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Ecrit par Sechy, le 23-11-2010 16:24

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Démocratie, Dictature, Église, Esprit, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Opinion, Pouvoir, Prisons, République, Supplices, Synarchie, Terreur, Tortures, Travail

 
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Les honnêtes gens
et 1789 et le 19ème siècle
 
 
 
Les « honnêtes gens », de la graine de « mauvaises herbes » qui a donné avec les bourgeois et 1789 les bagnes pour enfants, avec la complicité de l’Église catholique romaine... Tout ce beau monde se bombardant de « biens pensants ». Bref, c’est exactement comme les « mauvaises herbes », ÇA N’EXISTE PAS ! Cependant les « trop polis pour être honnêtes » sont nombreux en ce bas monde, ceux qu’on appel « les gens de biens ».

Les « honnêtes gens », ce sont aussi sans doute ceux du Siècle des Lumières qui nous ont foutu dans la merde républicaine du libéralisme et de la merde argent des couilles en Or : les philosophes !
 
Voici ce que devais penser Jagadish Chandra Bose des « honnêtes gens » : il écrivait à la fin de sa vie qu’aucune nounou n’aurait été plus douce que le chef de bande de « hors-la-loi » qui s’occupait de lui. Bien qu’il n’eût que railleries pour les contraintes judiciaires de la société, il respectait profondément la loi MORALE NATURELLE. Malheureusement dans nos sociétés qui se disent modernes (sic), on a presque perdu ces précieux enseignements. (Source sur Bose : La vie secrète des plantes, de P. Tompkins et C. Bird)
Jagadish Chandra Bose, découvreur du semi-conducteur (transistor) déclarait : « J’aimerai que vous puissiez voir le terrible attachement que l’on a dans ce pays pour le profit... cette convoitise pour l’argent... Si je mettais le doigt dans cet engrenage, il n’y aura plus d’échappatoire pour moi ». (Source : Wikipédia).

En dehors des franc-maçons, ce sont les « honnêtes gens », ou plutôt les gens riches qui craignaient pour leurs couilles, pardon, pour leurs bourses, qui ont laissé faire 1789, puis les bagnes pour enfants et adultes avec une justice abominable, tant du temps des rois que de la république. A société injuste justice injuste, à plusieurs vitesses, pour les riches et pour les pauvres, pour ceux qui ont l’autorité, et ceux qui n’ont que leurs sabots aux pieds et sans chaussettes.

Pauvres gosses condamné au bagne pour avoir volé un saucisson, des oranges ou une pièce de monnaie, à cause de la faim, et pour survivre dans l’enfer du bagne, essayaient de sortir de la folie en se masturbant, afin d’avoir un répit de plaisir ; et qui étaient obligés de lécher et d’avaler leur sperme pour ne pas laisser de trace et être punis : « La menue revanche s’épanchait en sperme au creux des mains. Mais qu’en faisiez-vous ? ai-je demandé à Louis. Nous le mangions, répondit-il. Il ne fallait pas laisser de traces... Je le trouvais amer, aigre. Dans ma tête souvent j’ai pensé : vitriol. Mais après, ni vu ni connu », écrit Marie Rouanet dans : Les Enfants du Bagne. Pas question de rejoindre un autre détenu pour avoir une tendresse, de l’amour, la fin de la solitude tout simplement, car s’était s’exposer aux plus dures punitions. Tout semblait marcher de façon sadomasochiste : punitions, récompenses, comme des animaux, des rats de laboratoires.
Toutes proportions gardées, je garde un souvenir angoissant de la distribution des prix à l’école de Jules Ferry, du temps où cette méritocratie existait, façon images pieuses du catéchisme.
Distribution des pris sous la scélérate troisième république.


La carotte et le bâton, façon : amour du travail, ordre, propreté, honnêteté, soumission.


C’est à la fois le sursaut monarchique du 19ème siècle gangréné par 1789, et Napoléon 3 dans la brève République qui furent responsable de la loi du 5 août 1850, organisant officiellement les bagnes pour enfants, pardon, les colonies agricoles publiques et privées. Ce sont donc des conservateurs, des monarchistes qui firent voter cette loi créant des colonies pour jeunes détenus, comme ils ont voté la loi Falloux qui entraîne un grand nombre d’écoles et de collèges confessionnels, puis une autre loi viendra restreindre la liberté de la presse (censure).
Marie Rouanet dans son livre écrit en 1991 indique dans une note que la loi Falloux n’est pas abrogée : « La loi de 1912 et l’ordonnance de 1945 ont eu un aspect judiciaire plus que législatif. Ni 1912 ni 1945 n’abrogent la loi de 1850 », mais d’après le Wikipédia cette loi de 1850 est abrogée en 2000...

Comme souvent dans un gouvernement républicain,les politiciens prennent leurs désirs pour des réalités : au 19ème siècle, le vœux « d’éduquer » les jeunes délinquants qui furent séparés des délinquants adultes ne fut pas suivit d’effet.
Par contre pour les jeunes « ayant agi sans discernement », la fameuse RAISON chère aux révolutionnaires et philosophes, mais non remis à leur parents, seront « conduits dans une colonie pénitentiaire ». Ils y seront « élevés » en commun, sous la discipline sévère et appliqués aux travaux de l’agriculture, ainsi qu’aux industrie qui s’y rattachent ». Il sera « pourvu à leur instruction élémentaire » (lire, écrire, compter).
J’ai eu en main les épreuves pour entrer dans une compagnie de chemin de fer aux environs de 1890 : une dictée d’environ 15 lignes, une rédaction d’environ une courte page, et les quatre opérations de calcul simple ; c’est tout ; il fallait aussi fournir un « certificat de bonnes mœurs »... Apparemment ça existe toujours et reste à savoir ce que l’autorité entend par « bonnes mœurs », car il s’agit surtout de ne pas avoir été condamné par la justice humaine. Ce qui se passe maintenant en dessous de la culotte ne les regarde pas ; ce n’était pas le cas autrefois avec la chape de béton de l’Église catholique romaine.
Mais placer des enfants dans ces bagnes, pardon, colonies, ça coûte du pognon ! les politiciens pondront les articles 5, 6, 7, 8 qui prévoient, bien-sûr légalement, la création de colonies privées ; et c’est là que l’esclavage empire.

Page complète sur cette loi de 1850.

Art. 5.
Les colonies pénitentiaires sont des établissements publics ou privés.
Les établissements publics sont ceux fondés par l’Etat, et dont il institue les directeurs.
Les établissements privés sont ceux fondés et dirigés par des particuliers, avec l’autorisation de l’Etat.

Art. 6.
Dans les cinq ans qui suivront la promulgation de la présente loi, les particuliers ou les associations qui voudront établir des colonies pénitentiaires pour les jeunes détenus, formeront, auprès du ministre de l’intérieur, une demande en autorisation, et produiront à ‘appui les plans, statuts et règlements intérieurs de ces établissements.
Le ministre pourra passer avec ces établissements dûment autorisés, des traités pour la garde, l’entretien et l’éducation d’un nombre déterminé de jeunes détenus.
A l’expiration des cinq années, si le nombre total des jeunes détenus n’a pu être placé dans des établissements particuliers, il sera pourvu, aux frais de l’Etat, à la fondation de colonies pénitentiaires.

On a l’impression que les « honnêtes gens » voulurent se débarrasser des petits pauvres, comme notre eugénisme moderne et sa théorie des riches banquiers, mais pas tant que ça, qui souhaiterait se débarrasser du trop grand nombre d’habitants sur notre planète Bleue.
De la loi de 1850 on pouvait craindre toutes les dérives, et c’est ce qu’il se produisit : jamais il n’y eut plus d’abus et de misère au cours de cet abominable 19ème siècle, siècle d’Or des banquiers Rothschild et Rockefeller et compagnie et de leurs industries.
Peu à peu le gouvernement de Napoléon 3 multipliera les instructions, les contrôles, pour tenter de moraliser les colonies agricoles pénitentiaires, mais sans résultat.
Puisque je parle de banquiers, c’est tout le secteur public qui va se précipiter vers cette nouvelle poules aux œufs d’Or offerte par l’article 6 : les petits nègres sans nègres, les enfants. Marie Rouanet écrit qu’il y a en 1858 seulement 12 établissements publics contre 45 de privés. En 1865 : 8 colonies publiques et 55 colonies privées.
Une main-d’œuvre mené à la baguette et au bâton et qui ne coûte que l’installation, puisque l’État donne au directeur de l’établissement un prix de journée par colon. De petits esclaves sous la bénédiction de l’Église catholique romaine. Les goulags staliniens existaient aussi chez les religieux : petites filles aux cheveux vendus (voir les Misérables de Hugo), brodeuses de fin tissus qui n’avaient même pas le droit d’aller aux latrines pendant les heures d’atelier pour que le temps du travail soit entier (elle faisant leurs besoins sur place ! dans leur culotte). Pareil pour les adultes dans l’industrie de la métallurgie : l’ouvrier urinait sur place...

Pour fournir les futurs petits esclaves, la justice eut la main lourde bien plus qu’avant la création de ces bagnes pour enfants :
Ce qui, en 1830, « valait » un an de prison ou deux pour un vol simple, va coûter des années de colonie, pour la bonne raison que la justice croit remplacer les parents déficients ou le milieux perverti.
En 1887, pour un vol de saucisson, comme auteur et comme complice, Frédéric Albert passera 5 ans à Aniane, de 13 à 18 ans.
Condamné longtemps était nécessaire au PROFIT, et économisait du temps et de l’argent dans l’organisation ou les mouvements administratifs dans les colonies.

Les philosophes du Siècle des Lumières sont les responsables de cet enfer, Jean-Jacques Rousseau aussi avec le mythe de la terre améliorant la personne, en tous cas pas au niveau des reins ! Il eut fallut choisir la voie de l’Horticulture au temps des chasseurs-cueilleurs !
Lavage de cerveaux, conformité à l’ordre établit arbitrairement (la raison), « moralisé » par l'esclavage, par les dogmes de l'Église catholique romaine. Lavage de cerveaux afin de fournir la chair à canons (les soldats intrépides) et à patrons (les bons ouvriers soumis)

Au 19ème siècle on normalise comme des patates les petits bagnards, pour la puce digitale il faudra attendre le 21ème siècle ; à ce stade et avec l’imagination humaine délirante, nous aurons une « conformité totale »...

Au 19ème siècle il s’agissait d’apporter la rédemption du jeune individu par le travail. Ça ne vous rappel pas une certaine inscription au dessus de camps de la mort ? Donc les nazis n’ont rien inventés.
Cette utopie rédemptrice par le travail nécessaire au couilles, pardon, aux bourses des banquiers, se retrouve maintenant sous des formes diverses et plus ou moins déguisées. Voir le pétainisme, et bien-sur le 19ème siècle en pleine naissance industrielle. Puisque les humains au lieu de choisir l’Horticulture avaient choisit l’agriculture, ils allaient en chier dans les champs sous le soleil et pliés en deux sur leur charrue. Alors ont fit passer pour le bonheur de suer sang et eaux pour « gagner sa pitance, ou sa vie » et dépenser son maigre salaire pour engraisser les banquiers. On affirma que « en ce temps là » les gens étaient plus heureux, qu’il y avait du respect, moins de délinquants, etc. Mais que « quand même » on savait s’amuser. C’est la même vision que celle des « mauvaises herbes » et des « honnêtes gens » décrite en début de page.
Dans ce 19ème siècle : que du profit et du vol, des intérêts, de la cruauté, de l’avarice, de l’égoïsme, des mensonges et de la bêtise, de la perversité et du sadisme ; et l’insécurité n’était pas le propre des cités mais elle régnait aussi dans les campagnes (voir par exemple le film L'auberge rouge illustrant un fait réel).

Évidemment, dénoncer tout cela au 19ème siècle c’était « mal vue », c’était choquer les « honnêtes gens » : oh ! pas de ça chez nous !
La recette d’Alphonse Allais : mettre l’air de la campagne dans les villes, sembla s’appliquer au début des années 1990 lorsque des politiciens s’aventurèrent de proposer pour contrer le « mal des banlieues » d’envoyer ces jeunes travailler, pardon, de recevoir ces jeunes à la campagne ; ainsi on retournait à la case : bagnes, pardon, colonies agricoles...

La loi de 1850 stipule bien « travail agricole » donc c’était valable aussi pour les enfants des villes. Il s’agissant d’en faire des paysans, à l’ère de l’industrialisation... Pour les usines, il faut que les parents des enfants habitent les villes, et que les petits bagnards se conduisent bien, et qu’ils ne supportent pas la gymnastique des agriculteurs dans leurs champs (pas de tracteur à l’époque)... toujours la soumission au patronat et aux banques ; ainsi le ministère de l’intérieur fixe à 15% les enfants non-agriculteurs.
Dans une note, Marie Rouanet précise qu’en 1859, sur 7162 garçons, on compte 3215 enfants naturels (pas de moyens contraceptifs à l’époque), orphelins, enfants de parents emprisonnés, de vagabonds, etc., ce qui est énorme.
Bien-sûr on voit mal les petites filles faire de la gymnastique d’agriculteurs dans leurs champs, aussi les prépare-t-on pour l’esclavage en usine.

Bis repetita placent :
Lorsque je travaillais en 1965 dans les Messageries Hachette (gigantesque entreprise de transport du papier imprimé)(1), dans leurs immenses hangars aux bords de la Seine proche de la Maison de la Radio à Paris (ces hangars n’existent plus actuellement), quand j’étais étudiant en dessin et pour me faire un peu d’argent de poche, il y avait des « repris de justice » qui faisaient le même boulot que moi : dans la main une liste de bouquins pour diverses librairies, avec l’autre, pousser un wagonnet et le remplir de bouquins disposés dans d’immenses rayonnages. Le soir, à la sortie des hangars et à la veille de quitter le travail, on nous fouillait pour voir si nous n’avions pas caché de livre dans nos poches... Bref, ce travail se résumait au rôle de « machine ».
C’est exactement ce qui se passait au 19ème siècle avec la prison de la Roquette : la presque totalité des usines est constituée d’établissements publiques pénitentiaires ! à l’exception des prisons et lieux d’enfermement pour filles, où on fait dans la dentelle pour riches.
Marie Rouanet précise : « En 1861, Lyon, Rouen, Strasbourg, Saint-Lazare, Mâcon n’ont pas la moindre activité agricole ». Le plus terrible est la prison de la Roquette : les enfants y sont enfermés dans un silence total imposé, isolé et dans un air confiné. Cette prison était pleine en 1865, il fallut la visite de l’impératrice Eugénie en juin 1865 pour apporter une amélioration qu’aucunes révoltes n’étaient parvenues a obtenir. Une commission d’enquête fut ordonnée... Le taux de mortalité était accablant. Les quartiers « spéciaux » furent fermés, et les jeunes envoyés « en colonies agricoles », dont certains dans le bagne de l’île du Levant.


Déraison de la Raison des « honnêtes citoyens » et la laïcité

Où la liberté règne, c'est la machine qui gouverne.
Tel est l'ordre révolutionnaire de 1789, irréfutable comme la logique.

La soumission, mot clef de la démocratie

L’énergie, définition modèle 1793 : l’activité la plus basse et la plus grossière, celle de la passion et de la peur. Cela ne vous rappel pas notre époque ?

La LAÏCITÉ est du même ordre que les « honnêtes gens ».

Doctrine du vote forcée ou de l’opinion acquise ou de la LAÏCITÉ : « La soumission des autres. On reconnaît « l'argument du fait accompli », l'argument social par excellence, qui s'autorise de l'opinion commune, comme telle, sans se mettre en peine des doctrines ou des intérêts qui peuvent la fonder. Il ne s'adresse ni au cœur ni à l'intelligence, mais seulement à des forces passives, depuis l'esprit moutonnier jusqu'à la peur. Ceux-là lui sont acquis, qui obéissent parce que la foule obéit, ou parce qu'ils le croient ; et c'est cette masse d'inertie qu'il canalise et concentre, pour le faire peser sur les résistances isolées », écrit Augustin Cochin dans les Sociétés de pensée et la démocratie moderne ; et c’est exactement un résumé de la laïcité : elle fait semblant de ne pas s’imposer, afin de profiter à « l’intérêt général », d’être en accord avec l’ensemble, mais en postulant que cet accord existe déjà.

Cette laïcité qui effectivement met devant le fait accompli : « Le système est avantageux pour les dirigeants, qu'il dispense de droits, de talents, même de popularité. Il est irrésistible pour les gouvernés, à deux conditions : qu'ils soient « affranchis », au sens négatif et démocratique du mot, c'est-à-dire parfaitement dissociés, isolés les uns des autres [individualisme], dès lors sans défense contre l'argument du fait accompli », écrit A. Cochin.

« La fonction de son maître rouage consiste en effet à faire ressortir à chaque moment, sur chaque question, contre chaque dissidence, l'argument du fait accompli. Les tableaux et pointages n'ont pas d'autre objet. C'est là le secret du système - le seul qui puisse assurer l'union sans détruire la liberté », écrit A. Cochin ; en fait c’est un système très binaire !

« Toutes les lois de socialisation prêtent à la même remarque : liant, matériellement, les citoyens entre eux, elles les divisent moralement. C'est le principe de la fraternité républicaine - question de situation, bien plus que de mœurs et de principes. La force des choses fait de chaque citoyen l'ennemi naturel, le surveillant de son voisin. Pendant les dix mois de la Terreur, la France tout entière donna, de district à district, de commune à commune, d'homme à homme, le spectacle de cette guerre entre forçats de la même chaîne, qui est d'ailleurs, nous le verrons, aussi bien la condition que l'effet de l'ordre socialisé : la haine universelle a son équilibre, comme l'amour son harmonie ».

« Le pouvoir est donc assuré d'avance d'une assistance effective et constante de la collectivité, surveillance et main-forte lui sont garanties contre l'incivisme et il lui suffit de constater et de dénoncer, pour déchaîner contre l'égoïsme de chacun l'égoïsme de tous. C'est cela même - la passion bridée par la peur - que l'on nomme, sous la démocratie sociale, la vertu : on ne peut dire que ce soit le mal, puisque l'acte coupable n'a pas lieu. Mais c'est quelque chose de pis [système de la laïcité] ».

« Pas d'administration possible sans uniformité » écrit Augustin Cochin, c’est exactement le job du Grand Administrateur SATAN.
« L’uniformité est la première loi du travail qui a commencé par le lotissement départemental de 1790, et fini par la socialisation radicale de l'an II - ce triomphe de l'administration, qui substitue, jusque dans la vie économique et la vie privée, la règle commune au ressort personnel, la formule légale à l'initiative. Soumise à ses cadres impersonnels, la foule humaine apparaît vraiment matière [des patates, des individus], c'est-à-dire force motrice homogène et indéterminée, ne prenant figure, direction, emploi, que de la machine qu'elle fait mouvoir : quelque chose comme la vapeur dans une locomotive ». Augustin Cochin définit carrément le communisme.
En parlant de machine, je crois que seuls des « petits moteurs » permettrons de s’en sortir, mais pas à la façon de l’individualisme et du libéralisme actuels. Des petits moteurs ou des Soi...

M. R.


Note.
1. Nous ne sortons pas des Couilles en Or : « Les Messageries Hachette, colossale entreprise de transport, de distribution et de vente du papier imprimé, nous nous trouvons en présence d’un formidable monopole de la Juiverie.
C’est, en effet, l’Agence Havas, dont nous venons de voir le complet enjuivement, qui détient la majorité de ses actions, et ce sont les deux banquiers juifs Horace Finaly et Jacques Stern qui ont voix prépondérante dans son conseil d’administration... »

Voir aussi ce site d’archives.
 
 

Dernière mise à jour : 23-11-2010 17:15

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