Dans le cas de l’HEMI, nous pouvons facilement traverser n’importe quelle matière, solide, liquide, etc. L’HEMI concerne ce qui est situé sur une planète.
Voici le début et fragment du récit qui m’est arrivé ainsi qu’à deux autres personnes.
A ma connaissance, nous sommes trois à pouvoir pénétrer dans la matière :
Bey Hasnam, mon ami Tilke (ça ne s’écrit pas pareil que le
Teal’c de
Stargate SG1, mais il est aussi noir), et moi.
C’est Tilke qui m’a appris comment voyager dans la matière : il suffit d’appuyer son front sur un immeuble, un mur... et on passe au travers sans même s’en rendre compte. On ouvre un « chemin » dans lequel on voit clairement à la fois le « réel » et la zone hyper-espace, qui ressemble à l’intérieur d’un gâteau, un flan, genre
flan antillais .
Donc pas besoin de vaisseau spatial avec moteur à hyper-propulsion, il faut utiliser son front et la
glande pinéale.
Cette glande pinéale aux fonctions partiellement atrophiées maintenant, et qui autrefois possédait un rôle essentiel comme celui de pénétrer la matière : le
Troisième Œil.
« L’oeil de l’embryon humain se développe de l’intérieur à l’extérieur » – il sort du cerveau au lieu de faire partie de la peau, comme chez les insectes et chez la seiche. Le professeur Lankester – trouvant que le cerveau était une singulière place pour l’oeil et cherchant à expliquer le phénomène à l’aide des principes de Darwin – suggère une curieuse théorie d’après laquelle « notre ancêtre vertébré le plus ancien était une créature « transparente », chez laquelle, en conséquence, l’emplacement de l’œil importait peu ! Or, l’on nous enseigne que l’homme fut, en effet, une « créature transparente » à une certaine époque, d’où il résulte que notre théorie tient bon ». (Extrait de la
Doctrine Secrète, de
H.P. Blavatsky, Vol.3)
Cet aspect transparent est exactement la vision
« dans le flan antillais » et la réalité, le tout en une sorte de multiples parois transparentes et gélatineuses et vibrantes. Cet aspect transparent correspond aussi à la dimension éthérée de l’astrale, à un aspect neutre, hermaphrodite ; toujours en partant de l’intérieur vers l’extérieur, comme je l’écris sur ce site dans de nombreuses pages.
Cette glande pinéale est en rapport avec la clairvoyance et le développement de techniques psychiques ayant bien-sûr sa source dans le plus petit LANGAGE ou SYMBOLE. Le Troisième Œil fut jadis un organe physiologique et plus tard, par suite de la disparition graduelle de la spiritualité et du développement de la matérialité, la nature spirituelle fut éteinte par la nature physique et cet œil devint un organe atrophié que les Physiologistes comprennent aussi peu que la rate, explique H.P. Blavatsky.
Ce Troisième Œil était primitivement le seul organe visuel et donc source d’informations, et de vibrations... Les deux yeux physiques de la face ne se développèrent que bien plus tard, chez les animaux comme chez l’homme, dont l’organe visuel physique occupait, au commencement de la Troisième Race, la même position que celui de certains vertébrés aveugles de nos jours, c’est-à-dire se trouvait sous une peau opaque. Concernant le mot race, il ne faut pas l’entendre comme aujourd’hui, mais comme un mot employé en littérature spirituelle pour désigner une vague de vie, une phase de l’évolution, et ça n’a donc rien à voir avec une couleur de peau ni avec un lieu de naissance.
Ce Troisième Œil correspond à la TRINITÉ, si cher à Jean Coulonval, Trinité source d’éternité. Il faut bien voir que la matière n’est qu’une simple projection du mental ! comme l’explique de long en large
Ramana Maharshi dans ses enseignements.
Il y aurait beaucoup à dire sur la glande pinéale, mais pour terminer ici sur ce sujet, il faut savoir que la glande pinéale avait atteint son plus haut développement à l’époque la plus basse et primitive du développement physique. « C’est chez les Vertébrés que cet organe est le plus prononcé et le plus objectif, tandis que chez l’homme il est soigneusement caché et inaccessible, sauf pour l’Anatomiste. Cela, toutefois, n’éclaircit pas davantage la question du futur état physique, spirituel et intellectuel de l’humanité... » explique encore H.P. Blavatsky.
La glande pinéale est donc l’indice de capacités astrales et de tendances spirituelles de l’être humain.
Rappel : ne jamais perdre de vue que le cerveau est un organe, et s’il enregistre la mémoire, il n’est pas la mémoire elle-même, même chez un malade d’Alzheimer (c’est le fonctionnement qui est atteint, pas la mémoire en elle-même. D’autre-part la
maladie d’Alzheimer correspond à une « mode », à une époque, un style d’alimentation et de vie).
Pour terminer sur la glande pinéale, les Atlantes doivent avoir une grand part de responsabilité sur la dégradation de l’humanité ; en effet, ce furent ceux des Atlantes qui étaient les plus élevés spirituellement qui chutèrent en entrainant nombre de leurs frères dans l’abime. Mais mieux, ce fut peut-être Un seul qui chuta... Il faut comprendre qu’il n’y a rien de nouveau sous le Soleil et que tout est un cycle éternel. « Ceux qui sont nés et ont été élevés dans la foi Chrétienne et qui ont été habitués à l’idée que Dieu crée une âme nouvelle pour chaque enfant nouveau-né, sont les plus perplexes de tous [à propos de renaissances et de karma]. Ils demandent si le nombre des Monades [chaque personnalité] qui s’incarnent sur la Terre est limité et on leur répond affirmativement. En effet, si inchiffrable que paraisse être, dans notre conception, le nombre des Monades qui s’incarnent, il faut pourtant qu’il ait une limite [même sur d’autres planètes habitables] », explique H.P. Blavatsky.
Je reviens à mes compagnons de voyage à travers le
« flan antillais ». Bey Hasnam s’était octroyé le titre de Bey, il est un individu peu recommandable, un escroc financier, un spéculateur boursier du temps où elle existait encore. Tilke et moi sommes à sa poursuite. Tilke est un chef de brigades de chasseurs qui traquent les gens comme Bey Hasnam. Quant à moi, je me nomme
Pegasus et ne suis qu’un modeste musicien et Tilke est un excellent ami, très doux et mystérieux, comme le Teal’c de
Stargate SG1. Ce matin du 5 août en compagnie de mon ami je m’élance à la poursuite de Bey Hasnam. Il m’a peut-être volé de l’argent, du temps où ça existait encore.
Précision : l’HEMI permet un court voyage dans le temps, une déviation chronologique dans les deux sens, de quelques minutes à quelques heures.
Drôle d’effets d’être dans ce flan vibrant et transparent, et en même temps être par exemple dans la rue à passer au travers des passants qui ne vous voient pas ; et des voitures qui vont vite mais que vous dépassez quand même.
S’il pleut, la pluie ne vous mouille pas. Pour pénétrer dans de l’eau de mer par exemple, il faut y entrer avec lenteur, sinon on reste dans notre espace commun. Pénétrer dans un grand feu ne pose pas de problème, c’est comme pénétrer dans un mur, ou quelque chose de solide ; la seule précaution est de bloquer sa respiration quelques secondes et de ne surtout pas hésiter devant les flammes. Il faut qu’il y ai mouvement (comme les flammes, être en accord avec elles). Le fantastique là-dedans : puisque vous traversez la matière dans son HEMI, aucun
taser, balle d’arme à feu ou projectile quelconque ne peut vous atteindre, puisqu’ils passent au travers de votre corps (comme les passants dans la rue décrit plus haut). C’est pour cela que de grands bandits comme Bey Hasnam peuvent exercer leur criminel talent.
Cette propriété HEMI est décrite par Ramana Maharshi dans l’enseignement 334 du 20 janvier 1937, dont voici un passage significatif :
« Il en est de même des
siddha (être parfait, celui qui a des pouvoirs surnaturels). Ils sont de pure lumière et ils peuvent voir les autres sans être vus eux-mêmes.
Prabhulinga, par exemple, lorsqu’il voyageait dans le Nord de l’Inde, rencontra Goraknath qui lui démontra ses pouvoirs yoguiques : son bras fut frappé par une épée et celle-ci s’émoussa sans lui infliger aucune blessure. Ce pouvoir de préserver le corps contre toute blessure s’appelle Kâyasiddhi. Prabhulinga proposa alors de se faire transpercer. Quand le coup fut porté, le sabre transperça son corps sans rencontrer d’obstacle, comme s’il fendait l’air, et ne lui provoqua aucune blessure. Goraknath, impressionné, s’offrit comme disciple à Prabhulinga ».
Un autre exemple de l’HEMI, chez Tanis Helliwell, dans son livre :
Un été avec les Leprechauns. Il est question d’une gymnastique que propose le Leprechaun à Tanis. Il s’agit ici d’interférence entre un
Élémental et un humain (Tanis). Le Leprechaun dit à Tanis que la première chose qu’elle doit apprendre c’est de ne pas se considérer comme SOLIDE. C’est logique, quand on pense que les cristaux sont constitué de mailles et de vide, donc que du vide ! Le Leprechaun lui propose un exercice la nuit, quand le voile entre la réalité que nous connaissons et d’autres dimensions est plus minces. Pour Tanis il s’agit de passer à travers une haie. Tanis pense immédiatement à
Carlos Casteneda et à ses « trucs ». Bien-sûr quand Tanis s’élance contre la haie elle s’y écrase lamentablement. Elle essaye une autre technique : une sorte de seconde vue pour « créer un tunnel » dans la haie. Aussitôt le Leprechaun l’arrête. Pour lui, ce sont de dangereux tours de magie qui ouvrent avec violence un trou dans d’autres dimensions, ce qui tuera la vie à l’endroit où ce trou se situe. Là encore on à l’exemple plus haut de passer au travers des passants dans la rue sans les tuer. Le Leprechaun en bon professeur lui conseil de comprendre la réalité de la haie : comme le cristal ses mailles et son vide, elle est faite essentiellement de vide avec quelques petits atomes de matière. Le Leprechaun lui montre le résultat en traversant la haie sans effort. Tanis sait que cela est possible, mais elle croit qu’elle ne pourra pas le faire... Comme en Alchimie et sa jonglerie d’atomes, le Leprechaun déplace les atomes à sa guise et en change la configuration, tel une Pierre Philosophale à deux pattes. Il conseil à Tanis de rendre son corps léger et poreux et d’être en ACCORD avec l’état poreux de la haie. Donc les atomes de Tanis ne doivent pas entrer en collision avec ceux de la haie, c’est simple ! Comme expliqué plus haut à propos de traverser un feu, il ne faut pas hésiter : il faut se voir accomplir la traversée, et c’est cuit si un instant on imagine ne pas pouvoir le faire.
« Fait ou ne fait pas » disait
Yoda à son jeune disciple.