En finir avec Pasteur et Big Pharma
 

Ecrit par Sechy, le 30-06-2009 18:31

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Tags : Business, Homéopathie, Jacques Benveniste, Pasteur, Science, Vaccins

 
En finir avec Pasteur et Big Pharma
En finir avec l’allopathie


Science & Vie, le dogme scientifique français !
 
 
Vous pouvez voir la violence et l’aspect inquisitorial du numéro de Science et Vie n° 955 d’avril 1997, contre l’Homéopathie, et que ce magazine appel : Mystification...
C’est dans le funeste numéro que SV attaque le docteur Jacques Benveniste et la mémoire de l’eau. Le magasine SV apporte la caution de Georges Charpak, prix Nobel, mais ça ne prouve rien ! et des opposants à l’Homéopathie qu’ils traitent de charlatanisme : le professeur François Jacob, aussi Prix Nobel ; et le professeur Jean Jacques, celui-là est du Collège de France. Bref, que du « beau monde ».... ce qui n’est en rien une preuve ! le prix Nobel n’étant d’ailleurs plus ce qu’il était. Le monsieur du Collège de France considère que la mémoire de l’eau est « une vaste entreprise de crétinisation du public ». Il se prend pour quoi ce Monsieur ? et où a t-il obtenu son entrée dans ce collège ?...
 
Un autre professeur avance que la mémoire de l’eau est impossible : lorsqu’on dissout une substance dans l’eau (pour faire une TEINTURE, dans le cas de l’Homéopathie), pour former une couche « d’hydratation ». Mais selon lui, quand la substance a disparu, cette enveloppe disparaît aussi, et l’eau retrouve sa structure normale. Donc pas question de molécules d’eau conservant une mémoire.
Là encore on a à faire à un ton sentencieux, trop poli et trop sûr pour être honnête. Ce professeur admet pourtant que l’eau est naturellement radioactive, comme tous les corps de la nature, qui contiennent forcément une fraction même minuscule d’un isotope radioactif. Précision « scientifique » : ce professeur est un certain Claude Henrion (bien-sûr issue d’une école prestigieuse), et attention, il est l’un des plus grands spécialistes français de la radioactivité bêta. Alors après ça si vous ne prenez pas la revue Science et Vie pour une Bible !... Mais une bible du rationalisme et du mercantilisme montés en dogme...

Rappel sur la mémoire de l’eau et sa possibilité de véhiculer une substance guérisseuse.
Pour le docteur Benveniste, une eau pure imprégnée par la « mémoire » de l’acétylcholine par exemple émettrait une onde électromagnétique susceptible d’être enregistrée sur le disque dur d’un ordinateur.
Et à un autre endroit fort éloigné, une eau pure qui recevrait ces signaux de l’ordinateur serait alors capable d’augmenter le débit coronarien d’une cœur de rat.
Précision : dans ce Science et Vie, celui qui a écrit l’article de façon anonyme en est encore à considérer Christian Hahnemann comme « l’inventeur de l’Homéopathie » ; hors les dilutions infinitésimales étaient connus déjà de la Rome antique... Et Le principe de similitude qui est la base de l’homéopathie avait déjà été énoncé par Hippocrate. Hahnemann ne fit que comprendre les rapports étroits de similitude entre les manifestations morbides présentées par le malade et les troubles expérimentalement provoqués chez l’homme sain par une substance quelconque. De plus, c’est lui qui comprit le rôle thérapeutique de la dose infinitésimale et qui la pratiqua.
Science et Vie se garde bien de parler des « Keynotes » d’un remède : trois symptômes principaux doivent se retrouver dans le remède pour être attribué au malade, et avant tout le psychisme du malade est déterminant. Il faut toujours « voir l’ensemble ».

Cette approche, même si elle a subit des déboires et les attaques d’un grand nombre, constitue une révolution médicale, car je pense et ne suis pas le seul que la médecine du future sera de NATURE ONDULATOIRE.


L’HOMÉOPATHIE contraire d’Allopathie.
A) Les corps n’ont pas d’action s’ils ne sont pas contraires (Fluide, Électricité). Un corps qui provoque chez l’homme sain une maladie semblable à celle qui est à combattre chez l’homme malsain. Soigner le mal par le mal.
Exemple : une plante dans laquelle vie un ver qui a fait son nid en enroulant une feuille autour de son corps. Les feuilles de la plante sont ternes et percées de petits trous, visiblement la plante est fatiguée/travaillée. En débarrassant la plante du ver et en coupant toutes ses feuilles malades on pourrait craindre le pire. Et bien non, elle renaît et explose toute sa beauté ; si le ver n’avait pas été là, aurait-elle été aussi belle ? !
B) Le chaud ne réclame pas le Froid son contraire, mais le Chaud son semblable ; seulement un semblable purifié. (D’après Jacob BOEHME).

D’après DÉMOCRITE et B. LE TRÉVISAN : Nature esjoir Nature, ou le semblable attire le semblable. La Nature contient la Nature et la Nature vainc la Nature. (Une Carpe ne va pas naître d’un Lapin).
 
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1) Partie de produit ACTIF dans 99 parties d’eau, puis on agite l’ensemble. C’est la 1ère dilution ou 1 CH.
2) Partie de produit de la 1ère dilution dans 99 parties d’eau, puis on agite l’ensemble. C’est la 2ème dilution ou 2 CH. On peu diluer ainsi jusque 30 fois.
Il y a aussi la dilution décimale, 1 part pour 9 parts de solvant ; et même manière d’oeuvrer.

Bien-entendu, les « savants » cités plus haut considéreront que dans la trentième dilution il ne peut plus y avoir aucune substance active. Ainsi ce qui intrigue ces « savants » : comment une substance qui a disparu peut-elle agir ? Réponse de Jacques Benveniste et de ses suiveurs : par l’empreinte qu’elle laisse dans l’eau.  Il serait question de « trous blancs », par opposition aux trous noirs ; mais personne n’est vraiment capable d’expliquer la dilution homéopathique. Il n’y a pas d’Homéopathie sans ANTIDOTES.
La dilution homéopathique descend non seulement à la limite mathématique où il y a encore, en tenant compte du nombre d’Avogadro, une particule matérielle dans le produit, mais va au-delà. Force est d’admettre, puisque l’activité du produit est indéniable, que, nous ne savons pas ce qui se passe au point de vue physico-chimique au cours de la préparation du remède et également au cours de son utilisation.
Là, toutes les hypothèses peuvent être soulevées ; les remèdes n’agissant que par leur présence d’une manière énergétique : catalyseurs ? inducteur d’antagonisme ? perturbateurs ioniques électifs ? Les solutions présentées jusqu’à ce jour n’ont apporté aucune explication générale du phénomène observé cliniquement. (Ces dernières précisions viennent de l’un des premiers médecins homéopathiques à Paris : le docteur Jacques Deniau)

Prévenir la Grippe et les Rhumes.
Premièrement
- Semaine 1 : 1 dose d’Influenzinum 9 CH
- Semaine 2 : 1 dose d’Influenzinum 15 CH
- Semaine 3 : 1 dose d’Influenzinum 30 CH

Deuxièmement
Prendre un mois après la dose d’Influenzinum en 30 CH 1 dose d’Influenzinum 15 CH, une fois par mois, pendant 6 mois. (Laisser fondre le contenu de la dose lentement sous la langue et le matin à jeun).

Troisièmement

Céréales germées Teinture Mère : 20 gouttes tous les matins dans un peu d’eau.

M. R.
 
 
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La biologie numérique sort la tête de l’eau
Article du Journal NEXUS n°63 de juillet-août 2009.
Par Pryska Ducœurjoly.
 
La suite des travaux de Jacques Benveniste est sur le point de révolutionner l’art médical. Un nouvel horizon pour de nombreuses pathologies comme le sida ou la grippe aviaire.

« Mémoire de l'eau, guérison à distance... La mystification recommence ». La Une de la revue Sciences et Vie d'avril 1997 ne laissait aucune chance à la médecine alternative. Douze ans plus tard, les médias évitent toujours de faire des vagues dans ce débat houleux, même si aucun d'entre eux ne peut plus sérieusement ignorer que l'un des plus grands noms de la recherche médicale travaille sur la « mémoire de l'eau ».
Ce chercheur n'est autre que le prix Nobel 2008 de médecine. En effet, Luc Montagnier effectue, depuis 2005, de nombreuses expériences dans le domaine de la biologie numérique chère à Jacques Benveniste(1).
Le professeur Montagnier a ainsi signé en juin 2005 un accord de confidentialité avec Bruno Robert, le directeur de Vigibio (société Digibio de la famille Benveniste). Leur collaboration a permis des expériences fondamentales, en juillet 2005, sur différents micro-organismes : le mycoplasme Pirum, le VIH et la bactérie Escherichia Coli. L'équipe de Benveniste a apporté son savoir sur la collecte d'informations électromagnétiques à partir d'éléments biologiques, Luc Montagnier a amené son expérience dans la recherche, son laboratoire et ses découvertes surprenantes sur des « nanoformes ».
Ces nanoformes émises par des bactéries et des virus sont capables de reconstituer l'organisme initial lorsqu'elles sont incubées avec des lymphocytes, en l'absence totale, dans la solution de ces virus ou bactéries, celles-ci ayant éte totalement filtrées. L'objet de la collaboratior était aussi de voir si ces nanoformes pouvaient être responsables des signatures électromagnétiques (SEM) observées par Benveniste (lire plus bas les mycrozimas).
 
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Le docteur Jacques Benveniste
Photo P. Bourdis/Sygma
 
L'héritage de Benveniste
« Luc Montagnier s'est immédiatement montré très enthousiaste devant les résultats recueillis ensemble », raconte l'ancien associé de Jacques Benveniste, Bruno Robert, directeur de développement de Vigibio. Bruno Robert est par ailleurs détenteur du brevet qui a permis de recueillir avec plus de fiabilité les fréquences émises par les micro-organismes. Ce brevet décrit l'invention qui a permis de faire avancer des travaux de Benveniste de manière significative(2). Cet informaticien d'origine s'est intéressé de près aux travaux du chercheur de l'inserm, avant de s'associer avec lui en vue de développer des applications : « Dès 1999,Jacques Benveniste s'était rendu compte, et l'avait déposé sous forme de brevet, qu'un anticorps d'un micro-organisme donné ne réagissait pas seulement au micro-organisme, mais également à son signal électromagnétique. Il y avait là une observation tout à fait passionnante et déterminante en immunologie, parce qu'elle permettait de comprendre que les anticorps, pour reconnaître leur cible (on sait qu'à chaque antigène correspond un seul type d'anticorps), se guident avant tout par ce signal électromagnétique émis par leur cible. (...) Pour ma part, j'ai découvert comment extraire, dans ce bruit, les seules fréquences qui déclenchent chaque effet biologique. Cela permet de reproduire les expériences de manière plus fiable et rend plus facile leur utilisation à des fins thérapeutiques. La "biologie numérique" devient ainsi une réalité, fiable, presque mécanique, qui peut être déployée à grande échelle. On peut alors transmettre, de manière très précise, les effets biologiques par Internet ou pratiquer à distance des tests biologiques, sans se déplacer ».

Querelle de paternité
Selon Bruno Robert, ces méthodes et outils ont permis de visualiser, de comparer, de décomposer de manière graphique les signaux électromagnétiques, à l'origine des activités homéopathiques que constatait Jacques Benveniste. « C'est beaucoup plus facile et confortable de manipuler, étudier, transmettre des fichiers de "biologie numérique" dont on voit les différences, directement à l'écran, plutôt que de manipuler des centaines d'expériences ou de milieux biologiques, qui varient en fonction de l'heure ou du lieu de réalisation. Ce qui était pendant quinze ans le quotidien de Jacques et, pour une part, la source de son discrédit scientifique et médiatique. »
Ce brevet technique est aujourd'hui contesté par Luc Montagnier, qui a déposé une version similaire, en décembre 2005, soit un mois plus tard que Bruno Robert(3). Au-delà de la dispute sur la paternité de l'invention, cette affaire judiciaire démontre l'intérêt du futur prix Nobel pour la méthode de collecte des signaux électromagnétiques dans le cadre de ses recherches biologiques.
 
 
Il est possible de déterminer un agent infectieux dans une solution
en fonction du niveau de filtration et des SEM (signatures électromagnétiques)
dans les autres dilutions.
 
 
Vortex
Si la collaboration est aujourd'hui rompue, leurs brevets racontent la même chose et sont porteurs de bonnes nouvelles pour la médecine de demain, il est enfin possible de caractériser avec fiabilité tout virus ou bactérie par une fréquence qui lui est propre. On peut retrouver et identifier cette fréquence dans une solution hautement diluée (donc sans la présence de ce micro-organisme). À partir d'une solution pondérale (le produit non dilué), on peut recréer la signature (ensemble de fréquences) d'un micro-organisme, conformément aux principes de l'homéopathie, c'est-à-dire en agitant le tube entre chaque dilution : « Les dilutions successives sont agitées fortement avec un vortex, pendant 15 secondes, entre chaque dilution», écrit ainsi en juin 2006 Luc Montagnier (brevet 0605599).
Par ailleurs, si un tube à essai hautement dilué et porteur d'une signature électromagnétique (SEM) se trouve placé à côté d'un second tube faiblement dilué et non porteur d'un SEM, alors il perd son signal. À condition, toutefois, qu'il s'agisse bien du même germe (et donc de la même fréquence).

Effet inhibiteur

Ce dernier point est fondamental et riche en application, comme le rappelle Luc Montagnier dans un autre brevet datant de juin 2006 : « Le simple voisinage d'un tube fermé contenant un échantillon d'un filtrat bactérien ou viral faiblement dilué et donc négatif en ce qui concerne l'émission de signaux électriques ou électromagnétiques inhibe les signaux produits par un échantillon plus fortement dilué du même filtrat initialement positif ». Cet effet inhibiteur peut ainsi permettre de diagnostiquer le type d'infection dont souffre un patient, même si les germes n'ont pas été identifiés.
Par exemple, un tube à essai d'une solution d'Escherichia Coli hautement dilué, émettant une fréquence (donc actif), se trouve inactivé par le plasma d'un patient faiblement dilué, à condition que ce dernier souffre d'une infection à ce même germe. Fait remarquable noté par Luc Montagnier dans ses expériences : « Un contact de 5 minutes d'une solution positive dans la main du patient, ou bien de dix minutes jusqu'à une distance de 50 cm est suffisant pour observer l'effet inhibiteur ». Il suffirait donc de tenir un tube à essai dans la main pour connaître les germes à l'origine d'une pathologie. Ainsi, dans le brevet que Luc Montagnier a déposé en juin 2006, le prix Nobel ne donne-t-il pas la solution pour savoir si un patient est atteint par le VIH d'une manière très simple ? On pourrait placer dans la main d'un patient un tube à essai contenant le virus en faible dilution et noter si la présence du sujet éteint le signal. Cela constitue-t-il une nouvelle piste dans le diagnostic du sida ? Luc Montagnier n'évoque pas cette application, mais il précise à NEXUS qu'« il n’y a pas de relation directe entre mon projet de vaccin thérapeutique contre le SIDA et cette nouvelle technologie ».

Contamination électromagnétique
En tout cas, ces recherches ne sont pas sans rappeler la méthode Naet pour combattre les allergies(4).
Dans la mémoire de l'eau, c'est bien de contamination électromagnétique qu'il s'agit et non purement de « nanoformes » résiduelles post-filtration, car des tubes contenant une solution jamais mise en contact auparavant peuvent se contaminer à distance. Ces SEM pourraient provenir de structures à base d'eau, ou de la structure de l'eau ou de la structure de certaines molécules d'eau susceptibles d'être contaminées ou « informées » par une source électromagnétique.

Microdoses pathogènes ?
Dès lors, une question fondamentale se pose de nouveau : une solution en haute dilution, porteuse du signal peut-elle être pathogène, en l'absence même du virus ou de la bactérie ? Si les principes de l'homéopathie sont justes, tout porte à croire que c'est le cas. En effet, si on exclut l'hypothèse de l'effet placebo, l'expérience des homéopathes montre depuis plus de deux siècles que l'organisme a la capacité de lire les hautes dilutions ou les doses infinitésimales. De même qu'en biodynamie, on estime que le sol réagit davantage aux micro-doses, plus efficaces que les kilos d'engrais déversés dans un champ(6).
Ainsi, une haute dilution d'une bactérie ou d'un médicament pourrait effectivement s'avérer plus pathogène que la dose pondérale. C'est ce que démontre une récente étude sur le Roundup, un désherbant encore plus dangereux pour l'homme s'il est hautement dilué(5). De quoi se poser des questions sur les effets biologiques de l'eau issue des nappes phréatiques ou de nos robinets et qui contiennent un grand nombre de molécules de synthèse en haute dilution (médicaments, pesticides, etc.). Une question que soulevait déjà Benveniste à l'époque avec l'affaire du sérum physiologique contaminé par une pollution électromagnétique, capable de provoquer un choc endotoxique : « Le fonctionnement des cœurs [de cobaye isolé, expérience classique en biologie, ndlr] est fortement perturbé par le sérum du laboratoire. Parfois les cœurs s'arrêtent purement et simplement de battre », écrit Benveniste dans Ma Vérité sur la "Mémoire de l'eau" (éd. Albin Michel, page 142).

Trace du VIH
« Malheureusement, Luc Montagnier n'a pas souhaité communiquer, malgré nos demandes successives, les résultats d'infectivité des solutions hautement diluées issues de nos expériences de juillet 2005, je ne sais donc toujours pas avec certitude si un filtrat où ne subsiste plus que la SEM est contaminant, déplore Bruno Robert. Si effectivement du sang contaminé mais filtré du HIV continue d'être séropositif et de déclencher la maladie, en absence du VIH, cela signifie que l'ennemi à combattre est moins le VIH que la trace électromagnétique qu'il laisse dans le sang. D'autant que les expériences que nous avons menées ont montré que la réintroduction du VIH dans le sang "éteignait" ce signal électromagnétique ».
Cela pourrait aussi vouloir dire que les virus ou bactéries ne seraient pas nécessairement la cause de nos pathologies, mais qu'elles pourraient plutôt provenir d'un signal électromagnétique dans l'eau (dont notre corps est composé à 70 %). Le « terrain » propre à chaque individu pourrait ainsi être déterminant avec les fréquences actives dont il est porteur ou qu'il est capable de reconnaître comme le soi ou le non-soi.
Que penser également des analyses biologiques où figure un grand nombre de bactéries ? Faut-il toujours penser que l'infection est liée à la présence de ces germes en grand nombre (version pasteurienne) ou bien peut-on envisager qu'il s'agisse d'une tentative de l'organisme d'« éteindre » des signaux pathogènes par production de virus ou de bactéries à haute dose, soit par l'organisme lui-même (maladies endogènes) soit par opportunisme (affection exogène). Ces signaux pourraient-ils par ailleurs trouver leur origine dans les dérèglements émotionnels, nutritionnels ou environnementaux (perturbation électrique ou électromagnétique) ? Ces causes ne sont-elles pas alors premières dans la pathologie, la production de virus ou de bactérie arrivant en bout de chaîne ? Pour le docteur Hamer, virus, champignons et bactéries peuvent effectivement être mobilisés par l'organisme dans les phases de guérison.

Transmission de signaux

Autant de questions qui relancent le débat scientifique sous-jacent à propos de l'origine du sida : « Nos recherches font de nous des intermédiaires entre le groupe de Perth, en Australie, qui attribue au stress oxydatif (radicaux libres) la chute des défenses immunitaires, et les virologues classiques qui accusent le virus d'être la cause, sans comprendre où il se loge et pourquoi il est si virulent parfois en l'absence de charge virale... », assure Bruno Robert. « Si l'on identifie formellement sur quelles fréquences chacune de nos barrières s'active ou se désactive, il suffit qu'un signal parasite s'immisce entre l'antigène et nos anticorps pour que tout le système classique de reconnaissance parte en vrille et déclenche des réactions "anormales". Dusse une signature électromagnétique d'un microorganisme porter les fréquences de résonance de chacune des principales barrières immunitaires, et c'est le système global qui tombe en panne ».
Que penser, dès lors, de l'effet des transfusions sanguines à l'époque où le sang n'était pas chauffé (on sait que les SEM disparaissent dans une solution chauffée, mais seulement à haute température). Les cas de sida posttransfusion constatés dans les années 80 pourraient-ils résulter de transmission de signaux non compatibles plutôt que du virus lui-même ?
Pour trancher le débat sur le sida, la première expérience serait sans doute de vérifier si la fameuse souche du VIH conservée par Luc Montagnier est bien la cause du syndrome d'immunodéficience acquise chez des cas avérés, en comparant les fréquences.

Quid du cancer ?
Le champ qui s'ouvre à la recherche est immense, mais il est retardé par le conflit qui oppose les titulaires des brevets clé. Même si le cancer n'est pas évoqué par les auteurs des brevets, des recherches en ce sens pourraient aboutir à des avancées notables et rapides, aussi bien en terme de dépistage, qu'en terme de diagnostic de la cause. Parmi les multiples questions qui restent en suspens : retrouve-t-on dans le sang d'un patient une signature électromagnétique spécifique pour un cancer du sein ? Cette signature est-elle commune à une famille de cancer ? Des recherches pourraient ainsi déterminer quel rôle jouent les virus dans certains cancers. Et surtout, de futurs travaux pourraient permettre d'aboutir à des solutions en matière de guérison.
En effet, il est non seulement possible d'informer une solution avec un signal électromagnétique bénéfique (ce que font déjà de nombreux systèmes pour restaurer la qualité de l'eau, comme Plocher), mais on peut aussi annuler une fréquence pathogène spécifique en lui opposant la même fréquence, amplifiée et déphasée. Ceci n'est pas sans rappeler les travaux de Roland Wehrlen sur le déphasage (lire NEXUS n° 62 de mai-juin).

Antidote
Des essais d'inactivation des SEM et de l'infectivité ont été menés dans ce sens dès l'été 2005 par l'équipe de Bruno Robert et de Luc Montagnier. Aussi bien sur le M. Pirum que sur le VIH. À partir du moment où l'on est dorénavant capable d'associer à un microorganisme, non pas un signal complexe, mais les quelques fréquences qu'il émet, il est beaucoup plus facile de le caractériser, et d'identifier sur quel « canal » il peut faire des dégâts avec son environnement (un peu comme les fréquences d'une radio). On peut ainsi plus brouiller son influence sur le milieu biologique, par exemple en lui opposant un signal en inversion de phase de même fréquence.
De même, à partir du moment où l'on est capable de caractériser des fréquences spécifiques qui déclenchent l'écroulement de chacune des barrières immunitaires (les neutrophiles, les basophiles, CD4...), il est beaucoup plus facile d'agir pour éviter l'exposition à ces fréquences. « C'est cette méthode de caractérisation et d'inhibition de l'activité pathogène par application d'un contre-signal en inversion de phase qui fait l'objet de mes deux brevets respectifs, déposés le 15 novembre 2005(2) », rappelle Bruno Robert. Si tout est fréquence, il n'est pas de substance qui ne porte en elle son antidote, sa fréquence inversée.
« À partir du moment où nous aurons trouvé un signal très caractéristique dans les sangs de patients Parkinson, Alzheimer, polyarthrite rhumatoïde, sida, sclérose en plaques, sclérose latérale amyloïde (SLA) et que ce signal est absent dans le sang de patients sains, nous aurons probablement à faire à un phénomène qui peut être en même temps la cause et le témoin (marqueur) de ces pathologies ».

Rénover l'homéopathie
En attendant ces avancées, les découvertes des successeurs de Benveniste peuvent permettre de rénover l'homéopathie puisqu'il est désormais facile de repérer les fréquences qui apparaissent ou disparaissent dans la signature électromagnétique de chacune des dilutions d'un produit homéopathique. En effet, « si l'on prend la signature magnétique de chacune des dilutions d'une molécule, de sa dose pondérale à 200 CH, on verra alternativement apparaître certaines fréquences, responsables des effets constatés sur leur cible biologique ou leur contraire. C'est typiquement ce que l'on observe, sous forme de "sinusoïde amortie", en homéopathie. Selon le degré de dilution, nous avons l'effet ou son contraire (homéo veut dire en grec "semblable") ». Il devient alors possible de contrôler l'efficacité d'une dilution, mais aussi son action en faveur ou non de tel effet.
N'en déplaise aux détracteurs de la médecine homéopathique, non seulement la mémoire de l'eau refait surface, mais elle pourrait bien constituer la pierre angulaire de la médecine de demain. Au cimetière du Père-Lachaise à Paris, la tombe du professeur Samuel Hahnemann (1755-1843) mérite bien un petit coup de balai.


Notes
1. Médecin et immunologiste français, cornu du grand public pour avoir publié en 1988 des travaux de recherche sur la mémoire de l'eau donnant naissance à ce qui a été appelé « l’affaire Benveniste » et mena à son éviction de l'lnserm en 1995. Jacques Benveniste est décédé en octobre 2004.

2. « Procédé de caractérisation d'un élément biochimique présentant une activité biologique, par analyse des signaux électromagnétiques de basses fréquences », brevet français 0511 582, publié à l'international le 28 juin 2007 sous le numéro WO 2007/071855. Ce brevet a été couplé avec un autre : « Utilisation soit directement, soit après modification, du signal électromagnétique émis par un milieu biologique dilué et filtré, aux fins d'inhibition ou de modification substantielle dudit signal, par exposition, à l'aide d'un solénoïde, dudit milieu au dit signal électromagnétique amplifié », brevet 05 11582, publié internationalement le 28 juin 2007, sous le numéro WO 2007/071856.

3. « J'ai assigné Bruno Robert devant les tribunaux pour "dépôt frauduleux" parce que j'estime que le texte du brevet qu'il a déposé en son nom seul, sans m'en avertir, est la copie conforme du texte rédigé par moi-même et résultant de mes propres travaux de recherche que je mène depuis huit ans sur tout l'aspect biologique du projet », déclare à NEXUS, Luc Montagnier. Le jugement était attendu le 1er juillet 2009.

4. Le praticien place dans la main du patient une fiole contenant de l'eau puissamment informée par le laboratoire Naet Europe, eau contenant la signature énergétique d'une substance détectée par le test kinésiologique, en vue de la reprogrammation de l'organisme. Ce n'est pas, dans ce cas, le patient qui éteint le signal contenu dans une haute dilution, mais une fiole contenant l'équivalent d'une dose pondérale qui éteint la réaction allergique chronique de l'organisme.

5. On connaît l'efficacité du Roundup, fabriqué par la multinationale américaine Monsanto, sur les mauvaises herbes. On se doute moins qu'il tue aussi les cellules humaines en haute dilution... C'est pourtant ce que viennent de confirmer Nora Bènachour et Gilles-Éric Séralini, de l'université de Caen : « Nous avons travaillé sur des cellules de nouveau-nés avec des doses de produits 100 000 fois inférieures à celles avec lesquelles le jardinier lambda est en contact. Les Roundup programment la mort des cellules en quelques heures », a déclaré le professeur de biologie moléculaire auteur d'une étude financée par la Fondation de France et mise en ligne, fin décembre 2008, par la revue Chemical Research in toxicology.

6. J’ai ajouté cette note : la haute dilution marche particulièrement bien dans la métallurgie des anciens romains par exemple.
 
 
 
 
Le cycle d’Enderlein : virus, bactéries, champignons dériveraient tous de la
même entité de base, le protite. (Source : http://www.ateliersante.ch/bechamp)
 
Des mycrozimas de Béchamp aux nanoformes de Montagnier
On doit à Pasteur (1822-1895) l'idée du monomorphisme : une bactérie ou un virus reste toujours dans sa forme et c'est ce microorganisme qui infecte, de l'extérieur, l'organisme. Tel est le fondement de la médecine occidentale actuelle. Or, les récentes avancées effectuées dans le sillage des travaux de Benveniste pourraient réhabiliter les théories du microbiologiste Antoine Béchamp (1816-1908), grand rival de Pasteur. Ce dernier a découvert que toute cellule animale ou végétale est constituée de petites particules capables, sous certaines conditions, d'évoluer pour former des bactéries qui continuent à vivre après la mort de la cellule dont elles proviennent. Béchamp appela ces petits éléments autonomes, des « mycrozimas ». Dans son sillage, Enderlein (1872-1968), va aussi défendre l'hypothèse de l'adaptabilité du monde bactérien aux conditions du milieu intérieur (pléomorphisme). Sa théorie énonce que les micro-organismes peuvent passer par plusieurs stades différents dans leur développement, en fonction du milieu. Les composants de la cellule pourraient ainsi former des micro-organismes indépendants, et que de nombreuses formes décrites ne sont que l'expression figée de la mutabilité d'une seule espèce. La conception d'Enderlein a su déboucher sur des applications concrètes avec les « remèdes isopathiques », mais elle gagnerait à trouver un nouvel éclairage au regard des récentes découvertes de Luc Montagnier et Bruno Robert. Pour Enderlein, de minuscules éléments biologiques, « vivants et immortels », appelés « protites » (les mycrozimas de Béchamp), vivent dans la cellule et font partie intégrante de toute matière vivante. Tout humain est porteur de cet « endobionte » (ou « symbionte ») et loge les stades primitifs de celui-ci dans ses humeurs (plasma et autres fluides organiques) et ses cellules (érythrocytes et leucocytes) durant toute sa vie. Selon Enderlein, ces micro-organismes, ont une taille de 0,01 micron et peuvent se voir grâce à un microscope à fond noir sous la forme d'une minuscule point, et grâce à un microscope à contraste de phase, sous la forme d'un globe de la grosseur d'une tête d'épingle. Sur un terrain normal et sain, ils vivent en harmonie avec les cellules et collaborent avec elles dans leurs fonctions physiologiques. Lorsque les conditions physicochimiques, bio-électroniques, et micro circulatoires du milieu intérieur se dégradent, ils évoluent vers des stades de développement plus avancés de leur cycle, se rapprochent du stade microbien, deviennent pathogènes, et peuvent alors être responsables de maladies. Ainsi, au stade de la forme « basite », il peut se développer un cycle secondaire ou annexe amenant les micro-organismes à se développer sous forme de bactéries et de champignons qui entrent à ce moment dans la forme « pasteurienne » et peuvent se transmettre et devenir contagieux. Pour Enderlein, seul le milieu du patient reste responsable de la constitution de maladies virales, dégénératives ou bactériennes (comme le soutiennent Béchamp et tout le courant naturopathique, « le microbe n'est rien, le terrain est tout ») [NTMR : c’est le moment de dire aux microbes et virus d’aller se faire voir ailleurs !]. Il serait important, au regard des découvertes sur les signaux électromagnétiques, de porter à nouveau les protites d'Enderlein sous un microscope. Ce que Luc Montagnier décrit comme des nanoformes ne correspond-il pas en réalité à des mycrozimas de Béchamp ? Dans quelle mesure les différentes formes d'évolution des protites ne peuvent-elles pas être inversées par des signaux électromagnétiques ? Si tel était le cas, ce serait la porte ouverte à des remèdes de terrain basés sur les fréquences, capables d'endiguer le développement de nombreuses pathologies.
 
 
 
Ces ondes environnantes qui ont discrédité Benveniste
« Dans ses expériences parfois difficilement reproductibles, Jacques ne prenait pas suffisamment en compte l'influence des ondes électromagnétiques environnantes, notamment celles émises par la téléphonie mobile, et les réseaux sans fil en milieu urbain, sur ses expériences, témoigne Bruno Robert. A l'époque (de 1988 à 2003), on niait totalement l'effet des ondes sur la santé. Maintenant, on commence à comprendre le danger qu'elles représentent. En fait, elles sont dangereuses car elles perturbent presque systématiquement la "signalisation cellulaire", c'est-à-dire la communication entre les cellules ». Bruno Robert avait plusieurs fois évoqué ce problème devant Benveniste qui déplorait que ses expériences de 1988 à 2004 se déroulent de moins en moins bien. « Au cours de cette période, de nombreuses antennes-relais avaient été installées en face de son propre labo, bien visibles depuis ses fenêtres. Et c'était pour moi un impératif et le point de départ de ma propre méthode. Il fallait impérativement procéder de manière "différentielle" c'est-à-dire procéder par différence entre le signal actif et le signal de contrôle, qui comme le premier, subissait pleinement la pollution électromagnétique ambiante. (...) J'ai donc développé un capteur différentiel, qui se présente sous la forme d'un double capteur, un que l'on colle sur le milieu à enregistrer (le tube à essai par exemple) et un autre sur la table de travail. J'ai utilisé les deux canaux (droit/gauche) des logiciels d'enregistrement du son, pour enregistrer, au même moment le signal actif ET le signal contrôle. A charge pour le logiciel BioDecoder, que j'avais fait développer par mon équipe informatique, de procéder à la soustraction du signal actif par le signal contrôle, ce qui, après une transformée de Fourier, fait immédiatement apparaître les fréquences qui peuvent être responsables, à elles seules, de l'effet biologique constaté ».
 
 
 
Les précisions du prix Nobel 2008
NEXUS : Les recherches que vous menez démontrent-elles l'efficacité de l'homéopathie ?
Luc Montagnier : Le brevet que j'ai déposé en décembre 2005 s'inscrit dans une continuité : celle - antérieure - des travaux de Jacques Benveniste, et celle - postérieure - que je suis en train de développer. Il s'agit d'un maillon dans une chaîne et ce n'est pas le plus important. Je crois qu'il est trop tôt pour prévoir toutes les applications médicales de cette technologie. Il est aussi trop tôt pour dire qu'elle justifie l'homéopathie. Mon approche est d'avancer pas à pas et toujours de respecter la rigueur scientifique : l'avantage de mes systèmes est qu'ils fonctionnent toujours dans toutes les conditions et sont donc tout à fait reproductibles.

Après vingt-cinq années de recherches sur le sida, êtes-vous toujours convaincu que le VIH est l'agent causal direct du sida ?
Il n'y a aucun doute que le VIH est la cause de la transmission du sida. La meilleure preuve est que la trithérapie anti-VIH a sauvé de la mort des millions de patients.

Pour vous, quelle est la différence entre les nanoformes filtrantes et ce que l'équipe de Jacques Benveniste appelait à l'époque des SEM (signatures électromagnétiques) ?
Nous avons montré - et publié que la production des SEM est liée à des nanostructures relativement stables, constituées à partir de molécules d'eau : des physiciens nous aident à élaborer des modèles théoriques partir de ces résultats.

Les résultats d'infectivité (en haute dilution) étaient-ils tous négatifs comme vous l'avez déclaré à l'équipe de Jacque Benveniste ?
Contrairement à ce qu'a décla maintes fois M. Robert, ces expériences de filtration étaient négatives ou ininterprétables.

Note de NEXUS
Luc Montagnier n'a pas souhaité répondre aux questions suivantes : Pourquoi avez-vous conservé par de vous les résultats d'infectivité des travaux sur les hautes dilutions de filtrats viraux que vous avez menés avec l'équipe de Jacques Benveniste en juillet 2005 ? La signature électromagnétique du VIH, telle que vous l'avez évoquée à Lugano en 2007, a-t-elle un effet infectieux ? Avez-vous tenté d'utiliser des filtres encore plus petits que ceux de 10 nanomètres, pour voir si ces « nanoformes » étaient encore présentes après filtration ?
 
 
 
« C'est de la science, pas de la magie »

L’engagement du prix Nobel 2008 en faveur des travaux de Benveniste restera dans les annales de la science, même si les médias rechignent encore à se saisir du sujet. Ce scoop jette un lourd discrédit non seulement sur les campagnes médiatiques et scientifiques contre Benveniste, mais également sur le dogme pasteurien sur lequel repose la quasi-totalité de la médecine conventionnelle, dite allopathique. « Les travaux de mon collègue Jacques Benveniste, que j'ai bien connu (...) sont apparus très révolutionnaires à l'époque pour beaucoup de scientifiques. On l'a accusé d'avoir triché, ce qui est absolument faux. Je pense qu'il n'a jamais triché, mais qu'il s'est aventuré dans un terrain très difficile. C'est un terrain qui fait le pont entre la biologie et la physique et qui est basé sur le fait que les molécules et les atomes ont des vibrations. Elles ne sont pas que de la matière, mais aussi des ondes. Je pense qu'on reconnaîtra, finalement, que Benveniste avait raison ». Tels sont les propos que tenait Luc Montagnier le 27 octobre 2007, devant une caméra italienne, en marge de la conférence où il a rendu hommage à Benveniste, à Lugano (Suisse). Et d'ajouter : « Le problème principal des expériences de Benveniste était leur reproductibilité. C'est encore le cas actuellement, parce qu'il y a beaucoup de facteurs qui interviennent (...). Mais ce doute sera levé un jour, parce que c'est de la science. Ce n'est pas de la magie (...) Il y a un écueil en science, qui est de dire "ce que le ne comprends pas n'existe pas". Et ça, c'est la réaction de beaucoup scientifiques vis-à-vis de l'homéopathie (...). Ils disent que ce n'est pas possible qu'il y ait un effet biologique ou pharmacologique sans molécule. Or, ce n'est pas vrai. Ceci est fait dans l'eau, qui est faite de molécules. Et certains physiciens nous disent que l'eau a une structure extrêmement compliquée. Ce n'est pas du tout quelque chose d'homogène (...). Je ne dis pas que je soutiens l'homéopathie, mais je dis que l'on peut expliquer certains effets de l'homéopathie par l'effet sur les molécules d'eau... « Nous sommes dans la biologie digitale, la biologie numérique. Les problèmes que Benveniste avait approchés à l'époque, on peut les résoudre maintenant. Encore faut-il le vouloir. Ce qui n'est pas évident. Nombre de biologistes ne veulent rien reconnaître à la physique. L'idée de Benveniste, que nous poursuivons, c'est que les atomes peuvent s'échanger des signaux. Un peu comme nous le faisons avec les téléphones portables. La nature l'a fait avant nous ». L'Académie des Sciences et les fers de lance du dogme pasteurien apprécieront !

Deux vidéos en français où Luc Montagnier s'exprime sur J. Benveniste sont disponibles sur : http://www.colombre.it/montagnier
 
anipucsac1.gifVoir aussi les pages sur le business des vaccins.
 

Dernière mise à jour : 30-06-2009 20:54

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