MICHEL, MI CHA, PTAH
 

Ecrit par Sechy, le 17-02-2023 18:59

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MICHEL, MI CHA, PTAH
Semblable, Singularité
et EL : Lumière ou Vibration.
Semblable ou Uni-ver-S et Un-i-vers-EL
comme la Géocentrie du GALAxie : LAIT.
Les Monogrammes des Lettrés y font en
permanence référence. Mono : Un, Singulier,
le EST ou CELA, le ICI, et non le LA où
il est devenu le consommateur ou le
citoyen, la personnalité ce nouveau roi,
la fausse vraie nature le faux ”qui suis-je ?”
du genrisme corporel et mental (le sexe,
c’est dans la tête, et pas entre les jambes).

 
 
« Y a-t-il un "adorateur” et un "adoré” ? Trouvez le ’je’, l’adorateur : c’est la meilleure manière de procéder. Il faut toujours rechercher ”celui qui voit” ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 28-12-1945).

« Se demander ”Qui suis-je ?” signifie en réalité trouver la source de l’ego ou de la pensée ‘je’. C’est un moyen pour se défaire de toute autre pensée. Il ne faut pas avoir d’autres pensées, comme celles que vous venez de mentionner :
”Je ne suis pas ce corps [mortel]”, etc., mais fixer l’attention sur la recherche de la source du ‘je’ en vous demandant, chaque fois qu’une pensée se manifeste, à qui elle se manifeste. Et si la réponse est ”à moi”, continuez à vous demander qui est ce ”moi” et d’où il vient ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 28-12-1945).
”Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ” du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). AUCUNE SAISIE POSSIBLE.

« Tout le monde souhaite s’échapper. La tendance vers l’extérieur est sans limites. Le bonheur se trouve à l’intérieur et pas à l’extérieur ». (Ramana Maharshi, entretien 229 du 8-7-1936).

« Le détachement est pratiqué afin d’empêcher le mental de se projeter vers l’extérieur ; la pratique, elle, a pour but de le maintenir à l’intérieur. Il y a constamment lutte entre contrôle et contemplation à l’intérieur de nous. C’est la contemplation qui, en temps voulu, triomphera ». (Ramana Maharshi, entretien 220 du 1-7-1936).

« Le plaisir consiste à tourner le mental vers l’intérieur et à l’y maintenir ; la souffrance, à le tourner vers l’extérieur. Seul le plaisir existe. L’absence de plaisir est appelée souffrance. Notre nature est plaisir – Félicité (ânanda) ». (Ramana Maharshi, entretien 244 du 29-8-1936).

« La Bible dit : « Le Royaume des Cieux est en vous »… Si vous vous considérez comme étant le corps, vous éprouverez quelques difficultés à comprendre cette affirmation. Si, en revanche, vous savez qui vous êtes réellement, vous découvrirez que le Royaume des Cieux et tout le reste sont inclus en votre Soi véritable. Tous ces concepts prennent naissance après que l’ego s’est manifesté. Drishtim jnnanamayim kritvâ, pashyed brah-mamayam jagat [TBiU 1.29, La vision rendue pleine de sagesse, on doit voir le monde en tant que brahman]. Dirigez donc votre regard vers l’intérieur et il deviendra absolu. Une fois cette conscience absolue réalisée, dirigez votre regard vers l’extérieur et vous découvrirez que l’Univers n’est pas séparé de l’Absolu réalisé [le scribe de cette page souligne].
C’est parce que votre vision est dirigée vers l’extérieur que vous parlez d’un extérieur. Aussi vous conseille-t-on de tourner votre regard à l’intérieur. Cet intérieur est en relation avec l’extérieur que vous avez l’habitude de chercher. En réalité, le Soi n’est ni extérieur ni intérieur.
En parlant des Cieux, on s’imagine qu’ils sont au-dessus ou au-dessous, intérieurs ou extérieurs, car on est habitué à la connaissance relative. On ne cherche que le savoir objectif, d’où ces idées. En fait, il n’y a ni haut, ni bas, ni intérieur, ni extérieur. Si ces notions étaient réelles, elles devraient aussi être présentes pendant le sommeil profond. Car ce qui est réel doit être continu et permanent.
Quand vous dormez, vous sentez-vous à l’intérieur ou à l’extérieur ? Bien sûr que non.

- Q. : Je ne m’en souviens pas.
- M. : Vous vous en souviendriez s’il y avait quelque chose dont il faille se souvenir. Vous admettez cependant que vous existiez durant votre sommeil. C’est le même Soi qui parle maintenant ; le Soi qui était indifférencié dans le sommeil est différencié dans l’état présent et voit la diversité.
L’existence réelle est la seule qui soit dépourvue de connaissance objective. C’est la conscience absolue. C’est l’état de bonheur que tout le monde admet. C’est l’état qu’il faut susciter, même à l’état de veille. On l’appelle jâgrat-sushupti. C’est la mukti [Libération, Délivrance spirituelle] ». (Ramana Maharshi, entretien 311 du 2-1-1937).

« En état de veille et de rêve, le mental est tourné vers l’extérieur et dans le sommeil profond il est tourné vers l’intérieur. L’Être suprême prend, par l’intermédiaire du mental, l’apparence de la diversité en état de veille et de rêve, tandis qu’il reste replié sur lui-même dans l’état de sommeil profond, d’évanouissement, etc. Par conséquent, vous êtes toujours Cela et ne pouvez pas être autrement.
Quels que soient les changements, le même Être unique reste toujours vous-même ; il n’existe rien en dehors de vous-même ». (Ramana Maharshi, entretien 323 du 7-1-1937).

« Il peut y avoir un nombre incalculable de théories de la création, mais toutes sont tournées vers l’extérieur. Elles sont sans limites, car le temps et l’espace sont illimités [la fameuse ”mise en valeur du temps”]. Cependant, elles ne sont que dans le mental. Cherchez le mental ; le temps et l’espace sont alors transcendés et le Soi est réalisé.
La création peut être expliquée scientifiquement ou logiquement, selon le goût de chacun. Mais quelle est la finalité à tout cela ? De telles explications sont appelées krama-shrîshti (création graduelle). D’autre part, drishti-shrîshti (création simultanée ou soudaine) est comme yugapadshrîshti.
En l’absence de sujet percevant, il n’y a pas d’objet perçu. Découvrez celui qui perçoit et vous découvrirez que la création entière est incluse en lui. Pourquoi regarder au-dehors de soi et continuer à expliquer des phénomènes qui sont sans fin ? » (Ramana Maharshi, entretien 388 du 6-4-1937).

« En sommeil, vous êtes centré en vous-même. Au moment où vous vous réveillez, votre mental jaillit vers l’extérieur, galopant d’une idée à l’autre. Ce jaillissement doit être contrôlé. Cela n’est possible que par un agent qui peut travailler à l’intérieur et à l’extérieur. Pouvons-nous identifier celui-ci à un corps physique ? Nous croyons que le monde peut être conquis par nos propres efforts.
Quand, frustrés par l’extérieur, nous sommes conduits vers l’intérieur, nous pensons : « Oh ! Oh ! Il y a un pouvoir plus fort que l’homme ». L’existence d’un tel Pouvoir supérieur doit être admise et reconnue. L’ego est un éléphant très puissant qui ne peut être contrôlé que par le lion, dont le simple regard fait trembler l’éléphant et le tue. Ici, le lion n’est autre que le guru. En temps voulu, nous saurons que notre gloire se tient là où nous cessons d’exister. Pour parvenir à cet état, nous devons nous abandonner en disant : « Seigneur ! Tu es mon refuge ». Le guru voit alors que cet homme a atteint la maturité nécessaire pour être guidé, et il le guidera.
- Q. : Qu’est-ce que l’abandon de soi ?
- M. : C’est la même chose que la maîtrise de soi ; la maîtrise s’effectue en supprimant les samskâra [tendances innées, impressions] qui permettent le fonctionnement de l’ego. L’ego ne s’abandonne que quand il reconnaît le Pouvoir supérieur [d’où aussi le danger des programmeurs ou ”laveurs de cerveaux”]. Une telle reconnaissance est l’abandon ou la soumission, ou la maîtrise de soi.
Sinon l’ego resterait aussi arrogant que la statue sculptée sur la tour d’un temple et dont l’attitude et les gestes font croire qu’elle supporte le poids de la tour sur ses épaules. L’ego ne peut pas exister sans le Pouvoir supérieur mais il pense agir de son plein gré ». (Ramana Maharshi, entretien 398 du 14-4-1937).

« Le mental a toujours tendance à s’éparpiller vers l’extérieur. Il faut le contrôler et le tourner vers l’intérieur. Il a l’habitude de se fixer sur des noms et des formes, car tout objet extérieur a un nom et une forme. Afin de détourner le mental des objets extérieurs et de le fixer en lui-même, on a attribué des conceptions mentales symboliques à ces noms et ces formes. Les idoles, les mantras et les yantra ont tous pour but de nourrir le mental lorsqu’il est tourné vers l’intérieur pour que plus tard il soit capable de se concentrer pleinement, après quoi il atteindra automatiquement l’état sublime ». (Ramana Maharshi, entretien 405 du 19-4-1937).

« Le mental dirigé vers l’extérieur est le siège de la dualité et du désir. Si on sait que la félicité n’est autre que le Soi, le mental se tourne vers l’intérieur. Quand le Soi est atteint, tous les désirs se trouvent exaucés. C’est âpta-kâma [qui a atteint l’objet de son désir], âtma-kāmah [qui ne désire que l’âtman, le Soi], akâmash ca (la satisfaction des désirs) de la Brihadâranyaka-upanishad [v. IV4, 6]. C’est le moksha [Libération, Délivrance spirituelle] ». (Ramana Maharshi, entretien 502 du 14-8-1938).

« Votre mental est dirigé vers l’extérieur. En raison de cette tendance, vous voyez les objets à l’extérieur, et le Maître en fait partie. Mais la Vérité est différente. Le Maître est le Soi. Tournez le mental vers l’intérieur et vous découvrirez que les objets se trouvent en vous. Vous réaliserez aussi que le Maître est votre propre Soi, et qu’il n’existe rien d’autre que lui.
C’est parce que vous vous identifiez à votre corps que vous acceptez les objets comme étant en dehors de vous. Mais êtes-vous le corps ? Vous ne l’êtes pas. Vous êtes le Soi. C’est là que se trouvent tous les objets et l’Univers entier. Rien ne peut échapper au Soi. Comment pourriez-vous donc vous éloigner du Maître qui est votre Soi véritable ? Quand vous vous déplacez d’un lieu à un autre, pensez-vous que votre corps s’éloigne du Soi ? De la même manière, vous ne pouvez jamais être sans le Maître [le Seigneur, au sens de l’Imagination Créatrice chez Ibn’Arabi] ». (Ramana Maharshi, entretien 503 du 17-8-1938).

« Tout le monde confond la conscience mentale avec la conscience du Soi. En sommeil profond, il n’y a pas de mental ; mais personne ne nie sa propre existence dans le sommeil. Même un enfant dit au réveil “j’ai bien dormi” et ne nie pas son existence durant son sommeil. Lorsque le ‘je’ [ego] surgit, le mental se tourne vers l’extérieur par les cinq sens et perçoit des objets. On appelle cela la perception directe. Quand on demande aux gens s’ils perçoivent directement le ‘je’, ils sont troublés parce que le ‘je’ ne se présente pas à leurs yeux comme un objet ; seule la perception par les sens est reconnue par eux comme un facteur de connaissance. Cette habitude est très forte en eux. Une strophe dans le Thevâram dit “Ô dévots qui êtes tant désireux de vous libérer de la souffrance, ne vous préoccupez pas des raisonnements et des exemples ! Notre lumière brille toujours au plus profond de nous-mêmes ! Avec un mental limpide, vivez en Dieu”.
C’est la perception directe (pratyaksha). Les gens vont-ils l’admettre ? Ils veulent que Dieu apparaisse devant eux, tel un être resplendissant monté sur un taureau [ou qu’un extraterrestre atterrisse en plein Paris sur la place de la Concorde ; la même chose que l’athée : ”Montrez-moi Dieu, et je vous croirai”]. Une telle vision, une fois née, doit aussi prendre fin. Elle est donc passagère. Le Thevâram parle de l’Être éternel dont on fait l’expérience continûment. Ces hymnes nous mènent directement à la Réalité ». (Ramana Maharshi, entretien 512 du 11-9-1938).

Ce monde du ”COMME SI” de la dualité Dedans-Dehors cherche LA TENSION PERMANENTE ENTRE DEUX PÔLES (avant-après, veille-sommeil, vide-plein, pur-impur, oui-non ou 0 et 1, etc. ‘moi’ et ‘non-moi’).
Dans le spatio-temporel et à l’état de veille, les forts en ego et en argent VOUS AUTORISENT SEULEMENT LE DROIT D’EXISTER OU DE CONSOMMER (vous passez à la paye, chez le supermarché), MAIS NON PAS D’ÊTRE.
Ce monde du ”COMME SI” = loi de succion vulgaire qui MANGE des données, des infos, acquises et CONSENSUELLES ACCUMULÉES AU COURS DES SIÈCLES ET FORMANT L’INCONSCIENT COLLECTIF, L’IDÉE REÇUE OU LA CROYANCE. C’EST CELA LES FAMEUSES « CONSTANTES » (genre ”vitesse de la lumière”) qui sont susceptibles en tant qu’OPINIONS d’être remises en question selon la mode du temps qui coule. Ces données ne sont pas LA CONNAISSANCE, ELLE NE SONT PAS LA MUKTI [LIBÉRATION, DÉLIVRANCE SPIRITUELLE].
Pour « voir » le monde, l’univers ou le « temps », il faut une personne ou une « conscience », sinon, comment ce monde, ou ce temps, pourrait-il exister ? Le monde ne vient pas dire, et en plus à l’état de veille : « J’existe ». C’est celui qui le voit, à l’état de veille, qui l’affirme.
 
 
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Dernière mise à jour : 17-02-2023 19:26

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