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Tribu mondiale contre Campagnes Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 15-08-2010 01:00

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Démocratie, Mort, Nation, Pays, Politique, Réalité, République, Tribu, Unité, Vie


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Tribu mondiale contre Campagnes
Un pour tous ou tous pour un


Je suis le chat qui s'en va tout seul et tous les lieux se valent pour moi.


Monsieur Rochefêlée, vous ne me prendrez pas mon Pais ! Même s'il y a Sarkozy dedans...

 
 
Tribu dans le sens de communisme, de communauté, de mondialisme ou gouvernement mondial, avec une monnaie mondiale, etc. La campagne représente le terroir ou territoire, le lieu géographique ou vivent une population : les Pagans. Ce sont les provinciaux des districts ruraux appelés Pagis. Pagis est le nom des fidèles d'un culte antique, comme par exemple le Zoroastrianisme. Paganisme signifie : cultes de divers groupes de populations.
Le Moujik, le Paisant (en français du Moyen-Age), sont les Pagus, les hommes du PAIS (Pays). Paistre (en français du Moyen-Age) indique : manger des produits de la Terre.
En tant qu'empire, les Romains étaient des polythéistes tolérants à l'égard d'autres croyances.
 
Et qu'a fait la Révolution de 1789 ? Elle a tué les pais (les provinces de France, "Jugées contraires à l'homogénéité(sic) de la nation") et les identités différentes pour en faire une République, en inventant les 100 départements français. Demandez-donc aux Vendéens le nombre de gens que la République a assassiné ! Un génocide digne de ce que définie le "Tribunal de Nuremberg"... Deux lois furent votées par la Convention en préparation du « génocide vendéen » : celle du 1er août 1793 : « Anéantissement de tous les biens… » et celle du 1er octobre 1793 : « Il faut que tous les brigands de la Vendée soient exterminés avant la fin du mois d’octobre : le salut de la Patrie l’exige... » C'était la "race rebelle" du moment, comme la qualifie et la diffame Barère de Vieuzac. Que de racistes il y eut à cette Révolution de 1789 ! Et aujourd'hui on vient nous faire la leçon à propos d'expulsion de Roms ; c'est-à-dire que : pour le député UMP Dominique Paillé, la France n'a "aucune leçon à recevoir" (des autres pays !). Effectivement, mais c'est le contraire, vu ce qu'elle a faite avec la Shoah des Vendéens, elle a à apprendre des autres pays en matière de droits humains, sans compter les galères de Louis 14, les bagnes d'enfants, les tortures, persécutions diverses et religieuses, etc. La France de 1789 fut colonisatrice au même type que les Conquistadors espagnols envers les Mayas et Aztèques, les Juifs à la Révolution russe de 1917, etc. Dans les trois cas, l'Or était au bout du fusil, mais pas à la même fréquence !... et le religieux y était aussi...
La soi-disant démocratie qui prétend représenter le peuple en son entier (en gommant les différences) et sur une base égalitaire (sic) est un système en court-circuit. Court-circuit qui dure, avec des périodes bonapartistes etc., depuis plus de 200 ans. A la fois jeune et très vieille.
La Renaissance et la République de 1789 avec leur principe de libres penseurs et d'universalité, sont les plus sectaires, les plus dogmatiques, et sont forme de dictature, car ils réclament la suppression morale ou métaphysique des minorités qui sont rejetées en enfer. (Cas en France sarkozienne des Roms à cet été 2010). Ne jamais oublier que l'athéisme EST une forme de religion. La libre pensée, donc le mental a donné le Cogito, ergo sum, sommet ultime des manifestations de la vie ! Ou opinion érigé en dogme prison.

Voici ce qu'on peut lire sur le sens actuel du paganisme : "Les païens sont contaminés par la pédérastie, alors que les juifs résistent aux tentations et s'éloignent des impuretés. C'est pourquoi ceux qui se prosternent devant le bois et la pierre doivent adopter la vraie foi, sinon ils seront punis par les foudres de la colère divine". (Tiré du livre de Shlomo Sand : Comment le peuple juif fut inventé). J'ai envie de comparer avec les histoires de pédérastie chez les prêtres de l'Église romaine ! Et puis c'est encore une guerre avec les universalités...

Le PAIS évoque :

La vue du temps qui coule.
Là où il y a des plaines, des steppes, des montagnes, des forêts.
Le terrain : formé de terre, étendue d’un lieu.
FORÊTS [SILVE] – BOIS :
- A) FORÊT/REFUGE
- B) FORÊT/GRENIER/GRAINS
- C) FORÊT/OPACITÉ/SAUVAGE
A) Pour prier, chercher, s’échapper.
B) Pour se nourrir, pour les matériaux. (Actuellement l’on pille les forêts).
C) Densité des forêts à l’époque du Moyen Âge.
- La forêt des brigands.
- La forêt enseignements, l’on peut apprendre beaucoup de choses en s’y promenant. On peut aussi ramasser des choses, c’est la forêt de l’initiation.
- La forêt des rencontres bonnes ou mauvaises.
Lieu de l’aventure et des bêtes sauvages.

Qu’est-ce que l’on fait dans un paysage : on se promène ; se laisser mener par le FIL D’ARIANE, LE FIL ROUGE.
FIL ROUGE : Dans la marine Anglaise, pour contrôler l’usure d’un cordage et son appartenance, il était tissé dans icelui un fil rouge, permettant ainsi de visualiser la CONTINUITÉ DU CORDAGE. (Pour ne pas se perdre, pour éviter d’aller au fil de l’eau, d’aller à vau-l’eau).
Le fil de l’eau/fil rouge/fil d’Ariane du mythe de THÉSÉE, qui retrouve, reconstitue son chemin dans le labyrinthe, grâce à une pelote de fil que lui avait donné ARIANE fille du Roi MINOS ; ainsi au départ, essayer de trouver la bonne direction, et commencer par le commencement, ou la fin, ou les deux en même temps, enfin je ne sais plus ! Voir du pays. Voyage pour voir de beaux paysages.

Une DÉCOUVERTE :

A) Un trou au travers d’arbres, permettant de voir une belle vue.
B) La découverte du décor de cinéma, c’est le paysage extérieur derrière la fenêtre, paysage peint sur une grande toile.
Dans votre être, votre paysage, vous avez Tout ; c’est à vous de cultiver la “ plante ” que vous voudrez dans le grand Paysage du Monde.
Le paysage de pensées de l’AIR du moment : Telle année, je me souviens avoir ciré mes chaussures dans l'entrée de cuisine de l'appartement de l’École Normale d’Auxerre ; il y avait une lumière tamisée par des vitres poussiéreuses et une odeur de cuisine, mêlée à l’odeur du cirage...

Dans ces conditions du savoir de nos Anciens, comment voulez-vous pouvoir vivre dans un système totalitariste mondial ? que souhaitaient les sionistes à la veille de 1917 et qui se pointe à nouveau à grande vitesse.

Tribus
fait penser aux Juifs, et à ce qui en découle : le communisme !
Mais il y a pire : le FRIC ! Tribut avec un T découle du latin : tributum : impôt; contribution forcée, ce qu'on est obligé d'accorder... Être tributaire de la tribu, de son parti et de son pouvoir !
Tribu sans T découle du latin : tribu, division topographique du peuple romain, subdivision ethnique des peuples grecs, formée d'hommes prétendant descendre d'un ancêtre commun et divisée en phratries.
Tribu, par rapport au fil d'Ariane, voir plus haut, fait penser à l'errance d'une tribu dans un désert, et le propre du mental, c'est d'errer ! Et la force du mental, c'est de se concentrer sur un point. Toujours la dialectique : un et plusieurs, individu et communauté.
Le mental produisant l'analyse et la synthèse ne sont que de l'intellect, une production duelle ; seul le Soi divin transcende l'intellect.
« Une nation [...] est un groupe de personnes unies par une erreur commune sur leurs ancêtres et une aversion commune envers leurs voisins. » Karl W. Deutsch (cité par Shlomo Sand, dans son livre : Comment le peuple juif fut inventé)
Mais une nation c'est aussi les nationalismes qui ne sont que des réactions de la tripe qui se parent des valeurs de l'esprit, dirait Jean Coulonval.

Ainsi le grave, mais vraiment grave problème réside entre le un et la communauté.
L'affaire sera résolu parmi les Juifs, en partie seulement, lorsque les politiques juives, quelles soient sionistes ou antisionistes apprendront à se connaître ; ça leur évitera la montée de haine contre elles et leurs lobbies, et leur coutume tribale ou communautaire. Là encore c'est lié au problème de diviser : le peuple élu et les autres... Tout comme le dieu pour son peuple et pas pour tous !

La véritable dignité d'une nation, d'un Pais, réside dans la possibilité qui lui est reconnue de jouer un rôle dans la polyphonie du concert mondial, selon sa vocation propre et ses façons de sentir, de penser et de vivre selon l'Esprit ou Instant (tous les chemins mène à telle ou telle ville). Car il en est des nations comme des individus : les dons sont divers mais c'est le même esprit (ne serais-ce que en tant qu'humain, nous avons tous le sang rouge). Les nationalismes divisent. Au contraire, le respect des colorations différentes dans les modes de vie, de sentir et de penser des nations peut et doit créer l'unité dans la diversité, seule forme d'unité qui puisse se dire universelle.
L'internationalisme ou mondialisme proposé, et quasiment imposé prochainement comme l'antidote des nationalismes, ne vaut pas mieux car il procède par négation des vocations nationales particulières (comparable entre analogique et maintenant le tout digital et donc le faux ; Hadopi n'est pas là par hasard par exemple). Ce mondialisme ne peut naturellement que procéder par nivellement par le bas, sur le plan dune basse psychologie du ventre et du bas-ventre.
L'américanisme ou capitalisme ou libéralisme, aussi bien que le communisme, ne peuvent conduire qu'à une basse uniformité, à un "général" vraiment général, baptisé "universel", donc déjà une ROBOTISATION ; ça aboutira non pas à une polyphonie mais à un solo de tambour. Cela précisément parce que l'un et l'autre prennent pour critères de valeur de leur civilisation des signes et symboles purement matériels, et comme moyens de persuasion politique des procédés qui visent uniquement le psychologique, le mental, et les appétits sensibles, c'est-à-dire la part de l'âme la plus excentrique, celle qui a le plus tendance à refuser, à refouler tout ce qui, dans le vrai sens, a vraiment valeur universelle. car l'universel est de l'Esprit, le général est de la terre.

Cette confusion entre le général (total quantitatif) et l'universel 'unité dans la vision métaphysique et qualitative) est commune, bien que sous des formes différentes, au communisme et à l"américanisme ou capitalisme ou libéralisme. Le communisme identifie l'Esprit au psychologique et veut l'uniformisation des façons de vivre et de sentir (mais pas que le communisme, ça se généralise dans tous les systèmes).
Par exemple, Staline résume la nation ainsi : « La nation est une communauté humaine, stable, historiquement constituée, née sur la base d'une communauté de langue, de territoire, de vie économique et de formation psychique qui se traduit dans une communauté de culture ». (Toujours tiré du livre de Shlomo Sand).

L'américanisme ou libéralisme, ou quasiment la République, réduit la civilisation au seul aspect scientifique, laïque technique et économique (l'homogénéité de la nation et donc un sens accru du matérialisme). Il ne nie pas officiellement l'Esprit mais le noie dans un flot de jouissances matérielles uniformément imposées à tous par en son temps l'American way of life, et aboutit également à l'uniformité psychologique et à l'étouffement de l'Esprit. L'un et l'autre peuvent résoudre les tensions et antagonismes du corps social, mais en réduisant l'homme à sa seule dimension psychologique et physique (le ventre et le bas-ventre).
Cet abaissement produit dans l'américanisme une unification du pathos de classe dans le culte généralisé de la technique et de l'organisation, et l'identification des besoins de consommation imposée par la technique publicitaire et médiatique, mais il abandonne les choses de l'Esprit au dévergondage religieux des sectes et autres prédicateurs sur des chaînes de télévision.
Quant au communisme, il remplace les classes par de pseudo-castes : paysans, ouvrier, fonctionnaires, oligarques politiques. Castes ouvertes, en principe, n'étant pas légitimées par la naissance, mais d'autant plus réelles qu'elles se définissent par un certain degré d'accès aux mystères dogmatiques d'une pseudo-spiritualité. La classe est de la Terre ; la caste est de l'Esprit. Caste renvoi à la caste hindou et au mot portugais CASTO (pur), aux intouchables.
Caste et classe ne sont pas synonymes, bien qu'en pratique la caste tend toujours à se signifier dans le temporel par des privilèges économiques et donc à dégénérer la classe. C'est ce qui est arrivé à la noblesse de sang (sang bleu) à la Révolution de 1789, qui n'a fait que supprimer ce qui avait perdu la conscience de sa nature. Cette Révolution n'a fait que couper du bois mort.
Inversement, la classe la plus basse, opprimée et avilie, tend toujours pour guérir de ses malheurs à retrouver les sources de l'Esprit, retrouvant le sens de la caste... Ce jeu ou mouvement entre caste et classe est une source du communisme, bien plus que la dialectique marxiste qui n'a fait que dévier et défigurer la première dans un sens pervers. Un dilemme, un doute entre des contradictions est toujours un piège, toujours. La seule solution qui reste est : QU'EST-CE QUE L'HOMME ? Cette question est évidemment terriblement cyclique...
Cette dernière partie est en référence à Jean Coulonval et Synthèse et Temps Nouveaux.

Pour terminer, comme déjà écrit sur d'autres pages, mais cela devient de plus en plus évident, la Renaissance avec l'invention de l'imprimerie porta atteinte à la langue parlée, au son initiatique : le Verbe, la musique des mots ; et les désormais pages imprimées contribuèrent à la propagation des idiomes administratifs étatiques, des lois, qui se répandirent sur de larges territoires et renforcèrent les langues nationales, et compliquèrent singulièrement le fonctionnement des sociétés. Et avec le papier et l'écriture et l'imprimerie, l'horreur des banques et de l'économie du profit que nous connaissons s'en donna à cœur joie ; l'économie, l'usure se développèrent. Tout commença a s'acheter et à se vendre. Les moines copistes perdirent leur travail, et on commença même à imprimer des billets de banque un peu plus tard, et encore plus tard la Carte Bleue à puce.
La libre pensée de la Renaissance à été laïque avant l'heure, avec le besoin d'étudier la matière selon des disciplines intellectuelles autonomes et libérées des suggestions de la théologie et de la métaphysique : ça a conduit à 1789. Mais en prenant le pouvoir politique, elle se niait du même coup. Elle est obnubilé, paralysé dans le consensus social les prises de conscience métaphysiques, ôtant ainsi tout principe de stabilité dans le gouvernement politique, principe qui, jusqu'alors, résidait dans l'essence métaphysique du pouvoir royal, et dont la prise de conscience s'était éteinte de plus en plus depuis la Renaissance. 1789 à été un accouchement commencé à la Renaissance et un début de temps nouveaux.
En triomphant, la libre pensée signait son arrêt de mort, car impossible de gouverner sans reconnaître à chacun le droit de ne pas être d'accord.

Cette libre pensée occidentale qui a donné les existentialistes, qui croient pouvoir rendre logique le fait de "l'immortalité" en déclarant que c'est notre connaissance qui structure les choses. Bien comprendre que ce serait notre connaissance, et non notre mental, qui conférerait une réalité aux choses. Là nous sommes même dans le contraire de Maharshi et du mental contenant le monde.
Quand je mange du pain, je sais bien que ce n'est pas mon intellect qui a fait ce pain. Mon intellect n'a pas besoin pour lui-même de pain. Mais je sais que en ma nature d'être, du Soi divin, il y a la totalité de la Création ; c'est ce qu'explique Ramana Maharshi dans près de 1000 pages. Dans l'existentialisme tout est inversé : l'existence précède l'essence ! Comme si l'invisible reposait sur le visible ; d'où effectivement le terme d'existence, et donc de mort !
La vision à partir du plan physique est idiote, seule la compréhension sur le plan subtil est réalité. Tout ce qui est visible ne peut être réel, c'est la seule réalité possible.


M. R.
 
 
 
L'Europe des tricheurs, mais tous les gens de politique sont des tricheurs : seul le fédéralisme assurera la survivance de l'homme. Oui, sa survivance UNIQUEMENT dans le matérialisme !
 
 
 

Dernière mise à jour : 15-08-2010 18:35

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