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Damné à la guerre perpétuelle Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 14-08-2010 01:30

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Libéralisme, Matérialisme, Mort, Opinion, Politique


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Damné à la guerre perpétuelle
telle est la cause de l'OPINION
 
 
L'opinion étant de l'ordre du mental et du matériel ne peut que naitre et mourir perpétuellement. C'est fatiguant ! et c'est un mouvement satanique. Opinion vient d'opiner : dire son opinion ; opiner du chef ou du bonnet (de la tête) ; adhérer... comme un engrenage et ses pignons ; comme avoir pignon sur rue : être connu grâce à une bonne exposition à la vue de tous (la fenêtre ouverte ou la publicité). Opinion commence par O, le cercle qui symbolise Tout, mais avec le pignon, c'est collé dans la pensée ; tout comme avoir un créneau pour une formation politique, un créneau commercial ou un créneau porteur... voir une fenêtre de lancement ou de tire... De plus, un créneau c'est une meurtrière, un truc pour la guerre ! le cran d'un engrenage avec son grain de sable, un mur crénelé ! être à cran !
 
 
« Lorsque nous eûmes injecté le poison du libéralisme dans l’organisation de l’État, sa complexion politique changea ; les États furent infectés d’une maladie mortelle : la décomposition du sang. Il ne reste plus qu’à attendre la fin de leur agonie ». Protocole peu importe le nom, car ça à aboutit au républicanisme, à une démofascicratie avec un Président "élu dictateur" dont la fonction sera de démolir les défenses constitutionnelles de l'État (Sarkozy fait cela).


"L'homme se construit ses opinions à la façon d'un carrelage". Alors, j'eus une intuition fulgurante. S'il en est ainsi,il ne peut y avoir de paix, car il ne peut y avoir deux hommes qui puissent vivre la même série d'événements, ou vivre le même événement de façon identique. Chaque homme est dans sa façon de penser, de sentir, un résultat de la vie, de sa vie à lui. Il est fabriqué, moulé dans un cadre sensible, social et temporel. Il est conditionné. Il n'est pas libre. Ce qu'il appelle liberté, ce n'est que le droit de rechercher les conditionnements qui l'arrangent le mieux, dont il jouit le plus, ce qui n'est pas possible sans contredire ce qui convient à l'autre. Résultat : de perpétuels conflits entre individus, classe, nations.
"Croire à un homme, en une cause, un idéal, une idéologie, c'est décider une constance(1) (comme celle de 1789), c'est lui attribuer une valeur stable et constante malgré l'expérience la plus criante, dans la paranoïa individuelle et collective". Ainsi on a la définition de l'opinion politique. Les assemblées, les défilés et pancartes, chants et drapeaux, caractérisent toutes les manifestations des foules en proie à un même culte (d'un homme, d'une cause, d'une idéologie, comme par exemple celle de 1789). C'est un rite, une véritable liturgie, un délire des foules, nazies, communistes, gaullistes, étudiants de 1968, ou autres. C'est bien pour cela que certains qui se droguent au pouvoir savent placer leurs pions avec leur science :  "qu'à la tête des foules un âne suffit". Toute opinions prétend stabiliser, en le déifiant, du temporaire, du vent. C'est une singerie du religieux. "Dieu, s'il n'est pas la lumière qui transfigure, devient le masque qui déguise".

Conséquence : il faut des chefs, des gouvernants qui décident des conditions du conditionnement, c'est-à-dire des théoriciens de la dialectique matérialiste et historique, il ne doit rester idéalement qu'un seul homme qui décide des modalités du dressage psychologique de la masse, conçue comme un total arithmétique des individus rendus indifférenciés, groupés comme de billes dans un sac. L'État marxiste idéal est la dictature d'un seul qui "dit" la vérité du jour et ce que sera celle du lendemain, qui décide du dogme à tout instant remis en question. C'est Sisyphe qui pousse son rocher. C'est un Pape et une Église à l'envers, en creux. Jean Coulonval.


A propos des individus, tous groupés comme des billes dans un sac, ou des patates ou un tas de ferraille, c'est la même chose : des marchandises, c'est la conséquence de la libre pensée, de 1789 et de son poison du libéralisme, source d'individualisme et d'égoïsme ; et c'est pour ça que paradoxalement le pouvoir veut tout contrôler et tout savoir de "ses marchandises"... quoi de plus logique ! Faut pas gâcher !
C'est la même chose avec le Parti qui nie le libre arbitre de l'individu, et au nom du piège du libéralisme, il exigera de lui une abnégation volontaire (libre arbitre à la fois affirmé et nié). Il nie que l'individu eût la possibilité de choisir entre deux solutions et en même temps il exige qu'il choisisse constamment la bonne (la possibilité de choix est à la fois niée et affirmée). Toujours en référence à Jean Coulonval. Cela m'évoque furieusement la laïcité !

Comme déjà évoqué sur plusieurs pages, et le devinant il y a plus de 30 ans, et avec mon Vic 20 en 1981, le binaire nous conduit à l'abime, et c'est ce que nous utilisons de plus en plus comme outil : tout passe en digital pour mettre à mort la totalité de l'analogique... Et pourtant ! Nous y reviendrons avec le Q-bit (ou Qbit, Qubit), qui est LE VÉRITABLE OUTIL TRINITAIRE pour sortir du 0 ou 1 ; mais probablement pas comme c'est expliqué dans le Wikipédia... Depuis Albert Einstein et sa Relativité, nous avons été tellement habitué à la connaissance relative que nous avons fini par nous identifier à elle.

Ainsi, comme pour le libéralisme, l'individualisme, nous sommes aussi des bits de zéros et de uns, que le pouvoir veut contrôler comme la machine HADOPI veut contrôler l'Internet, comme le pouvoir veut ficher les individus et leur ADN, et un jour imposer un puce nanomachin dans le corps pour tout savoir de nous. Nous allons devenir des machines si nous n'y prenons pas garde ; la fiction va devenir cauchemar.
Comme écrit sur mon précédent article, pourquoi le monde dort ? Et bien c'est à cause de la Chute, celle de tout désordre dans les concepts religieux, politique, scientifiques, provoquant un trouble universel de l'ordre Trinitaire qui est seule réalité.

Toujours en référence à Jean Coulonval. A l'aube du christianisme, l'Islam a nié la Trinité sous prétexte de préserver l'unité de Dieu. Mais la conséquence fut qu'il n'est resté que le un de l'arithmétique, d'où la tendance à stabiliser l'histoire e stérilisant le circulus trinitaire entre science, métaphysique et théologie, au cours de l'histoire. L'Islam n'a qu'une théologie défensive, pas de science (aucun Prix Nobel, par contre beaucoup chez les Juifs). L'élan scientifique et philosophique de nombre de chercheurs fut vite étouffé sous la pression de l'orthodoxie coranique. Les musulmans n'ont pas vécu le concept de science pure, qui a conduit dans le marxisme à une sorte de théologie de la matière. Ils s'imaginent que la technique industrielle à des sources purement pragmatiques, que ce n'est que trucs, procédés. Ils n'en perçoivent pas les sources spirituelles dévoyées mais réelles, parce que le circulus a été éteint dans leur corpus psychologique.
D'où le drame de l'Islam pour son insertion dans le monde moderne. Pour lui, la civilisation technique n'est nullement un fait spirituel, mais seulement un moyen de domination temporelle, d'impérialisme. D'où sa furieuse volonté de s'industrialiser pour dominer à son tour, et venir plus loin que Poitiers. (Voir la folie de construire dans les pays "producteur" de pétrole).

Inversement, la philosophie soviétique et communiste nie la Trinité au nom de l'unité de la matière(2). Contrairement à l'Islam qui a figé l'histoire, pour elle, tout est histoire, tout s'écoule sur une ligne entre un passé indéfiniment reculé et un futur également indéfini, les lendemains qui chantent (demain on rase gratis). L'Islam est un démarquage du Judaïsme. Le Coran, ou Quoran, texte descendu du Ciel, intouchable, dont il est défendu de faire l'exégèse, n'est-il pas une parodie de l'alphabet divin des Hébreux ? lui aussi intouchable... Hors tout est Mouvement.
Pour garder l'absolu divin, l'Islam nie l'Histoire. Pour faire de l'Histoire un absolu, le communisme nie Dieu, préparé en cela par le refus orthodoxe du "Filioque" qui nie de fait la circumincession. Car si le Fils procède du Père, ensuite l'Esprit du Fils, il n'y a pas de circulus. La Création en Occident est une émanation platonicienne.

Pour se sortir du merdier actuel, la Réalisation sera obligatoirement eschatologique, de nouveaux Lieux et une nouvelle Terre. De cette réalisation dépend l'unité du monde. Dans la vision Trinitaire unique du Créateur et de sa Création, s'accomplira l'unité du monde, la résorption des erreurs judaïques, musulmanes, communistes, maoïstes et soviétiques, sionistes, etc. par l'acceptation universelle de l'Instant.


M. R.


Notes.
1. Constante qu'il faut appliquer à l'universel, d'où la volonté de mondialiser la société pour mieux la contrôler.

2. Ce qui peut aboutir au pire des matérialismes : la dictature.
"Les Protocoles paraissent, à première vue, recommander la destruction comme une chose vertueuse en soi et justifiant par conséquent toutes les méthodes explicitement recommandées pour la promouvoir (subornation, chantage, corruption, subversion, sédition, incitation des foules, terreur et violence), qui deviennent ainsi vertueuses également"... Et on peut aboutir à : "Le but final est la destruction de toute religion et nationalité, et l’établissement du super-État, gouvernant le monde par une terreur impitoyable. (Controverse de Sion, de Douglas Reed , dont on trouvera le livre en pdf sur le lien Wiki). C'est ce qu'à fait la Révolution de 1789, bien-sûr uniquement en France, ce n'était q'un début, mais ça a rayonné en Amérique, puis sur la Russie et 1919.

Quelques unes des pires idées émanant de ce "protocole de Sion", peu importe le nom d'ailleurs et l'origine des auteurs, car ça se révèle de toutes époques et peu importe aussi l'avance technologique :
"Le principal facteur de succès dans la politique est le secret de ses entreprises : les paroles ne doivent pas être en accord avec les actions des diplomates..."
Puis ça Empire :
"Nous devons contraindre les gouvernements... à agir dans le sens favorable à notre plan aux larges perspectives, qui approche déjà de sa consommation désirée. [Nous le ferons] par [le biais de] ce que nous présenterons comme étant l'opinion publique, secrètement orientée par nous au moyen de ce qu’on appelle la “grande puissance” - la Presse, qui, à quelques exceptions négligeables près, est déjà entièrement entre nos mains".
Cela est déjà réalisé : les informations passent par un nombre minuscule d'agences de presse style AFP, Reuter, etc. N'importe quel pouvoir surtout financier peut contrôler le robinet de ces agences.

Un dernier miroir aux alouettes de la démocratie :
"Notre appel « Liberté, Égalité, Fraternité » amena dans nos rangs, des quatre coins du monde, grâce à nos agents inconscients, des légions entières qui portèrent nos bannières avec extase. Pendant ce temps, ces mots, comme autant de vers rongeurs, dévoraient la prospérité des chrétiens, détruisaient leur paix, leur tranquillité et leur solidarité, ruinant ainsi les fondations des États".

Démocratie qui se transforme en Synarchie de l'industrie privée et donc des banques :
"Il nous est donc indispensable de dépouiller à tout prix l’aristocratie de ses terres... Il faut qu’en même temps nous protégions le plus possible le commerce et l’industrie… Il est essentiel que l’industrie draine toutes les richesses de la terre et que la spéculation verse entre nos mains ces mêmes richesses ainsi captées... ». C'est pour cela que des grands groupes achètent les matières premières du globe et les stocks pour en tirer un profit maximum ! Et tout ça grâce à qui : Karl Marx, et son Manifeste Communiste, avec cette dernière citation toujours tiré de la controverse de Sion. Marx qui peut se résumer à : "Abolition de la propriété privée". Mais c'est ce que sont en train de faire les grandes industries : ils achètent tout afin de priver tous les peuples (le monde prolétaire ou esclave) qui devront payer des licences, brevets, et louer n'importe quoi jusqu'à l'air qu'ils respirent.
 
 

Dernière mise à jour : 14-08-2010 14:55

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