Destruction de la Russie - Les Hordes
 

Ecrit par Sechy, le 11-06-2009 22:51

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Publié dans : Nouvelles Spéciales, Russie

Tags : Argent, Banques, Bolcheviks, Business, Camps, Chrétiens, Cosaques du Don, Dictateurs, Destruction de la Russie, Etzel, France, Identité, Israël, Juifs, Ku Klux Klan, Nazis, Pouvoir, Révolution, Russie, Sionisme, Terreur, Terroristes, Tortures, Usure


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Destruction de la Russie - suite 28   
Золотая Орда
Golden Horde


D’autres Couilles en Or ont encore frappés bien avant !
 
 
Exemple de sophisme :
La religion est l’opium du peuple
Mais le football aussi, et d'autres jeux !


La pauvre Russie se relève éternellement. Le mot slave d’où découle le mot esclave en est la preuve. Elle eut à subir un premier ethnocide entre les 13è et 14è siècle par la Horde d’Or des Mongols. Partout cette Horde plaçait ses hommes aux postes clef ; prémisse du communisme des Juifs bolcheviks. Rien est nouveau sous le Soleil ! Tout ce qui était la vie, les Mongols la détruisait. En tous cas, à regarder sur un moteur de recherche les mots : Золотая Орда, c’est fou le nombre de sites russe qui s’affichent. Preuve que ça a laissé une rude emprunte, ce que ne laissera pas les 74 ans de communisme juif. Un jeu vidéo portant le nom Золотая Орда a l’air de faire fureur en ce moment. 
 
 
 
 
Si les Juifs bolcheviks ont détruit une grande quantité d’églises et tué des milliers de prêtres, selon ces mêmes bolcheviks, les travailleurs, effectivement il n’est plus question d’appeler les habitants de la Russie « des âmes », puisque l’aspect religieux a été inversé par le Petit père des peuples, s’étant lui-même proclamé Dieu et ses « âmes » sont donc devenues « des travailleurs », ou encore « le peuple ». Et entre eux les travailleurs sont tous « des camarades » ! Il faut bien ça après tout ce qu’ils ont détruit et tué, presque aussi bien que la Horde d’Or.
Ainsi vers les années 1950 les travailleurs avaient des soins gratuits et de qualité. Je me demande de ce qu’il en était de ceux qui « travaillaient » dans les goulags et autres colonies de « vacances ». Il est dit, toujours en me basant sur une brochure pour touristes de 1956 : « A la suite de l’essor matériel et culturel du peuple et de l’amélioration de l’assistance médicale, l’accroissement annuel de la population dépasse trois millions de personnes ». Il faut bien cela pour repeupler la Russie vidé de cinquante millions de morts. Plus loin dans il est écrit : « En 1953, les dépenses pour la santé pour la ville de Moscou ont atteint plus d’un milliard de roubles.... En 1953, dans les hôpitaux, il y avait 39 725 lits disponibles ». J’ajoute un certain nombre de lits pour les détenus dans les hôpitaux-prisons psychiatrique, où l’on torturait les dissidents, en les attachants sur ces lits avec des draps mouillés, qui en séchant serraient fortement les pauvres bougres.
 
 
Novgorod la Grande
 
Dans cette petite brochure sur Moscou pour touristes, la description des services de santé à Moscou se poursuit d’une façon toute aussi grotesque et même abracadabrante, gonflant, ventant à n’en plus finir le paradis médical positif des bolcheviks. Tous y passent, y compris les jardins d’enfants et autre « jeunesse ouvrière » des divers groupes d’apparatchiks et autres ministères communistes.
L’enfer politique, ou la religion inversé du communisme est bien-sûr absente de cette brochure, mais bien présente, par exemple dans le livre de Vassili Grossman : Vie et Destin
Le comique de la propagande est si risible que je n’hésite pas à en ajouter une couche :
« L’État accorde des sommes énormes à l’organisation du repos des travailleurs. On compte en U.R.S.S. plus de 350 bains de mer [NTMR : et combien de goulags ?] villes d’eau, etc. 2000 sanatoriums disposés dans des sites remarquables par leur nature et leur valeur sanitaire. Ce réseau se développe incessamment. De nouveaux sanatoriums et maisons de repos sont construites, notamment dans les environs de Moscou ».
Comme si à l’époque du Tsar les travailleurs étaient des esclaves (slaves).
 
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Éléments du dossier d’un pauvre accusé en 1938
Nom : Sidorov
Prénom : Vassili Klementovitch
Lieu et date de naissance : Setchevo, région de Moscou, 1893
Profession : employé dans une coopérative
Origine sociale : je me considère comme fils de paysan moyen
Passé politique : sans parti
Appartenance au parti communiste russe : non
Arrêté le 13 février 1938
Acte d’accusation
Sidorov, malintentionné envers le pouvoir en général et le parti en particulier, menait systématiquement une propagande antisoviétique, disant : "Staline et sa bande ne veulent pas quitter le pouvoir, Staline a tué des tas de gens, mais il ne veut pas s’en aller. Les bolcheviks gardent le pouvoir, arrêtent les gens honnêtes, et même de ceci on ne peut pas parler, sinon on vous met en camp pour 25 ans."
Le prévenu Sidorov a plaidé non coupable, mais a été démasqué par plusieurs témoignages.
 
La décision
Accusé d’avoir mené, parmi les kolkhoziens, une propagande contre-révolutionnaire, caractérisée  par des propos défaitistes, accompagnée de menaces contre les communistes, de critiques contre la  politique du parti et du gouvernement.
Verdict : FUSILLER Sidorov Vassili Klementovitch, confisquer tous ses biens.
La sentence a été exécutée le 3 août 1938.
(D’après S. Courtois, Le livre noir du communisme, crimes, terreur et répression, Éditions Robert Lafont, 1997)


Un cas parmi des millions soigné « aux petits oignons » par le Petit Père des peuples :
Maria Tchebotareva.
En essayant de nourrir ses quatre enfants affamés pendant la famine massive de 1932-1933, cette mère agricultrice avait prétendument volé trois livres de seigle de son ancien champ - confisqué par l'état dans la période de la collectivisation. Les autorités soviétiques l'ont condamnée à dix ans dans le Goulag. Quand sa peine arrivait à expiration en 1943, elle était arbitrairement étendue jusqu'à la fin de la guerre en 1945. Après sa libération, elle devait vivre en exil près de son camp de Goulag au nord du cercle polaire arctique et elle n'était pas capable de rentrer à la maison jusqu'à 1956, après la mort de Staline. Maria Tchebotareva n'a jamais retrouvé ses enfants après sa libération. (Source Master & Margarita)

Pour finir cette page, voici une petite vidéo de propagande du « paradis » stalinien. Cette vidéo illustre et symbolise à merveille la propagande de la brochure sur Moscou pour touristes.
> Voir aussi le blog sur les Juifs bolcheviks destructeurs.
 
 
 
 
 
 
 
Suite des extraits du « Journal de Kolia » : Un hiver très froid à Cannes.

Rappel : il s’agit ici d’extraits du journal de mon père : Kolia, diminutif de Nicolas. Suite à la Révolution Bolcheviks, l’école des Cadets de Novotcherkassk Новочеркасск (capitale des Cosaques du Don), école pour officiers où se trouvait mon père, elle a été évacué avec tous ses jeunes élèves pour essayer de gagner l’étranger. Après un long passage par l’Égypte, la Turquie et Chypre, Kolia décide en 1926 de tenter sa chance à Paris. Rapidement à cours d’argent il décide de partir pour Cannes ; puis se retrouve dans la misère. Finalement il trouve un job au « Majestique ».

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Il marchait lentement, il faisait froid (-2), une demi-heure après il remit ses bagages à la consigne, sauf le rasoir. Il alla aux toilettes, se rasa, il était déjà 7h du matin, il compta sa monnaie, environ 4 f, et se dirigea vers le café dans lequel il était allé le jour précédent. Il acheta un journal. Il s’assit à une table et commanda un grand café au lait avec des croissants, car il avait fait le calcul du prix, soit 2 f. Après avoir bien mangé, il se sentait en forme et son goût pour l’action dominait ses pensées. Sans se soucier de ses ennuis, tranquillement il consultait les annonces parmi lesquelles se trouvait une demande d’emploi comme plongeur, à l’hôtel Majestique. Entre-temps, arriva le jeune homme de la veille avec qui il avait déjeuné et qui avait été très heureux de rencontrer Kolia. Celui-ci lui conseilla de se présenter immédiatement au Majestique.

Kolia ne perdit pas une minute, et se rendit à l’hôtel. Le chef du personnel l’engagea tout de suite en précisant qu’il peut apporter ses bagages dès qu’il pourra, pour commencer son travail, le lendemain. Kolia avait 400 fr par mois, nourri et logé. Alors il le remercia et couru à la gare pour prendre ses bagages à la consigne pour 1 fr, puis il revint à l’immeuble réservé au personnel, situé derrière l’hôtel, et après les formalités, il s’installa dans sa chambre. Elle était propre avec un bon lit. Il se coucha et se réveilla vers 4h de l’après-midi. Il avait une grande faim, mais il n’avait pas besoin de compter son argent, il ne lui restait que 1 fr. Alors il se lava, remit toutes ses affaires en ordre, se recoucha, sachant et ayant l’espoir de se rattraper et d’assouvir sa faim le lendemain matin À son travail.
Étant couché, ses pensées se mirent en marche, et il pensa à nouveau à son passé, finalement ne pouvant dormir à cause de la faim qui le tiraillait, il se leva et bu un grand verre d’eau au robinet et se recoucha, en pensant à Dieu, s’il existait ?

En bref, ce nouveau travail l’avait beaucoup aidé, surtout que cet hiver, il faisait très froid, et c’était exceptionnel (-1 à Cannes en 1927), et impensable sur la côte d’Azur.
Kolia commença son travail à 6h du matin. Il faisait chaud dans la pièce où se faisait la plonge et elle était près des grandes cuisines. Aussitôt le garçon qui travaillait avec lui, lui donna du café, lait, pain, beurre et confiture, cela était pour Kolia un petit-déjeuner princier. Aussitôt après, ils commencèrent à laver. C’était pareil tous les jours.
L’après-midi il y avait une relâche de deux heures, Kolia en profitait pour se promener sur la croisette qui se trouvait en face de l’hôtel. Il rentrait à sa chambre le soir vers 19h 30. Pendant ses heures de repos, il évitait les sorties en ville, car il était désargenté, cela lui permit de récupérer, physiquement et moralement, parfois il répétait un peu d’Anglais. On peut dire que pendant les deux premières semaines, il menait une vie recluse. Il appréciait beaucoup la sécurité d’avoir un travail au chaud et un gîte après toutes ces aventures, tragi-comiques. Par contre la solitude commençait à lui peser, car n’ayant personne à qui parler, ses pensées revenaient constamment dans sa tête sur divers sujets, et même sur le sens de la vie, il évitait cependant de penser à cela, car ses préoccupations d’existence dominaient tout.

Bientôt le printemps arriva, c’était le début mars, il faisait merveilleusement beau, l’air était embaumé alors il commença à sortir en ville. Il rencontra un musicien russe qui dirigeait un orchestre de jazz et était venu à Cannes pour deux semaines. Ils sympathisèrent, d’autant plus qu’il était aussi un ancien Cadet et étant seul à Cannes ; il
invita Kolia à déjeuner. Ainsi ils parlèrent de divers sujets et notamment de la vie sur la côte. Cela était d’un grand réconfort pour Kolia, parce que ce Russe Kalada était beaucoup plus âgé et parlait couramment l’Anglais et avait une grande expérience de la vie. À son travail, Kolia demanda au chef du personnel, de changer son travail et d’améliorer ses gages car laver la vaisselle ne l’intéressait plus. On lui donna le poste de serveur d’étages, travail plus agréable, moins fatigant et plus rémunérateur.
Cette nouvelle fonction permit à Kolia d’économiser un peu d’argent et aussi d’avoir un peu de temps libre pour rechercher un autre emploi ou tenter une aventure, car il se rendait compte que quelque chose en lui attirait les regards. Enfin vers la fin du mois de mars, ne voyant pas d’amélioration dans sa place au Majestique, Kolia décida
d’abandonner cette occupation sans intérêt.

M. Roudakoff
 
 
 
Dynamitage de la cathédrale du Christ le Sauveur à Moscou par
les Juifs bolcheviks.

Erigée pendant l’époque du règne du tsar Nicolas I pour commémorer la victoire sur Napoléon dans la guerre de 1812, la cathédrale fut dynamitée avec d’autres églises, et à sa place fut construite une piscine à ciel ouvert. Après la chute de l’Union Soviétique, la piscine fut détruite et la cathédrale fut reconstruite.
 

Dernière mise à jour : 12-06-2009 00:17

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