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Difficile de trouver la drama UMIZARU 海猿, diffusé en 11 épisodes de juillet à septembre 2005 sur Fuji TV.
 

Une histoire d’amitié, pendant la formation au Japon de 14 sauveteurs en mer. Seulement 1% de tous les officiers de garde côtière peuvent se qualifier. Afin de recevoir cette qualification, ils doivent subir 50 jours de formation exténuante dans des activités de sauvetage. Les jeunes officiers, dont fait parti Daisuke Senzaki (joué par Ito Hideaki), vont relever le défi. L’histoire se concentre sur la vie des sauveteurs après avoir passé leur examen. (D’après Fuji TV)

Sur le même sujet il existe aussi 2 films de long métrage, avec Ito Hideaki.

 

 

Dans le prologue de cet épisode 8, même en VO, on comprend que les sauveteurs en mer ont éprouvés des grandes difficultés dans leurs interventions de secours, et ils ont tiré à la mitrailleuse sur un bateau... Après ces épreuves, c’est le  la douceur de retrouver leurs épouses et familles.
Puis viennent les travaux « domestiques » pour les jeunes sauveteurs : nettoyage des sols et diverses surfaces, peintures et mastics, etc.  Cette séquence est faite de petits rien bien sympathiques.
Je ne connais pas les autres épisodes, mais la musique dans l’épisode 8 est très présente tout au long des plans et séquences, sans être trop envahissante, elle soutient bien l’atmosphère des situations.
Dans le dernier tiers de cet épisode, l’action vient enfin avec une sorte de prise d’otage sur un navire. Évidemment, c’est Ito Hideaki qui plonge sans scaphandre pour sauver un homme à la mer et qui vient de couler. Sûr qu’il prendra du galon, et sur solo de trompettes ! Dans un autre lieu, la femme de l’un des sauveteurs accouche, et sur solo de cors accompagnés des cordes ! Malheureusement ça se complique avec les preneurs d’otages puissamment armés.

 

 

Comme toujours dans les dramas japonais, c’est bien réalisé, avec de l’émotion, du lyrisme, c’est-à-dire qu’ils ont tous l’air de croire à ce qu’ils font, et aussi heureusement car la mer ne pardonne pas les erreurs... Ici on se laisse prendre par l’histoire, même sans comprendre le japonais.

M.R.

 

 

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