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Yamato Nadeshiko Shichi Henge Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 20-04-2010 01:47

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Publié dans : Sommaire JDramas, Sommaire Dramas du JAPON

Tags : Dramas, Japon

 
Yamato Nadeshiko Shichi Henge
ヤマトナデシコ七変化 
 
 
http://wiki.d-addicts.com/Yamato_Nadeshiko_Shichi_Henge
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Le manga sur Wikipédia
Sur IMDB
Sur IMDB (dessin animé)


Drama du Japon en 10 épisodes diffusé début 2010 sur TBS. Réalisation de Ishii Yasuharu, sur un scénario de Shinozaki Eriko, d’après un manga, musique de Yamashita Kosuke. Sous le même titre existe un dessin animé.
 
Un étudiant : Takano Kyohei (joué par Kamenashi Kazuya) travaille dans un institut de beauté, il est harcelé à la fois par ses clientes et par son directeur attiré sexuellement par lui. D’un caractère bien trempé, il sort de ses gonds, ce qui le fait mettre à la porte. Un jour une propriétaire glamour : Mme Nakahara Mine, propose de l’héberger gratuitement en échange de donner des conseils de beauté à sa nièce : Nakahara Sunako (joué par Oomasa Aya). Mais dans la maison vivent aussi trois garçons : Toyama Yukinojo (joué par Tegoshi Yuya), Oda Takenaga (joué par Uchi Hiroki), et Morii Ranmaru (joué par Miyao Shuntaro). Si tout ce petit monde doit embellir Sunako, ce n’est absolument pas gagné, car il y a un obstacle de taille : elle rejette toute forme de beauté pour n’aimer que les horreurs et les vampires. L’aventure entre Yin et Yang commence...
 
 
 
Effectivement, Takano est harcelé : les clientes le réclament et « veulent jouer avec lui », son patron lui met la main aux fesses... De causes en effets Takano est viré du restaurant de l’institut de beauté où il travaille.
Ensuite nous nous retrouvons dans un pensionnat où logent quatre garçons, dont Takano. Pour le moment la taulière est parti en vadrouille se chercher un nouveau mâle. D’un autre côté, Takano a intérêt à planquer ses jolies fesses, lesquelles excitent beaucoup de personnes, car il est classé « Homme Numéro Un que j’aimerais immobiliser dans la glace et regarder pour toujours ».
Oda Takenaga est beau et sportif et sa famille dirige une école d’art floral. Il est classé « Homme Numéro Un à qui j’aimerais jeter un œil aux bains » (bref, le voir à poils).
Toyama Yukinojo aussi mignon qu’un chiot est classé « Homme Numéro Un dans le lit de qui j’aimerais dormir ».
Morii Ranmaru, fils héritier de son papa, a du charme et aime les femmes, dommage pour les hommes qui en pinçaient pour lui ! et justement il est classé « Homme Numéro Un par qui j’aimerais être escroquée ».
Sans oublier le petit Nakahara Takeru (joué par Kato Seishiro) qui sert de concierge ou de gardien, et est le fils de la taulière.
 
 
 
La taulière de la pension en vadrouille à Dubai n’oublie pas ses chéris, elle leur donne des conseils par vidéo du genre : « N’oublie pas de te brosser les dents et de manger un petit déjeuner, ou l’inverse... ».
Mais la taulière veut virer les garçons, sauf si ceux-ci acceptent de faire de sa nièce une lady. Si les garçons réussissent, la taulière les laissera vivre gratuitement dans le pensionnat jusqu’à leur diplôme.

Dès le départ le ton est donné, il s’agit d’humour, et Kamenashi Kazuya s’en sort très bien. Un soir brusquement plus de lumière, c’est le jeu d’introduction de Nakahara Sunako, la fameuse nièce qui n’aime pas la beauté. Là, la réalisation devient un peu brouillonne, surtout avec des retours en arrière, et la pauvre Sunako en pleurs dans sa vaste chambrée se livre à des incantations devant des statues d’écorchés mâles... un peu fétichiste sur les bords, ce qui amène comme un rébus vers la préparation culinaire et le découpage de chair, non pas humaine, mais de poissons. Sunako se révèle excellente cuisinière, à défaut d’être un vrai loup-garou. Là encore la réalisation n’est pas à la hauteur, dommage.
En dehors de la cuisine, Sunako n’aime que les têtes de morts, les membres coupés, etc.
Un jour elle est capturée, attachée à une chaise, et les garçons entreprennent de la maquiller... Jusqu’à présent, nous n’avons jamais vu un seul œil de Sunako, ses yeux toujours cachées par des franges de cheveux noirs bien opaques. C’est loin d’être gagné, et les garçons la nomme : Busunako (fille moche). Elle se détache de ses liens et provoque des éclairs, un vrai Dracula, Frankenstein, ou ce que vous voudrez ! Par la suite on voit qu’elle ne dort pas dans un lit... Sunako nomme Takano : Étincelant (référence au vampire et à la lumière solaire tueuse de vampires).
 
 
 
 
Ceci constitue donc un long préambule avant le générique, sur lequel nous voyons danser les quatre garçons et le vampire, pardon, Sunako.
Au début du premier épisode, dans un café où se trouvent Takano, on découvre le cafe master Shinichi (joué par Osugi Ren).
Par la suite Takano découvre qu’une fille vend toutes les photos qu’elle a prise de lui. Là encore, des retours en arrière viennent alourdir la fluidité de l’histoire et empêche d’accrocher. Mais sûr que Sunako a été traumatisé par un premier amour, et depuis ce temps elle ne s’est jamais plus regardé dans un miroir... comme les vampires !

Ensuite ce premier épisode d’une heure prend une tournure de drama très quelconque : il est question d’argent et d’arnaques et de boîtes de nuit, etc. Ne pas oublier que le Japon est le pays des Geishas. Pour enfin déboucher brièvement sur le but de l’histoire : faire de Sunako une lady !
 
 
 
Le deuxième épisode commence aussi dans l’humour, avec beaucoup de références « vampires » ; et la taulière du pensionnat sera le lendemain  à 14 heures chez les garçons !...
Épisode deux, deux fois nous avons droit à la prise de vue où le caméraman se trouve dans le réfrigérateur ! Zéro pour le réalisateur Ishii Yasuharu ! Cet épisode est d’ailleurs heureusement plus « speed » que le premier ; et le scénariste va piocher dans divers thèmes comme les histoires de princesse et de champignons augmentant les hormones femelles... Ce n’est pas cela qui rend pour autant Sunako comme une vraie lady. Et quand on arrive à la faire devenir, à moitié lady, tous les garçons veulent qu’elle redevienne comme avant...

Une seule étoile sur quatre pour ce drama qui dans les deux épisodes que j’ai vu, ils donnent dans le n’importe quoi. Même si c’est tiré d’un manga, comme beaucoup de dramas, il est difficile d’accrocher, tant c’est conventionnel, dénué d’émotion, et avec trop peu d’humour, humour qui se voulait pourtant prometteur dès le départ ; même si Sunako se révèle une sorte de superwoman, ça reste bien pauvre. Dommage pour Kamenashi Kazuya, mais il s’en sort bien et est par moment très drôle.
Le générique début vient vraiment trop loin derrière le préambule et brise le fil de l’histoire déjà bien emberlificotée, surtout avec la pub.

M. R.
 
 
 
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Dernière mise à jour : 20-04-2010 02:08

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