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Ecrit par Sechy, le 24-10-2010 16:36

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Argent, Arnaque, Banques, Catastrophe, Diable, Dictature, Mensonges, Politique, Satan, Tromperies, Universelle

 
 
Arnaque Universelle

Déclaration universelle des droits de Satan


La Déclaration « universelle » des droits de l'homme :
Une honte pour le monde !
Une catastrophe !
 
 
 
Voir aussi la nouvelle religion de la Déclaration Universelle des Droits du Peuple ou comment faire du communisme déguisé.

Lecture de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, modèle 1793 (date de l'année de l'ethnocide des Vendéens). Cette Déclaration est l'INSTAURATION DE LA DICTATURE DE L'OPINION QUI IMPOSE À L'ENSEMBLE.
 
Lecture de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, modèle 1793 (date de l’année de l’ethnocide des Vendéens). Cette Déclaration est l’INSTAURATION DE LA DICTATURE DE L’OPINION QUI IMPOSE À L’ENSEMBLE.

Le peuple français, convaincu que l’oubli et le mépris des droits naturels de l’homme, sont les seules causes des malheurs du monde(sic), a résolu d’exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables(sic), afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer, avilir par la tyrannie(sic) ; afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur(sic) ; le magistrat la règle de ses devoirs ; le législateur l’objet de sa mission. 
En conséquence, il proclame, en présence de l’Être suprême [Dieu], la déclaration suivante des droits de l’homme et du citoyen.

Article premier. Le but de la société est le bonheur commun ; le gouvernement est institué pour garantir à l’homme la puissance de ses droits naturels et imprescriptibles. [Ici on enfonce des portes ouvertes !]

Article 2. Ces droits sont l’égalité, la liberté, la sûreté, la propriété. [Ici c’est directement inspiré de John Locke et du Siècle des Lumières en passant par l’époque de la Renaissance]

Article 3. Tous les hommes sont égaux par la nature et devant la loi. [Quelle loi ? Les hommes SONT la Nature]

Article 4. La loi est l’expression libre et solennelle de la volonté générale ; elle est la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse ; elle ne peut ordonner que ce qui est juste et utile à la société ; elle ne peut défendre que ce qui lui est nuisible. [C’est bien là le problème et LE PIÈGE]

Article 5. Tous les citoyens sont également admissibles aux emplois publics. [FAUX, La France, avec son système de concours d’entrée dans la fonction publique et de corps de l’État, est un des pays qui a le plus mis en place la logique de méritocratie dans ses institutions]
Les peuples libres ne connaissent d’autres motifs de préférence, dans leurs élections, que les vertus et les talents. [FAUX, voir ce qu’est devenu le sens du mot ÉLITE, totalement inversé]

Article 6. La liberté est le pouvoir qui appartient à l’homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d’autrui : elle a pour principe la nature [sic] ; pour règle la justice ; pour sauvegarde la loi ; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à un autre ce que tu ne veux pas qu’il te soit fait. [Cela entre dans le dogme de l’opinion et de la libre pensée]

Article 7. Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s’assembler paisiblement, le libre exercice des cultes, ne peuvent être interdits. La
nécessité d’énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme(sic). [Là est le drame principal du culte la libre pensée et de l’opinion]
 
Article 8. La sûreté consiste dans la protection accordée par la société à chacun de ses membres pour la conservation de sa personne, de ses droits et de ses propriétés. [Ici se situe l’arnaque des brevets et droits d’auteurs. C’est le départ de la société de consommation]
 
Article 9. La loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l’oppression de ceux qui gouvernent. [FAUX, Sophisme, tromperies]

Article 10.
Nul ne doit être accusé, arrêté ni détenu, que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu’elle a prescrites. Tout citoyen, appelé ou saisi par l’autorité de la loi, doit obéir à l’instant ; il se rend coupable par la résistance. [PIÈGE - N’IMPORTE QUOI]

Article 11.
Tout acte exercé contre un homme hors des cas et sans les formes que la loi détermine, est arbitraire et tyrannique ; celui contre lequel on voudrait l’exécuter par la violence a le droit de le repousser par la force. [PIÈGE, contenu dans le : « que la loi détermine »]

Article 12.
Ceux qui solliciteraient, expédieraient, signeraient, exécuteraient ou feraient exécuter des actes arbitraires, seraient coupables, et doivent être punis. [Article de bon sens, le premier !]

Article 13.
Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être
sévèrement réprimée par la loi. [PIÈGE, que d’innocents ont été exécuté]

Article 14.
Nul ne doit être jugé et puni qu’après avoir été entendu ou légalement appelé, et qu’en vertu d’une loi promulguée antérieurement au délit. La loi qui punirait les délits commis avant qu’elle existât serait
une tyrannie ; l’effet rétroactif donné à la loi serait un crime. [N’importe quoi, pas clair]

Article 15. La loi ne doit décerner que des peines strictement et évidemment nécessaires(sic) : les peines doivent être proportionnées au délit et utiles à la société. [Utiles à la société  = travaux forcés ou bagnes]

Article 16.
Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie. [Matérialisme, esclavagisme, idioties des brevets et du droit d’auteur]

Article 17. Nul genre de travail, de culture, de commerce, ne peut être interdit à l’industrie des citoyens. [Libéralisme de John Locke et compagnie, débouchant sur le chaos actuel]

Article 18.
Tout homme peut engager ses services, son temps ; mais il ne peut se vendre, ni être vendu(sic) ; sa personne n’est pas une propriété aliénable. La loi ne reconnaît point de domesticité ; il ne peut exister qu’un engagement de soins et de reconnaissance, entre l’homme qui travaille et celui qui l’emploie. [FAUX, FAUX, FAUX, l’esclavagisme existe toujours : le travail ! le PROFIT]

Article 19.
Nul ne peut être privé de la moindre portion de sa propriété sans son consentement, si ce n’est lorsque la nécessité publique légalement constatée l’exige, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité. [FAUX, combien de personnes se sont retrouvé ruiné, à la rue, surtout en ce moment aux États-Unis : patrie des banquiers, des assurances et des avocats]

Article 20. Nulle contribution ne peut être établie que pour l’utilité générale. Tous les citoyens ont le droit de concourir à l’établissement des contributions, d’en surveiller l’emploi, et de s’en faire rendre compte. [FAUX, on voit ce qui se passe dans la France de 2010, où les politiques ne font que pour leur propre intérêt, c’est-à-dire l’argent et le profit]

Article 21. Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d’exister à ceux qui sont hors d’état de travailler. [Oui, mais il manque l’assurance du gite et du couvert]

Article 22. - L’instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l’instruction à la portée de tous les citoyens. [OUI, mais pas le LAVAGE DE CERVEAUX]

Article 23. La garantie sociale consiste dans l’action de tous, pour assurer à chacun la jouissance et la conservation de ses droits ; cette garantie repose sur la souveraineté nationale. [Cela existait de tout temps. Qu’entend-t-on par « souveraineté nationale » ? C’est un déguisement de la royauté !]

Article 24. Elle ne peut exister, si les limites des fonctions publiques ne sont pas clairement déterminées par la loi, et si la responsabilité de tous les fonctionnaires n’est pas assurée. [Loi, fonctionnaires, tout cela existait de tout temps]

Article 25.
La souveraineté réside dans le peuple ; elle est une et indivisible, imprescriptible et inaliénable. [Voilà la plus GRANDE ARNAQUE de ce cycle des 5125 années]

Article 26. Aucune portion du peuple ne peut exercer la puissance du peuple entier ; mais chaque section du souverain assemblée doit jouir du droit d’exprimer sa volonté avec une entière liberté. [Porte ouverte aux partis et aux divisions fouteuses de chaos]

Article 27.
Que tout individu qui usurperait la souveraineté soit à l’instant mis à mort par les hommes libres. [Terrorisme d’État et massacre de Vendée et ravages de toutes révolutions]

Article 28. Un peuple a toujours le droit de revoir, de réformer et de changer sa Constitution. Une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures. [On enfonce des portes ouvertes : par définition une loi étant humaine, elle n’est pas fiable, et donc n’a pas raison d’être]

Article 29.
Chaque citoyen a un droit égal de concourir à la formation de la loi et à la nomination de ses mandataires ou de ses agents. [FAUX, FAUX, FAUX, ce sont les banques qui font les lois]
 
Article 30. Les fonctions publiques sont essentiellement temporaires ; elles ne peuvent être considérées comme des distinctions ni comme des récompenses, mais comme des devoirs. [FAUX, le sens du mot élite est inversé, n’importe quel coquin, voleurs criminel peut devenir élite ou meneur, la méritocratie est la pire des politiques]

Article 31. Les délits des mandataires du peuple(sic) et de ses agents ne doivent jamais être impunis. Nul n’a le droit de se prétendre plus inviolable que les autres citoyens. [Marxisme : cela correspond au nivellement par le bas]

Article 32. Le droit de présenter des pétitions aux dépositaires de l’autorité publique ne peut, en aucun cas, être interdit, suspendu ni limité. [Demain on rase gratis ; et vous pouvez toujours essayer d’attendre une réponse !]

Article 33. La résistance à l’oppression est la conséquence des autres Droits de l’homme. [?]

Article 34. Il y a oppression contre le corps social lorsqu’un seul de ses membres est opprimé. Il y a oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé. [C’est une universalité qui se retrouve dans toute société, on enfonce encore des portes ouvertes]

Article 35. Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. [Début de socialisme, mais cet équilibre fragile entre peuple et gouvernement existait aussi chez les Anciens Égyptiens et autres peuples]

Ces 35 « droits fondamentaux » furent « remaniés »... Ce qui va à l’encontre de ces droits de l’homme eux mêmes.
La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen Inspirée de la déclaration de l’indépendance américaine de 1776 et de l’esprit philosophique du XVIIIème siècle (Siècle de Lumières), la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 marque la fin de l’Ancien Régime et le début d’une ère nouvelle (le libéralisme et culte de l’opinion). Expressément visée par la Constitution de la Vème République, elle fait aujourd’hui partie de nos textes de référence.

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Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme [Cela ne peut pas être inaliénable puisque c’est se mettre à la place du Créateur], afin que cette
déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque
instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous. [Utopie]
En conséquence, l’Assemblée nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l’Etre Suprême (Dieu), les droits suivants de l’homme et du citoyen.

Article premier
- Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. [Selon la loi de Nature, mais pas des hommes]
Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. [Danger de communisme]

Article 2
- Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression. [Matérialisme, libéralisme, Dieu dollar]

Article 3 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. [Article en forme de merde au roi ! Cela pu la franc-maçonnerie]

Article 4 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi. [Piège, à cause du « déterminées que par la loi »]

Article 5 - La loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n’est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas. [Piège, à cause du « Tout ce qui n’est pas défendu par la loi »]

Article 6 - La loi est l’expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les citoyens, étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents. [FAUX, FAUX, FAUX, ce sont les banques et les puissances de l’industrie qui font les lois]

Article 7
- Nul homme ne peut être accusé, arrêté ou détenu que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l’instant ; il se rend coupable par la résistance. [FAUX, FAUX, FAUX, voir la torture, les camps de concentrations US, et de l’exaction et de la terreur imposé par ces gouvernements successifs US dans divers pays et à l’encontre des peuples indiens, depuis 1789]

Article 8 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée. [FAUX, FAUX, FAUX, voir le nombre de « deux poids deux mesures », et justice pour le riches et justice pour les pauvres].

Article 9
- Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi. [FAUX, FAUX, FAUX, on arrêt maintenant PRÉVENTIVEMENT, sans raison, « au cas où » ; c’est le véritable « délit de sale gueule »]

Article 10 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi. [FAUX, la pensée unique s’est installé, l’Inquisition règne plus que jamais, le sens des mots/maux est faussé]

Article 11 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. [FAUX, piège du : « déterminés par la loi ». Et là, la croissance ne pourra pas s’exercer, seul le fric peut prétendre à la croissance. SEUL LE FRIC EST HORS LA LOI]

Article 12 - La garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique ; cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux à qui elle est confiée. [FAUX, PIÈGE, voir ce qui se passe avec les tromperies, les provocations, les manipulations d’opinion, etc.]

Article 13 - Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre les citoyens, en raison de leurs facultés. [FAUX, on plume naturellement les plus pauvres. Plus on est riche plus on fait du profit ; plus on est pauvre plus on s’enfonce]

Article 14 - Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée. [FAUX, ce sont les pouvoirs des banques et des industries qui font les lois]

Article 15 - La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. [Sophisme. Essayez pour voir !]

Article 16 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. [Alors la France n’a pas de Constitution, car s’il y a un semblant de séparation du pouvoir spirituel, pouvoir politique et pouvoir économique sont totalement mélangés, surtout avec l’actuel président]

Article 17 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité. [FAUX, FAUX, FAUX, voir plus haut]
 
 
Un commentaire d’un internaute sur cette Déclaration :
voici les droits de l’homme et du citoyen apportés à la Vendée en cette même année 1793. Je cite :

Le Boucher de la Vendée

« Il n’y a plus de Vendée, écrivait le général Westermann à la Convention en novembre 1793, après sa victoire de Savenay. Elle est morte sous notre sabre avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais et les bois de Savenay. J’ai écrasé les enfants sous les pieds de nos chevaux, massacré les femmes qui, au moins celles-là, n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé... Nous ne faisons pas de prisonniers, car il faudrait leur donner le pain de la liberté, et la pitié n’est pas révolutionnaire ».....alors que serait-ce aujourd’hui pour les peuples qui souffrent l’occupation et la colonisation et l’épuration éthnique sous les yeux du Monde dit « libre ».....de l’arnaque et de l’hypocrisie !!!!!!

D’après une page du site Alterinfo
 
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Je remet sur cette page l’histoire du diable et de son ami.

« Peut-être avez-vous souvenir de cette histoire du diable et de son ami : ils marchaient dans la rue quand ils virent devant eux un homme se baisser pour ramasser quelque chose et le mettre dans sa poche. L’ami dit au diable : « Qu’est ce que cet homme vient de ramasser ? » « Un petit bout de Vérité », répondit le diable. « Mauvaise affaire pour vous, alors ! », remarqua l’ami. « Oh, pas du tout, répliqua le diable, je vais l’aider à l’organiser ! »
Je maintiens que la vérité est un pays sans chemin que vous ne pouvez l’approcher par aucune route, quelle quelle soit : aucune religion, aucune secte. Tel est mon point de vue, et j’y adhère d’une façon absolue et inconditionnelle. La vérité étant illimitée, inconditionnée, ne peut être approchée par quelque sentier que ce soit, elle ne peut pas être organisée on ne devrait pas non plus créer des organisations qui conduisent ou forcent les hommes à suivre un chemin particulier. Si vous comprenez bien cela dès le début, vous verrez à quel point il est impossible d’organiser une croyance. »
(Extrait d’un enseignement de Jiddu Krishnamurti)


M. R.
 
 
[L'adresse de la page : 1296, soit en additionnant : 9, ce qui peut correspondre au "Ciel terrestre" ! Neuf étant le chiffre du Ciel en Chine]
 
 

Dernière mise à jour : 24-10-2010 17:52

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