« Pie XII et Jean XXIII étaient en relation avec les Frères de l'Espace »
Deuxième partie.

(Article du journal NEXUS de juillet-août 2007, n° 51, p.55-62)

En 2001, Cristoforo Barbato rencontre donc le père jésuite qui lui révèle alors la genèse des services secrets du Vatican, les contacts de Pie XII et Jean XXIII avec une certaine race d'aliénigènes, et la scission au sein du SIV entre les partisans du secret et ceux qui, comme lui, estiment urgent de divulguer l'information à l'humanité tout entière.
Cristoforo Barbato © 2006

Rencontre à Rome
En 2000, je travaillais à Rome au magazine Stargate et j'avais écrit plusieurs articles sur les apparitions de Fatima, au Portugal, en 1917 et sur le fameux « troisième secret » et autres mystères du Vatican. A la suite de ces articles, j'ai reçu une série d'e-mails d'un individu se prétendant bien introduit au Vatican et intéressé par mes recherches sur Fatima. C'est au cours de ces échanges que j'ai appris l'existence d'une énigmatique Agence Vaticane de Renseignement nommée SIV (Servizio Informazioni del Vaticano). Un jour, mon mystérieux interlocuteur, toujours anonyme, m'a annoncé qu'il m'envoyait une vidéo sur une supposée « dixième planète » qui s'approcherait du système solaire. Les images sont censées avoir été prises depuis une sonde spatiale dans le cadre d'un programme baptisé Siloe, lancé au début des années 90. Vu la richesse des détails fournis, j'ai commencé à réaliser que l'auteur en savait beaucoup plus qu'il ne le disait. Nous avons continué à correspondre pendant environ un an, et j'en ai appris un peu plus sur lui : jésuite, membre du SIV, il travaillait à Rome pour un certain département du Saint Siège, ce que j'ai eu l'occasion de vérifier, à son insu. Non sans mal, j'ai fini par obtenir une première rencontre dans un lieu public de la capitale, et cet échange direct a dissipé tous mes doutes, car tous les détails qu'il m'a fourni ce jour-là correspondaient à ce que l'avais moi-même découvert... Nous sommes tombés d'accord sur un échange de questions réponses où je ne devais poser que les questions convenues, principe que j'ai respecté (malgré mon envie de m'en écarter de temps en temps), mais assez rapidement, ses réponses nous ont entraînés en dehors du plan prévu. La conversation qui suit constitue l'essentiel de ce dialogue, quelques points étant encore tenus secrets.

Interview
Barbato : Comment êtes vous devenu membre du SIV ?

Jésuite : Le SIV se compose de divers éléments, tous reliés à l'Église et constitués, au moins pour le Directorat, principalement de prêtres, dont la majorité sont des jésuites, de moines bénédictins et de nonnes ; au total un peu plus d'une centaine de membres. On pourrait réduire cette estimation, mais il faut prendre en compte toutes les parties du monde où il y a un prêtre ou une religieuse susceptibles d'apporter des informations précises. Certains éléments du SIV viennent du monde laïque et de soixante six institutions reliées à l'Église ; par exemple des associations humanitaires, des groupes politiques proches du Saint Siège, des mouvements de « jeunes catholiques » et d'autres. Je viens moi-même d'un de ces milieux.
En résumé, les membres sont secrètement évalués, dirigés et formés selon des critères précis en vue de certaines fonctions.

B : Pourriez vous donner plus de détails sur le SIV ; pourquoi a-t-il été créé et depuis quand est il opérationnel ?
J : La structure est top secrète, mais je peux vous dire qu'elle est organisée de manière analogue à la CIA, au MI6, au KGB, etc. Il n'y a pas de siège officiel, mais on change régulièrement de lieu de réunion, toujours sous le regard de la Cité du Vatican. Du point de vue chronologique, l'événement qui a déclenché la création du SIV s'est produit aux États Unis en février 1954. Ce fut la rencontre à Muroc Airfield (future Edwards Air Force Base), en Californie, d'une délégation d'aliénigènes avec le président Dwight D. Eisenhower, en présence de l'évêque de Los Angeles, James Francis McIntyre. La rencontre fut filmée par des militaires utilisant trois caméras 16 mm placées en des endroits différents et chargées de pellicules couleur. Les opérateurs devaient changer de bobine toutes les trois minutes et les caméras avaient des moteurs à ressorts parce que, en présence des aliénigènes, les moteurs électriques ne fonctionnaient pas. Au total, ils ont tourné vingt minutes de film en sept bobines de trente mètres chacune.
À la fin de la réunion, chaque membre de la délégation terrienne prêta serment de ne jamais révéler à quiconque ce qu'il avait vu et entendu. Ne me demandez pas où sont les films, je crois que vous connaissez la réponse... Quelques jours plus tard, regrettant probablement de s'être engagé dans le secret, McIntyre partit d'urgence avec l'intention de rencontrer le Pape Pie XII et de l'informer de cet événement incroyable. Mais pour atteindre l'Italie, il fallait qu'il vole d'abord jusqu'à New York, puis de là à Rome, toujours en avion privé. Environ une demi heure après le décollage de Los Angeles, l'appareil connut quelques difficultés techniques et fut contraint d'atterrir à Sky Haven Airport, à Las Vegas, Nevada, pendant la nuit. Pendant la réparation, un colonel de la US Air Force monta à bord pour s'entretenir avec l'évêque. La conversation dura une vingtaine de minutes au cours desquelles il tenta de dissuader l'évêque de révéler tous les détails de la rencontre à laquelle il avait assisté, car les questions extraterrestres relevaient exclusivement par la USAF. Le militaire précisa que tout ce que désirait le président Eisenhower, c'était un avis sur l'aspect spirituel de la question et un soutien, mais le Saint Père ne devait pas être mis dans le secret. On craignait à l'époque l'infiltration éventuelle du Vatican par des espions soviétiques. L'évêque répondit qu'il avait précisément l'intention d'informer le Pape de cet événement incroyable.
Nous pensons aujourd'hui que la panne de moteur avait probablement été prévue et organisée par les militaires pour provoquer cette rencontre, et cela à l'insu du président Eisenhower. Avant de prendre congé, le colonel rappela à l'évèque les risques d'une divulgation à Rome.
Deux jours plus tard, Mgr McIntyre fut reçu par Pie XII. Après une profonde méditation sur les implications possibles d'une relation exclusivement militaire avec les aliénigènes, le Pape décida de créer un service secret d'information organisé de façon analogue aux renseignements fascistes, que l'on nommerait SIV, et qui aurait pour mission de glaner toutes les informations possibles concernant les aliénigènes et les données déjà recueillies par les Américains. Il était très important d'assurer une communication ouverte avec le président Eisenhower.
Le SIV fut donc conçu pour acquérir et gérer, en coordination avec les services de renseignements d'autres pays, toute information secrète concernant les aliènigènes et traiter particulièrement des aspects moraux, philosophiques et religieux de la question.

B : Qu'est ce qui permettait au Pape de croire que les militaires américains seraient prêts à partager des informations aussi sensibles avec le Vatican ? Que penser de l'officier que fit son apparition à l'aéroport de Las Vegas ?
J : Le fait qu'un président ait cherché une aide et un soutien spirituel dans une telle situation, unique dans l'histoire de l'humanité, constitue un témoignage de confiance et d'estime. D'ailleurs McIntyre et l'archevêque de Detroit, Edward Mooney, devinrent plus tard les principaux coordinateurs de la transmission d'informations vers le Vatican.
Les affaires prirent cependant une tournure inattendue lorsque McIntyre et d'autres membres du SIV furent directement contactés, à l'insu des militaires, par des aliénigènes de type « nordique », (1) manifestement amicaux, prétendant venir des Pléiades. Ces gens mirent les contactés en garde contre les autres créatures que les Américains avaient côtoyées dans le désert de Californie. Ces rencontres avec les membres du SIV se produisirent souvent aux Etats-Unis, et par deux fois dans les jardins du Vatican, au voisinage de l'Académie pontificale des Sciences, en présence du Pape Pie XII...
B : Le Padre Pio de Pietrelcina a parlé de l'existence d'autres êtres dans d'autres mondes, qui avaient atteint un niveau élevé d'évolution parce qu'ils étaient sans péché... est-ce exact ?
J : Sans aucun doute ! Mais ces êtres vivent sur un plan dimensionnel différent et ce ne sont pas, stricto sensu, des anges ; et d'autre part, les aliénigènes « nordiques », dont je parlais, sont en chair et en os, même s'ils sont beaucoup plus évolués que nous tant spirituellement qu'au plan technologique. Ces créatures ont déclaré avoir trouvé dans l'Église catholique, ou plus exactement dans le message christique, la pure présence divine et ils ont proposé leur co-opération pour le bien de l'humanité. C'est ce qui a convaincu le Pape Pie XII de collaborer avec eux et de les considérer comme de véritables convertis à la foi chrétienne. Le pontife considérait probablement que l'Église universelle devait transmettre son message même à des êtres issus d'autres mondes. Ces aliénigènes entendaient assister, au fil des ans, l'Église de Rome dans toutes ses missions, particulièrement en matière sociale et en politique internationale. (Note de l'interviewer : Je suggère à ce sujet la lecture des propos d'Alberto Perego dans certains de ses livres écrits alors qu'il était consul du Vatican).
Par la suite, le Pape Jean XXIII bénéficia du même soutien de ces êtres qui avaient épousé la cause chrétienne, mais il préféra garder le secret, ne faisant allusion qu'à des « interventions angéliques ». Jean XXIII avait en somme hérité des accords de collaboration établis par son prédécesseur entre le Saint Siège et ces aliénigènes amicaux de type nordique. Cet accord secret fut maintenu tout au long du pontificat d'Angelo Giuseppe Roncalli qui, cependant, exprima souvent aux cadres du SIV ses réserves quant à la confiance qu'il fallait accorder à ces êtres.
C'est pourquoi nous pensons aujourd'hui qu'une des principales motivations de la convocation du concile œcuménique du Vatican fut le besoin de prendre les premières dispositions concrètes pour le renouvellement de l'Église en vue d'un éventuel et imminent contact.
B : Y a-t-il un rapport entre cette intervention, ou « médiation céleste », et la rencontre présumée de 1963 entre le contacté américain George Adamski et le Pape ?
J : J'allais en parler. Adamski a rencontré le Pape. Il est allé à Saint-Pierre une fois, précisément après que le pape eut décidé qu'il ne fallait plus poursuivre les contacts avec les aliénigènes, même si ceux-ci étaient amicaux. En outre, jean XXIII refusait que cette relation soit révélée à la population chrétienne. Adamski se présentait comme chargé de mission par les aliénigènes pour tenter d'obtenir du Pape, qui était mourant, un accord définitif. Il apportait en outre un don pour le saint père : une substance liquide qui devait le délivrer de la gastro-entérite dont il souffrait et qui, évoluait en péritonite aiguë. Le pape ne prit pas cette potion et avant de mourir, tenant le crucifix, déclara : « Les bras ouverts de Christ furent l'objet de mon pontificat. Ainsi que vous le voyez, un pontificat simple et humble dont j'assume toute la responsabilité. Je suis satisfait de ce que j'ai fait et de la manière dont je l'ai fait. » En outre, ce geste de la part des aliénigènes convainquit le Pape mourant, dans le peu d'énergie et de lucidité qui lui restait, que même si les « frères de l'espace » se comportaient avec bienfaisance envers l'humanité, il convenait qu'ils agissent de façon autonome, séparément de l'Église et des activités humaines en général, par la prière et des actes conformes à la loi de Dieu et particulièrement sous la direction du Saint Esprit.
La tentative d'Adamski mit fin au contact direct entre ces êtres et le pape ainsi que ses successeurs qui, faisant confiance en la clairvoyance de jean XXIII, comprirent qu'il ne fallait pas que l'Église entretienne ces contacts.
Dans un manuscrit secret du Pape Jean XXIII à ses successeurs, qui comprend un dossier spécial sur le SIV, est cité un passage de l'évangile de Marc qui expose clairement la position que doit adopter l'Église vis à vis des êtres bienfaisants venus d'autres mondes.
Marc 9 : 38-41 (recopié du Nouveau Testament, traduction des moines de Maredsous, Belgique, éd. 1948) : « Jean lui dit : "Maître, nous avons vu quelqu'un qui chassait les démons en votre nom et nous l'en avons empêché, parce qu'il ne nous suit pas." Mais Jésus lui répartit : "Ne l'en empêchez pas. Car il n'est personne qui puisse en même temps faire un miracle en mon nom, et parler mal de moi. Celui qui n'est pas contre nous est pour nous. Et quiconque vous donnera à boire un verre d'eau parce que vous appartenez au Christ, en vérité je vous l'assure, il ne perdra pas sa récompense" ». Cela signifie que les activités supposées positives des aliénigènes qui acceptent le message christique doivent être « bénies » et non contrées, mais maintenues distinctes et parallèles à l'Église. Ces êtres doivent être comparés à l'étranger qui porte secours au nom du Christ et ne doit pas en être empêché.
B : Parlons de votre mission dans le SIV...
J : Mes tâches sont purement techniques, la plus importante étant, par exemple, de transmettre des informations très secrètes provenant du radiotélescope du Vatican situé en Alaska et de les acheminer à qui de droit.
B : Un instant, de quel radiotélescope parlez-vous ? Je ne savais pas que le Vatican possédait pareil matériel dans cette région.
J : Le Vatican possède et utilise un radiotélescope qui est à l'avant garde de la technologie et manipulé seulement par des jésuites. Il est installé dans un parc industriel de stockage de pétrole apparemment à l'abandon, situé en Alaska. Ce complexe constitue un camouflage, parce que les activités qui y sont conduites sont top secrètes et ne sont pas celles, plus officielles, du VATT [Télescope de Technologie Avancée du Vatican] situé, lui, en Arizona.
B : Quand cet appareillage a t il été construit, et surtout dans quel but le Vatican utilise-t-il autant d'installations astronomiques dans le monde ?
J : Je peux vous dire qu'il a été construit dans les années 90 dans le but d'observer tous les objets célestes inhabituels s'approchant de la Terre. C'est ce que fait la CIA avec l'un des ses « yeux secrets », le jumeau de Hubble, appelé SkyHole 12 [aussi nommé KeyHole 12 ou KH 12 ; pour plus de détails, voir http://en.wikipedia.org/wiki/KH-12].
Il se trouve qu'au moment des rencontres entre les aliénigènes et Pie XII, le SIV fut informé de l'approche d'un corps céleste habité par des êtres très avancés et très belliqueux. Bref, je savais que ce que j'allais recevoir à Rome et analyser par l'informatique était très intéressant et extrêmement secret. C'est en analysant certaines données issues du radiotélescope de l'Alaska que nous avons découvert qu'une sonde spatiale du programme d'exploration Siloe, lancé dans les années 90, avait pris un cliché d'une énorme planète s'approchant du système solaire.
Cette information fut captée en Alaska en octobre 1995, et c'est alors que mes problèmes commencèrent. Je me rendis compte que je n'avais pas été désigné pour décoder cette transmission particulière et que la situation devenait dangereuse. À ce moment, mon contact me révéla qu'il y avait, au sein du Vatican, deux factions luttant pour la possession et le contrôle de cette information classifiée bien au dessus de « top secrète ».
B : Pouvez vous me donner d'autres détails sur le programme spatial Siloe ? Qui en sont les commanditaires et les opérateurs ?
J : La sonde Siloe a hérité du nom d'un programme d'exploration spatiale initié au début des années 90.
Ce programme faisait partie d'un autre, beaucoup plus ambitieux, nommé Kerigma. (Note de l'interviewer : Rien ne m'a été révélé sur ce sujet).
Pour le moment, je me contenterai de vous dire que cette sonde fut fabriquée à l'Aire 51 [Nevada, USA], qu'elle a un moteur à impulsion électromagnétique et qu'elle a été placée sur orbite par un avion spatial de type Aurora. (2) La sonde n'était pas chargée de données de calcul, ni de trajectoire, ni d'indications précises quant à la position de Nibiru, car elle devait s'approcher de la planète, corriger sa trajectoire pour éviter l'impact et revenir dans le système solaire à une position suffisamment proche que pour pouvoir transmettre les données et les images au radiotélescope secret situé en Alaska. Son lancement eut lieu en même temps que la mise en service du radiotélescope et elle fut en mesure d'émettre des images dès 1995.
B : Ce que vous me racontez me fait penser aux théories du chercheur Zecharia Sitchin concernant le retour prévu d'une mystérieuse douzième planète. Connaissez-vous ses oeuvres ?
J : Oui, j'en connais les principaux éléments. Le SIV,
en collaboration avec Lockheed Martin, a envoyé cette sonde dont j'ai par la suite analysé les images. Ce sont des vues d'un énorme objet céleste dont la présence se fera « sentir » dans notre système solaire tout au plus dans les trois ans après 2001.
B : Comment avez vous obtenu ces informations ?
J : Je dispose d'une autorisation de supervision de ce qu'on appelle le Secretum Omega. C'est le plus haut niveau de secret du Vatican, l'équivalent au Top Secret Cosmique de l'Otan. Celui ci est divisé en trois niveaux d'informations : depuis le Secretum Omega degré III, le moins détaillé, jusqu'au Secretum Omega degré I, le plus complet. Ma mission était d'initier les nouveaux membres du SIV et de les entraîner à l'usage des systèmes de communication de l'organisation.
B : Comment les données recueillies par le radiotélescope sont-elles envoyées en Italie ?
J : La compagnie américaine de télécommunication Sprint International possède des radios et des antennes paraboliques situées au nord et au sud de l'Italie et deux satellites géostationnaires avec lesquels elles sont en liaison. Cette compagnie a un contrat particulier avec le SIV et une fréquence d'émission/réception de données chiffrées utilisant, depuis 1994, des algorithmes et une cryptographie personnalisés. Avant cette date, le SIV utilisait un système de cryptographie inventé par une société suisse ; il a été abandonné parce qu'un membre de cette société l'a secrètement vendu à des Israéliens. Je ne puis vous donner davantage d'information technique pour l'instant.
B : J'aimerais que vous me parliez d'un légat de l'Église bien connu, Monsignor Balducci, qui a publiquement abordé le thème des extraterrestres. Ce prélat connaît-il le SIV et agit-il de concert avec eux ?
J : Le Père Balducci a fait des études et mené sa recherche de façon tout à fait autonome sans suivre un programme pré-existant. Il n'a jamais été empêché ; au contraire, on l'a plutôt encouragé.
B : Vous permettez... Â vous entendre, il semblerait qu'il y ait un programme de divulgation. Et ne serait-ce pas pour cela que vous avez décidé de me rencontrer et de me communiquer ces informations ?
J : Du point de vue du système, nous sommes en pleine dissidence, mais nous savons que des événements vont se produire qui affecteront tous les êtres vivants de cette planète, personne n'y échappera. L'humanité vit une période particulière de son histoire, des circonstances intimement liées à des événements clés annoncés dans l'Apocalypse. Il importe que l'humanité se rallie entièrement au message de salut et de rédemption du Christ, que Saint Paul a appelé kerigma, un message que Jean-Paul II essaye de répandre dans toutes les nations. Pensez-vous que le pape ne connaisse pas l'imminence de ces événements ? [cette interview a eu lieu avant la mort du pape Jean-Paul II].
B : Mais que sait le pape de tout cela, particulièrement si l'on se souvient de sa déclaration passionnée de 2000 ? (Note de l'interviewer : Il s'agit du voyage officiel à Fatima pour la béatification des contactés Francisco et Jacinta Marto).
J : Deux groupes s'opposent au sein du Vatican : l'un d'eux préconise la divulgation et est soutenu sans réserve par Wojtila [Jean-Paul II] ; l'autre tente de bloquer par n'importe quels moyens toute information. Certains membres de cette faction font partie de groupes de pouvoir occultes qui, par exemple, contrôlent le marché du pétrole et influencent de nombreux secteurs de l'économie internationale dans le seul but d'étouffer l'information sur le développement des sources alternatives d'énergie, dites « énergie libre ». Ceci a été confirmé par l'affaire « Gardian » [Canada, 1989-91], spectaculaire mais peu concluante, du groupe ufologique CUFORN [Canadian UFO Research Network], qui fit sensation mais dont les photos de présumés aliénigènes n'ont pas été montrées. De toute façon ces documents exposent une réalité : les opérations complexes de manipulation-désinformation dépassent souvent la fantaisie la plus folle. Le sommet de toutes ces organisations occultes appartient au Gouvernement de l'Ombre, et n'est connu que sous l'acronyme SVS.

(Traduction : André Dufour)

 

A propos de l'interviewer.
Né à Naples en 1972, Barbato est un chercheur indépendant en
ufologie. Ces sept dernières années, il a collaboré et écrit dans plusieurs magazines d'ufologie. Depuis plusieurs années, Barbota est membre du CUN, le Centre d'ufologie nationale. Par ailleurs, il a participé à l'élaboration de deux encyclopédies sur le sujet intitulées UFO Dossier X, publiée par les éditions Fabbri et Stargate - Enigmi dal Cosmos (Curcia Editore). Il est intervenu lors de conventions nationales sur les ovnis où il a pu rencontrer d'importants chercheurs en ufologie de tous pays, comme le colonel Philip Corso, retraité de l'armée américaine.

Page sur ce qui pourrait être un "canular", ou sorte de "vrai faux" !
Prudence tout de même : à chacun de se faire sa propre opinion !

 Voir aussi la page pour lever le secret sur le problème OVNI.

Note du traducteur
1. Parmi les différentes races d'aliénigènes (Gris, Oranges, Grands Blancs, etc.), les Nordiques viennent des Pléiades et ressemblent beaucoup aux humains. Ils sont très grands (environ 2 m), beaux et blonds, et ont des facultés psychiques très développées.

2. Pour des détails sur Aurora, voir le site de J. P. Petit et son livre : Ovnis et Armes secrètes américaines.

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