Les constructions seront en matériaux légers, sans cave et avec plan au sol surélevé pour permettre à la Terre de respirer. Toute construction dépassant les 27 mètres carré devra intégrer un espace relié au sol terrestre permettant la poussée de petites plantes. Qui dit antigravitation dit absence de guerre (donc ce n'est pas demain la veille), donc il n'est plus nécessaire de construire de longs et épais murs contre un supposé envahisseur.
Cette Loi est destinée à laisser vivre le sol terrestre librement. En effet, sous une grande surface de bitume, de béton, se modifie certains paramètres naturels du sol. On le recouvre d'une large chape imperméable (par les immeubles, les voies d'accès, de dégagement, de stationnement, etc.). De ce fait les conditions thermiques et hygrométriques du sol sont modifiés sur une profondeur parfois importante (cas d'implantation d'une voie de chemin de fer avec consolidation du sous-sol par de multiples couches asphyxiantes).
Souvent l'humidité se trouve augmentée car les remontées d'eau ne peuvent plus respirer et s'évaporer à la surface du sol. En outre, pour diverses raisons, (présence d'immeubles, chape de bitume absorbant la chaleur solaire) la température sous-jacente augmente sensiblement et reste constante ; sur des sols elle avoisine 25 à 30° toute l'année, et plus parfois. Ainsi toute les conditions sont réunies pour favoriser la prolifération microbienne, en général anaérobie (microbes vivants sans R).
Alors il faudrait connaître la composition de l'immédiat sous-sol, nous marchons bien dessus, et nous ne nous préoccupons même pas de savoir si une prolifération microbienne est de nature à modifier profondément la nature de l'arène sous-jacente.
Exemple donné par
Louis Kervran dans son livre :
Preuves en Géologie et Physique de Transmutation à faible énergie.
Le propriétaire d'une ferme doté de nombreux engins décide de faire recouvrir sa cour pour lui éviter de devenir un bourbier à cause des nombreux passages des véhicules. Il fit recouvrir sa cour de sable recouvert d'une chape goudronnée. Au bout de quelques années sa cour était devenu impraticable, avec creux et bosses très accentués. Il fit crever la couche pour constater qu'il se trouvait dessous de la roche schisteuse pourrie, à fleur de sol.
Ainsi le remède que propose Kervran au fermier est celui décrite par cette Loi : des dalles ou petits carrés non recouvert de goudron, toujours pour que la Terre respire, qu'elle s'assèche, se refroidisse (par quelques arbres, des massifs floraux, etc.). Dans l'idéal les dalles devraient être en pierre, en terre cuite, à l'ancienne, comme par exemple le pavage dans l'antique cité de
Pompéi. Une autre solution mais beaucoup moins esthétique et agressive pour les formes de vie : creuser quelques trous et y déverser une solution basique afin d'augmenter le pH du sol, les bactéries responsables le plus souvent ne prolifèrent qu'en milieu acide. Mais cette méthode non esthétique et criminelle, car si elle est appliqué dans une ville, cela peut tout dérégler jusqu'à soulever des immeubles, cas rapporté par Kervran dans un quartier nouveau
d'Ottawa au Canada.
Le sous-sol y est formé surtout de schistes un peu pyriteux. Mais du fait de l'altération provoqué par la couverture asphyxiante du sol, par les rue et les immeubles, la prolifération bactérienne s'y est développée au point que le schiste a été transformé en gypse. Le gypse cristallise, (tout cela évoque beaucoup l'Alchimie !) avec deux molécules d'eau et un volume plus grands que ses composants. la roche foisonne, et la lentille de schiste s'est gonflée au point de soulever un grand immeuble, irrégulièrement la roche n'étant pas homogène. Le soulèvement d'une dalle du sous-sol à atteint 10 cm en quelques années.
Le remède consista à laisser respirer le sol afin d'empêcher cette prolifération bactérienne anaérobie. et dans le cas de cet immeuble il s'agissait de bactéries acido-résistantes, qui peuvent produire de l'acide sulfurique ; donc il fallait alcaliniser le sous-sol par une solution sodique...
Donc le principal remède à l'asphyxie des sols est le DALLAGE.
...
Je n’ai pas triché sur les terrains.
Je n’ai pas ajouté au poids de la balance.
Je n’ai pas faussé le peson de la balance.
Je n’ai pas ôté le lait de la bouche des petits enfants.
Je n’ai pas privé le petit bétail de ses herbages.
Je n’ai pas piégé d’oiseaux des roselières des dieux.
Je n’ai pas péché de poissons de leurs lagunes.
Je n’ai pas retenu l’eau dans sa saison [en période d’inondation annuelle].
Je n’ai pas opposé une digue à une eau courante.
Je n’ai pas éteint un feu dans son ardeur.
...
Suite de la Prière de la Pureté
M. R.