Le bien n’est qu’une illusion
 

Ecrit par Sechy, le 10-03-2023 15:47

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Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Démocrapitaliste, Diable, Dragon, Echo, Egopinion, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, Hararielisme, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Messianisme, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Spontacratie, Tore, Transhumanisme, Utotalitarisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Yi King, Yokai

 
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Le bien n’est qu’une illusion
par conséquence le « camp du bien »
tel celui de l’empire du Washingtonisme et
Westminsterisme est la même escroquerie que
l’État français républicain et tous États en
régime républicain ou monarchique et depuis 1789
leur commerciale démocratie en idolâtrie
de la marchandise : un citoyen à côté d’un
autres citoyen et que c’est ça leur ”social-”isme”
dans le principe des CONFLITS puisque le citoyen
ou consommateur N’EST PAS LIBRE, il se définit
par rapport à l’autre, au Dehors, il est donc
LIMITÉ par ce qui le différencie de ce Dehors,
de cet autre consommateur, donc leur
seule égalité est celle de la loi de succion ou
attraction, l’emprise mentale
(1) ; et c’est là-dessus
que s’est construit le capital-socialisme et l’État et
sa civilisation de consommation, de loi de succion.
CONFLITS : Bien ou Bonté ne sont que RELATIF :
”Le bien implique toujours le mal. Ils coexistent
toujours. Ils sont comme la face et le revers
d’une médaille” (Ramana Maharshi 326, 13-1-1937).
 
 
M. : « Vous parlez du monde et des événements qui s’y déroulent. Ils ne sont que des idées en vous. Ces idées sont dans le mental. Et le mental est en vous. Donc le monde est en vous.
Q. : Je ne vous suis pas. Même si je ne pense pas au monde, il n’en existe pas moins.
M. : Voulez-vous dire que le monde est séparé du mental et qu’il peut exister en l’absence de celui-ci ?
Q. : Oui.
M. : Le monde existe-t-il dans votre sommeil profond ?
Q. : Il existe.
M. : Le voyez-vous dans votre sommeil ?
Q. : Non, pas moi. Mais les autres qui restent éveillés le voient.
M. : Dans votre sommeil, en étiez-vous consciente ? Ou ne serait-ce pas plutôt maintenant que vous savez que les autres voient le monde ?
Q. : Oui, dans mon état de veille.
M. : Vous parlez donc de votre perception du monde à l’état de veille et non pas de votre expérience dans le sommeil. Vous admettez l’existence du monde dans les états de veille et de rêve parce qu’ils sont le produit du mental. Le mental se retire durant le sommeil profond et le monde se trouve dans la condition d’une graine. Au réveil, le monde se manifeste à nouveau. L’ego s’élance, s’identifie avec le corps et voit le monde. Ainsi, le monde est bien une création du mental.
Q. : Comment cela se peut-il ?

M. : Ne créez-vous pas un monde dans votre rêve ? L’état de veille est également un rêve, mais prolongé. Il faut qu’il y ait quelqu’un qui voie les expériences du rêve et du sommeil. Qui est-il ? Est-ce le corps ?
Q. : Il ne peut pas l’être.
M. : Est-ce le mental ?
Q. : Ce doit être lui.
M. : Mais vous existez aussi en l’absence du mental.
Q. : Comment ça ?
M. : Oui, en sommeil profond.
Q. : Je ne sais pas si j’existe alors.
M. : Si vous n’existiez pas, comment pourriez-vous vous souvenir de vos expériences d’hier ?
Est-il possible qu’il y ait eu une cassure dans la continuité du ‘je’ durant le sommeil ?
Q. : C’est possible.
M. : Si c’était le cas, un Johnson pourrait alors se réveiller comme un Benson. Comment l’identité de l’individu est-elle alors maintenue dans ces conditions ?
Q. : Je n’en sais rien.
M. : Si cet argument n’est pas clair, suivez alors un autre raisonnement. Vous admettez « J’ai bien dormi », « Je me sens reposé après un bon sommeil ». Vous avez donc fait l’expérience du sommeil. Celui qui a fait cette expérience s’identifie maintenant avec le ‘je’ de celui qui parle. Ce même ‘je’ doit avoir existé aussi durant le sommeil.
Q. : Oui.
M. : Donc le ‘je’ a existé durant le sommeil. Si le monde s’y trouvait aussi, vous a-t-il dit qu’il existait ?
Q. : Non. Mais le monde me prouve maintenant qu’il existe. Même si je nie son existence, lorsque je me heurte à une pierre et blesse mon pied, la blessure me prouve l’existence de la pierre et donc celle du monde.
M. : C’est cela. La pierre blesse le pied. Le pied dit-il qu’il y a une pierre ?
Q. : Non, moi ‘je’ le dis.
M. : Qui est ce ‘je’ ? Il ne peut être le corps, ni le mental, comme nous l’avons déjà vu. Ce ‘je’ est celui qui fait l’expérience des états de veille, de rêve et de sommeil profond. Ces trois états sont des changements qui n’affectent pas [l’identité de] l’individu. Les expériences sont comme des images qui défilent sur un écran de cinéma. L’apparition et la disparition des images n’affectent pas l’écran. Ainsi, les trois états alternent successivement laissant le Soi non affecté. Les états de veille et de rêve sont des créations du mental. Le Soi les englobe toutes. Savoir que le Soi demeure heureux dans sa perfection est la réalisation du Soi. C’est la réalisation de la Perfection et ainsi du Bonheur.
Q. : Le bonheur de la réalisation du Soi peut-il être complet si l’on ne contribue pas au bonheur du monde ? Comment peut-on être heureux quand il y a une guerre en Espagne, une guerre en Chine, etc. ? N’est-ce pas de l’égoïsme que de rester dans l’état de Réalisation sans aider le monde ?
M. : On vient de vous démontrer que le Soi englobe tout l’Univers et le transcende aussi. Le monde ne peut rester séparé du Soi. Si la réalisation d’un tel Soi est appelée égoïsme, cet égoïsme doit aussi englober le monde. Il n’y a là rien de méprisable.

Q. : Les êtres réalisés ne continuent-ils pas à vivre comme les êtres non réalisés ?
M. : Oui. Avec cette différence que l’être réalisé ne voit pas le monde comme séparé du Soi. Il possède la véritable connaissance et le bonheur intérieur d’un Être parfait. Tandis que l’être non réalisé voit le monde comme séparé, ressent son imperfection et en devient malheureux. Autrement, leur comportement extérieur est semblable.
Q. : L’être réalisé sait donc, comme les autres, que des guerres font rage dans le monde.
M. : Oui.
Q. : Comment peut-il alors être heureux ?
M. : L’écran de cinéma est-il affecté par des scènes d’incendie ou d’inondation ? Il en est de même avec le Soi.
L’idée « je suis le corps ou le mental » est si enracinée qu’il est difficile de s’en défaire, même quand on est convaincu du contraire. Quand on a fait un rêve, on sait au réveil qu’il était irréel ; et l’expérience de veille devient irréelle dans les autres états. Par conséquent, chaque état contredit les autres. Ils ne sont donc que des états changeants qui se déroulent dans la conscience de celui qui les perçoit. Ce sont des phénomènes apparaissant dans le Soi qui, lui, ne change pas et reste non affecté par eux.
Tout comme les états de veille, de rêve et de sommeil profond ne sont que des phénomènes, la naissance, la croissance et la mort ne sont, elles aussi, que des phénomènes dans le Soi, lequel continue à demeurer inchangé et non affecté. Naissance et mort ne sont que des idées. Elles relèvent du corps ou du mental. Le Soi existait avant la naissance de ce corps et demeurera après la mort de celui-ci. Il en est de même de tous les corps qui ont été pris successivement. Le Soi est immortel. Les phénomènes changent et sont mortels. La peur de la mort relève du corps, pas du Soi. Une telle peur est due à l’ignorance. Réalisation signifie vraie connaissance de la perfection et de l’immortalité du Soi. La mortalité n’est qu’une idée qui cause la souffrance. Vous pouvez vous en débarrasser en réalisant la nature immortelle du Soi [le scribe de cette page souligne].
(Ramana Maharshi 487, 2-5-1938).

M. : Mais vous existez aussi en l’absence du mental.
Q. : Comment ça ?
M. : Oui, en sommeil profond.
Q. : Je ne sais pas si j’existe alors.
M. : Si vous n’existiez pas, comment pourriez-vous vous souvenir de vos expériences d’hier ?
Est-il possible qu’il y ait eu une cassure dans la continuité du ‘je’ durant le sommeil ?
Q. : C’est possible.
M. : Si c’était le cas, un Johnson pourrait alors se réveiller comme un Benson. Comment l’identité de l’individu est-elle alors maintenue dans ces conditions ?
Explique le Maharshi ou Sage, cité plus haut, et c’est exactement le sujet du film de Don Siegel : L’invasion des profanateurs de sépulture (The Body Snatchers), où les humains ne sont pas éliminés par des extraterrestres débarquant de leur vaisseau, mais par une ALIÉNATION : devenir AUTRE OU EN DEHORS D’EUX-MÊMES ET QUI PARADOXALEMENT NE FAIT PAS AGIR LA RACINE DU MAL, LA SAISIE PAR LE DEDANS-DEHORS, mais seulement par le fait que LE VRAI DEVIENT FAUX PARCE QU’IL EST VU ET DANS LE FILM PARCE QU’IL Y A DUALITÉ, LA DUPLICATION QUI S’EMPARE DES HUMAINS ET LES TRANSFORME EN JUMEAUX D’EUX-MÊMES, privant ainsi toute personne de sa Vraie Nature, c’est-à-dire de sa SINGULARITÉ, DE SON ASPECT ”VIERGE NOIRE” - PAR UNE RÉDUCTION VIOLENTE À LA CONDITION DE COPIE, DE DOUBLE, DE DEHORS, COMME SI LA PERSONNE ”SORTAIT” DE L’UNIVERS.
C’est la définition de l’Aliénation : l’individu étranger à lui-même.
Don Siegel voulait d’abord appeler son film ”Sleep no more” (Ne dors plus), sinon, un autre se réveillera à ta place, comme dans l’exemple du Maharshi, un double qui prendra possession de ton être originel si tu sombres en sommeil profond.

On retrouve cette aliénation, cette copie de l’originel dans Le Bourgeois gentilhomme, qui ne coïncide plus avec lui-même, puisqu’il est transformé en ”mamamouchi” (noble turc), selon la mode du 17è siècle, ou le Dehors, l’étranger était symbolisé par un Turc. ”Star bon Turca, Giourdina”, lui recommande un mufti hollywoodien à la fin de l’acte IV : « Sois un bon Turc, Jourdain. Monsieur Jourdain est mort ; vive le Turc ! »

LE DOUBLE : LE « COMME SI » QUI RASSURE, QUI CONFORTE COMME UNE FEMME, ET DE NOS JOURS COMME DES OBJETS OU DE LA TECHNOLOGIE NOUVELLE MATRICE (sujet abordé dans la première trilogie filmique de Matrix, avec sa dualité Dedans-Dehors nettement abordée dans le premier et meilleur Matrix).

OBJET = objectum, du latin médiéval, de objicere : jeter ou placer devant : BOLG (du celtique ”enfler”, et depuis un moment : toutes choses qui participent de la LOI DE SUCCION : tout ce qui se présente comme nourriture au mental, comme la dualité sujet-objet. De nos jours tout est réduit en OBJET-MARCHANDISE OU SOCIALISME, ÉCHANGISME OU COMMERCE.
Tout ce qui ne participe pas de PAN, du TOUT, est un objet du commerce, avec une invention de ”liberté”, ou de ”valeur et vaurien”, de ”bonne santé”, ou de ”pouvoir”, de ”puissance”, également de ”valide et invalide”.

OBJET : LA RACINE DU MAL, LA SAISIE PAR LE DEDANS-DEHORS.
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion ou
Eucharistie (dans son sens en la
croyance au corps ou attraction
”universelle”, la ”valeur d’échange”,
la ”baisse du taux de profit”].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme,
du Désir, du Sans-Forme, jusqu’à la
gloutonnerie spirituelle].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans
l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors,
lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
Ils sont introuvables pour la raison naturelle que Nous sommes l’Univers et que la racine du mal fait SORTIR de l’Univers comme pour l’examiner et POUR-VOIR comment il fonctionne : ON SORT DU TROU POUR EXAMINER LE TROU, et comme dans un Trou il n’y a rien d’autre que le Trou : donc pas de Trou à voir.
POUR-VOIR OU POUVOIR SIGNIFIERA ALORS :
D’É-couvrir : augmentation de l’ego par l’opinion ou le recouvrement de toutes choses par le MASQUE LE RIDEAU DE SON EGO, CE SERA LA CHUTE :
SORTIR, DEHORS, SAISIR… ET TENTER D’AMÉLIORER LA CONDITION HUMAINE, TENTER DE ”RÉFORMER” : « Qui êtes-vous pour parler des autres ? Avez-vous remarqué les autres dans votre sushupti (sommeil profond) ?
M. : Mais celui qui voit en ce moment [l’ego à l’état de veille] et celui qui ne voit pas dans le sommeil c’est vous – toujours le même individu. Pourquoi devriez-vous remarquer des différences maintenant et en être troublé ? Restez comme vous étiez dans le sommeil.
Q. : C’est impossible. Je vois maintenant les différences tandis que je ne les vois pas dans mon sommeil. Du reste, cela ne change rien à l’état des choses tel qu’il est.
M. : Les objets existent-ils en l’absence du sujet ?
Q. : Leur existence est indépendante du sujet.
M. : Est-ce vous qui dites qu’ils existent ou est-ce eux qui viennent à vous pour annoncer leur existence ?
Q. : Je sais qu’ils existent.
M. : C’est donc seulement la connaissance que vous en avez qui détermine leur existence. Leur existence n’est pas absolue.
Q. : Même sans ma connaissance, ils continueront d’exister.
M. : Prétendez-vous qu’ils existent sans que vous ayez connaissance d’eux ?
(Rires) ».
(Ramana Maharshi 507, 22-8-1938).

ТЕМА : КОРЕНЬ ЗЛА, ЗАХВАТ ИЗНУТРИ-СНАРУЖИ.
- Так в чем же корень зла ?
- «владение» [закон всасывания или
Евхаристия (в ее значении в
вера или влечение к телу
«универсальная», «меновая стоимость»,
«падающая норма прибыли».
- захват чего ?
- Захват тройственного мира [Формы,
Желания, Бесформенного,
идти к духовному обжорству].
- Как остановить этот припадок ?
- Прибегая к неотслеживаемому, потому что в
не найдено нет изъятия.
- Что такое неуловимое ?
- Конец двойственности.
- Что такое дуализм ?
- Видение внутреннего и внешнего,
который не может быть найден.
(Сутра непостижимой свободы, глава V, 14)
Их нельзя найти по той естественной причине, что Мы есть Вселенная и что корень зла делает ВНЕ Вселенной, как бы для того, чтобы исследовать ее и УВИДЕТЬ, как она работает : Дыра есть не что иное, как Дыра : следовательно, никакой Дыры не видно.
ВИДЕТЬ ИЛИ СИЛА БУДЕТ ЗНАЧАТЬ ТОГДА :
К Э-покрытию: увеличение эго мнением или прикрытие всех вещей МАСКОЙ ЗАНАВЕС ЕГО ЭГО, ЭТО БУДЕТ ПАДЕНИЕМ :
ВЫЙДИТЕ НА СНАРУЖУ, ХВАТИТЕ… И ПОПЫТАЙТЕСЬ УЛУЧШИТЬ СОСТОЯНИЕ ЧЕЛОВЕКА, ПОПЫТАЙТЕСЬ « РЕФОРМИРОВАТЬ ».

Avant l’égocentrisme aliénant tel celui du consommateur soumis au capital et au régime politique étatique et marchand, le Bi-en était la non-dualité. Surtout depuis le 1789 français, dans un pays prétendument chrétien et prétendument de la prothèse ”liberté-égalité-fraternité”, le mot ”bien” n’est plus qu’une simple opinion singeant le TOUT, surtout visible et risible dans l’Empire (Washingtonisme, Westminsterisme) qui se prétend le camp du bien et qui détiendrait à lui seul « la vérité ».
До отчуждающего эгоцентризма, такого как потребительский, подчиненный капиталу и государству и рыночному политическому режиму, Биэн был недвойственным. Тем более, что французский 1789 год, в якобы христианской стране и якобы протезе "свобода-равенство-братство", слово "добро" есть не более чем простое мнение, подражающее ВСЕМ, особенно видимое и смешное в Империи (вашингтонизм, Вестминстеризм), который претендует на то, чтобы быть хорошей стороной и который один содержит « истину ».

Note.
1. Emprise mentale ou racine du mal : la dualité Dedans-Dehors avec naissance de la SAISIE.
Exemple d’emprise mentale dans le capitalisme juif et leur ”mise en valeur du temps” pour soi-disant ”racheter les péchés” (système du tikkounolamisme rabbinique ou réparation) :
En 1840 les frères Abraham et Simon Oppenheim déclaraient ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent).
Que copia probablement Jacques Lacan : ”L'amour, c'est offrir à quelqu'un qui n'en veut pas quelque chose que l'on n'a pas“. Donc être sous l’emprise de l’amour.
Saisir = déception….. Et principe de L’IDOLÂTRIE DE LA MARCHANDISE, L’EMPRISE MENTALE : LA DROGUE, LE BESOIN ET LE ”TOUJOURS PLUS” EN ÉVOLUTIONNISME APPELÉ AUSSI ”SALUT”, LA DÉMOCRATIE : FABRIQUER LE CONSENTEMENT-CONSOMMATEUR ET AINSI ÊTRE FORCÉMENT PERPÉTUELLEMENT DÉÇU, BLASÉ, INSATISFAIT, ANGOISSÉ (d’où le principe sans fin et qui a toujours faim des RÉFORMES… ”Agiter le peuple avant de s’en servir”…).
RESSENTIR L’ATTRACTION ”UNIVERSELLE” OU LOI DE SUCCION EN UN APPÉTIT INSATIABLE, ÊTRE SOUS EMPRISE.
 
 

Dernière mise à jour : 10-03-2023 16:10

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