Destruction de la Russie - Dieu
 

Ecrit par Sechy, le 23-05-2009 14:27

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Publié dans : Nouvelles Spéciales, Russie

Tags : Argent, Banques, Bolcheviks, Business, Chrétiens, Cosaques du Don, Dictateurs, Destruction de la Russie, Etzel, France, Israël, Juifs, Ku Klux Klan, Pouvoir, Révolution, Russie, Sionisme, Terreur, Terroristes, Tortures, Usure


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Destruction de la Russie - suite 22
- Le dieu du Fric -
 
 
Les SKULL & BONES et la Révolution Russe

La plupart des références et extraits ci-dessous proviennent du livre de Jan van Helsing : Sociétés Secrètes.
 
Résumé en partie :
Les candidats sont exclusivement des Blancs, des hommes, des protestants et sont originaires habituellement de très riches familles. Souvent, leurs pères étaient déjà membres du même ordre. Pendant la dernière année d'étude, on les appelle chevaliers, plus tard, ils deviennent pairiarches à vie.
Les patriarches se retrouvent pour des rencontres au "DEER ISLAND CLUB" à New York.
 
Ce club doit son existence, depuis 1907, au patriarche Georges Douglas. Le "Deer Island Club" de même que le "RUSSEL TRUST" ne sont administrés et dirigés que par des patriarches.
Il est étonnant de constater que les membres les plus éminents de l' "EASTERN LIBERAL ESTABLISHMENT" (l'establishment de la côte est) ont toujours été membres d'une de ces sociétés (Selon Gary Allen, l'establishment de la côte est est la périphrase de la mafia financière, politique, académique et médiatique contrôlée par les Rockefeller).

L’argent des Skull & Bones dans la Révolution Russe
« La Russie tsariste, était un souci permanent depuis beaucoup d'années pour les manitous financiers. À la Révolution de 1917, elle avait été balayée avec succès de la scène mondiale ».
Quarante-sept ans plus tôt, le grand Illuminé Albert Pike l'avait prédit dans sa fameuse lettre à Mazzini.
A ce propos, une banque digne d'être mentionnée est la "W. A. HARRIMAN COMPANY".
Son fondateur William Averall Harriman fut inité à l'ordre "SKULL & BONES" en 1913. Dans les années vingt, W. A. Harriman fut celui qui soutint le plus les Russes avec de l'argent et des aides diplomatiques. Son soutien financier venait de la "RUSKOMBANK", la première banque commerciale soviétique. MAX MAY, vice-président de la "Guaranty Trust" et membre de "Skull & Bones", devint le premier vice-président de la "Ruskombank". La "Guaranty Trust" était sous le contrôle de la banque J. P. MORGAN & Co (banque associée avec la banque N. M. Rothschild) et quelques-uns des associés de J. R Morgan étaient membres de "SKULL & BONES". Y furent initiés : Harold Stanley en 1908 et Thomas Cochran en 1904. Le capital initial pour la "Guaranty Trust" venait de Whitney, Rockefeller, Vanderbilt et Harriman : toutes ces familles avaient des membres dans l'ordre "SKULL & BONES".
PERCY ROCKEFELLER fût le seul de sa famille à y être admis. Il représentait les investissements Rockefeller dans la "Guaranty Trust" et en fut le directeur de 1915 à 1930.

Résumé sur les banques citées ci-dessus :
La "N. M. Rothschild & Sons Bank" avait ses succursales à Londres, Paris, Vienne et Berlin, Les Rothschild contrôlaient, pendant cette période de l'histoire, la City de Londres et, de ce fait, aussi les colonies de la Couronne britannique et le gouvernement anglais ainsi que le gouvernement français, le "Comité des 300", les Illuminés de Bavière et, par conséquent, toutes les loges secrètes d'Europe et des Etats-Unis infiltrés par les Illuminati.
Avec l'aide de leurs représentants, la "Khun Loeb Bank" dont le directeur était Jacob Schiff, la "August Belmont & Co. Bank" et la "J. P. Morgan & Co. Bank" aux États-Unis ainsi que la "M. M. Warburg Gesellschaft" à Hambourg et Amsterdam, les Rothschild avaient érigé, entre autres, le "Standard Oil-Imperium" de Rockefeller, les chemins de fer Harriman et les aciéries Carnegie, et ils contrôlaient, ainsi, la majeure partie du l'économie américaine.
Les banques citées ci-dessus comptaient parmi les plus puissantes du monde et étaient toutes sous le contrôle des Rothschild. Ainsi que nous allons le constater, nous n'en sommes qu'aux modestes débuts de l'empire Rothschild. (Des Griffin : "Die Absteiger", p. 53 et suivantes)
 
 
Sociétés secrètes impliquées dans la Révolution Russe.
Les puissances invisibles utilisèrent cet attentat (Sarajevo) pour réaliser la guerre mondiale qu'Albert Pike (fondateur du KKK) avait annoncée plus de 40 ans plus tôt.
Nouc connaissons dans l'ensemble le déroulemont des batailles, je ne vais donc examiner que ce qui se passa du côlé russe. La Russie, bien qu'elle posséda la plus grande armée du monde, avait un équipement de misère pour faire face à un grand conflit. Avant que n'éclate la guerre de 1914, la Couronne Britannique avait assuré la Russie de son aide totale et de son soutien militaire en cas de guerre. Au début de la guerre, cette assistance se trouva réduite à 10% des aides données avant-guerre. Il est évident que les détenteurs des monopoles d'argent, en parfait accord avec le plan décrit par Pike, voulaient plonger la Russie dans une situation très dangereuse.
Dans le même temps, alors que des millions de Russes étaient déjà tombés dans les batailles, les agents des ROTHSCHILD avaient accompli un bon travail en accentuant la situation déjà désastreuse des Russes. La philosophie des Illuminati de répandre la misère et l'insécurité fut récompensé dans ses efforts : la scène était libre pour une révolution qui devait survenir à la suite de la défaite subie par les Allemands.
La Révolution éclata en février 1917, le tsar fut renversé et le prince Georgi Luwow se chargea des affaires de l'État dans un gouvernement provisoire qui ne réussit, cependant pas a empêcher le pays de sombrer dans la décadence.

LE PÉTROLE RUSSE
La "Standard Oil" (de Rockefeller) acheta aux Russes, après la révolution bolchévique, 50% des immenses champs pétrolifères caucasiens, bien qu'ils fussent officiellement nationalisés.
En 1927, la Standard Oil construisit la première raffinerie en Russie, elle passa ensuite un accord avec les russes pour écouler leur pétrole sur les marchés européens et fit passer 75 millions de dollars aux bolchéviques.

Le traité de Versailles marquant la fin de la première guerre mondiale, est décrit ainsi par Philip Snowden :
"Le traité devrait satisfaire les brigands, les impérialistes et les militaristes. Il porte un coup mortel à tous ceux qui avaient espéré que la fin de la guerre apporterait la paix. Ce n'est pas un contrat de paix mais, au contraire, la déclaration d'une autre guerre. Il trahit la démocratie et tous ceux qui sont morts à la guerre. Le traité dévoile les vrais buts des Alliés". (Empire of "The City", p.42)

Lloyd George affirme à ce sujet :
"Nous avons un document écrit qui nous garantit une guerre dans vingt ans. S'ils imposent des conditions à un peuple (l'Allemagne) qui est dans l'impossibilité de les remplir, ils l'obligent alors soit à rompre le traité, soit à faire la guerre".
Et nous connaissons, depuis, ceux qui avaient manigancé les accords de Versailles et les buts qu'ils poursuivaient. Quelques ignorants peuvent, peut-être, continuer à nier l'authenticité des "Protocoles des Sages de Sion" mais même avec la meilleure volonté, on ne peut pas dire que c'est par hasard que les agents de Rothschild se trouvaient présents lors du traité de Versailles.
La « sauce » des banquiers travaillant dans l’ombre aux guerres et eux révolutions est parfois étiquetée « théorie de la conspiration ». Ba voyons ! Mais faites vous même votre opinion.

Et à propos des modes du terrorisme et de l’antisémitisme détournée, et qui remonte à la nuit des temps :
Bible, Nouveau Testament, Matthieu 21, 43 ou Jésus s'adresse aux Juifs : "Aussi je vous le dis : le Royaume de Dieu vous sera retiré pour être confié à un peuple qui lui fera produire ses fruits".
Des Allemands, autour du Troisième Reich, ont détourné cette phrase de Matthieu et se sont prit pour le nouveau peuple élu.
Bible, Nouveau Testament : Évangile de Jean 8 : 30-45 :
Jésus dit alors aux Juifs qui l’avaient cru :
« Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples et vous connaîtrez la vérité et la vérité vous libérera.
Ils (les Juifs) répondirent et lui dirent : Abraham est notre père et jamais nous n’avons été esclave de personne. Comment veux-tu dire : Vous deviendrez libre. Jésus leur dit : quiconque commet le péché est esclave. Or l’esclave ne demeure pas à jamais à la maison, le fils y demeure à jamais.
Si donc le fils vous libère, vous serez réellement libres.
Je sais, vous êtes la descendance d’Abraham ; mais vous cherchez à me tuer, parce que ma parole ne pénètre pas en vous.
Je dis ce que j’ai vu chez mon Père ; et vous, vous faites ce que vous avez entendu aurpès de votre père.
Ils lui répondirent :
Notre père, c’est Abraham.
Jésus leur dit :
Si vous êtes enfants d’Abraham, faites les œuvres d’Abraham. or maintenant vous cherchez à me tuer, moi un homme qui vous ai dit la vérité que j’ai entendu de Dieu. Cela, Abraham ne l’a pas fait !
Vous faites les ouvres de votre père.
Ils lui dirent : Nous ne sommes pas nés de la prostitution, nous n’avons qu’un seul père, Dieu.
Jésus leur dit : Si Dieu était votre père, vous m'aimeriez, car moi je procède de Dieu et je viens de lui ; car je ne suis pas venu de moi-même, mais c'est lui qui m'a envoyé. Pourquoi n'entendez-vous pas mon language ? Parce que vous ne pouvez pas entendre ma parole. Vous, vous avez pour père le diable, et ce sont les désirs de votre père que vous voulez accomplir. Lui a été meurtrier depuis le commencement, et il n'a pas persévéré dans la vérité, car il n'y a pas de vérité en lui.
Quand il profère le mensonge, il parle de son propre fonds, car il est menteur et le père du mensonge. Mais moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas ».

La Société VRIL

Karl Haushofer fonda, avant 1919, un deuxième ordre, les "FRÈRES DE LA LUMIÈRE" qui prit, plus tard, le nom de "SOCIÉTÉ VRIL". Dans celle-ci se retrouvèrent aussi "LES MAITRES DE LA PIERRE NOIRE" (DHVSS), une nouvelle fondation des templiers, issue de l'ordre Germain en 1917, et les "CHEVALIERS NOIRS" du "SOLEIL NOIR", élite de la Société Thulé et des SS.
Si nous comparons la Société Vril avec la société Thulé, la différence peut se résumer ainsi :
La Société Thulé s'occupait de choses matérielles et politiques tandis que la Société Vril avait des occupations qui concernaient surtout l'AU-DELA. Mais elles avaient quand même quelques points communs. Toutes deux étudiaient l'Atlantide, Thulé, « l'îles des Bienheureux » de Gilgamesh, les rapports originels entre les Germains et les Mésopotamiens ainsi que les anciens sanctuaires comme Stonehenge avec ses pierres dressées.

Sans m’étendre sur la description portant à controverse de la Société Vril de Karl Haushofer, voir aussi ce site. Le problème du Troisième Reich est un sac de nœuds tant il est lié à la « mouvance » ésotérique, jusqu’à la fin du 19ème siècle, lorsque l’ésotérisme est redevenu à la mode, depuis le spiritisme, lui-même remis en une certaine modernité par Franz-Anton Mesmer et autres personnages comme Alessandro Volta. Mais il est un fait que beaucoup de choses prendront forme autour de la Révolution française de 1789.
Pour en revenir à l’ANTIGRAVITÉ abordé rapidement dans la Destruction de la Russie n°21, La Société Vril et ses participants en art de la clairvoyance ont déterminé que la force créatrice était l’implosion. Cela rejoins l’Alchimiste Jabir Ibn Hayyan et son très intéressant développement de l’Intérieur et Extérieur, en gros le Solve et Coagule alchimique.
Tout étant vibration, il est donc question d’harmoniques créatrices d’antigravitation. Les nazis utilisèrent donc grandement le principe de deux éléments tournant en sens inverse : disques dans le cas de soucoupe, ou cylindre ou « toupies spatiales » dans le cas de la section spéciale secrète SS (exposé rapidement dans la Destruction de la Russie n°21). Cela crée un champ électromagnétique et autres radiations, extrêmement dangereuses dans le cas des cylindres.





Suite des extraits du « Journal de Kolia » : Biarritz, chez Casanova, le cabaret russe le plus chic de la ville.

Rappel : il s’agit ici d’extraits du journal de mon père : Kolia, diminutif de Nicolas. Suite à la Révolution Bolcheviks, l’école des Cadets de Novotcherkassk Новочеркасск (capitale des Cosaques du Don), école pour officiers où se trouvait mon père, elle a été évacué avec tous ses jeunes élèves pour essayer de gagner l’étranger. Après un long passage par l’Égypte, la Turquie et Chypre, Kolia décide en 1926 de tenter sa chance à Paris. Il se trouve plongé dans un tourbillon de gens pour qui l’argent ne compte pas...

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Aussitôt Kolia fut introduit dans le salon d’essayage afin de lui prendre ses mesures.
Enlevant son veston, il commença à discuter sur le prix, en précisant qu’il n’avait pas d’argent et ne pouvait donner d’arrhes.
Au même moment, entra dans l’atelier une jeune femme, très élégante, blonde et jolie, portant de magnifiques bijoux. Elle demanda à haute voix où en étaient les réparations de ses costumes de scène, tout en avançant vers le salon d’essayage où se tenait Kolia. Lorsque le tailleur la vit, il abandonna Kolia ainsi que la couturière et se précipita vers elle avec empressement. Après l’échange de quelques mots entre eux, Kolia comprit que la visiteuse était une actrice et danseuse russe, très riche. Ce qui troublait Kolia c’est que de temps en temps cette jolie fille le regardait, tout en disant des compliments sur son sujet, car elle avait certainement entendu Kolia parler des conditions de paiements pour son costume et ses bottes.
Kolia éprouvait une certaine attirance afin de la connaître, mais ceci ne pouvait être que de courte durée, car il avait remis son veston et s’en allait en saluant le tailleur, ajoutant à voix basse qu’il ne pouvait rien donner en arrhes, de plus, s’il n’y avait pas accord sur les conditions de règlement, il annule sa commande, et renonce à se rendre à Biarritz. Le soir suivant, il retourna voir le Comte Dall’0roso, en lui faisant part de ses démarches chez le tailleur, ainsi que le prix qui se monte à 2200 f, et qu’il ne peut payer une telle somme, qu’il se trouvait dans l’obligation d’abandonner. Le voyant découragé, le Comte au contraire le félicita d’avoir passé la commande, en lui précisant qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter, car tout allait bien, et que la jeune femme avait réglé le prix du costume lors de l’essayage, et de plus elle avait recommandé au tailleur que le costume et les bottes soient bien faits.

Cette nouvelle inattendue réveilla chez Kolia une grande joie et immédiatement l’encouragea à persévérer, et de plus il éprouvait certains sentiments à l’égard de cette jeune personne, et ce qui était étonnant, c’est que lorsqu’il la vit chez le tailleur, il eut l’impression qu’il y aurait une action quelconque de sa part.
Ainsi après s’être mis d’accord avec le Comte pour le départ à Biarritz vers le début juillet 1927, Kolia retourna le lendemain à son travail, et annonça sa démission. L’été arriva vite et comme convenu, au début juillet, tout le personnel du Casanova y compris Kolia arriva à Biarritz, puis il se rendit à Chambre d’Amour (Anglet) dans la banlieue de Biarritz où se trouvait le cabaret. Après son installation chez la logeuse, Kolia essaya son costume car il n’avait pas eux jusqu’à ce moment, le temps de le faire.

Kolia était très heureux, mais il pensait à la jeune femme et à sa bonté. Les premiers jours de travail parurent très agréables et intéressants, mais un peu pénibles. Mais les quelques inconvénients du travail de nuit étaient compensés par la beauté du pays, le climat sain et sec avec l’air marin et l’air embaumé du parfum des pins, se conjuguaient à merveille.
Le cabaret était installé dans une très grande villa, située sur une hauteur à environ six cents mètres d’une immense plage et où l’on pouvait admirer l’océan. Kolia était émerveillé par la nature et les paysages environnants. Comme cela avait été prévu, le cabaret fut ouvert le jour fixé sous la forme d’un grand gala et cela avait nécessité la mobilisation de tout le personnel pour les préparatifs quelques jours avant l’ouverture.

Cette journée fut merveilleuse et splendide au milieu des fleurs et du luxe, tout cela accompagné d’un programme artistique de premier ordre. La clientèle était composée uniquement par l’aristocratie internationale, et de personnes riches pour lesquelles l’argent ne comptait pas. Cela créait une ambiance tantôt française, tantôt russe, tantôt espagnole.
Tout ce faste stupéfiait et étonnait Kolia qui n’arrivait pas à comprendre. Il pensa, parfois à son passage à la ferme, à l’usine, à la Maisonnette russe, et enfin à Biarritz chez « Casanova », où la vie était fascinante et tourbillonnante par ces gens riches qui évoluaient autour de lui, le désorientait, surtout qu’il ne dormait que cinq heures par jour, le beau temps ensoleillé aussi l’empêchait de dormir. Néanmoins Kolia s’estimait heureux d’avoir trouvé ce travail agréable et aussi avec une bonne rémunération, malgré l’exigence du travail de nuit et l’imposition d’une tension extrême.

M. Roudakoff
 

Dernière mise à jour : 10-06-2009 18:23

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