Voir aussi
l’article très intéressant d’Alter Info sur l’escroquerie de la Réserve Fédérale Américaine. (Article de avril 2008) Comment acheter pays avec ses habitants et ses hommes politiques.
En 1816, les privilèges de la Banque des États-Unis étaient rétablis et les banquiers menés par la famille Rothschild avaient définitivement terrassé les hommes politiques qui, comme Jefferson et plus tard, Lincoln, tentèrent de s'opposer à leur racket. Abraham Lincoln en est mort.
Thomas Jefferson était si persuadé du rôle pervers des banquiers internationaux qu'il a pu écrire : « Je considère que les institutions bancaires sont plus dangereuses qu'une armée. Si jamais le peuple américain autorise les banques privées à contrôler leur masse monétaire, les banques et les corporations qui se développeront autour d'elles vont dépouiller les gens de leurs biens jusqu'au jour où leurs enfants se réveilleront sans domicile sur le continent que leur Pères avaient conquis ».
Mais les enfants dépouillés et en guenilles vont se révolter, et le grand luxe avec grosses limousines et gros frigos à glaçons qui donnent la chiasse c’est bientôt terminé. Il n’y en a plus pour longtemps pour les J.P. Morgan & Co !
car l’Empire américain s’écroule, on assiste en ce moment à sa fin. Quand au groupe des
Bilderberg, sa fin ne saurait tarder. Il n’était que temps, depuis que les riches gangsters de la fin du 19è siècle et du début du 20è ont acheté les États-Unis et leurs lois. Ce pays esclavagiste dont a aboutit la guerre de Sécession (1860-1865), voué à la monstruosité du dieu argent, a fait la traite des esclavages pendant de nombreuses décennies, a ruiné les peuples indiens en volant leurs terres, à escroqué sa propre population par des spéculations de voleurs, a abruti ses enfants avec un culte du matérialisme et de la nourriture abondante, un culte du colonialisme, un culte non seulement spirituel mais du business avec son dollar, et dont la construction de ce pays repose sur l’ordre des Francs-maçons. Il faut le faire, et hélas les Francs-maçons l’ont construit, et c’est devenu un État fasciste militarisé. Ce sont aussi des pilleurs de trésors par l’intermédiaire de leurs richissimes collectionneurs, dont John Pierpont Morgan.
En ce qui concerne l’esclavagiste et gangster John Pierpont Morgan, il a aidé financièrement bien-sûr le savant Nikola Tesla. mais ça ne s’est pas passé sans heurts. Par exemple suite à la construction de la
tour de Wardenclyffe, Tesla sent que Morgan, en raison de sa puissance économique, est dans une large mesure responsable de l’augmentation des coûts de fabrication. Il écrit à Morgan le 8 avril 1903 : «
Vous avez créé de grandes vagues dans le monde industriel et certaines ont ébranlé ma frêle embarcation. Les prix ont augmenté en conséquence du double, voire du triple ». Morgan, qui a engagé une grosse part de son capital dans la centralisation des chemins de fer et dans d’autre entreprises tout aussi délicates, refuse d’avancer des fonds supplémentaires à Tesla. (Source :
Coucou c’est Tesla l’énergie libre, Éditions Félix).
La banque J.P. Morgan a favorisé l’esclavage des noirs au cours du 19è siècle.
La propagande mondiale est dirigée depuis les États-Unis depuis presque 100 ans à travers Hollywood, dont les coffres sont détenus vers les années 1930 par deux banques : J.P. Morgan, Rockefeller, et l’Empereur de la presse US
William Randolph Hearst. Paramount, MGM, Fox, Warner Bross, RKO, Universal, Columbia, United Artist, Rank (cinéma anglais), Western Electric (son), tous étaient sous la coupe de ces trois empires, avec un sous empire : la General Electric. Depuis presque le début de l’invention du cinéma, tout au moins aux États-Unis, le cinéma, ou la machine de propagande US est contrôlée par l’argent, cela veut tout dire... Puisque ces financiers contrôlent aussi la télévision, ils imposent l’achat de programmes et de films par des traités de commerce draconiens, ils appuient et renforcent leur pouvoir par des organismes syndicales style
M.P.A.A. (Motion Picture Association of America) ou
R.I.A.A. (Recording Industry Assosiation of America). Avec leur folie de la propriété tout court, mais aussi de la propriété intellectuelle, si ces pieuvres monstrueuses s’aperçoivent que vous piratez une de leurs œuvres à décerveler, vous risquer de vous retrouver dans un Guentanamo quelconque, puisque vous ne pourrez pas payer les 150 000 dollars que le MPAA va vous voler par film piraté. Cependant cela n’effrayent pas du tout
les Chinois qui piratent à qui mieux mieux les machins hollywoodiens. Il paraît que 70% des 250 employés de la MPAA sont impliqué dans la recherche de pirates !
Les Américains poussent des cris d’orfraie quand on touche à leurs propriétés : aussi bien intellectuel que financière ! Les pauvres chéris. Pour eux copier est un fléau mondial, c’est du vol tout simplement ! On croit rêver après tous les vols des escrocs énumérés en partie ici sur cette page.
Précision : tout est une question de fric bien-sûr, car le M.P.A.A. fut fondé par un ancien ministre des P.T.T. :
William Hays, véritable Tzar du cinéma ; et bien-sûr son successeur fut un agent d’exécution de Wall Street : Eric Johnston.
Décadence.
Je me suis promené plusieurs fois devant le
Palais Rose à Paris, avenue Foch, entre le Bois de Boulogne et l’Arc de Triomphe place de l’Étoile (une copie en plus petit existe au
Vésinet). Là encore il était question de grosses fortunes, notamment celle du magnat des chemins de fer, au début de la seconde moitié du 19è siècle, où la fièvre de construire ces voix ferrées ferait rage.
Jay Gould était un de ces malades de la nouvelle invention de transport.
Paul Warburg avec son frère Max Warburg furent des fossoyeurs responsable de la
destruction de la Russie.