sommeil profond ont leur origine dans l’obscurité originelle (mûla-avidyâ). Que le mental se dirige vers l’extérieur, tirant ses expériences des activités mentales dans les états de veille et de rêve, ou qu’il soit tourné vers l’intérieur, dans le sommeil profond, tirant ses expériences des modes de la mâyâ [illusion, pouvoir de la manifestation du monde], toutes les activités des individus et de l’Univers sont réglementées par un unique Pouvoir. Toutes ces activités ne sont que des phénomènes qui passent à travers la lumière réfléchie sur le substrat de l’Être, lumineux en soi.
De même qu’on ne peut confondre en plein jour une corde avec un serpent, et que cette corde ne peut être vue dans l’obscurité, ainsi le monde ne peut apparaître ni dans le samâdhi [contemplation] de l’Être pur, lumineux en soi, ni dans le sommeil ni dans l’évanouissement, etc. Ce n’est que dans la lumière réfléchie (lumière mêlée à l’obscurité ou Connaissance souillée d’ignorance) que le monde, qui n’est pas indépendant de sa source, semble naître, s’épanouir et se dissoudre. Sa diversité ne peut exclure la Réalité, la Source originelle. Il s’agit ici d’un jeu dans lequel le seul et unique Être se multiplie, est objectivé, puis se résorbe. Pour accomplir cela, il doit y avoir une shakti (Pouvoir), et merveilleuse en plus ! Elle ne peut pas non plus être indépendante de son origine. Dans l’Être pur, lumineux en soi, cette shakti ne peut être perçue. Et pourtant, ses activités ne sont que trop bien connues. Que son jeu est sublime !

De Son activité originelle sublime (la vibration primordiale) résulte la lumière réfléchie de sattva ; de là découle l’ego rajasique ; puis des formes de pensée tamasiques, connues communément sous le nom de connaissance, ou comme la lumière qui traverse une lentille grossissante. De même que la lumière artificielle est projetée sur l’écran à travers une lentille, ainsi la Lumière réfléchie traverse la pensée (la lentille grossissante) avant de se déployer sous la forme du monde ; de plus, la pensée, qui est le monde à l’état de semence, semble être le vaste monde extérieur. Tel est l’extraordinaire Pouvoir ! De cette manière, Ishvara, l’individu et le monde ne proviennent que de la Lumière réfléchie, ayant l’Être unique, lumineux en soi, comme substrat.
Maintenant, qu’est-ce que cette pensée ‘je’ (l’ego) ? Est-elle le sujet ou l’objet dans cette conception des choses ?
Étant donné qu’elle est le témoin de tout pendant les états de veille et de rêve, ou du moins, c’est ce que nous croyons, on peut la considérer comme étant le sujet. Mais lorsque le pur Soi est réalisé, elle n’apparaît plus que comme un objet [le scribe de cette page souligne].
À qui est cette pensée ‘je’, l’ego ? Cette investigation est appelée vichâra.
Les pensées ‘je’ et ’ceci’ sont toutes deux des émanations de la même lumière. Elles correspondent respectivement aux rajoguna et tamoguna. Pour que la Lumière réfléchie (pur sattva) soit dépourvue de rajas et de tamas, elle doit resplendir en tant que ‘Je’-‘Je’, non-interrompue par la pensée “ceci” [de la dualité sujet-objet]. Cet état pur survient, d’une façon temporaire, entre le sommeil et la veille. Si cet état de transition se prolonge, il devient Conscience cosmique ou même Ishvara. C’est l’unique passage vers la réalisation de l’Être suprême, lumineux en soi.

En résumé, on peut dire qu’il y a deux sortes d’expériences durant le sommeil profond dont on se souvient au réveil lorsque l’on dit “j’ai dormi comme un bienheureux et je n’avais conscience de rien”. C’est l’expérience du bonheur et de l’ignorance. Nous pouvons donc constater que le Pouvoir s’est transformé en 1) dvarana (obscurité) et 2) vikshepa (diversité). Le mental est le résultat du vikshepa [la diversité marchande devenue célèbre depuis que tout le monde est devenu le roi en France en 1789…] ».
(Ramana Maharshi, entretien 323 du 7-1-1937).

Note.
1. ”Espère de crétin, tu veux c(t)oucher le corps de l’autre, le DÉSIR, l’ATTRACTION, LA PESANTEUR OU LOI DE SUCCION” MAIS TU ES DÉJÀ MORT : LA VRAIE VIE N’EST PAS DANS LA CROYANCE AU SPATIO-TEMPOREL. Dans le spatio-temporel, les forts en ego et en argent VOUS AUTORISENT SEULEMENT LE DROIT D’EXISTER OU DE CONSOMMER (vous passez à la paye, chez le supermarché), MAIS NON PAS D’ÊTRE.
La preuve récente, la « coll(u)ision » de février 23 d’un professionnel humoriste en grande souffrance comme nécessairement de tout ce qui se clame LGBTisme… Classe de riches qui plonge dans la ”mise en valeur” du temps sexuel en prenant des drogues pour ”mieux” s’envoyer en l’R, apportant la preuve de leur désir d’Infini, mais dans le sens de leur croyance au corps… de l’autre : le C(T)OUCHER, ”COMME SI” ils devenaient l’UN.

LGBT = CANNIBALISME : MANGER L’AUTRE (sens de faire un avec lui ou elle).
NON, NON, le ”QUI SUIS-JE ? » ce n’est pas être : homo, andro, bi-ceci, bi-cela ou trans-machin, ou inverser le sens du ”être bien dans son jus ou bien dans ses pompes” comme le prétend un ”guide” du lesbiennisme.
”Y a-t-il un "adorateur” et un "adoré” ? Trouvez le ’je’, l’adorateur : c’est la meilleure manière de procéder. Il faut toujours rechercher ”celui qui voit”.

(Ramana Maharshi au jour le jour, 28-12-1945).
”Se demander ”Qui suis-je ?” signifie en réalité trouver la source de l’ego ou de la pensée ‘je’. C’est un moyen pour se défaire de toute autre pensée. Il ne faut pas avoir d’autres pensées, comme celles que vous venez de mentionner :
”Je ne suis pas ce corps [mortel]”, etc., mais fixer l’attention sur la recherche de la source du ‘je’ en vous demandant, chaque fois qu’une pensée se manifeste, à qui elle se manifeste. Et si la réponse est ”à moi”, continuez à vous demander qui est ce ”moi” et d’où il vient”.

(Ramana Maharshi au jour le jour, 28-12-1945).
« Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). AUCUNE SAISIE POSSIBLE.

ÊTRE, ne veut pas dire être dans son corps, mais AU-DELÀ D’ICELUI. Or dans cette actuelle ”civilisation”, tout est fait pour l’AMPLIFIER en tentant de le FAIRE/FER oublier par des prothèses ou artifice inform-atique transhumaniste.
Il est significatif que cette classe LGBT et l’humoriste en coll(u)ision amoureux semblent vouloir RÉALISER LEUR SURFEU ANNÉE APRÈS ANNÉE À COUPS DE SENS-A-tionnel ou d’artifices.

S’envoyer en l’R pour contrer l’attraction universelle.
Le Mé-chant : il choit mal, il chute : il « tombe bien bas ou bien mal » suivant l’attraction universelle ou loi de succion, eucharistie du désir ou commerciale.
Loi de succion : TO FALL (faillir), chuter.
Chuter, celui qui bute ou qui est buté : il tré-buche (travail : trois pieux qui écartèlent) : pécheur (origine du latin peccare : pécher).
Les Juifs sont des pécheurs (de choses à réparer et à profit), puisque ce sont des « élus ».
S’envoyer en l’R : Prométhée, Icare, les LGBT, les politistes du régime, les professionnels de l’entertainment et des médias.

« Il n’existe rien en dehors de vous-même », dit le Maharshi cité plus haut. À savoir le SURFEU : la fin de toute dualité sujet et objet : ON NAIT SEUL ET ON MEURT SEUL, donc la fin de tout spatio-temporel. ”La mort est un rendez-vous avec soi [‘Je’-‘je’] : il faut être exacte au moins UNE fois [donc sans copie]”, pour citer André Ruellan, Manuel du savoir-mourir, p.37.
SPATIO-TEMPOREL = TEMPS : ”La nature du mental est précisément d’errer. Mais vous n’êtes pas le mental. Le mental émerge puis s’immerge. Il est impermanent, transitoire, alors que vous êtes éternel. Il n’y a rien d’autre que le Soi. Rester le Soi est la solution. Ne faites pas attention au mental. Si on cherche sa source, le mental s’évanouit, laissant le Soi non affecté derrière lui”. (Ramana Maharshi, entretien 97 du 19-11-1935).

”Vous êtes toujours dans le Soi – maintenant, en transe, en sommeil profond ou en état de Réalisation. Si vous lâchez le Soi et vous identifiez avec le corps ou le mental, ces états semblent s’emparer de vous et cela ressemble au vide de la transe, etc. ; alors que vous êtes le Soi et que vous êtes éternellement présent”. (Entretien 159 du 12-2-1936).

”Si vous cessez de vous identifier au corps et voyez le Soi réel, cette confusion [la pensée d’un mort ou d'une perte] se dissipera. Vous êtes éternelle. Vous découvrirez que les autres le sont également. Tant que vous n’aurez pas réalisé cette vérité, vous éprouverez toujours ce chagrin qui provient des appréciations erronées issues d’une fausse connaissance et d’une fausse identification”. (Entretien 276 du 5-11-1936).

 
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Dernière mise à jour : 16-02-2023 20:35

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