Pour le pragmatisme chez nous en France, voir notre
Schwarkozy et son symbolique
Karcher !
C’est fou ! on vit une époque folle, là où les saltimbanques à la
Phineas Barnum peuvent devenir politiciens et arrondir leur fin de mois en faisant les clowns pour faire vendre. Tout se vend et s’achète, même bientôt l’air... du temps. Réclame et propagande ou prosélytisme par tous moyens doivent-être les deux mamelles des États-Unis.
Arnold Schwarzenegger (j’ai fais un copier-coller de son nom, dont l’orthographe est difficile a retenir !), n’a pas été aux États-Unis pour rien. Dans ce pays tout est bon pour faire du business. Le plus, c’est son image, le magnétisme du look bodybuilding qu’il dégage, et ça c’est bon pour cette société
American way of life baignant dans une diarrhée de jouissances matérielles. C’est bon pour le côté winner, le côté pragmatique englobant la compétition et la rentabilité.
Schwarzenegger illustre parfaitement l’américanisme, lequel unifie le pathos de classe dans le culte généralisé de la technique et l’identification des besoins de consommation imposée par la technique publicitaire ; et il abandonne les choses de l’esprit au dévergondage religieux des sectes. Bref, tout cela sent à fond la propagande du
« Ce qui est bon pour nous est bon pour vous », dangereusement comme une nouvelle religion, et jusqu’en Asie comme on peut le voir sur la vidéo (ici incomplète, car
il y a encore plus de vingt spots avec Schwarzy pour les mêmes produits). Difficile de savoir les dates des publicités tournées par Schwarzy, peut-être ont-elles été réalisées avant son manda de politicien en Californie.
Qui dit winner dit loser : il ne faut jamais oublier les deux côtés d’un symbole, c’est comme quand on dit une école supérieure ; ainsi il y aurait des écoles inférieures ! Merci pour TOUTES les écoles !
Si la richesse appelle la richesse et la pauvreté appelle la pauvreté,
Schwarzy s’y entend à enfoncer les losers, un peu comme Obama avec la santé des vieux et des malades pour faire des économies. Il est bien connu qu’il n’y a aucune morale dans le business et l’argent et donc aucune bonté.