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Ecrit par Sechy, le 06-02-2011 22:18

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Civilisation, Communisme, Démocratie, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Mondialisme, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, République, Supplices, Synarchie, Terreur, Tortures, Travail

 
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Folie et santé mondiale

La MERDE MONDIALE actuelle doit cesser
L’ÉCONOMIE est à revoir à la base,
La notion de BANQUES DOIT DISPARAÎTRE
Une civilisation doit-être le reflet du cosmos.
 
 
Comme le dit une personne, plus ça va et plus les gens se mélangent (les pinceaux) et diabolisent tout pour un rien, par exemple l’ésotérisme, la franc-maçonnerie dans son ensemble, les religions, les sectes, la spiritualité, la Trinité(1), la royauté, ceux qui savent un peu, etc., la liste devient maintenant longue. La faute à qui ? Internet ? Manque de repères ? Ces gens dégommeurs ne prennent même pas la peine d’approfondir les pièges dans lesquels ils sont eux-mêmes enfermés ! Nous avons atteint le sommet de l’opinion :
« Mais nous ignorons ce que notre siècle appelle vrai et faux
Comment savoir qui est dans le vrai, qui est dans le faux ».
(Extrait du texte des grands traités du Huainan zi, époque des Han, 206 av. J.C. - 220 ap. J.C.)
 
1789 comme 1917 en Russie, furent des pathologies, provoquées par des virus de sociétés à la fois secrètes et plus ou moins religieuses. Une société humaine, donc une nation, est comme un individu : susceptible d’attraper des maladies.
La révolution russe de 1917 ne fut pas sociale et pour le bien du peuple, non, elle fut CONTRE LE PEUPLE, et donc anti-sociale : loin d’incarner un ordre social authentique elle s’est contentée de réaliser un renversement de fond en comble de la hiérarchie des valeurs d’une société humaine.
Le vie n’est pas la violence, elle est lente, « évolutive », les Alchimistes en savent quelque chose. C’est la vie pathologique qui évolue rapidement et prend alors un aspect « révolutionnaire », rouge sang et fièvre, un désordre accéléré, violent. C’est valable aussi bien pour une nation que pour un individu.
Pour qu’une maladie attaque, il faut que l’organisme présente des faiblesse, qu’il se trouve dans des conditions défavorables à l’épanouissement de la vie. La sous-alimentation comme la goinfrerie de nos sociétés dites modernes, les émotions, les soucis, la fatigue, l’usure du vieillissement, etc., sont autant de facteurs qui prédisposent à l’effondrement lors d’une attaque par la maladie.
La situation est exactement la même sur le plan social. L’organisme social est loin de pouvoir se féliciter d’une saine résistance intérieure. C’est le cas notamment quand la maladie sociale qui s’appelle révolution réussit son attaque : elle doit son succès à l’état vermoulu, trop dictatorial ou autoritaire, de l’organisation sociale à laquelle elle en veut. Une révolution ne peut « prendre » que là où le terrain lui est propice. Ce fut le cas lors de la mise en marche de la révolution soi-disant sociale des dirigeants Juifs bolcheviks.
Le cas de la révolution de 1917 est particulier, mais la maladie de la société russe du dernier Tsar était déjà trop importante, surtout à cause des pogroms contre les Juifs.

Toutes les révolutions prétendent apporter la démocratie, la liberté, l’égalité, la fraternité, le « Demain on rase gratis », bref : un « ordre nouveau » ;  et ça se fait dans une violence et des horreurs inouïes ! Dans un chaos total durant plusieurs années ou dizaines, ou même centaines d’années. Il n’y aura alors jamais « l’ordre nouveau » attendu et surtout promis par les envahisseurs. Toutes les révolutions, 1917 et son modèle 1789 se sont instaurées par la VIOLENCE et maintenues par LA TERREUR, aussi bien en France qu’en URSS des Juifs bolcheviks. 1789 et 1917 ont mis ces deux « instruments du pouvoir » à la place d’honneur dans leur système de « démocratie populaire ». Et à notre époque nous sommes en train de suivre la même voie.

Dans un ordre social fidèle aux exigences de la hiérarchie et de la qualité de la personne humaine, il n’y a pas de place pour la violence. L’autorité comme on l’appelle (le bras séculier) est hélas nécessaire à cause de l’actuelle nature humaine : une société sans un minimum de « service d’ordre » sera à la merci de la première « tête d’œuf » qui réussira à rallier des comparses pour ériger l’autorité en violence.

L’ordre nouveau de 1917 et de son modèle 1789 ne sont que des sociétés totalitaires : culte de la personne chez les communistes, dictature de la laïcité et du capitalisme chez le libéralisme et la société de consommation. Donc « l’ordre nouveau » n’est autre chose que la société totalitaire ou l’État obéit aux injonctions policières manipulées par la finance internationale, et où avec la laïcité, l’Église et autres religions sont priées de rester discrètes, sauf pour le cas des Juifs à cause des magouilles anglo-saxonnes de la seconde guerre mondiale. Si la police politique existe dans tous les États totalitaires, communistes, ou autoritaires (policiers), elle n’est plus au service du dictateur, elle est l’exécutant de ses basses œuvres ; et la religion qui pouvait apporter un équilibre n’a plus rien a dire mais à fermer sa gueule.

Dans 1789 comme 1917, dans le soi-disant « ordre nouveau », comme la violence est à la place d’honneur, ceux qui la manipule sont la police et l’armée ; pour nos récents mouvements révolutionnaires, mais également dans les deux premières révolutions, LA RUE est également une manipulatrice de la violence.

La société totalitaire, tel qu’on nous la promet dans le mondialisme, est « organisée » comme une fourmilière ; à la différence que nous ne sommes pas des fourmis, et que celles-ci sont guidés naturellement par leur instinct alors que les humains sont guidés par leur mental !
Dans la future « fourmilière » mondialiste, il ne restera plus à l’individu, devenu un numéro et une marchandise comme une autre, que « le droit de travailler » ; le « gouvernement mondial » de « l’ordre nouveau » ne permettra à l’individu que de recevoir une pitance et de consommer, tout ça pesé et calibré, tel le gavage des pauvres poulets et autres animaux de bouche pour humains dans les élevages industriels (les frères inférieurs).
Ainsi le mondialisme futur ou gouvernance mondiale sera comparable à un totalitarisme qui sera contraire à la vraie nature humaine.

Avec 1789, et ses suites, c’est l’aberration sociale dans toute sa splendeur : dans certains pays se disant démocratiques c’est la police qui se prend pour l’État (Tunisie et Égypte, même en France, etc.), l’État se prend pour l’économie, et l’Église se prend pour rien du tout ; il n’en va pas de même pour une tranche des partisans de l’artificiel État nommé Israël qui dictent leurs ordres au gouvernement français... toujours sous la rengaine si vendeuse et dictatoriale de la Shoah !

Le communisme modèle 1789 va se transformer en mondialisme, soi-disant pour « faciliter la circulation » façon « libre-échange », faire des économies pour faire écologique, bref le cancer du libéralisme aussi difficile à vaincre que la mode du sida. Tout ça pour « faire plus pratique », comme le téléphone portable...
Dans le mondialisme l’État sera la « bonne à tout faire », comme en URSS, à la différence que ce seront des puzzles d’États qui prendront le relais : des sociétés privées s’occupant de ce que faisait autrefois l’État : télécommunications, transports, services de santé, police, armée (on voir cela dans des pays anglo-saxons et la France en prend le chemin). L’autorité sera donc exercée en violence et en terrorisme d’État, au nom du business. L’aspect religieux sera trafiqué pour « entrer dans le moule » des illusions de la réalité.
Dans une société normale et saine, les trois pouvoirs sont séparés : politique, spirituel, économique ; ils jouissent d’une autonomie inconcevable dans un État totalitaire et mondialiste.
L’État mondialiste n’obéira plus qu’au FRIC, toujours parce que c’est « plus pratique ».
L’élite de demain, l’homme ou la femme d’État se sentira capable de se mêler de choses spirituelles (qu’il malmènera bien-sûr), il veillera d’aussi près que possible sur les institutions et lobbys de la production (auxquelles il réussira à enlever tout esprit d’initiative et de responsabilité s’il se trouve au-dessus de la pyramide). Quand aux esclaves de toutes catégories, sur lesquels le nouvel homme d’État de la gouvernance mondiale se penchera avec un zèle intempestif, ils passeront d’une tutelle qu’ils trouvaient insupportable à une autre qui ne le sera pas moins !
Ainsi on attend toujours le vieux rêve de « l’émancipation de la classe ouvrière » tant prônée par les Juifs bolcheviks et le marxisme et autres philosophes, et qui restera toujours ce qu’il a été : un attrape-couillons, tout comme la démocratie.

Avec un État mondialiste le peuple sera encore plus des moutons à tondre : on attend facilement tout de l’État, c’est tellement pratique et sécurisant ! Donc la mentalité collectiviste se renforcera, puisqu’on attendra tout d’un secteur d’État devenu privatisé, ainsi on attendra tout des autres, au lieu de compter sur soi et Soi. Avec le mode du sécuritaire, qui ne date pas d’aujourd’hui, chacun s’appuiera sur l’autre avec ce faux sentiment de sécurité, car pour être dix mille à s’accrocher les uns aux autres, on en est pas moins suspendu dans les airs, avec le seule différence que l’on ne ressent plus l’insécurité qui vous entoure. Le piège s’est refermé, et l’individu en foule ou mondialisé sera piégé comme le grain de sable sur une plage : à la merci du moindre coup de vent !

L’intégrité de la personne est menacée par ce terrorisme d’État, qui déshumanise complètement. La future « gouvernance mondiale » avec son écrasement des indigents et des nécessiteux, des losers en somme, en vue de réaliser un bénéfice personnel, sera diabolique car contraire aux lois naturels et divines. Ainsi une société mondialisée qui agirait à l’encontre des lois naturelles « s’attaquerait elle-même » puisque toutes les sociétés, publiques et privées, tirent leur origine d’un même principe, la naturelle sociabilité de l’être humain.

Le mondialisme, je répète, s’apparentera au communisme, au socialisme (mot du 19ème siècle et pour cause !), l’âme en veut plus des essences, des origine, du passé, elle veut un « ordre nouveau » comme toutes les révolutions qui pratiquent l’ardoise vierge (tabula rasa) ou mépris dans Anciens. Comme les existentialistes de Jean-Paul Sartre où c’est « l’existence qui crée son essence » ! ce qui est le principe communiste, donc tout est inversé !
Cette âme qui refuse de porter le message de l’essence à l’existence sans troubler l’ordre hiérarchique dans lequel il est transmis, cette âme qui faillit à sa mission. Au lieu d’assurer une union harmonieuse dans laquelle essence et existence vivent dans l’harmonie, elle aboutit à une rupture discordante : par la faute de l’âme, le « fils », n’ayant par reçu « l’amour » du « père » ne peut pas le lui rendre. Il y a un court circuit. La paix et rompue, c’est le règne de l’insécurité, des guerres. Ce désordre fait que plus personne ne sait qui fait quoi, les repères n’existent plus et l’agressivité et la violence surviennent. Comme il n’y a plus de repère, on va jusqu’à rejeter toute religion et jusqu’à nier un quelconque principe divin. Et même plus, avec le libéralisme, l’être humain se prend et joue à dieu, avec ses jouets technologiques ; alors son âme a refusé de donner son adhésion au caractère naturel de sa nature humaine.

Les pires ennemis de l’humanité sont les Bernard-Henri Levy et autres Jean-Paul Sartre et les philosophes grecs ou d’autres pays qui vendent des miroirs aux alouettes, lesquels ne sont pas dangereux tant que leur promoteurs et éditeurs se contentent de pondre des bouquins, mais sont des catastrophes et de véritables terroristes quand ils s’incarnent dans des structures politiques concrètes, dans des partis, qui n’existent en tant que tel que grâce à leurs cotisations et parce qu’ils prétendent détenir la vérité, du centre de toutes chose, ce qui est fait de simples dictateurs. Bernard-Henry Lévy est de ceux-là, et même s’il est très critiqué, son influence est toujours présente. D’ailleurs, comment un philosophe peut être « engagé » ? Nous sommes tous plus ou moins engagé et faisons de la philo sans le savoir... car cela découle du terrible mental ! Avec les philosophes ont analyse à n’en plus finir pour aboutir à un merdier de complications qui n’ont pas lieu d’être ! Ce n’est que l’Instant, la Source qui permet de comprendre toutes choses. Quel besoin d’expliquer les illusions de ce qu’on appelle « réalité » ? En plus de ça Jean-Paul Sartre prétend s’opposer au totalitarisme ! Mais il est complètement inconscient !

Bien comprendre qu’un être humain sain d’esprit songerait-il à prendre la responsabilité de l’existence d’autrui ? Quiconque promet tout ne tiendra rien, et quiconque promet trop court le danger d’en venir aux expédients pour tenir sa promesse... La catastrophe sera rapidement en vue.

Va t-on aller vers un dogme du prolétariat, de la sainte classe du pouvoir élue, de la philosophie de la consommation, de l’histoire de la création de l’homme par lui-même, la plus ratée de toute ???

On doit s’interroger pourquoi l’être humain, la soi-disant créature la plus élevée dans l’échelle des créatures soit en même temps aussi piètrement armée pour la réussite de sa propre vie ? A cause de la Chute d’un quelconque Paradis ? Cette Chute à pourtant laissé à l’humain son mental, et il ne sait pas s’en servir. Toujours doué du libre arbitre, l’être humain n’a plus la liberté de choisir, comme face à une montagne de produits dans une grande surface commerciale moderne, véritable temple de la drogue de société de consommation ; cette liberté de choisir qui libérait l’être humain du péché avant la Chute, cette liberté d’agir selon son choix qui le libérait d’une volonté impuissante. Dans nos sociétés dites démocratiques, il ne nous reste que « la nécessité d’une liberté », mais nous avons perdu « la libération du péché » et « la liberté de la misère ». En abusant de la première, l’être humain a perdu les deux autres. Il en a conservé la représentation, tout comme l’invention de l’imprimerie et du langage écrit : « Nous sommes passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée. Notre conception moderne du monde et de nous-mêmes est, pourrait-on dire, un sous-produit de l’invention du monde sur le papier », L’univers de l’écrit, de David R. Olson. Ainsi cela fait plusieurs siècles, voir même plusieurs millénaires, que nous sommes dans le FAUX. Et la faux est un instrument tranchant symbolisant la mort, aussi appelé « la Faucheuse », c’est elle qui créée la fameuse égalité.... La mort par la Faucheuse est aussi l’illustration des illusions de la vie....

 
 
Note.
1. Trinité : il est à noter qu’une forme de franc-maçonnerie découlant des Druides et de la société celtique et de ses mystères n’acceptait pas la Trinité chrétienne, ni même le Jésus de Nazareth, que cette franc-maçonnerie nommait : freluche, vieux nom français des filaments qui flottent dans l’air au printemps et qu’on désigne par « fils de la Vierge » ; mais ce Christ là se désignait aussi par deux cœurs de feutre ou philtre jaune, qu’on forçait les juifs à porter sur leurs habits (bien avant la seconde guerre mondiale).
Il est vrai que c’est particulièrement présomptueux de prétendre un être humain : « fils de dieu » (engendré et non fait...), comme on bombarde un artiste : « peintre reconnu »... Encore la loi du plus grande nombre... Par contre l’explication de la Trinité réside, peut-être, dans l’Arc-en-Ciel : les 7 couleurs donnant le Blanc ou Instant, ou le bleu du futur et le rouge du passé donnant le Blanc de l’Instant. Mais c’est toujours une conception euclidienne...
Cela écrit, il faut cesser de faire l’association : royauté = chrétienté ! ça ne se résume pas à seulement 2000 ans de notre ère !
Pour entrevoir le casse-tête de la Trinité, on peut un peu comparer avec la complexe conception égyptienne de l’être humain, en grand partie perdue « dans le sable » du temps : l’âme ou Souffle : le Ba, le Ka, l’AKH, l’Ombre (hélas dans le Wikipédia il n’y a que quelques lignes sur ces concepts, et pour cause !).


M. R.


[Photo du haut, montage avec grattes-ciel à Dubaï et le Faubourg du Temple à Paris photographié vers 1838 par Louis Daguerre. 19è siècle où l’ère industrielle est en plein boum, tout comme Dubaï voudrait devenir, sans prétention... la huitième merveille du monde. Ba voyons. Dubaï avec son hôtel 72 étoiles et son thé à 70 euros... et ses chambres à plus de 3000 euros la nuit]
 
 

Dernière mise à jour : 07-02-2011 00:10

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