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Ecrit par Sechy, le 22-01-2011 23:04

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Démocratie, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Inquisition, Instant, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Opinion, Pouvoir, Prisons, Religions, République, Supplices, Synarchie, Terreur, Tortures, Travail

 
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Pauvres Terriens

Ils ont perdus leur ESSIEU
 
 
 
ATTENTION : texte dense (danse) et complexe.
 
 
 
Le communisme est tout à la fois pouvoir religieux, pouvoir politique et pouvoir économique. Il ne les distingue pas, et se présente ainsi comme l’envers de l’Islam, lequel bloque aussi les trois pouvoirs (économique, politique, religieux), mais pour soutenir l’unité du divin.
A l’aube du christianisme, l’Islam a nié la Trinité sous prétexte de préserver l’unité de Dieu. L’Islam tient la résurrection du Christ (dont je rappel que l’original est Osiris) pour une imposture... Mais il n’est resté que le UN de l’arithmétique, d’où la tendance à stabiliser l’histoire en stérilisant le circulus trinitaire entre science, métaphysique et théologie, au cours de l’histoire. L’Islam n’a qu’une théologie défensive, pas de science. L’élan scientifique et philosophique des Al Farabi, Ibn Rochd (Averroès), Ibn Sina (Avicenne), fut vite étouffé sous la pression de l’orthodoxie coranique.
L’Islam n’a pas vécu le besoin de science pure, de connaissance de ce qu’est la matière  « en soi » fort du recours à la métaphysique, qui a marqué dans le christianisme latin la charnière entre le Moyen Age et les temps modernes. Les musulmans n’ont pas vécu le concept de science pure, qui a conduit dans le marxisme à une sorte de théologie de la matière. (Voir l’Alchimiste Jabir Ibn Hayyan).
Ils s’imaginent que la technique industrielle a des sources purement pragmatiques, que ce n’est que des trucs, des procédés. Ils n’en perçoivent pas les sources spirituelles dévoyées mais réelles, parce que le circulus a été éteint dans leur corpus psychologique.
 
D’où le drame de l’Islam pour son insertion dans le monde moderne. Pour lui, la civilisation technique n’est nullement un fait spirituel, mais seulement un moyen de domination temporelle, d’impérialisme (voir plus bas où Grasset d’Orcet dit exactement la même chose). D’où sa furieuse volonté de s’industrialiser pour dominer à son tour, et venir plus loin que Poitiers...
Inversement, la philosophie soviétique, le communisme, nie la Trinité au nom de l’unité de la Matière. Contrairement à l’Islam qui a figé l’histoire, pour elle, tout est histoire, tout s’écoule sur une ligne entre un passé indéfiniment reculé et un futur également indéfini, les lendemains qui chantent (Demain on rase gratis). Il n’y a pas de circulus où le Christ est l’Alpha et l’Oméga.

L’Islam est un démarquage du Judaïsme. Le Coran, texte descendu du Ciel, intouchable, dont il est défendu de faire l’exégèse (voir les graves problèmes qui vit l’écrivain Salman Rushdie), n’est-il pas une parodie de l’alphabet divin des Hébreux ?
Mohammed pour le sceau des prophètes (le dernier des prophètes du monothéisme), qui promet au Paradis des femmes toujours vierges et toujours prêtes à être dépucelées, des jeunes garçons à sodomiser autant qu’on en veut ; une religion qui fait de Dieu un patron de bordel.

Le communisme a été pensé et installé en Russie par des Juifs. Voués par Dieu à la pensée globale (dans le style de l’Orient), à la synthèse, les Juifs ont tout perverti et, pourtant, ils sont irremplaçables [note : surtout pour manier les choses matérialistes]. Le monde a besoin d’eux. Nous entrons historiquement dans l’ère de la synthèse, la vraie. Le communisme pourrait se définir comme la quatrième religion du Livre, derrière l’Islam. Il est alors à la fois contre le judaïsme, contre le christianisme, contre l’Islam.

Voilà ce qu’écrivait sur l’Islam et le communisme en mai 1971 Jean Coulonval, avec un grand courage et une lucidité extraordinaire, dans Synthèse et Temps Nouveaux.

Franc-maçons ou sectes ésotériques sont à la merci de n’importe quel  gourou et du cancer du pouvoir : l’avidité du « savoir » (ne pas se voir) ce que le commun des êtres humains ne connait pas et mus par l’obscure besoin de domination sur l’ignorant.
Comme les gourous, il y a des « têtes d’œuf » ou chefs de file, qui décident du système, et se prétendent détenteurs et gardiens du moule originel, formulent les systèmes philosophiques et, en conséquence, prétendent agglomérer autour d’eux des disciples, recrutés parmi ceux qui ont souffert des mêmes carences dans la satisfaction des appétits du sensibles. Fabriquer l’opinion, agiter les hommes avant de s’en servir comme disait Talleyrand. Cette définition de Talleyrand est donc fausse puisqu’elle ne concerne que l’opinion, et non l’art de vivre qui est la politique d’un ensemble de personnes.

Imaginez une planète habitée avec deux soleils, ou deux lunes ! Si les entités de la planète pratiquent une « religion », elle serait totalement différente de ce que nous connaissons sur Terre.
En effet, tout étant double dans cet univers, dans notre portion de Galaxie et notre planète Terre avec ses deux luminaires : Soleil et Lune, ça nous a donné des religions, des philosophies et des sectes solaires et lunaires ; tout comme il y a des franc-maçons des champs et des franc-maçons des villes... Tout comme il y a un + et un -, féminin et masculin, initiés et profanes... Tout symbole est double, les nations comme les humains.


Les dogmes des religions positives ou solaires se résument au décalogue (10 Commandements) emprunté au rituel funéraire égyptien, qui le tenait peut-être lui-même d’une autre civilisation plus ancienne. Ces religions n’ont pas de doctrines secrètes et sacrifient la logique métaphysique au côté moral et politique (voir par exemple la prière de la Pureté, qui tient du bon sens et d’un code moral). Ce sont les seules qui établissent sur des bases solides la discipline sociale, en promettant aux déshérités de ce monde une compensation certaine dans une autre vie ; et toute aboutissent à l’égalité devant la loi humaine comme devant la loi divine. Ce sont des religions essentiellement politiques et militaires, et l’Europe et l’Occident leur doit uniquement l’empire du monde (la République, cette nouvelle religion). Selon ce qu'en explique Grasset d'Orcet dans Œuvres décryptées.

Religions solaires et lunaires :

Dans un cas, les unes n'aiment pas assez leurs prochains ; et dans l'autre, elles les aiment trop ! Par exemple 1789 est solaire et censée faire progresser l'humanité ! On voit où ce libéralisme nous a conduit... Par contre, le principe lunaire du protestantisme façon Cromwell est différent.
 
 
 
Positif et Négatif ne le sont pas vraiment !

Il est bien connu qu’un chemin laissé « vide » pendant quelques saisons sera rapidement envahi par des ronces et des Orties, bref ce que les humains nomment : « les mauvaises herbes ».
Le vide est considéré comme le négatif, le zéro, le commencement de quelque chose, donc une matrice. Kenos, de Chanaan (Canaan), indique le creux, comme une canne, le vide ; de là l’idée de matrice exprimée par le mot français ‘coin’ et par le chiffre romain V ou quintus (proche du mot quitus : une décharge, de quitter, se déssaisir). Voir également plus bas le mot PIEU.

Le contraire du creux est le plein, le bombé, le convexe ; en grec et en latin KR indique convexe et bélier, de là le nom de quirinus, que les Romains donnaient à Janus, représentant du principe mâle et solaire. Chez les Romains, le quiris était le bâton terminé par une crosse, restée l’emblème distinctif des évêques tels que nous pouvons les voir à notre époque. Son temple était en forme de croix, et chaque branche était éclairée par trois fenêtres correspond aux 12 stations solaires.
Le nom de Janus était l’exacte traduction du grec jason et du chananéen io-isha : dans les trois langues il désignait le Soleil guérisseur.
Précision : la croix est typiquement latine, comme emblème masculin et solaire (+). Le stavros des grecs et le hets des Juifs étaient aussi des instruments de torture, du genre pilori, simple poutre à laquelle les condamnés étaient suspendus par les bras, et seulement après avoir été lapidés chez les Juifs. (Voir au musée du Louvre à Paris le Jason attachée de la sorte à un stavros pour avoir volé la Toison d’or).
Pilori vient de pieu, pilier. Or on dit « aller au pieu » quand on ‘tombe’ malade ou de fatigue.  Le pieu est fiché en terre, et donc à la masse comme dans un circuit électronique. On dit aussi « être à la masse » pour dire qu'on est fatigué du cerveau. C’est donc une fonction de purification, comme le feu, et on se repose la nuit allongé dans son lit. Aussi il n’est pas étonnant qu’autrefois on enfonçait des pieux ou des grosses pierres, comme les menhirs (pierres plantées), dans le sol pour le purifier des mauvais courants magnétiques ou autres. Le flux, le courant, le « lit » de la rivière,  tout cela participe du même phénomène. Voir plus bas l’importance des mots AXE et ESSIEU.
De plus, le POINT SUR LE I et LE POINT C'EST TOUT participent du même flux :
Le moment où je parle, ou j'écris, est déjà loin de moi...
Ce qui correspond à l'Instant : la Source ou la Vierge devenant plus vierge car connu ; l'incertain devenant certain, certain pas tant que ça, car soudainement mortel... Nous avons bien à faire à un monde d'illusions... Seul subsiste éternellement le minuscule POINT du SOI de Ramana Maharshi, la FOCALE.

Dès l’aube de l’humanité les deux groupes de religions, solaires et lunaires, ont vécu côte à côte, malgré le désir de s’exterminer réciproquement : les guerres des universalités...
Par exemple, chez les croyants de la foi de Moïse, le principe mâle était adoré par les Élohistes, et le principe femelle par les Jéhovistes.

Vénus est du domaine féminin et de la Lune, négatif (pas au sens péjoratif !) ; et lorsque la religion solaire prit le dessus, la lunela (religion lunaire) se réfugia dans les forêts où elle se maintient sous le nom de Lunel et de Braganze. La déesse Berecynthia, en grec la ‘chienne de malheur’, a laissé son nom aux Burgondes et à la Bourgogne. Les ‘sans-culottes’ de 1789 viennent de cette origine. Les armes de la Bourgogne jouent sur son nom qui, en vieux français, équivalait à Braque n’a et Bourg n’a (sans culotte et sans bourg). Bure-gone indique une robe de bure ; et au Moyen Age la buregone est le vêtement des sorciers de comédie. A cette époque ils étaient presque tous juifs ou gitans, et ils transmirent leur radicalisme (leur source) aux sans-culottes (les sans frocs), avec l’habitude de ne pas en porter.
La couleur bure (marron-jaune) ou tannée était celle de Vénus (couleur jaune), représenté par le laiton, la capillaire de Montpellier (cheveux de Vénus, dessin du haut) a une fleur jaune. Cette couleur était imposée aux Juifs, d’où le port de l’étoile jaune pendant la seconde guerre mondiale sous le nazisme.

Beaucoup de gens avaient remarqué que les chiens aboient à la Lune, et jamais au Soleil ! Ce qui a fait dire que les religions placées sous la Lune étaient celles des chiens... Ce qui soutient qu’on ne doit pas empêcher ce qu’on appel aujourd’hui l’amalgame... sinon c’est de la censure ou de l’Inquisition, au nom de je ne sais quel pouvoir dictatorial...

Maintenant le + et le - donnent un résultat : la ‘solution’ (le sel, la sueur, le salaire), ce qui nous amène à la TRINITÉ. Le résultat de 1 et 2 est aussi le ‘quart’ (fraction), le ‘concors’ (de résultat ou accord) et la ‘quine’ (quinas, de quini : « cinq chacun »). La Trinité pourrait se résumé à 4 (5 4 ) 5, ou + (- +) -.
Ce dogme trinitaire est représenté par Mars et Vénus réunis par l’amour : la concorde ! la paix ou harmonie ou accord.

Dans la philosophie druidique ou de la forêt, le + se nommait ‘gain’ (succès) ; et le - ‘guère’ (gueres, guaires, indiquant : beaucoup). Leur réunion a donné guère-gain ou Gargantua. Ce dernier était le seigneur des solstices (changement d’époque, d’où un aspect d’androgyne)
Maintenant avec Pantagruel, nous pénétrons avec son nom dans le monde lunaire de la langue de l’hébreu. Pantagruel peut signifier : la force qui s’enfuit, au moment où elle tourne le dos. Donc une fortune décroissante : guère tuant le gain, souvent à la première heure du soir ; nous sommes en plein dans notre époque, déjà du temps de Rabelais...
Astronomiquement c’est l’espace situé à l’Ouest du tropique du Cancer ; alors que le Grandgousier préside à l’Est de la Grande Ourse. Son nom mystique est ‘car’ ou ‘carpent’ (carpentum).
De la découle le nom Charlemagne. Le carpentum s’est transformé en carpentarius et charron, que nous a finalement donné le charpentier. On a fait une légende du charpentier qui aurait donné naissance à Jésus de Nazareth, charpentier dont on ne trouve aucune trace dans les Évangiles.


Le CHAR.
Mais le plus important est la notion d’AXE du monde, ce qu’on retrouve dans la religion chrétienne avec le Christ unificateur. Le char conduit les fidèles roulant sur l’arbre de son AXE.

AXE.
ESSIEU : Aks, en sanscrit : aksak ; en grec : axôn ; en latin : axis.
D’autres racines indo-européennes indiquent :
Er, puis par le grec : eros et oros ; puis par le védique : arta ; le sanscrit : rnoti ; le latin : ortius ; tous ces termes indiquant une notion de LUMIÈRE, une AUBE nouvelle (comme le sens Jean Coulonval).
Pour en revenir à Aks, Axieros pourrait signifier ‘l’essieu de la lumière originelle’ et Axiokersos, Axiokersa, l’essieu du Cœur, selon un pôle positif et négatif.

Le char était d’une importance fondamentale dans les temps anciens, et le travail du métal était confié aux forgerons, qu’on considérait comme des magiciens, parce qu’ils maîtrisaient la Matière comme des Alchimistes. De plus les Anciens voyaient l’ensemble des choses, au contraire de Occidentaux qui classent et divisent tout et sont habitués à une analyse et un raisonnement à la mode gréco-latine.
Les chars antiques étaient le plus souvent à deux roues. Donc l’essieu est fixe mais il supporte la totalité du poids du véhicule, d’où de nombreuses ruptures d’essieu dans des histoires anciennes et modernes. L’essieu est fixe et les roues tournent sur des fusées (chacune des extrémités de l’essieu d’un chariot qui entrent dans les moyeux des roues). Alors nous retrouvons notre TRINITÉ : les deux roues et l’essieu. De la même façon, la notion de ‘roue’ et de ‘circuit’ évoque la course du Soleil et de la Lune.
L’axe est comme le PIEU décrit plus haut, l’individu (sens de indivisible) ayant perdu son pieu, son axe (le désaxé, ou le mal axé... par le dogme de l’opinion) devra reposer dans le lit (de la rivière, du flux), donc être AU PIEU. Une universalité sur laquelle tout le monde est bien d’accord, humains comme animaux, est bien de s’allonger la colonne vertébrale, le pieu du squelette, pour retrouver des forces...

Cette Lune qui pose bien des soucis aux Juifs : les partisans de Titus qui rédigèrent les Évangiles contre les Jéhovistes que Titus (éruption du Vésuve) extermina (prise de Jérusalem en 70 puis les Juifs sont soumis à un impôt spécial dans tout l’Empire romain. Une révolte juive est durement réprimée). Ce sont donc les partisans de Titus qui fabriquèrent la rumeurs que les Juifs furent les assassins du Christ, et qui en furent ainsi mis au ban des nations et persécutés.

Selon Saint Jean, Jésus de Nazareth, s’il a existé, n’est pas mort à Jérusalem, et il n’est même pas certain qu’il soit juif, car dans l’histoire de cette communauté on ne trouve aucun personnage qui lui ressemble ou de près ou de loin. Comme le nom Christ, le nom Jésus est un titre : médecin. En ce temps là il était de règle de changer de nom en changeant de fonction, pour prendre son rang dans un cadre hiérarchique traditionnel (comme dans l’Église chrétienne : papes et évêques changent de nom en montant en grade).
Par exemple, Pierre s’appelait Simon, et Paul : Saul. Si Jésus n’était pas un personnage purement légendaire, il a dû porter un autre nom. Or, le seigneur que désigne Jean, et qu’il ne désigne que par le titre de Christ (Kyrios, Khristos), a dû être, selon toute vraisemblance, le neveu de Marius, qui avait été l’hôte du roi Hiempsal et s’était trouvé chez lui en contact avec les Juifs pullulant à cette époque dans le Nord de l’Afrique. Il fut populaire dans le parti plébéien, et les juifs élohistes de Rome, qui étaient en nombre considérable, avaient dû se rallier autour de lui. Sylla le força à se donner la mort, et les élohistes durent souffrir cruellement des massacres qui s’en suivirent, de la part des jéhovistes et partisans de Sylla, d’où les haines qui ne furent même pas assouvies par la destruction de Jérusalem.

Donc Rome est le siège du christianisme dont l’emblème reste la croix de ‘janus quadrifons’, symbole de : crux, cruciare, qui indique : tourment, souffrance inséparable de la vie.
Mais la croix évoque aussi le creuset de l’Alchimiste, et la croisel du Moyen Age : une lampe à quatre lobes rappelant la forme de la Croix (croix et sel...).
Alors en ce qui concerne la biographie de personnages mythiques comme Lao-tseu, Osiris, Jésus de Nazareth, Moïse, est-ce des extraterrestres ? ou des histoires pour endormir les enfants... et les adultes ? Le Silence, le Vide semblent tellement terrifiants.

Comme Jean Coulonval et Grasset d’Orcet, on peut croire et espérer que de nouveaux missionnaires, plus ou moins cachés, rétabliront un Accord pour restaurer l’universalité.

En ce qui concerne les pratiquants des religions lunaires, ou négatives, très savantes et complexe, un seul dogme positif subsiste : la certitude et l’éternité du moi : Cogito ergo sum de Descartes (le contraire de Ramana Maharshi !). Ainsi on retrouve les Jéhovistes (Torah). Ces religions nient le libre arbitre et par conséquent la responsabilité humaine aussi bien que la charité, de sorte que la morale se réduit à celle de Thélème : Fais ce que tu voudras, histoire de tordre le cou à la loi de cause et effet ! Alors le christianisme répond par : Fais ce que dois, sans quoi tout lien social disparaît et tout l’édifice politique s’écroule, la vie devenant invivable...

Ainsi il résulte pour les dogmes négatives la nécessité de se cacher, même lorsqu’elles ne sont pas persécutées (voir la franc-maçonnerie), ce qui divisent forcément l’humanité en deux castes : les initiés et les profanes ! Ne dit-on pas « Piper le peuple ! », on dit aussi : « Piper mot ». Piper indique tromper, comme la fumée de la pipe du haschisch. 

Exploiter le profane au profit de l’initié, tel est l’unique but de toutes les sectes à mystères, surtout les franc-maçons ! quel qu’ils soient ! et nous avons sous les yeux l’islamisme, que décrit plus haut Jean Coulonval.
Les doctrines lunaires s’appuyant sur le dogme de l’immortalité font de bons soldats des classes inférieures, comme les Hassassins à qui on promet le paradis avec des vierges et des jeunes garçons, précurseurs de l’invention du terme moderne : terroriste ; que les successeurs de Mohammed ont inventé pour faire du lavage de cerveau : le dogme de la PEUR. Par contre ce dogme islamiste exclu radicalement des castes supérieures toute idée de dévouement et de sacrifice, pour ne laisser subsister que le désir de satisfaire tous les caprices quels qu’ils soient : paradis avec vierges, haschisch, opium, etc... De la le harem, « qui mène tout droit à la folie et à l’abrutissement », comme l’écrit Grasset d’Orcet. Ainsi les sociétés musulmanes s’apparentes à cette sentence de Fuad Pacha : « Le poisson pue par la tête », selon l’interprétation de Grasset d’Orcet. Même sens chez Ramana Maharshi : le mental, l’ego est le premier destructeur. Il semble aussi qu’il y a nettement plusieurs courants islamiques, dont certains sont plus constructeurs que d’autres, notamment ésotériques comme par exemple celui de Djalâl-od-Dîn Rûmî et du soufisme.

Bonne promenade et sortie du Labyrinthe ou Mandala.
 
 
[Références à Jean Coulonval : Synthèse et Temps Nouveaux ; Grasset d’Orcet : Œuvres décryptées ; René Alleau : Aspects de l’Alchimie Traditionnelle]


M. R.
 
 

Dernière mise à jour : 24-01-2011 02:36

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