The etherial or conversion LoL !
Vive li Frerors del coste !

 

L'idée de la propriété intellectuelle est une aberration !

 

Oui à la fin d’un monde nous sommes. Tout se transforme y compris ceux qui ne le veulent pas, comme les lobbys de l’entertainment et des brevets.

Rappel : Ce qui Est doit perdurer à jamais.
Ce qui apparaît nouvellement doit aussi disparaître (ce qui est dans le monde des accidents).
En d’autres termes : Ce qui est réel doit exister toujours. (D’après l’enseignement de Ramana Maharshi)
Ainsi on voit que les choses du monde des accidents doivent circuler pour durer plus longtemps, sous peine de mourir avant l’heure lorsqu’il y a arrêt, comme voudrait nous l’imposer une certaine branche de la culture qui en a fait un business et une industrie : celle du divertissement qui vient mordre maintenant sur la culture tout court ; industrie qui souhaite faire du profit comme les autres industries qui voudraient faire payer jusqu’à l’air que nous respirons. Nous n’en sommes pas encore là mais ça viendra vite ! quand on voit ce qui se passe depuis environ 200 ans seulement avec l’invention idiote des brevets et de la encore plus idiote « propriété intellectuelle ».
Pendant que nous y sommes, il y aura bien quelques crétins qui trouverons le moyen de faire payer aux autres le temps et l’espace ! puisque ce sont des concepts du mental, et donc de la propriété intellectuelle ! ce seront donc des simoniaques... En 1370 le roi Charles V en France ne s’y est pas trompé lorsqu’il ordonne que toutes les cloches du royaume se règle sur l’horloge du Palais Royal qui sonne les heures et les quarts d’heures. (D’après Jacques Le Goff, dans “ Pour un autre Moyen Âge ” chapitre Temps et Travail, page 76)
Comment peut-on vendre une idée... Nikolas Tesla est pour une bonne partie responsable de ces dérives ! Honte à lui. Comme ces industries et leurs banquiers sont aux abois, on voit qu’iceux sont prêt à tout notamment avec le plan ACTA.

 

Traduction d’un commentaire jovial et plein d’avenir en ce qui concerne le partage sur Internet :

C’est la fin d’un monde tel que nous le connaissons. C’est la fin d’un monde tel que nous le connaissons. La fin d’un monde que nous connaissons et je me sens bien.

Nah, peut-être pas la fin du monde (en dépit de ce que raconte le film de merde 2012) mais c’est la fin d’une décennie. Une décennie qui a signifié beaucoup pour nous, membres de l’équipage. En 2003, nous avons commencé sur un tracker (avec une connexion adsl minuscule au Mexique), principalement pour les Suédois. Aujourd’hui, nos serveurs opèrent dans de nombreux pays et nos utilisateurs se trouvent partout sur la moindre connexion internet disponible.

Et il est logique que les jeunes viennent et vous fassent danser. [Note : sous-entendu, cela s’adresse probablement aux maffias américaines du lobby de l’entertainment]

Nous croyons que nous avons changé quelque chose. Non seulement nous, mais nous tous. The Pirate Bay a toujours été quelque chose de plus. Nous et pas simplement un support pour exécuter un autre tracker. Nous voulions qu’il signifie quelque chose. Et vous tous, utilisateurs vous nous avez aidés à cela. L’histoire de la baie est en cours d’écriture, c’est beaucoup trop tôt pour conclure.

Cette décennie se termine ici mystique, j’ai creusé une fosse je vous mets dedans.

Assez avec les vieux !  Apportez du nouveau ! 2010 a aucune place pour des débats ennuyeux sur les anciennes valeurs usé que la vieille pourriture des industries veulent essayer de pousser vers le bas de votre gorge. 2010 sera l’année de l’hydre. Que des milliers de nouveaux projets passionnants sortent !

Comme un chasseur Punch-Drunk, je vois votre pouvoir s’affaiblir, dans cette parade en folie vous perdez votre place. Vous avez tiré la goupille de la dernière grenade à main. C’est le début d’une nouvelle décennie.

 

 

Effectivement, comme le dit si bien ce commentaire, tout ce qui concerne les droits d’auteurs et ce qu’on prétend vendre, non pas comme une idée... mais plutôt comme un tour de main ou une technicité... sont À REVOIR DE A JUSQU’À Z, autrement à inventer. Et ça, ça fait peur à toutes les industries du monde actuelle. Il faudrait comme tout stopper, prendre une année entière pour inventer un système de rémunération des choses artistiques de ceux qui ont décidé d’en vivre, et des rémunérations des technologies basées non pas sur des idées appartenant à tous, mais sur l’ingéniosité à en trouver des applications. Et là encore, il peut se retrouver des idée de base appartenant à toute l’humanité.

Le Véritable Artiste.
L’Artiste labourant à fixer l’Instant le plus pur n’est actuel ou dans le temps profane ou celui des accidents que le temps de FAIRE son labeur ; icelui terminé, l’Artiste est en dehors du temps profane.

De la Liberté.
Ce n’est pas le pouvoir d’une personne, c’est la connaissance de la loi de
l’Univers, débarrassée d’intérêt personnel ; lorsque l’on connaît les lois de transformation, ON PEUT PRÉVOIR.

Et comme le dit numerama, TPB avec sa joyeuse et contagieuse vivacité, peut-être par l’intermédiaire d’une bande « d’adolescents prépubères », fait la nique aux millions du dieu dollar moribond, mais surtout aux millions de dollars investi pour la lutte contre la copie dite illégale, et c’est tant mieux ainsi.

 

Li Frerors del coste indique en français du Moyen-Âge : les Frères de la côte, ou ce qu’on appelle maintenant pirates. Frères de la côte découle de l’anglais Rover, qui peut indiquer :  pirate, forban, flibustier, corsaire, écumeur des mers.
Aujourd’hui le mot pirate a prit l’extension que nous connaissons : péjorative, voir même criminel aux yeux de certains businessmen. Le mot frère possède un fort sens de la cohésion d’un groupe, comme les frères et sœurs d’une société secrète, lesquels partent à redresser les plus basses vilenies du monde. Mais dans un bateau, pour se supporter les uns et les autres pendant les longues traversées, il est vitale d’être « frères » pour rendre la dure vie de marin acceptable. Mais surtout, comme en pleine mer, il est primordial que les internautes soient frères, solidaires, pour préserver cette formidable toile de connaissance ; et qui toile dit aussi piège comme la toile d’araignée, comme les pièges de la vie physique.
Proche du mot anglais Rover, se trouve le mot Rober, en français du Moyen-Age, lequel découle de Robe, qui indique : des frais, des dépenses, des gages. Robe indique donc le pillage, les dépouilles de guerre, le butin, le larcin. Rober indique voler, enlever, piller, dévaster. Le Robeor est le voleur, le pillard. Robe proviendrai de l’allemand : Rauba (butin). Dérober indique bien la fonction.
Mais attention ! qui dérobe qui ??? le système mercantile ou l’acheteur ? pour ne pas employer le mot si matérialiste de « consommateur ». Comme en mer, et sur terre, il est toujours question de rivalité ! La rivalité navale franco-anglaise a été quelque chose, surtout en supériorité de la France en matière de construction navale à l’époque de la marine à voiles.

Le pillage de tout temps existe et existera, comme une loi naturel vitale équilibrant un trop plein de quelque chose. Qu’on pense à Robin de Bois. La tromperie fait aussi partie de la Nature, comme on peut l’observer chez certains insectes, certaines plantes, surtout si celles-ci sécrètent des sucs trompeurs pour se débarrasser des importuns qui leur mangent les feuilles. Maintenant le pillage vient uniquement du drame de l’Or, du mercantilisme.
De nos jours l’Or est devenu presque totalement virtuel, d’où les terribles dérives auxquelles nous assistons et sommes les victimes.
Je suis effaré de la volatilité de l’informatique, de la jonglerie virtuelle que permet l’outil binaire depuis trop longtemps : plus de 70 ans. Un vieil outil pas encore au point qui sera dépassé lorsque lui aura dépassé le binaire, et surtout le travail par petits bouts de trucs et de machins : le travail en séquence ! Alors que l’avenir est le travail EN PARALLÈLE.
Mais dans l’état actuelle de l’informatique, vu le nombre d’endroits, de choses qui utilisent le virtuel de l’informatique et de sa volatilité, il y a de quoi avoir peur. Peut-être qu’un jour on en viendra à manger et à chier virtuellement... Et là, la machine nous aura bouffé ! comme les réplicateurs de Stargate SG1. Surtout qu’il y aura toujours des businessmen qui se feront de l’Or sur ceux qui mangent et chient virtuellement si les brevets et autres propriétés intellectuels ne sont pas abolis.


(L’image du haut sur fond d’un dessin égyptien antique est en français du Moyen-Âge. « Niq » découle de Niquet, en français du 14è siècle ça indique : signe de tête, la malice, le mauvais tour. « Sevent » est le pluriel de savent, du verbe savoir)