Destroy’s Russia - Globalism
 

Ecrit par Sechy, le 22-06-2009 00:23

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Publié dans : Nouvelles Spéciales, Russie

Tags : Argent, Banques, Bolcheviks, Business, Camps, Chrétiens, Cosaques du Don, Dictateurs, Destruction de la Russie, Etzel, France, Goulags, Identité, Israël, Juifs, Ku Klux Klan, Nazis, Pouvoir, Révolution, Russie, Sionisme, Staline, Terreur, Terroristes, Tortures, Usure


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Destroy’s Russia - suite 35
Régime sociétique (1) : l’esclavage au cœur de l’économie de l’URSS
 
 
MONDIALISATION :
La prolifération des restaurants McDonald's dans le monde entier est un exemple de la mondialisation, le fait qu'ils adaptent leurs menus en fonction des goûts locaux est un exemple de glocalisation (également connu sous le nom de d'internationalisation), une combinaison de la mondialisation et de localisation. La mondialisation a commencé quand un homme de pouvoir a décrété que la même heure devait sonner dans tout le royaume ; par la suite cette même heure s’est diffusé dans le monde sous divisions en des fuseaux horaires, puis d’une date unique avec un départ à la mort supposé du fondateur d’une religion. Avant, la date était calculé sur l’entrée en fonction du souverain d’un pays ; ainsi IL Y AVAIT OSMOSE AVEC « L’ENVIRONNEMENT ». Vouloir imposer une date mondiale à partir d’une seule croyance est proprement de l’inquisition.
 
Je mets ici le lien de la vidéo de la conférence de Pierre Hillard, d’après son livre  : La Fondation Bertelsmann et la « gouvernance mondiale », car c’est important : il y a va tout simplement de nos libertés, et d’empêcher le règne du non droit sauf pour quelques uns, et la corruption généralisée inhérente aux sociétés totalitaires, sans parler des possibles condamnation à laisser mourir de faim des millions de personnes, et l’obligation au travail pour tous y compris pour les retraités. Et c’est en rapport directe avec la Russie sous le joug des Juifs bolcheviks puis des communistes. Et qu’on ne se trompe pas, il n’y a pas de méchants Américains et de gentils Russes, ou l’inverse ! tous sont dans le même bain et s’entendent comme cochon ! A propos de religion, si Lénine & compagnie ont interdit la pratique religieuse en Russie, ce sont des monstres car ils ont institué une autre forme de religion avec culte de la personnalité : le Stalinisme ou Marxisme s’appuyant sur le capitalisme qu’il combat, et la foi en un travail matérialiste. Il faut le faire tout de même... et ça a duré 74 ans et ça continu en Chine.
 
 
Une prière au diable Staline :
    Ô grand Staline, Ô chef des peuples
    Toi qui fait naître l’homme
    Toi qui fécondes la terre
    Toi qui rajeunis les siècles
    Toi qui fais fleurir le printemps
    Toi qui fait vibrer les cordes musicales
    Toi splendeur de mon printemps,
    Soleil reflété par des milliers de cœurs.
 
 
Hollywood et Staline et Pierre 1er.
On admire la beauté de Saint-Pétersblourg, mais il ne faut pas oublier le nombre immense de serfs morts pour la construire. Le sens du spectacle semble avoir frappé ces trois tyrans : Pierre, Hitler et Staline.
Staline était obsédé par le cinéma et en particulier par les comédies musicales de Hollywood, avec leurs immenses distributions de chanteurs et de danseurs. Peut-être trouvait-il une forme de plaisir à voir les immenses défilés militaires sur la Place Rouge, et à imaginer les équipes de détenus qui creusaient des canaux et construisaient des voies ferrées sur ses ordres.
Qui dit cinéma dit propagande ! ce que Hollywood sait parfaitement !
Ce fut le cas à propos de la construction du Canal de la Mer Blanche, canal qui reçu bien-sûr le nom de Staline. Une poignée d’écrivains et d’intellectuels écrivirent un livre sur le Canal Staline tout en célébrant la formidable rééducation par l’esclavage, pardon, par le travail.
On a le même cirque avec la colonisation insensé des régions du nord de la Russie. Même dans les dernières décennies du régime tsariste, alors qu’une révolution industrielle tardive avait fini par exploser à travers la Russie, nul n’avait essayé d’explorer et de coloniser avec une telle intensité les régions les plus au nord du pays. Le climat était trop rude, les souffrances humaines potentielles trop grandes, la technologie russe trop rudimentaire. Le régime sociétique (il n’y a pas de faute) s’embarrassait moins des préoccupations de ce genre. Bien que sa technologie ne valait guère mieux, il se souciait peu de la vie des gens qu’il chargeait de cette « ouverture ». Si certains mouraient... eh bien, on pouvait en trouver d’autres. L’être humain était réduit à l’ÉTAT DE MARCHANDISE.

Il y eut beaucoup de tragédie, surtout au début de cette ère nouvelle du tournant du goulag. Une archive de Novossibirsk révèle la véracité d’une horreur faisant partie de la légende des survivants du camp. Signé d’un instructeur du comité du Parti de Narym, en Sibérie occidentale, et adressé en mai 1933 à l’attention personnelle de Staline, il décrit par le menu l’arrivée d’un groupe de paysans déportés - présentés comme des « éléments déclassés » - sur l’île de Nazio, au confluent de l’Ob et de la Nazina. Les paysans étaient exilés et, à ce titre, ils étaient censés s’établir sur la terre et, vraisemblablement la cultiver :
- Le premier convoi comportait 5070 personnes ; le second 1044, soit au total 6114 personnes. Les conditions de transport étaient épouvantables : nourriture insuffisante et exécrable ; manque d’air et de place... Résultat : une mortalité quotidienne de 35 à 40 personnes par jour. Néanmoins, ces conditions d’existence s’avérèrent être un véritable luxe par rapport à ce qui attendait les déportés sur l’île de Nazino... L’île de Nazino est une terre totalement vierge, sans la moindre habitation... Pas d’outils, pas de semences, pas de nourriture... La nouvelle vie commença. Le lendemain de l’arrivée du convoi, le 19 mai, la neige se mit à tomber, le vent se leva. Affamés, amaigris, sans toit, sans outils...les déportés se retrouvèrent dans une situation sans issue. Ils n’étaient capables que d’allumer des feux pour tenter d’échapper au froid. Les gens commencèrent à mourir.
Le premier jour, 295 cadavres furent enterrés... Ce n’est que le quatrième ou le cinquième jour après l’arrivée des déportés sur l’île que les autorités envoyèrent, par bateau, un peu de farine, à raison de quelques centaines de grammes par personne. Ayant reçu leur maigre ration, les gens couraient vers le bord et tentaient de délayer, dans leur chapka, leur pantalon ou leur veste un peu de cette farine avec de l’eau. Mais la plupart des déportés tentaient d’avaler la farine telle quelle et mouraient souvent étouffés. Durant tout leur séjour dans l’île, les déportés ne reçurent en tout et pour tout qu’un peu de farine.

Le 20 août, trois mois plus tard, poursuivait le cadre du Parti, près de 4000 des 6114 « colons » étaient morts. Les survivants avaient tenu en mangeant la chair des morts. Selon un détenu, qui en rencontra quelques-uns à la prison de Tomsk, ils avaient l’air de « cadavres ambulants » et ils étaient en état d’arrestation - accusés de cannibalisme.

Dans le ville de Svobodny (Liberté !), des convois commencent à arriver. Entre janvier 1933 et janvier 1936, les effectifs des détenus passèrent de quelques milliers à plus de 180 000. Beaucoup étaient faibles à l’arrivée, sans souliers et mal habillés, souffrant de scorbut, de la syphilis et de la dysenterie. Parmi eux se trouvaient des survivants des famines qui avaient balayé L’URSS rurale au début des années 1930. Le camp n’était absolument pas préparée. Sitôt arrivé, le convoi était conduit dans des baraques sombres et glaciales pour y recevoir du pain couvert de poussière. Les commandants des goulags étaient incapables de faire face au chaos, ainsi qu’ils le reconnurent dans les rapports adressés à Moscou, et particulièrement mal équipés pour s’occuper des détenus mal en point. Du coup, ceux qui étaient trop malades pour travailler n’avaient droit qu’à la ration disciplinaire et on les laissait mourir de faim.
Un convoi de vingt-neuf personnes mourut dans les trente-sept jours suivant son arrivée. Dix mille détenus trouvèrent sans doute la mort avant l’achèvement de la voie ferrée.
Des histoires analogues se répètent à travers tout le pays.

La République des Komis ou des villes-prisons (au Sud-Est d’Arkhangelsk)
Des traces de goulags sont partout visibles dans cette vaste région de taïga et de toundra.

Ce sont les détenus qui conçurent et bâtirent toutes les grandes villes de la République, pas simplement Oukhta, mais aussi Syktyvkar, Petchira, Vorkouta, Inta ; mais aussi des prisonniers qui construisirent les routes et les voies ferrées de la région ainsi que son infrastructure industrielle initiale. Pour les détenus envoyés là-bas dans les années 1940 - 1950, la République des Komis ne ressemblait qu’à un immense camp... ce qu’elle était. Localement, nombre de ses villages sont encore appelés de leurs noms de l’époque stalinienne, en fonctions de la nationalités des prisonniers : Chinatown, Berlin...

Tout comme l’industrialisation commencée au temps du tsarisme, l’industrialisation sous l’esclavage des juifs bolcheviks et communistes merdoyaient : erreurs et déboires, absence de planification, pénurie de spécialistes convenablement formés rendaient inévitables accidents et gaspillages.
En 1942-1943 il y eut jusqu’à quatre millions de prisonniers dans les camps.

Rappel des motifs d’internement :
- Pour opposition politique au début des années 1920.
- Pour « sabotage » à la fin des années 1920.
- Pour « tête de paysan riche » au début des années 1930.
- Enfin en règle générale : pour « troubles sociaux ».
- Au début des années 1950, arrestation des Juifs.
Après les « purges » stalinienne de 1937-1938, il y eut un tournant dans les goulags : à partir de cette époque les camps sociétiques se transformèrent en prisons gérées dans l’indifférence, où l’on mourait par accident, en camps réellement meurtriers où l’on tuait délibérément les détenus au travail, quand on ne les massacrait pas, et cela, en bien plus grand nombre que par le passé. Bien que cette transformation fût loin d’être systématique, et que le régime meurtrier des camps se radoucit en 1939 - les taux de mortalité allaient par la suite varier au gré des fortunes de la guerre et de l’idéologie jusqu’à la mort de Staline en 1953. La Grande Terreur ou Grande Démence imprima sa marque sur la mentalité des gardes des camps comme sur celle des prisonniers.
Suite à l’assassinat mystérieux d’un chef de Parti à Saint-Pétersbourg en décembre 1934, Staline donna un pouvoir bien plus étendu à sa police politique, il fallait arrêter et tuer « les ennemis du peuple ». La tactique de créer et amplifier la peur à été de toutes les époques récentes (4000 ans environ).
Staline faisait exécuter ou emprisonner ou déporté toute la famille du disgracié.

Exemples de 1940 du matérialisme esclavagisme avec emploi d’un « code secret » et autres dérives d’un culte :
- Femmes enceintes : livres
- Femmes avec enfants : reçus
- Hommes : comptes
- Ennemi du peuple : vermine, pollution, ordures, mauvaises herbes (2)
- Exilés : détritus
- Prisonniers faisaient l’objet d’une enquête : enveloppe
- Prisonniers : unités de travail
- Koulaks ou paysans riches : demi-animaux
- Un camp est appelé : trust
- Un division du camps est appelé : usine
- Un camp reçu le nom : Libre !
- Un bûcheron devient : zaklioutchonny ou z/k ou zek
- Un groupe de prisonniers devient : kontingent ou quota (mot complètement impersonnel et matérialiste)
- Le terme « prisonnier politique » avait disparu depuis le début de la Révolution. le mot politique désignait quiconque était condamné en vertu du code pénal selon l’article 58, qui englobait tous les crimes « contre-révolutionnaires » avec ses connotations systématiquement négatives. Les politiques furent appelé parfois KR (contre-révolutionnaires) ou kontras. Mais ils furent le plus souvent désignés sous le nom de : vragi naroda (ennemis du peuple).
On pouvait être qualifié « d’ennemi du peuple » simplement si on avait des doutes sur la justesse du parti, en fait, si on n’avait plus la foi en la religion marxiste ! Staline étant le dieu, celui qui n’était pas d’accord avec lui pouvait être désigné comme « ennemi ». Et si vous étiez la femme « d’un ennemi du peuple », vous pouviez être arrêté et fusillé, de même en allait-il des enfants. Ces enfants étaient officiellement condamnés comme « membres de la famille d’un ennemi du peuple ». Comme rationalité imbécile on ne fait pas mieux !
Bien-sûr le terme « ennemi du peuple » était devenu une injure.
Ainsi, et selon cette religion inversée, on pouvait se sentir excommunié du Parti du peuple ! et jamais admis à participer à ses liturgies et ses rites sacrés. Aussi les gardes des goulags ne devaient jamais appeler un détenus par le mot « camarade », le détenu devait appelé le garde : citoyen ! et évidemment l’icône de Staline ne figurait jamais sur les murs crasseux des bâtiments des camps.

A la fin des années 1930, il suffisait de vingt à trente jours d’affilée de journée de travail de seize heures, sans jours de repos, associées à la faim systématique, des vêtements en haillons et des nuits à moins 18° au-dessous de zéro sous une toile de tente trouée pour transformer en « crevard » un jeune homme sain qui commençait sa carrière dans l’air pur et frais sur le terrain. Sur les brigades entières qui commençaient la saison d’extraction de l’or, pas un seul ne survivait, sauf le chef de brigade, son ordonnance et quelques-uns de ses amis personnels. (Évocation de cette époque par Varlam Chalamov, dans le livre Goulag de Anne Applebaum)

(Source en partie d’après le livre Goulag, de Anne Applebaum ;  et Jean Coulonval)


Notes.
1. Non il n’y a pas de faute !

2. Voir ma page sur les soi-disantes mauvaises herbes.

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Suite des extraits du « Journal de Kolia » : Délivrance d’une belle prisonnière.

Rappel : il s’agit ici d’extraits du journal de mon père : Kolia, diminutif de Nicolas. Suite à la Révolution Bolcheviks, l’école des Cadets de Novotcherkassk Новочеркасск (capitale des Cosaques du Don), école pour officiers où se trouvait mon père, elle a été évacué avec tous ses jeunes élèves pour essayer de gagner l’étranger. Après un long passage par l’Égypte, la Turquie et Chypre, Kolia décide en 1926 de tenter sa chance à Paris. Rapidement à cours d’argent il décide de partir pour Cannes ; puis se retrouve dans la misère. Après une série d’aventures affectives à Cannes, Kolia rentre à Paris, toujours en recherche d’un job... Mais il lui arrive quelques aventures rocambolesques dignes de roman d’espionnage.

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Après avoir prit connaissance de tous les renseignements donnés par M. Kindal, le lendemain matin, Kolia prit le strict nécessaire en bagages, affaires de toilette, et aussi des papiers d’identité. Il commanda un taxi et commença à visiter les hôtels de l’avenue de Wagram, en se faisant passé pour un cousin de M. Kindal, étant chargé de ramener Inga, même par la force s’il le fallait. Il montra la photo de la jeune fille, mais les résultats se révélèrent négatifs.
Il décida de s’installer dans un hôtel situé juste en face du cinéma « Empire » (devenu par la suite Théâtre de l’Empire).
Après avoir pris congé du taxi, il se dirigea vers la réception et demanda une chambre. Pendant les formalités, Kolia observa bien le concierge. Après lui avoir donné un bon pourboire, il lui montra la photo en lui donnant les détails nécessaires concernant Inga et expliquant la personnalité de M. Kindal, en montrant aussi la carte diplomatique.
L’effet fut immédiat. Celui-ci ayant reconnu la jeune Inga d’après la photo, affirma qu’elle demeurait ici à l’hôtel en compagnie d’un indochinois d’apparence suspecte.
Avec empressement, le Concierge réserva à Kolia une chambre au même étage que celui de l’indochinois. Le concierge promit d’apporter son concours pour faciliter la libération de la jeune fille.

Kolia décida de passer la nuit dans sa chambre, en demandant au concierge de le tenir au courant de toutes les allées et venues suspectes. Le lendemain vers 8h 30, Kolia se fit servir le petit-déjeuner dans sa chambre, car il ne devait pas se montrer. Peu de temps après, le concierge annonça à Kolia que l’indochinois venait de sortir seul.
Aussitôt Kolia se précipita rapidement vers la chambre de la prisonnière et frappa fort à la porte, mais il n’obtint aucune réponse. Il frappa plus fort en prononçant le nom de Kindal et le mot « avocat », peu après la présence de quelqu’un se fit entendre derrière la porte, laquelle s’ouvrit.
La jeune fille apparut, sommairement vêtue, les cheveux en broussaille et d’un comportement assez excité. Son état était bizarre. Kolia l’a reconnue aussitôt et lui expliqua brièvement la raison de sa présence. Il lui montra la photo de M. Kindal et la carte diplomatique ; il lui dit qu’il venait pour la délivrer.
La jeune fille, dans un mauvais anglais accepta avec une joie spectaculaire, et aussi saisie par cette intervention inattendue. Kolia lui donna quelques minutes seulement pour se préparer. Après avoir refermé la porte de la chambre où se tenait Inga, Kolia se précipita dans sa chambre pour achever de s’habiller car il était encore en robe de chambre. Il commanda un taxi par l’intermédiaire du concierge. Il prit ses bagages, puis se précipita à nouveau chez la prisonnière. Elle était prête, ses bagages à la main, se jetant presque sur Kolia. Après avoir repéré l’escalier de service, ils prirent cette voie, firent irruption dans le hall et s’engouffrèrent dans le taxi qui démarra aussitôt.

En cours de route, Kolia fit changer plusieurs fois d’itinéraires pour plus de sûreté, et arrivé à la gare Saint-Lazare, ils changèrent de taxi et prirent la direction de son hôtel. Inga ne disait rien, parfois elle regardait Kolia et prenait ses mains. Ce geste le touchait et il trouvait la jeune fille très jolie et agréable.
Enfin ils arrivèrent à l’hôtel de Kolia et montèrent à sa chambre. Inga regardait Kolia avec admiration et souriait sans rien dire. Puis d’un seul coup, elle posa la question :
Où est Kindal ?
Kolia répondit : « Voici », en montrant sur sa poitrine, et ajouta qu’il serait bon de se reposer un peu et de se restaurer. Inga accepta la proposition. Il fit monter du champagne, des sandwiches et des fruits.
Elle raconta sa séquestration depuis dix jours. Elle avait décidé de s’enfuir, mais cela lui était impossible, elle était sous l’effet de drogues administrées dans le café et le pain.
Elle avait peur, mais elle attendait le moment favorable.
Après s’être reposés tout l’après-midi, vers 18h, Kolia téléphona à Kindal pour lui annoncer que l’opération d’enlèvement s’était bien passée. Comme il avait été convenu avec Kindal, Kolia demanda à Inga de le suivre. Ils quittèrent l’hôtel et se dirigèrent en taxi vers la place du Trocadéro où les attendait Kindal dans un café. Lorsque celui-ci aperçut Kolia et Ingal descendre du taxi, il se précipita. Il embrassa Inga tendrement sur la joue et lui posa de multiples questions. Il était tellement heureux qu’il ne trouvait même plus de mots, même en suédois.
Tous ensemble, ils fêtèrent cet événement en prenant des rafraîchissements et des apéritifs. Kindal remercia beaucoup Kolia et lui donna une enveloppe pour le travail accompli :
Elle contenait 1000 fr.

M. Roudakoff
 

Dernière mise à jour : 22-06-2009 02:36

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