Ecrit par Sechy,
le 05-11-2009 19:53
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Tags : Courant, Diodes, Électronique, Fluide, Nature, Pyramides, Technologie |
Technologie fluidique et circuit naturel
ou Conducted Line Natural (CLN)
Émission-Réception-Circulation
Cet article du Journal Nexus n°65 de novembre-décembre 2009, confirme d’abord un rêve personnel, puis ma conviction qu’il y a et il y a eut de par le passé un grand nombre de « circuits imprimés naturels », avec des pierres et des assemblages de ces pierres combinés avec la circulation de l’eau, ayants fonction de nos modernes condensateurs chimiques ou au papier, de nos modernes résistances et autres selfs d’accord, et surtout de nos modernes transistors ou diodes commandables. Voici donc un article sur les anciennes pyramides dans le monde, et les rapprochements qu’a pu faire le savant Tesla en observant des phénomènes naturels.
Technologie Tesla - L’effet pyramide
Par Hrvoje Zujic
Les pyramides, tout comme les obélisques ou les pierres levées, génèrent un flux continu d'ions négatifs utilisables pour améliorer les écosystèmes et fertiliser l'environnement. Nikola Tesla l'aurait-il redécouvert en construisant sa fameuse tour ?
À propos de l'auteur
Hrvoje Zujic est né à Osijek, en Croatie, en 1970. II est maître ès Science en ingénierie électrique et possède un brevet d'ingénieur en conception et contrôle d'installations électriques. Depuis 1998, il est membre de la section des ingénieurs électriciens de la Chambre des Architectes et des Ingénieurs-Architectes de Croatie ( http://www.hkaig.hr). Pendant quinze ans, il a poursuivi des recherches sur les radiations géopathogènes, la bioénergie, la biophysique, l’électronique biomédicale et la photographie par interférence polycontrastée. Il est pyramidologue et chercheur en sciences marginales. Zujic est co-auteur (avec Vilim Kanjskil de The Secrets of the Pyramids Revealed, II est joignable par email à : hrvoe.zujic(at) gmail.com. Voir son adresse SCRIBD à http://www.scribd.com/hrvojezujic.
« Un jour que j'errais dans la montagne, je cherchai à m'abriter d'un orage qui approchait. Le ciel se chargeait de gros nuages et cependant la pluie ne venait pas, lorsque soudain, il y eut un éclair suivi d'un déluge. Cela me fit réfléchir. Les deux phénomènes avaient manifestement une relation de cause à effet, et j'en arrivai à la conclusion que l'énergie électrique impliquée dans la précipitation de l'eau était insignifiante, mais que l’éclair jouait le rôle d'une détente très sensible. Cela laissait entrevoir une formidable possibilité de réalisation. Si nous pouvions produire un effet électrique de qualité appropriée, nous pourrions transformer les conditions d'existence sur toute la planète. Le soleil évapore l'eau des océans et les vents la poussent au loin sur des régions où elle demeure en état d'équilibre instable. Si nous pouvions rompre cet équilibre où et quand nous le désirons, nous pourrions maîtriser le flot de la vie. Nous pourrions irriguer les déserts arides, créer des lacs et des rivières et produire de la force motrice à volonté. Ce serait la manière la plus efficace de mettre le soleil au service de l'homme. »
Ainsi parlait en 1919, dans son autobiographie Mes Inventions (chapitre V, éditions Un infini cercle bleu), le croate Nikola Tesla (1856-1943), l'un des plus grands inventeurs dans le domaine de l'électricité et du magnétisme. Il poursuit : « La réussite dépendrait de notre capacité à mettre en oeuvre des forces électriques de même ordre que celles de la nature. Le projet semblait inaccessible, mais je fus résolu d'essayer. De retour aux États-Unis, durant l'été 1892, des travaux commencèrent qui pour moi étaient d'autant plus motivants que des moyens analogues étaient nécessaires pour la réussite des communications sans fil. »
Il évoque ici la construction de sa célèbre tour Wardenclyffe à Long Island, sur laquelle nous reviendrons plus loin.
Sur les traces de Franklin
Rappelons que les éclairs sont des décharges électriques et le tonnerre est le son qu'elles produisent. Aujourd'hui encore, certains phénomènes liés aux décharges de foudre font l'objet de recherches scientifiques.
L'accumulation d'électricité dans les nuages résulte de la condensation dans l'atmosphère. La polarisation de charges dans les nuages d'orages augmente le potentiel d'un point à l'autre et provoque des décharges. Les décharges électriques peuvent se produire dans un nuage, d'un nuage à l'autre ou entre les nuages et le sol. C'est ce dernier qui nous intéresse : un gigantesque court-circuit entre le ciel et la terre.
En 1750, Benjamin Franklin découvrit que l'électricité n'est pas uniformément répartie sur tous les éléments d'un conducteur (sauf dans le cas d'une sphère), sa distribution dépend du degré de courbure de ses éléments. En général, la densité de charge est la plus forte sur les arêtes et les parties saillantes pointues plutôt que sur les rondeurs et les zones planes. Statistiquement, la foudre passe par le trajet le plus conducteur, c'est-à-dire celui de la plus forte densité de charge. Franklin s'aperçut que, dans un orage électrique, plus un paratonnerre était pointu et conducteur, mieux il attirait la foudre. C'est pourquoi il construisait des paratonnerres avec des pointes dorées.
Cependant, régnait depuis lors une controverse sur la question de savoir s'il est préférable d'équiper les paratonnerres de bouts pointus ou arrondis. En 1892, Tesla avait prédit qu'une antenne à éclairs - destinée à recevoir et émettre des décharges de foudre - fonctionnerait mieux avec un extrémité ronde. En 1918, il obtint, à la faveur d'une erreur dans la théorie de Franklin, le brevet US n° 1.266.175 pour le concept d'un paratonnerre : la tige pointue ionise l'air ambiant, ce qui le rend conducteur et augmente la probabilité d'un coup de foudre. Un papier intitulé « Étude d'amélioration des paratonnerres » par C.B. Moore et al., publié en mai 2000 dans le Journal of Applied Meteorology confirme la théorie de Tesla (voir : http://tinyurl.com/d7mcne).
Ainsi, tandis que Franklin avait inventé le paratonnerre, solution technique pour attirer la foudre naturelle des nuages, Tesla élaborait un dispositif destiné à créer des éclairs dans un ciel sans nuages pour attirer la pluie dans les déserts.
Construite en 1903, la tour de Wardenclyffe devait permettre la communication sans fil.
La tour Wardenclyffe
Dans le tube de décharge d'un éclair naturel, la température monte à environ 30 0000 C, la charge électrique atteint 40 mV [méga volts] et le courant environ 110 kA [kilo ampères]. On estime que l'énergie d'un éclair moyen est d’environ 40 MWh [méga watts/heure]. La tour Wardenclyffe de Tesla était supposée utiliser un transformateur pour produire un haut voltage et, au lieu d'un éclair naturel, engendrer une décharge de foisonnement ionique de haute énergie. Comme base de son système, il envisageait une pyramide octogonale coiffée d'une demi-sphère. Pourquoi une telle structure ?
Tesla considérait la Terre comme l'une des plaques d'un condensateur, l'ionosphère constituant l'autre plaque. Des mesures récentes ont montré que le gradient de voltage entre les deux est de 400 000 volts. Les lignes de force de la charge électrique plus les champs qui proviennent du Soleil agissent verticalement sur les parois d'une pyramide. Les équipotentiels magnétiques montrent une forte densité de champ magnétique au sommet. Le voltage du champ électrique augmente de 100 V par mètre de hauteur. Le champ négatif terrestre atteint sa valeur et sa densité maximales au sommet de la pyramide ; sur la Grande Pyramide de Gizeh, le voltage au sommet est 14 600 V. (fig. 1).
Figure 1. Effet de la Grande Pyramide sur la densité des champs électriques et magnétiques.
Cette pyramide constitue en soi un condensateur, elle accumule une certaine charge électrique. Si un excédent de charge y est ajouté, une décharge se produit au sommet et, d'après ce que l'on sait aujourd'hui, celui-ci était garni d'un pyramidion en or massif, un excellent conducteur.
Ambitions déçues
Le voltage au sommet d'une structure dépend de sa hauteur, c'est pourquoi Tesla voulait que sa tour soit haute. II avait décidé qu'elle serait octogonale, mais elle aurait pu être carrée ou posséder un nombre infini de faces, c'est-à-dire conique. Dans tous les cas le voltage aurait été le même, sa forme lui donnait simplement de la stabilité et une bonne tenue antiséismique.
Pourquoi Tesla avait-il conçu une sphère de 21 m de diamètre au sommet de sa tour ? Qu'en était la fonction ? Le voltage déchargé au sommet de la tour aurait été relayé par la sphère. Au lieu que la décharge se produise ponctuellement, du fait de l'absence d'aspérités, le voltage aurait été uniformément réparti sur toute la surface de la sphère. Ce dispositif augmentait son pouvoir d'engendrer des éclairs plus puissants. La tour Wardenclyffe devait avoir pour fonction d'électrifier l'atmosphère en une fraction de seconde et de provoquer un orage et de la pluie, mais aussi de permettre la communication sans fil à travers le monde. Malheureusement, la tour ne fut jamais terminée ; elle fut démontée lors de la première guerre mondiale. Tesla n'eut jamais la chance de poursuivre les expériences qu'il avait envisagées sur Long Island et d'apporter la pluie dans les déserts.
Pyramides et ions négatifs
La fonction des pyramides n'était pas du tout de produire des éclairs. Depuis leur construction il y a des milliers d'années, les pyramides fonctionnent comme des générateurs d'ions négatifs. Pour qu'elles ionisent en permanence l'air ambiant, il faut qu'elles soient connectées à des sources d'ions négatifs.
Le sous-sol du plateau de Gizeh contient de l'eau en abondance ; des rivières souterraines chargées d'ions négatifs coulent sous les pyramides et, par effet piézoélectrique, ces ions s'accumulent dans les pyramides qui ensuite les déchargent à leurs sommets. Toutes les pyramides du plateau sont faites d'une pierre contenant des cristaux qui, sous la pression mécanique de l'eau souterraine, captent les charges électriques de l'eau. Sous l'effet d'une déformation mécanique du cristal, les charges électriques émergent à sa surface, c'est l'effet piézoélectrique. Le cristal convertit l'énergie mécanique en énergie électrique. L'alternance de charge et décharge de la pyramide à partir de l'eau souterraine a pour effet une contraction-dilatation de l'édifice, ce qui produit des microséismes.
Diode lithique (Une ressemblance avec la coudée Égyptienne : lettre M.)
[Schéma de M. Roudakoff]
Les mégalithes que l'on trouve un peu partout dans le monde sont des ioniseurs d'air primitifs. Ils sont faits de roche cristalline et se trouvent généralement au-dessus de courants d'eau souterraine, mais ils ont rarement des sommets pointus en matériaux conducteurs, ce qui réduit leur capacité d'ionisation. Ce moindre rendement est compensé par la multiplication de pierres levées en un même lieu.
C'est le cas des mégalithes de Bosnie [voir la vidéo ci-dessous) (voir l'article sur Göbekli Tepe dans le n°64 de NEXUS et celui sur les pyramides de Bosnie dans le n°61, NdT). Ces blocs monumentaux sont abondamment éparpillés sur tout le territoire de la Bosnie Herzégovine, au sud de la Croatie, à l'ouest du Monténégro et au sud-ouest de la Serbie. Les pierres levées constituent un patrimoine commun et, en tant que pierres tombales, témoignent de la culture médiévale de ces régions. Elles sont aussi l'héritage et le trésor autochtone d'une ancienne civilisation dont l'identité et l'époque sont inconnues des archéologues et historiens [de moins en moins inconnues !, NdT].
Dubravko Lovrenovic, historien et membre du Comité pour la préservation des monuments nationaux de Bosnie Herzégovine, estime à plus de 100 000 le nombre de pierres levées rien que dans ce pays. Bien que ces pierres soient généralement éparpillées et que beaucoup aient été déplacées et que les tumuli qui leur sont associés aient été souvent modifiés, les pierres se présentent en alignements. Ceux-ci sont quasiment sans exception orientés nord-sud.
On pense que le nombre réel de ces blocs est bien supérieur à ce qui a été répertorié en Bosnie. Beaucoup ont été perdus, détruits, utilisés pour des constructions ou tout simplement pas encore découverts.
Autres sources d'ions négatifs
Outre les effets extérieurs des pierres levées de Bosnie ou d'ailleurs, une ionisation favorable existe aussi à l'intérieur des espaces creux, soit dans les mosquées, les églises ou dans les pyramides (voir texte plus bas).
La pyramide utilise non seulement l'eau souterraine, mais aussi une cavité naturelle, source d'ions négatifs, qui renforce son action.
À Gizeh, la Grande Pyramide possède une cave (nommée « la grotte ») située sous sa base dans une roche granitique, et la pyramide du Soleil à Teotihuacan, au Mexique, a été construite au-dessus d'une grotte qui n'a été découverte qu'en 1970. Toute pyramide dépourvue de cave est connectée par un tunnel à une cavité lointaine [NTMR : véritable « circuit imprimé »]. Des souterrains sous les pyramides servent de cavités artificielles et il est recommandé pour la santé d'y séjourner.
Sur le plateau de Gizeh, les résultats de sondages au radar effectués par les géophysiciens égyptiens Abbas Mohamed Abbas, El-said A El-Sayed, Fathy A. Shaaban et Terek AbdelHafez ont été publiés dans le Journal of Geophysics (éd. spéciale 2006, pp. 1-16, voir : http://tinyurl.com/pbyltp) de l'Institut national égyptien de recherche d'astronomie et de géophysique (NRIAG).
Trois cent cinquante mètres au sud-ouest de la Grande Pyramide, les géophysiciens ont enregistré le signal correspondant à un tunnel. Les valeurs diélectriques des structures souterraines sont présentées en fig. 3.
La capacité électrique (C) d'un conducteur placé dans un isolant de constante diélectrique (e Epsilon) est : C = eCO où CO représente sa capacité dans le vide. La capacité du condensateur est directement proportionnelle à la constante diélectrique du matériau. Dans le vide, e = 1 ; dans l'hydrogène, e = 1,2 dans l'oxygène, e = 1,5 ; dans le silicium, e = 4,5 ; dans la pierre calcaire, e = 4-8, dans l'eau, e = 81.
Plus il y a d'humidité dans le tunnel, plus l'air peut accumuler de charge électrique. Pour empêcher le calcaire de pomper toute la charge négative du plateau de Gizeh (e), les constructeurs du complexe de la pyramide ont «isolé» le tunnel par des parois en pierre (e3 du schéma).
Figure 3. Schéma illustrant la présence possible de galeries dans les zones sondées du plateau de Gizeh.
e1 : constante diélectrique relative des matériaux remplissant la galerie.
e2 : constante diélectrique relative du calcaire du plateau de Gizeh.
e3 : constante diélectrique relative des pierres des parois.
e3 < e2 < e1
De gigantesques oscillateurs
Les géophysiciens russes O. B. Khavroshkin et V. V. Tsyplakov, de l'Institut Schmidt de physique de la terre, à Moscou, ont étudié pendant des années les microséismes à la surface des pyramides et en ont déduit plusieurs théories quant à leur cause. Ils ont mesuré les bruits séismiques d'environ 60 pyramides en Égypte (voir par exemple http:// tinyurl.com/dn88sr).
Je les ai rencontrés en août 2007 alors qu'ils faisaient des mesures sur les pyramides de Bosnie.
Au pied de la face sud de la pyramide rhomboïdale de Snéfrou, les géophysiciens ont enregistré un renforcement des harmoniques du microséisme de 17 Hz, qui appartient à la bande infrarouge (0 Hz - 20 Hz) et est inaudible à l'oreille humaine (fig. 4).
Figure 4. Spectre du bruit séismique au pied de la face Sud de la pyramide rhomboïdale
de Snéfrou, région de Dahchour, Égypte.
Figure 5. Spectre du bruit séismique de la pyramide rouge de Dahchour.
Comment expliquer ce microséisme permanent ? La centrale hydroélectrique d'Assouan est à 700 km et on aurait peine à croire que les sub-harmoniques mesurées (f0 = 50 Hz/3 = 16,67 Hz) puissent provenir de générateurs électriques. Est-il possible que, comme le suggèrent ces scientifiques, la pyramide rhomboïdale de Snéfrou soit en fait une station radio recevant un signal du pulsar PSR 1913+16, dont la fréquence est 16,95 Hz ? (voir par exemple : http://www.cprm.gov.br/33IGC/1184057.html) [NTMR : là encore on retrouve le « circuit imprimé et une véritable électronique »].
Nous constatons que les pyramides égyptiennes sont des instruments de musique accordés sur différentes fréquences (fig. 4, 5 et 6). Nous rencontrons le même phénomène sur les pyramides bosniaques (fig. 7, 8 et 9).
Figure 6. Spectre du bruit séismique de la pyramide de Mykérinos, à Gizeh.
Figure 7. Spectre du bruit séismique au pied de la pyramide du Soleil, Bosnie, f0 = 81 Hz.
Figure 8. Spectre du bruit séismique au sommet de la pyramide du Soleil, Bosnie,
f = 83 Hz, 132 Hz, 147 Hz, 165 Hz.
Figure 9. Spectre du bruit séismique au pied du temple de la Terre, Bosnie, f = 13 Hz.
Modulation automatique
Les graphiques de bruits séismiques des géophysiciens russes nous révèlent que chaque structure pyramidale possède ses fréquences propres. C'est parfaitement logique puisqu'il n'y en a pas deux ayant les mêmes dimensions, matériaux de construction et structures souterraines.
De toute évidence, chaque pyramide concentre des ondes séismiques sur une ou plusieurs fréquences. En fonction de l'électricité atmosphérique, la pyramide modifie la quantité de charges électriques négatives qu'elle tire de l'eau souterraine, des cavités et tunnels, et les restitue dans l'atmosphère ; et à cause de l'effet piézo-électrique, les amplitudes et fréquences des microséismes varient légèrement aussi.
Le courant électrique circule entre deux éléments dont les taux de charge diffèrent, son intensité dépendant de la différence de potentiel entre les deux. Plus le voltage est haut, plus le courant est fort et vice-versa. Plus il y a de soleil, plus l'air est riche en charges positives, alors la pyramide pompe davantage d'ions négatifs de l'eau, des cavités et tunnels pour neutraliser les charges positives de l'atmosphère. Après la pluie, la différence de potentiel est moindre et la pression électrique plus faible, donc la pyramide diminue l'ionisation.
En résumé...
Une pyramide cristalline connectée à de l'eau souterraine, des cavités et des tunnels, fonctionne utilement comme un générateur d'ions négatifs à modulation automatique de puissance.
En 1892, le Dr Nikola Tesla eut l'idée de construire une machine à faire pleuvoir afin de favoriser les conditions de vie dans certaines régions. Cette machine devait provoquer, en une fraction de seconde, une forte ionisation de l'atmosphère.
Alors que l'idée de Tesla était d'ioniser l'atmosphère par un choc électrique, les constructeurs des pyramides possédaient une technologie capable de réaliser l'ionisation de l'air ambiant avec une moindre puissance, mais de façon imperceptible et continue.
Des milliers d'années après leur édification, les pyramides de Bosnie fonctionnent toujours très bien. Elles sont couvertes de végétation et le paysage environnant est sillonné de vallées verdoyantes bénéficiant des charges électriques négatives qui proviennent de leur sous-sol. Les écosystèmes locaux sont préservés grâce à l'ionisation continue de l'atmosphère. Toute la vallée bosniaque des pyramides est parcourue de cours d'eau et de tunnels souterrains, ainsi que le révèlent les nombreuses sources et les puits.
Le fait que les pyramides d'Égypte se trouvent aujourd'hui dans un paysage désertique me porte à conclure qu'elles ne fonctionnent plus bien ; quelque chose dans le système a dû être détruit.
Peut-être les souterrains se sont-ils effondrés, ou ont-ils été délibérément obstrués, bloquant ainsi le courant d'ions négatifs. Peut-être les courants d'eau souterraine se sont-ils taris, à moins qu'un grand déluge n'en ait modifié le cours. Le mystère demeure.
Après quatre-vingt douze ans, nous nous souvenons de la tour pyramidale de Tesla et de son sommet hémisphérique. Tesla avait entamé une recherche vers une technologie qui avait peut-être déjà été découverte et appliquée par les anciens bâtisseurs de pyramides. Espérons que la science héritée de ce génie oublié aide les chercheurs à résoudre l'énigme des pyramides dans le monde entier.
Traduction André Dufour
Effets positifs des ions négatifs ( Anions)
Depuis environ soixante ans, se poursuivent des recherches scientifiques sur les ions négatifs et leur influence sur la santé. On sait qu'ils favorisent les processus biochimiques d'oxydation et de réduction dans le corps humain. Tous les êtres vivants absorbent des ions négatifs à travers la peau et les organes respiratoires. Quand il y en a suffisamment dans une pièce, cela augmente le taux d'oxygène dans le sang, régule le rythme cardiaque et accélère l'élimination des toxines. L'amélioration de la circulation sanguine dans le cerveau favorise la concentration et les capacités mentales, neutralise le stress et soulage les tensions et les maux de tête. Les ions négatifs se lient aux toxines, donc agissent comme anti-oxydants et entravent le développement de maladies dégénératives. Dans la nature, c'est après un orage et des averses produites par des décharges atmosphériques que les conditions sont les plus favorables à l'ionisation de l'air. C'est alors qu'il y a prédominance d'ions négatifs sur ceux positifs. Il y a aussi des concentrations d'oxygène ionisé négativement au voisinage des chutes d'eau, dans les forêts de pins, en montagne, en bord de mer et dans les grottes (ce qui a donné lieu à la spéléothérapie, voir : http://tinyurl.com/ap9nyg).
Les obélisques, les églises, les mosquées aussi
Les obélisques sont des piliers constitués de pierre cristalline, coiffés d'un pyramidion en or, en argent ou en cuivre et situés au-dessus d'eau souterraine. Ce sont des ionisateurs d'air, au même titre que les églises et les mosquées anciennes, construites avec des pierre cristalline, et dont les dômes et clochers sont le plus souvent garnis de cuivre, d'argent et même d'or. Presque tous ces édifices sont implantés au-dessus de courants d'eau qui sont des sources d'ions négatifs. Le bienfait de cette ionisation se perçoit aussi à 'intérieur de ces édifices [ceci est bien connu de ceux qui pratiquent la géobiologie, NdT]. (Géobiologie ou étude des champs, comme la radiesthésie)
Dernière mise à jour : 05-11-2009 21:50
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