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BLANC - INSTANT - SOURCE Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 29-07-2010 00:35

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Blanc, Infini, Instant, Source, Trinité, Vérité, Zéro


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BLANC - INSTANT - SOURCE


Un Homme affamé ne passera pas la nuit dans ma ville sans manger
(précepte de l'Ancienne Égypte, alors pour de l'esclavage dans l'Égypte,
faites-moi signe !)
 
 
L’époque de la Renaissance débouche sur la « libre pensée », et du même coup paradoxalement sur un manque de liberté : pour le pouvoir, impossible de gouverner en reconnaissant le droit à chacun de ne pas être d’accord. Ainsi la libre pensée a donné autant d’opinions qu’il y a d’individus, renforçant du même coup l’individualisme. « Chacun appelle barbarie ce qui n’est pas de son usage... et monstre qui pense différemment » écrivait Montaigne.
Ce qui en a suivit, le pouvoir du peuple, est la plus énorme escroquerie de l’histoire de l’humanité, de même que les régimes d’Assemblée si subtil que soit leur dosage ; il fallut des franc-maçons derrière tout cela pour que l’édifice tienne... Il fallut aussi que ces nouveaux régimes démocratiques pour tenir dissolvent la conscience politique dans la conscience économique (le pouvoir d’achat), tout en tuant le développement de l’âme sous le débordement des réactions du sensible, du physiologique et du psychologique, en précédant à la « massification des peuples ». Le véritable pouvoir étant celui des sociétés occultes genre franc-maçons, tout au moins certaines grandes obédiences, et les groupes financiers. Les citoyens croient participer en votant, mais leur vote n'est qu'un substitut les responsables étant des marionnettes. En référence aux recherches de Jean Coulonval.

Bien avant la Renaissance, le christianisme en imposant sa « laïcité » : liberté humaine et rendre l’Homme solidaire d’une destinée collective, adamique (soumission) ; a détruit la destiné magique, a détruit le destin individuel et astrologique et cosmique. En référence à Mircea Eliade. On retrouve ainsi « la même soupe pour tout le monde », ou « des siècles de bigoteries » comme l’écrivait H.P. Blavatsky.

Comme beaucoup de choses passent par le chiffre 7, voici les sept points de manipulation des masses.
1 - Hypnose (distractions, A-musements)
2 - Casser en cachette et proposer la pièce de rechange (principe maffieux)
3 - Faire avaler le brouet à petite dose, ou le lendemain.
4 - Rabaisser ou infantiliser.
5 - Toucher le sensible, ce qui vient d'en bas (matérialisme).
6 - Culpabiliser.
7 - Dernier point le plus grave : mettre le soi vulgaire et le Soi divin à l'extérieur de la personne, le "Je pense donc je suis" de Descartes, qui est l'inverse du : "Sans Dieu pas de monde" des religions ; c'est donc une inversion (le monde peut bien se passer de 'Dieu'). Il s'agit de savoir OÙ placer le CŒUR. Ne pas oublier que chez les Anciens, seul était réel ce qui était sacré.
 
 
Voir aussi la page INSTANT - SOURCE

 
BLANC

Encore et toujours une page sur l’Instant - Source.
INS – TEMPS - BLANC : PASSAGE.
L’Instant se déplace sur le TOUT : “ Ah ! l’Instant est déjà DÉ – PASSÉ ”
C’est aussi là que réside le moderne et le “ à un moment donné ”.
BLANC : passage, innocence la Blanche Colombe, aube, Blanc du Roi et des Druides ; le Blanc est proche du Jaune.
L’Instant fait sourcer le Tout en voisinant parmi l’Hier et le demain.
Pour aller d’un point à un autre, il faut tout de même du temps, sauf s’il y a saut ou bond ; c’est l’Instant, l’instantanéité ou instantané. Saut en dessous des 2 points ou au-dessus, peu importe puisque c’est l’Instant.
INSTANT / ESPACE : l’Espace d’un Instant ! Fixer l’Instant sur une Aquarelle.
Pour approcher l’Instant il y a l’ENIGME qui rassemble en elle-même les contraires.
L’Instant est une sorte de “ PRISME ”
Le Blanc serait-il mêlé à de l’Orange ?
Aube puis AURORE : OR – OR - OR ROSE. Le Soufre Racine pour donner Volume au Temps.

Le Blanc est composé de :
Rouge
Orange
Jaune
Vert
Bleu
Indigo ou Bleu violet >>> Violet Indigo Bleu Vert Jaune Orange
                                         Rouge
Violet >>> Violet Indigo Bleu Vert Jaune Orange Rouge, etc.

Le Blanc est la Source, puisque le « candidus », le candidat est sa couleur, les candidats aux fonctions publiques s’habillaient de blanc. Le Blanc est le passage, il est la couleur de rites de passage, par lesquels s’opèrent les mutations de l’être.
Le Blanc de TOUS LES POSSIBLES, la Source, le Silence absolu naissant après le noir silence de la Putréfaction ; puisque les trois phases de l’Alchimie passent par l’Œuvre au Noire, au Blanc, au Rouge (presque comme le drapeau français : Bleu, Blanc, Rouge). Le Rouge figurant la phase hautement énergétique... Le blanc avec le noir est assimilé à la couleur de la mort (nouvelle naissance et entrée dans l’invisible), et en Orient c’est le Blanc qui symbolise la mort.
Le Blanc est la glace de l’époque glaciaire, là où tout pouvait commencer, car tout était encore gelé. La blancheur virginale, la blancheur du cadavre.

INSTANT : serrer de près, proche, imminent *Point*
Les Instants s’ajoutent en s’enrichissant à chaque fois.
SF Souffre et MC Mercure : quand l’un domine (Agent) ou “ s’instante ”, l’autre (Patient) devient actif ou dégage de l’énergie.
Les mots agissent selon le moment (Sens) ; utilisés ailleurs qu’a ce moment ils n’ont pas le bon effet. Ou bien encore : Les paroles se rapportant à une situation déterminée ont seules une influence. (Cette dernière phrase est d’après le Koua “ la Famille ” dans le YI-KING).
Corps et corps n’ont pas d’effet l’un sur l’autre ; seul l’Esprit a de l’effet et pénètre le corps.
L’Instant est comme l’Esprit dans le souffle créateur/l’inspiration, la Source, le “ Volatil ”. (Ça dépend du moment !)

En résumé, L’INSTANT peut donner trois conceptions :
1) Absence de Temps
2) Augmentation du Temps
3) Fixation ou Coagulation du Temps
(Les 2 et 3 sont très proches).
Faire le POINT : croisement de deux directions ou lignes ; mais dans un point il n’y a
plus de dimension ni de Temps, il ne reste qu’une position ; et en “ plongeant ” encore plus avant que reste-t’il ?
Un tout petit cercle. Un Trou/source/Jaillissement. Le PASSAGE *Porte*.
Dans une œuvre picturale, quand il n’y a pas de mention de date (intemporel), l’influence que provoque cette œuvre est grande malgré le Temps qui a passé (le Temps de conception de cette oeuvre n’a aucune importance). Dans un texte c’est pareil. Les écrits de LAO-TSEU sans repères de dates n’en sont que plus attirants, ils échappent aux « Accidents » et s’approchent de l’Éternité.
Le Temps fixé ou Éternité : un an peut valoir une éternité ! L’ÉPHÉMÈRE qui dure un jour flirte avec l’Instant, donc ce n’est pas semble-t-il le contraire d’éternel !

L’Instant, le Blanc est décrit ainsi par René Adolphe Schwaller de Lubicz.

« Un volume ou espace est Esprit coagulé en matière plus ou moins dense. Le point mathématique n’est pas une abstraction mais le sommet formé par la rencontre d’au moins trois arêtes de trois plans. Tout est volume, a volume ».

Maintenant dans l’Instant il y a obligatoirement l’archétype de la TRINITÉ.
A défaut de l’ALEPH (voir plus bas), seule pour le moment la Trinité apportera des rapports harmonieux en toutes choses créées, dans leur aspect originel, et dans la conception des structures justes de la société. Seule pour le moment quelque chose de Trinitaire sera un ciment qui fait de cet Univers une globalité, en établissant entre toutes choses les rapports justes de complémentarité et d’amour, et non pas de rivalités comme c’est la cas depuis tant de millénaires.
Il devient de plus en plus évident, et ça va en s’accélérant depuis 200 ans environ, que les désordres en tous domaines, intellectuels, sociaux, ou d’application de la science pure à des techniques aberrantes, ne sont que les reflets de fausses visions du monde dans la rupture des vrais rapports trinitaires. La vraie PAIX doit être autre chose que l’absence de guerre... Sinon, ce n’est pas valable.



ALEPH et VÉRITÉ

On aborde ici le notion de l’INFINI.
INFINI : le NON FINI, ou le UN FINI (le UN qui ne peut jamais être deux, l’UN qui ne peut jamais être coupé en deux). L’infini n’a rien à voir avec une chronologie (Kâla en sanskrit) et donc un espace, tout au plus le compare-t-on avec le perpétuel.
Autre figure de l’Infini : Le gouffre sans fond de la simplicité.

Le Blanc est Aleph
Entre un point A et un point B, les autres points qui rejoignent ces deux points sont en nombre infini : pour remplir complètement le segment A et B il faut un nombre de points plus grand que l’infini : le nombre Aleph. L’Aleph est égale à toutes ses parties. Ainsi il y a autant de points dans un segment d’un demi-millimètre que dans celui qui mesurerait un demi-milliard de kilomètres. Ici on rejoint parfaitement Ramana Maharshi.
En résumé : la partie est égale au tout. Donc tout l’Univers est contenu dans le POINT FOCAL, ou SOURCE...
Pour élever l’Aleph, il faut l’élever à une puissance Aleph autre (comme la phase des Multiplications en Alchimie). Aleph zéro aura donc pour suivant : Aleph un, puis Aleph deux, etc. Déjà au niveau de l’Aleph deux son nombre correspond à tout ce que l’on peut concevoir dans l’Univers ; mais il n’existe pas dans l’Univers d’objets et de nombre suffisamment grand pour qu’en les comptant on arrive à l’Aleph deux.
L’Aleph zéro est le « nombre des éléments de l’ensemble des entiers naturels ». Il est égal au nombre de tous les nombres pairs, de tous les nombres impairs, de tous les nombres premiers et de toutes les fractions positives possibles.
L’Aleph est popularisé par le mathématicien Georg Cantor.

Dans le genre de manipulation de concept aussi abstrait que l’Infini, l’Instant, le perpétuel, les hindous sont les champions avec leur invention du ZÉRO, mais aussi leur folie des grands nombres, dont d’ailleurs est tiré le nom d’un célèbre moteur de recherche sur Internet (le googol : 10 puissance 100).
L’Infini est une chose non spécifié, indéterminé, comme l’Aube du Blanc et de la Source.
Éternel et Infini se situe au delà de la pensée, du mental, et donc dans le Soi divin de Ramana Maharshi, Soi divin aussi appelé en sanskrit : Ekatva, vision du Soi divin en toute chose.
Pour moi l’Infini est quelque chose qui ne peu jamais être atteint (j’en ai rêvé...), ainsi on atteint jamais la perfection... Curieusement René Descartes fut un des premiers « savants » européens à admettre une réalité première à l’Infini.

Le Serpent représente l’infini : le huit à l’horizontal et autres entrelacs figuré par le grand Serpent Apopis de l’Égypte Ancienne (Apopis est présenté comme l’adversaire de Ré).
L’Aleph est la Vérité inaccessible ou rien n’est vraiment fini, tout bouge tout le temps... Comme tout est vibrations il y aurait beaucoup à dire sur Apopis et ses entrelacs... Ce n’est pas pour rien que le serpent est souvent le gardien de choses interdites et autres trésors, le serpent symbolise l’onde, l’eau...

Et à propos de Vérité et d’opinion bien terrestre : le calife Umar (634 - 644) qui fit détruire une grande quantité d’ouvrages de sciences pris en Perse : « Si ces livres contiennent ce qui mène à la Vérité, Allah nous a donné ce qui nous y mènera encore plus sûrement. Mais si ces livres devaient contenir des choses fausses, alors ils sont inutiles ». Cette attitude est bien-sûr condamnable, elle prive les générations futures, mais elle n’est pas totalement fausse, même Ramana Maharshi condamne les livres, sauf au départ d’une recherche. On sait ce qui est arrivé à la Bibliothèque d’Alexandrie.

Zéro et Infini sont dans la même famille, mais ils sont contraire : l’un est « grand » et l’autre est « petit ». On voit maintenant qu’ils peuvent aisément se rejoignent !... par exemple dans le pouvoir yogique siddhi (grandir ou rapetisser à volonté), dans le cas des examens de la matière dans l’infiniment petit (les auteurs du livre : La Chimie Occulte pénétraient mentalement dans les moindres atomes de la matière).

Rien peut rejoindre le Tout, ou les « derniers seront les premiers et les premiers seront les derniers ».
Le Zéro en Sanskrit se nomme Bindu, le POINT, l’Univers à l’aube de sa manifestation en un monde des accidents ou temporel. Le zéro est la source d’un infinité de possible.

Le Zéro c’est :
Vide, absence, vacuité, inoccupée, pas de, point, aucun, néant, rien, négligeable, ciel, espace, nul, non, totalité, silence, achèvement, plénitude, impermanence...

Un grand nombre :
Rien que pour écrire le nombre 10 élevé à la puissance 10 puissance 100, ou 10 à la puissance googol, en notation décimale positionelle classique, il faudrait autant de volumes de type « encyclopédie » qu’en contiendrait une sphère de plus de dix milliards années-lumière !

En résumé, la vacuité, le Blanc, le Point ou Bindu correspond au Principe ultime, à la Vérité, au Passage, à la Montagne (centre ou réalité absolue et séjour des dieux avec la représentation triangulaire sous forme de pyramide : voir Moïse et les Tables de la Loi). Ce qui est simple est extraordinairement compliqué, nous en avons un exemple avec le Zéro, il suffit de se reporter à des textes Hindous et de sagesse orientale, mais aussi sur le dictionnaire des symboles numériques indiens, très complet, de Georges Ifrah, dont est fait ici référence à propos du Zéro et de l’Infini.

M. R.
 
 

Dernière mise à jour : 29-07-2010 18:29

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