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Satan, la Mondialisation et la Décadence Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 12-06-2010 00:32

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Argent, Banques, Politique, Pouvoir, Société, Vie


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Satan, la Mondialisation et la Décadence

Mettre les points sur les I à coups de marteau !
 
PAGE IMPORTANTE
 
Aristote et John Locke : des occidentaux suppôts de Satan pur et dur, d’effroyables rationalistes. Ces deux types sont des serial killers de milliards d’êtres humains, et source de notre appauvrissement spirituel, social, scientifique.


On ne peut pas aboutir à un mondialisme : pour certains peuples le blanc est le pure et le rouge l’impure... Tout est lié, il ne peut exister qu’une unité, la Notre, celle dans laquelle nous sommes nous-même : la Nature ou réalité fondamentale.

Apport supplémentaire aux pages sur la Révolution de 1789 et la Déclaration dite universelle des Droits du Peuple élu. Sur Internet on râle dur sur les Illuminati et le nouvel ordre mondial supposé se mettre en place, et bien des signaux l’indique, mais il ne faut pas oublier que l’origine des Illuminati et de 1789 c’est le « siècle des lumières » (années 1700), dont s’inspira la société secrète allemande nommée « Illuminés de Bavière ».  
 
 
En plein siècle, orgueilleusement nommé des lumières, cette société secrète fut fondée en 1776 par Adam Weishaupt, et à cette date, Louis Claude de Saint-Martin est fait Chevalier Rose-Croix par Martinès de Pasqually (école du Martinisme) à Bordeaux en France. Ce qui m’inquiète déjà chez ces deux derniers personnages, c’est le mot POUVOIR, qui s’attache à eux. Surtout Martinès avec la théurgie : utiliser les « lois de la Nature » pour « atteindre Dieu » (sic).
En Amérique en 1772 c’est l’emprise des Juifs dans la Franc-maçonnerie, avec Moïse Cohen comme inspecteur général, et beaucoup beaucoup d’autres...
En 1777 en Angleterre, à Londres, se créée la loge maçonnique du Grand Chapitre de la Royale Arche.
En 1786 en France, le Grand Orient institue le Rite français du 7è degré.
En 1791 c’est la pleine période révolutionnaire, alors qu’en Amérique apparaît le mythe de la création du 33è degré par Frédéric le Grand.


Il faudrait être aveugle pour ne pas voir la source de 1789 dans le « Siècle des lumières ». Lumière dans le sens chrétien indiquant le bien, le mal bien-sûr c’est le noir ou obscurité... Mais la véritable source à mes yeux est celle de John Locke et la catastrophe Aristote... Avec John Locke nous sommes entré dans le triomphe DU MENTAL et du RATIONALISME, donc plein pot sur le DRAME LOCKE. John Locke jette aux orties le Soi divin de Ramana Maharshi ; puisque pour Locke les idées, leurs créations sont le produit d’une analyse, de la raison et bien-sûr d’une expérience, et donc elles naissent au fur et à mesure du flux tueur de la chronologie (système euclidien). C’est pour cela que le philosophe Jean-Paul Sartre pouvait inventer son dogme de l’existentialisme, de la chétive créature évolutioniste de Darwin à se construire en permanence comme le serpent qui se mord la queue de la société de consommation ou prison perpétuelle. Sartre comme Locke partait sur le véritable système prison, la MORTELLE FIXATION : ardoise vierge (tabula rasa) ou mépris dans Anciens, île prison, mais aussi vision euclidienne. L’HORREUR, digne du système communiste : partir de la matière pour élever le spirituel. Diaboliquement on inverse tout et on en fait une RELIGION INVERSE en déclarant comme Locke et après Marx & Co que : Dans le principe (la raison de Locke) était la matière (les idées dans la cervelle) et non le Verbe (ou le Soi divin de Maharshi, ou les essences), on condamne donc tout le monde à ne concevoir comme mode d’intellection que L’OPINION, qui se construit dans la chronologie tueuse, celle qui est vécu, par évolution dialectique (la raison de Locke) qui se déroule entre un commencement, que l’imagination peut reculer indéfiniment dans le passé, et un futur également indéfini. Bref encore une vision euclidienne et le germe du communisme des juifs bolcheviks.

Pour Locke il n’y a pas d’idée innée, et donc pas d’inconscient collectif comme le démontrait plus tard Carl Gustav Jung.

Dans la prison de Locke, qui conçoit l’être humain comme une mécanique, et la logique selon ces ergoteurs de Grecques, il n’y aurait pas d’essences, ce serait donc l’humain qui le fabriquerait par son acquis, donc son expérience, par SA CONSOMMATION. Voilà où Sartre a aboutit ! Voilà où Sigmund Freud et ceux de son école on aboutit : seule l’activité du psychisme (la raison ou mental de Locke) et ses messieurs jettent aux orties le supra-conscient, ce qui est à l’extérieur du cerveau, et par la même ce qui permet d’aborder l’Après-vie ; chose bien-sûr inconcevable pour l’égoïsme et la consommation immédiate (crédit et usure), encouragé par l’égalité et le nivellement par le bas du système révolutionnaire de 1789. 
Indépendamment des conséquences dramatiques que nous connaissons (Shoah) et des erreurs grossières de Hitler, et des dérives dans l’autre camp (bombardements nucléaires), La croix Svastika choisit par Hitler (symbolisme du TRANSCENDANT) explique bien pourquoi il combattait le système matérialiste et capitalisme issu de 1789. Le symbolisme de l’antique Svastika est naturel (transcendant) puisqu’il par bien de l’invisible vers le visible. Évidemment les Anglo-américains ne lui ont pas pardonné, et il fut l’homme a abattre, ce qui fit la fortune des banquiers qui financèrent les deux camps...

Avec ces deux mots simples : acquisition et donc consommation, il était d’une logique fulgurante et diabolique que John Locke aboutisse au LIBÉRALISME et donc à la PROPRIÉTÉ et à L’INDIVIDUALITÉ ; système ou dogme nous entrainant tous cuire dans les flammes de sa Majesté Sa Sinistre Obscurité, là où se situe l’empire dans banquiers.
Ainsi il était totalement logique que Locke inspira les franc-maçons fondateurs des États-Unis et leur création du dieu dollar.

Le système de la tabula rasa à la Attila fléau de Dieu, le « Nouveau monde », la « nouvelle religion », le « Nouvel Ordre Mondial » aboutit, et aboutira à ce que chaque révolution veuille détruire tous les acquis du passé. Et actuellement avec 2012, les problèmes solaires, nous sommes menacé de voir arriver une nouvelle religion qui remplacera toutes celles existantes sur Terre, ce qui apportera une universalité de plus en plus par rapport aux précédentes ! déclenchant encore et encore de nouveaux massacres et cruautés et violences. Nous avons vu ça avec les Égyptiens et Akhenaton, les Conquistadors espagnols, en 1789, 1917, en Chine, etc. Pizarre (un voleur et un assassin), pour conquérir le peuple Incas, « par un coup hardis rompit le charme qui avait si longtemps tenu le pays sous la domination Incas. Le charme rompu et l’édifice aérien de leur empire, bâti sur la superstition des âges, s’évanouit au premier contact. Ce fut une bonne fortune plutôt que le résultat de la politique » nous explique William H. Prescott, dans son formidable livre : Aztèques et Incas.

Par expériences, et avec notre monde plongé dans un abime de désolation, je dirais donc MERDE à ce monsieur John Locke, en lui souhaitait de très très très nombreuses réincarnations dans des vies de souffrances avant qu’il ne trouve le repos. D’ailleurs en voyant son portrait je trouve qu’il a une tête de malade.
John Locke a fait une erreur monumental : le mental et ce qui découle de l’expérience et donc du produit de quelque chose, le résultat, le salaire, conduisant au rentable etc., qu’il a érigé en système au détriment de la connaissance intuitive et sacré. Locke se base sur la RELATION de sujet à objet, ou distance entre les deux, encore la géométrie euclidienne et la chronologie tueuse. Cela conduit effectivement à l’existantialisme de Sartre avec les sens du physique et du mental, à l’individualité, à l’IMMÉDIAT.

Si je dis que le libéralisme découlant de John Locke est une aberration, je vais passer pour un horrible dictateur, et pourtant il est certain, j’écris bien certain, qu’il existe une troisième solution par rapport aux deux précédentes, dont celle du droit divin. Car le libéralisme n’est qu’un système mercantile tout simplement, mais absolument pas un modèle de vie social bâtit sur la qualité de vie. Le libéralisme est BÂTIT SUR LA QUANTITÉ, hors la vie est BÂTIT SUR LA QUALITÉ. Donc le libéralisme n’est ni plus ni moins qu’un système de pouvoir économique, alors que la qualité de vie, le social est affaire de pouvoir politique ou fonctionnement QUALITATIF. Le sens du mot politique indique la cité, c’est donc l’organisation pour le bien-être de l’ensemble d’une cité, pour son bien-être, aspect qualitatif et non quantitatif. Cette distinction est fondamentale.
Le pouvoir économique implique la co-naissance de la matière, des techniques, des possibilités de leur mise en œuvre pour le plus grand bien-être matériel, je dis bien matériel des populations. Il requiert donc la connaissance du physique et du quantitatif.
Toutes les propagandes et opinions nous foutent dans l’illusion que ces deux pouvoirs ne sont qu’un, et cela depuis 1789. Ce sont les puissances occultes de John Locke et compagnie et ses suiveuses qui ont intérêts à ce que cela se poursuivent. Voir ce qu’il se passe à chaque réunion du groupe des Bilderberg, dont on commence à peine à parler sur Internet de leurs méfaits et projets(1).

La démocratie, celle de 1789, nous donne l’illusion diabolique que nous possédons tous notre petite vérité personnelle (opinion), puisque nous sommes tous égaux, c’est la démocratie ; mais en contradiction avec le fait que la Vérité est ou n’est pas, qu’elle ne peut être un objet de possession (donc pas de propriété intellectuelle imbécile), qu’elle ne trouve donc pas ses critères dans des résultats électoraux. Par contre, on nous refuse la démocratie là où elle serait légitime, dans le domaine quantitatif de l’économie où serait nécessaire un modus vivendi décidé par les bulletins de vote, comme l’écrit si bien Coulonval.
Depuis 1789, on nous vend le même package sous le logo de POUVOIR TEMPOREL renfermant et le pouvoir temporel, et le pouvoir spirituel. Hors l’histoire passé a établi la distinction du spirituel et du temporel clairement, du pouvoir religieux et du pouvoir politique. Comme écrit plus haut, il n’y pas que deux pouvoirs mais TROIS pouvoirs. Seul le trois peut délivrer de la prison, apporter la PAIX. Le TROIS fait la synthèse et la Paix. En Occident, le deux en divisant et en nous faisant tomber dans le monde de la dualité établit une guerre éternelle. La dualité ne doit plus être vue comme une division, deux opposés, deux contraires, mais comme UNE COMPLÉMENTARITÉ (comme dans un réseau). Cette complémentarité sera seulement un MOUVEMENT illustrant plusieurs aspects d’une même chose. Ainsi on supprimera la catastrophe de la guerre perpétuelle entre le bien et le mal. Le MOUVEMENT ou TRANSFORMATION pourrait être le troisième élément de la Trinité, il peut être aussi l’AMOUR (rien n’est pareil d’Instant en Instant, qui Lui est insaisissable, naturellement).

Seule la Trinité reflète la Paix, en chaque individu, entre individus et entre Nations. Je ne devrais pas l’écrire, mais sous une autre forme que celle que rêva Jean Coulonval, j’ai moi aussi rêvé de cette Trinité ; étant moins doué et plus lent que Jean, j’essaye toujours de comprendre. Mettre une abstraction en mots est impossible et aussi impossible à transmettre. Mais il est connu que lorsque un rêveur découvre quelque chose, c’est un autre qui le réalise bien des années plus tard. Comme Jean, je crois que ce troisième pouvoir sera spirituel, sans lui le monde est mort. C’est-à-dire que nos univers ne sont pas des trucs par ci et par là mais sont LIÉS par un RÉSEAU (nœuds d’énergie en circulation) faisant partie d’un tout unitaire, comme si les choses se nourrissaient les unes les autres et n’étaient rien par elles-mêmes. C’est donc le contraire de l’individualisme, mais n’a rien à voir avec le communisme ! il s’agit d’AMOUR en MOUVEMENT : privation de mort, de PARTICIPATION (mouvement), contraire d’égoïsme. Un personne : père sonne : donc mouvement d’ondes dans le monde matériel. Aussi le monde est un maillage d’événements déterminant un ensemble, pouvant effectivement selon certains déboucher sur un « voyage dans le temps ».

Avec l’approche de Locke et des Grecques complètement intellectuels on ne peut pas aboutir à la connaissance complète de la réalité, une expérience surgissant dans un état de conscience non ordinaire qui peut être appelé état méditatif ou mystique. Ainsi les Taoïstes ont toujours montré une profonde méfiance à l’égard de la raison et de la logique. Locke ne tient pas compte du temps, ou plutôt il le vend pour son Maître Satan en le transformant en temps vulgaire, car dès l’Instant où il énonce ses idées meurtrières, surtout par écrit, logiquement il les manques et nous plonge dans la Merde.


Idées-source révolutionnaires découlant de John Locke :

- Rationalité baptisée : « esprit scientifique ».
- Institutionnalisation du système de lois (encore une inspiration d’après Aristote).
- Rationalisme découlant des ergoteries des Anciens Grecques.
- Début de la perte du sens du Sacré (aboutissant à nos modernes manque de repères). On commence à voir le roi d’un « autre œil », il perd de son charme et donc de son pouvoir d’attraction (il n’est plus le « bon roi »)
- Début de l’égalité par une reconnaissance ou tolérance de l’autre.
- Idée franc-maçonne d’Un Grand Architecte de l’Univers.
- Début de l’horreur du mélange entre pouvoir politique et pouvoir économique.

Les lumières qui sont lieux de perdition.


Dernier point mais j’y reviendrai par la suite : John Locke puise ses idées et connaissances chez les Grecques. Hors ceux-ci, déjà bon matérialiste considèrent l’espace et le temps (déjà séparation) comme des constructions de l’esprit. Il n’est pas étonnant alors que Locke en fasse un produit presque comme une lessive. Chez les orientaux et mystiques, temps et espace sont relatifs, limités et illusoires. Pour les Grecques, qui dit temps et espace dit géométrie, surtout celle d’Euclide, avec ses lignes droites (le temps qui coule ou flèche du temps), ses cercles parfaits, pures construction du mental. Cela les amena à chier des vérités, ou opinions à partir de leur mental, et qu’ils considérèrent comme des vérités universelles ! et nous les suivons comme des moutons... comme John Locke. Terrible !

En résumé triste : chez John Locke la poule pour retrouver ses poussins a du boulot ! Grâce à John Locke et aux diaboliques de la révolution de 1789, nous vivons et sommes coincé dans un vieux monde mécaniste... Terrible, sinistre, révoltant, grotesque et écœurant. Il en résulte aussi un gigantesque appauvrissement scientifique et par conséquent technologique : problème énergétique dramatique avec le pétrole et le nucléaire.

En résumé joyeux :
chaque fois que vous voulez arriver à quelque chose, commencez tout d’abord par le contraire (principe Taoïste possédant un fulgurant bon-sens) :
Le souple vainc le dur.
Le faible vainc le fort.
Qui veut éliminer quelqu’un
doit d’abord l’exalter...
(Lao-tseu, Tao-Tö King, Verset 36, extrait, trad. Liou Kia-hway)

Michel Roudakoff



Note.
1. Bilderberg : C’est une réunion de personnes qui représentent une certaine idéologie.
Ce n’est pas un Gouvernement Mondial ou un Nouvel Ordre Mondial, comme beaucoup le croient à tort. En revanche, l’idéologie est celle d’une Entreprise Mondiale. En 1968, lors d’une réunion du Bilderberg au Canada, George Ball, secrétaire adjoint aux affaires économiques de JFK et de Johnson a dit : « Où trouver un fondement légitime au pouvoir de l’administration des entreprises de prendre des décisions qui peuvent affecter profondément la vie économique des nations dont les gouvernements n’ont qu’une responsabilité limitée ? »

L’idée qui est derrière chaque réunion du Bilderberg est de créer ce qu’eux-mêmes nomment L’ARISTOCRATIE DE PROJET concernant la meilleure manière de gérer la planète entre élites d’Europe et d’Amérique du Nord. En d’autres termes, c’est la création d’un réseau de cartels immenses, plus puissants que n’importe quelle nation de la terre, destinés à contrôler les nécessités vitales du reste de l’humanité, évidemment de leur point de vue privilégié, pour notre propre bien et bénéfice, à nous, les classes inférieures (“The Great Unwashed” , nous appellent-ils)

La raison qui fait que les gens ne croient pas au Bilderberg et autres organisations qui oeuvrent avec et exercent un pareil contrôle sur la scène mondiale est qu’il s’agit d’un phantasme cartésien, selon lequel ce sont les intentions isolées de quelques individus, et non pas la dynamique des processus sociaux, qui modèlent le cours de l’histoire, comme le mouvement de l’évolution des idées et de certains sujets, sur plusieurs générations, voire des siècles.

Le Bilderberg est le moyen de regrouper les institutions financières qui représentent les plus puissants et les plus prédateurs des intérêts financiers. Et, en ce moment, cette combinaison est le pire ennemi de l’humanité. [c’est moi qui souligne]

Nous pouvons nous réjouir qu’aujourd’hui le Bilderberg soit devenu un sujet abordé par les media des entreprises. Non parce que ceux-ci se sont tout à coup souvenus de leurs responsabilités envers nous, mais parce que nous les avons obligé à avoir cette position inconfortable en prenant conscience que leurs présidents et premiers ministres, leurs petits rois et reines sont les marionnettes de forces puissantes opérant en coulisse.

Quelque chose nous est arrivé au milieu de l’effondrement économique général. Les gens sont en grande partie soumis à quelque chose qu’ils ne comprennent pas toujours. Mais qui les amène à agir dans leur propre intérêt. C’est ce qu’ils sont en train de faire en Grèce. C’est ce qu’ils sont en train de faire aux Etats Unis. Cela s’appelle le principe anthropique. C’est comme si un ras de marée survenait et enlevait nos peurs. Les gens, en se rendant compte que leur existence est menacée, ont perdu leurs peurs, et les Bilderberger et les autres s’en aperçoivent.

C’est peut-être pourquoi, dans un récent discours au Council of Foreign Relations (CFR) à Montréal, Zbigniew Brzezinski, l’un des fondateurs de la commission Trilatérale, a averti qu’un « réveil politique mondial », combiné avec des luttes internes de l’élite, menaçait de détourner le courant vers un gouvernement global.

Vous pouvez voir que les gens qui sont ici ont des passés politiques et idéologiques différents. Ce qui nous unit, cependant, c’est que nous sommes tous des patriotes. Et ceux qui s’opposent à nous, ceux qui travaillent pour des sociétés secrètes, qui ont vendu leur pays pour un morceau de viande, sont des traîtres. Non seulement des traîtres à leur peuple et à leur pays, mais à l’humanité toute entière.

Maintenant, [venons en à] l’objet de cette conférence de Presse, qui est le Bilderberg vers une Entreprise Mondiale.

Il y a environ six siècles et demie, l’économie de l’Europe s’est effondrée lors de ce qu’il est convenu d’appeler « l’obscurité moyenâgeuse » de l’Europe, la plus grande chute économique et démographique de l’Europe depuis la chute de l’empire romain. Ainsi, au milieu du XIV° siècle, une grande partie du pouvoir de l’oligarchie a été réduite à néant. Cette désintégration explosa en chaîne comme l’éclatement soudain de la pire bulle financière de spéculation sur la dette dans l’histoire (jusqu’à nos jours), quand les banques Bradi et Peruzzi s’effondrèrent. L’éclatement et l’effondrement de la bulle sur la dette lombarde provoqua une chute du pouvoir des familles de l’oligarchie.

Qu’est-ce que ça a à voir avec le Bilderberg ?

L’histoire contemporaine a remplacé l’histoire médiévale au moment où les institutions qui distinguent spécifiquement l’histoire contemporaine de l’histoire médiévale ont été mises en place. Ce qui eu lieu en 1439 au Conseil de Florence. Quelles furent ces nouvelles institutions ?

1) La conception des républiques modernes, états-nations sous domination de la loi naturelle. [?]

2) La mission principale de la promotion du progrès scientifique et technologique comme mandat donné par la république.

Ces deux idéaux constituent un élément crucial : leur existence institutionnalisée dans chaque partie de l’Europe a tout changé dans toute l’Europe, parce que ces changements institutionnels ont accéléré le rythme de l’expansion de l’humanité sur la nature, par tête et par km2. De même qu’aucun pays ne cherchait à ne pas progresser ou ne pas se développer de peur d’être rejeté désespérément.

Le premier succès est arrivé en France, sous Louis XI, qui a doublé le revenu par tête en France et a vaincu tous les ennemis de son pays. Les succès de Louis XI ont entraîné une réaction en chaîne d’efforts pour établir des états-nations sur le modèle de l’Angleterre de Henry VII.

Une autre idée-clef, qui vient du Conseil de Florence, et qui, bien plus tard, s’est répandue aux Etats Unis, est celle du principe universel de Bien-Etre Général, sur lequel toute la société moderne est basée.

Maintenant, le bien-être ne veut pas dire avoir des bonnes choses pour rien, assis sur un canapé en mangeant de la pizza, en faisant le joli coeur, en regardant la télévision, tout en attendant que le chèque du chômage arrive.

C’est une question d’immortalité. Quel est le but de l’existence de l’homme et du gouvernement ? C’est de pourvoir au bien-être des générations futures. Assurer notre survie en tant qu’espèce. Le principe du Bien-Etre Général, tel qu’il est formulé en résumé dans le préambule de la Constitution Fédérale des Etats Unis, est la loi fondamentale.

Quel rapport cela a-t-il avec l’actualité ? Ces gens veulent un empire. C’est ça, la globalisation. Et trop de gens croient que pour avoir un empire il faut de l’argent. J’ai entendu les mots : l’Elite de l’Argent. Mais l’argent ne détermine ni la richesse ni l’économie. L’argent ne fait autre chose que circuler dans le monde. L’argent n’a aucune valeur en soi. [Oui ces pouvoirs mélangent effectivement quantité et qualité]

L’esprit humain a une influence sur l’évolution de la planète. Ainsi cela dépend de la mesure que prend d’elle même l’humanité. Ce qui nous différencie des animaux est notre capacité à découvrir des principes physiques universels. C’est ce qui nous permet d’innover, ce qui par conséquent améliore la vie des gens en augmentant le pouvoir de l’homme sur la nature. [Nous sommes la Nature]

Vous verrez, ils sont en train de détruire exprès l’économie du monde. Et ce n’est pas la première fois. Cela s’est déjà produit au XIV° Siècle au Moyen Âge : ils sont venus à bout de 30% de la population.

L’empire : à bas les gens stupides ! Ils veulent détruire les facultés créatrices de la raison.

Zéro croissance, zéro progrès. Club de Rome ; limites à la croissance 1973.

Projet 1980 du CFR : promouvoir la démolition contrôlée de l’économie mondiale.

Bilderberg 1995 : Exiger la destruction. Comment ? En détruisant exprès l’économie mondiale.

La « Grande Dépression » comme transfert de la richesse.

La « Grande Dépression » n’a pas commencé avec les capitalistes des Etats Unis. Ce fut un évènement que produisirent encore une fois les plus riches en faisant passer la richesse des gens dans les mains de ceux qui étaient déjà riches. C’est ainsi que la Bank of America a gagné des milliers de millions en exécutant des hypothèques de 1929 à 1937. Ne croyez pas une seconde que les plus riches parmi les riches seront atteints pas l’effondrement qui arrive. Les seuls qui seront atteints, ce seront nous autres.

Regardez la Grèce. Ce qu’ils essayent de faire c’est de faire s’effondrer le système, au lieu de permettre que la Grèce réorganise son système monétaire, ils sont en train d’imposer que la Grèce soit instrumentalisée, que la dette de la Grèce soit financée par l’Europe. Mais cette dette n’a aucune valeur. A mettre à la poubelle, de l’argent de Monopoly. Du moment qu’on demande à l’Europe, qui traverse à son tour sa propre débâcle financière, d’absorber une dette impayable, que les Grecs, c’est certain, ne pourront jamais payer, cela signifie que l’Europe sera détruite à coup sûr. Et cela est en train de se faire, intentionnellement, puisque personne ne suivra Barroso, qui est, avec tout le respect que je lui dois, intellectuellement limité, ni Trichet qui est si bête.

Défaisons nous de la bureaucratie de Bruxelles. Licencions les tous. Ce sont tous des bons à rien, Ils sont inutiles. Ces gens n’ont jamais rien fait d’utile dans leur vie. Défaisons nous de Barroso. Il a condamné l’Histoire à l’école. Défaisons nous de cet hypocrite de Van Rompuy, non pas parce qu’il est inutile mais parce qu’il est malin et très dangereux. Ce n’est pas la première fois qu’un petit malin fraye son chemin dans l’ombre jusque dans les entrailles du pouvoir.

Vous voyez, c’est une question de leadership et une question d’immortalité. Tous les leaders de la société, spécialement en temps de crise, le sont parce qu’ils se mesurent à ce standard. Des gens comme Barroso, Van Rompuy, le président de l’Union Européenne, Jean-Claude Trichet, Dominique Strauss-Kahn, le directeur administratif du Fond Monétaire International, sont à peine à considérer comme des leaders. En réalité, c’est à peine si on peut les considérer comme des êtres humains si on considère ce que veut dire pour les Humains « Pour le Bien Supérieur de l’Humanité ».

Je ne suis pas en train de parler d’un problème scientifique, mais d’un problème moral. D’une question d’immortalité. Nous autres en tant qu’Etats Nations, en tant qu’habitants de la planète, nous croyons en l’avenir de l’humanité. Et quel avenir aurons nous dans 100 ans ou 200 ans ? Ou qu’en sera-t-il de nous dans 10 000 ans ? Avons nous le droit de rêver ? Si nous pouvons avoir le sentiment d’un but en étant ici, alors les mauvais ne peuvent l’emporter.

Par exemple, ils nous ont dit qu’il fallait sauver l’euro. Que la chute de l’euro entraînerait celle de l’Union Européenne. C’est un mensonge. Au lieu d’une union monétaire européenne faible et fonctionnant mal, nous revenons aux républiques états-nations indépendants. L’Europe de nos ancêtres.

« La diversité culturelle est non seulement le sceau du progrès, mais une garantie de sécurité contre l’extinction humaine » Une fois né, le concept d’état nation ne meurt pas, il attend seulement qu’apparaissent des êtres humains sages et de valeur pour le défendre, pour perfectionner le concept. Nous devons être une fraternité de nations, de nations souveraines – unies par le but commun de l’humanité. Jusqu’à ce que nous puissions amener l’humanité à l’Age de Raison, l’Histoire sera en réalité construite non par la volonté du gros de l’humanité, mais par le petit nombre de ceux qui, avec des intentions bonnes ou mauvaises, dirigent le destin de l’homme, comme un troupeau de vaches est mené aller et retour dans les prés, et, à l’occasion, aussi à l’abattoir.

(Extrait des trois quarts d’un texte de Daniel Estulin publié sur le site Mecanopolis. Merci à eux)
 
 

Dernière mise à jour : 12-06-2010 01:56

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