Made in France in dualité

 

 

Résumé : Contre les Couilles en Or  INVERSER LA TENDANCE, pensez contre, en inversant... à contre-courant...

Malgré des attaques contre la Trinité, je persiste à écrire que rien n'est possible sans cela. Un point en mouvement donne une ligne, puis de nouveau en mouvement il donne un TRIANGLE. C'est la Nature, la Pyrite de fer se construit comme ça. Le libéralisme ou individualisme on voit le résultat ; le communisme ou socialisme on voit et nous avons vu le désastre, ce même système faisant ami-ami avec le capitalisme ; c'est blanc bonnet et bonnet blanc.

 

C'est TERRIBLE, sous peine de catastrophe nous devons trouver une troisième voie. Le binaire c'est la guerre et ses drames, seul le ternaire offre une ouverture. Enfin quoi ! Entre le Un et le Zéro il y a une infinité de chiffres...
On cherche pourtant dans ce domaine, au niveau physique évidemment : le bit classique est un faux robinet, il ne peut fonctionner qu'avec ouvert ou fermé, ou 0 ou 1, et en s'associant avec 7 autres bits, cet ensemble de 8 bits ne peut représenter qu'un nombre entre 0 et 255 EN SÉRIE. Pour remplir un seau d'eau on peut régler le débit du robinet, nous sommes dans l'analogique ; alors qu'avec le binaire c'est tout ou rien ! on reste donc dans le digital.
Le bit quantique ou QUBIT ou QBIT possède 2 états simultanément. Huit qubits peuvent représenter EN PARALLÈLE, donc simultanément, tous les nombres allant de 0 à 255. Mais ce vertige de possibilités laisse entrevoir un doute quand aux résultats de l'opération ; doute où incertitude. Et à cause du système physique, le beau parallélisme du qubit risque de tomber dans une décohérence en retournant en série de 0 et de 1.

UN EST LE TOUT.

Notre société actuelle s'est enfoncée elle-même dans le merde à cause de ses propres outils : l'informatique binaire, à cause d'une non connaissance de la Matière, la notre... Il y a encore quelques années l'analogie était utilisé en télévision, en son analogique dans les microsillons ou enregistrements à bande magnétique, etc. ; maintenant tout est digitalisé : jeux sans fin de zéro et de un. C'EST L'ENFER.
J'ai commencé l'informatique en décembre 1981 sur un Vic 20. La notice papier n'était même pas en français, il a fallu que je découvre tout ça avec un petit dictionnaire Anglais-Français ; pas d'écran non plus : il fallait acheter un petit moniteur (télé sans réception de chaines) de médiocre qualité, etc... Bien-sûr pas de souris pour la navigation dans l'écran et pas de son, pas de système d'exploitation, pas de disque dur, seulement un antique magnétophone à cassette à bande magnétique pour enregistrer les programmes. Le Vic était un outil extraordinaire pour la programmation, il en est sorti l'O.S. Linux ! Mais que de problèmes avec ces zéros et ces un et son langage assembleur... Que de plantages complets...

M. R.

 

 

 

Offensive tous azimuts de Marine Le Pen
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