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Simonie de la démocratie Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 18-06-2011 22:08

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Temps, Terreur, Yôkai

 
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Simonie de la démocratie
 
 
« Transportez vos viandes à la vitesse de l’éclair ». (Georges Bernanos)
Évidemment car pour les Couilles en Or, le temps c’est de l’argent.
Si le temps c’est de l’argent, l’ordre des forces ou des lois, c’est la tyrannie de l’égalité ou la même soupe pour tous. Luther avec le franc-maçon Jules Ferry sont parmi les fabricants d’âmes des masses, grâce à leur instruction obligatoire et « universelle » (sic), soi-disant instrument de « libération » des masses (future société de consommation ou American way of life). Le piège à esclaves est monstrueux.
 
Simonie : 12è siècle ; lat. ecclés. simonia, du nom de Simon le Magicien. Relig. ou littér : Volonté réfléchie d’acheter ou de vendre à prix temporel une chose spirituelle (ou assimilable à une chose spirituelle). C’est ce que Jean Coulonval, dans Synthèse et temps Nouveaux, appel une ‘religion à l’envers’ ou encore ‘OPINION’ ou encore « la révolte de Lucifer », notamment à propos du marxisme, du fascisme et donc de la démocratie en général, soit un totalitarisme dirigé par le dieu Dollar. C’est l’Occident, surtout chrétien, qui est paralysé par la dualité cartésienne Spirituel et Temporel, alors que l’être humain est trinitaire : pouvoir spirituel, économique, politique, en rapports analogiques avec la volonté, l’intellect et la sensibilité, comme le voyait Jean Coulonval et qu’il emprunte à Jean de la Croix.
Le marxisme est une simonie puisque il affirme que la connaissance, la conscience, sont des PRODUITS et non des causes de l’activité humaine. Ainsi il ne faut pas s’étonner de l’industrie du Goulag et des cheminées d’usines représentées sur la plupart des affiches de propagande de l’ancienne Union soviétique.
Aristote, John Locke sont aussi coupables de simonie, Locke pensant sadiquement que Dieu n’a pas été avare en dotant l’Homme de deux jambes et en laissant à Aristote le soin de les rendre rationnels. Effectivement la raison résonnante comme les cloches et trébuchante devenait vrombissante.
 
La Simonie c’est vendre l’Esprit : faire du qualitatif du quantitatif ; faire du général de l’universel. Cela nous conduit directement aux drame des BREVETS et autres « propriétés intellectuelles », donc du PROFIT.
Chez les Anciens Égyptiens l’Or était la chair des dieux, et ça fait un moment que nous avons vendu l’or, surtout les Couilles en or, pour INVERSER : en faire un dieu matérialiste. « L’argent tient plus étroitement à nous que notre propre chair », écrit Georges Bernanos dans : La France contre les robots.
Il n’y a même pas besoin d’or métal puisque tout repose sur l’USURE et l’outil informatique, donc dépend de l’électricité et de sa production : l’actuel nucléaire criminel.
L’eau, le sel, l’air, l’huile de pierre (actuel nom : pétrole), les métaux, la terre, la lumière, appartiennent à tous.
Personne ne peut vendre UN PRINCIPE, UNE ESSENCE.

L’équerre à centrer. C’est un outil qui sert à trouver le centre approximatif d’une surface qui ressemble plus ou moins à une circonférence. A la façon dont on a décidé que Bourges est le centre géométrique de la France.
La circonférence fort irrégulière représente la section d’une barre d’acier plus ou moins cylindrique. En portant l’appui des tétons en plusieurs points on trace autant de lignes AB. On obtient un petit polygone irrégulier qui est le centre approximatif. Ce sont les accidents externes du contour de la pièce qui en ont décidé. En quelque sorte, ils l’ont imaginé, fabriqué. C’est ce que fait le mode de pensée qu’on appelle « opinion », scientifique, métaphysique, ou même religieuse, quand l’homme se fait de l’Absolu une conception qui convient à ses appétits, dans le monde des accidents, du spatio-temporel.
Le discours logique qui cherche les essences au travers des accidents opère à la façon de l’équerre à centrer qui ne peut tenir compte de toutes les lignes AB possibles pour la simple raison qu’elles sont en nombre inépuisable, in-défini (ce qu’on appelle à tort l’infini). Pas plus que l’équerre à centrer, il ne peut tenir compte de tous les accidents existants ou possibles dans le spatio-temporel, et en conséquence aucun discours logique (tous les philosophismes sont des discours logiques) ne peut atteindre à la vision de l’Absolu. Il est toujours couillonné. L’Homme ne peut atteindre l’Absolu que si l’Esprit vient lui-même le chercher pour le placer au centre, c’est-à-dire en LUI. (D’après Jean Coulonval)

Georges Bernanos, dans : La France contre les robots, dit la même chose :

« Nos ancêtres se sont servis d’une pierre tenue au creux de la main en guise de marteau, jusqu’au jour où, de perfectionnement en perfectionnement, l’un d’entre eux imagina de fixer la pierre au bout d’un bâton. Il est certain que cet homme de génie, dont le nom n’est malheureusement pas venu jusqu’à nous, inventa le marteau pour s’en servir lui-même, et non pour en vendre le brevet à quelque société anonyme ».
Donc ici Bernanos ne tient pas compte de l’ESSENCE : pierre + bâton qui est de toute éternité et n’a pas attendu qu’un individu le DÉ-COUVRE, c’est-à-dire le RE-découvre : tout est cyclique. Il est évident qu’on ne peut pas vendre l’idée de l’association pierre ou masse métallique attachée à un manche ; même si ensuite il se fabrique toutes sortes de pierre, de masse et toutes sortes de formes de manches destinées à équilibrer l’énergie et renforcer l’efficacité.
Personne ne peut vendre un PRINCIPE, UNE ESSENCE. Quand un individu découvre un principe, c’est qu’il le portait déjà en lui, à l’état latent, comme une plaque photographique non révélée, dans toutes les structures intimes de son être.
Mais Bernanos est en accord avec Coulonval quand il écrit que les futures mécaniques le seront pour FAIRE DE L’OR, donc du profit pas le système des brevets et autres « propriétés intellectuelles ».
L’Homme est devenu esclave des machines au lieu d’être soulagé de sa tâche par les machines. « Bien avant d’être au service de l’Humanité, elles serviront les vendeurs et les revendeurs d’or, c’est-à-dire les spéculateur, elles seront les instruments de spéculation ».
Et cela nous emmène directement vers l’actuel complexe militaro-industriel, mais aussi de la société de consommation typique de l’American way of life : « bref, le jour où la superproduction menacera d’étouffer la spéculation sous le poids sans cesse accru des marchandises invendables, vos machines à fabriquer deviendront des machines à tuer, voilà ce qu’il est très facile de prévoir », écrit G. Bernanos.
Oui, car on ne fabrique plus que pour CRÉER UN BESOIN : la PROPAGANDE, ou publicité, la ‘réclame’ comme on disait autrefois. « Je ne parle pas de l’invention des Machines, je parle de leur multiplication prodigieuse, à quoi rien ne semble devoir mettre fin, car la Machinerie ne crée pas seulement les machines, elle a aussi les moyens de créer artificiellement de nouveaux besoins qui assureront la vente de nouvelles machines ». Actuellement on appelle ça « l’obsolescence », avec la fameuse date de péremption de la société du « jetable », y compris l’être humain qui ne file pas droit dans le sens du pouvoir. La durée de vie d’une machine est sadiquement calculée par les ingénieurs, sinon que feraient les ouvriers dans leur Goulag, pardon, leur usine !

« La seule machine qui n’intéresse pas la Machine, c’est la Machine à dégoûter l’homme des Machines, c’est-à-dire d’une vie tout entière orientée par la notion de rendement, d’efficience et finalement de PROFIT ». (Georges Bernanos)

J’ai toujours pensé que la première « invention » humaine, qui n’en est pas une, mais la RE-DÉCOUVERTE du FEU. Première définition du mot ÉNERGIE, et comme le mot FEU, tout comme le mot EAU sont tellement vaste, qu’un ouvrage en 10 volumes de 1000 pages chacun n’y suffirait pas.
La GUERRE DU FEU n’est pas celle de l’Homme préhistorique, non, c’est celle de la TROISIÈME GUERRE MONDIALE commencée en 1945 : l’énergie nucléaire et l’empire américano-anglo-saxon, tous appuyés par ce qui n’est qu’une généralité : la Déclaration des Droits de l’Homme... totalement construite à la gloire du totalitarisme ou N.O.M. (Nouvel Ordre Mondial). Cet impérialisme qui consiste chez nous à « protéger l’Europe » dans la même logique que la « vidéo-protection » ou vidéo-surveillance, ce qui revient au même.
Oui, je répète : la troisième guerre mondiale a commencée en 1945 : GUERRE TOTALE en la société elle-même et à son plus haut niveau de rendement.
Comme la tyrannie de l’égalité, cette guerre totale est anonyme, car elle impose la SOUMISSION et la SERVITUDE, grâce à ses méthodes franc-maçonniques de déformation des consciences, notamment dans les écoles du maçon Jules Ferry, pour former un homme totalitaire, une bête intelligente et féroce pour sa police, et des bourreaux pour les modernes camps de concentration comme le camp de Guantánamo.

IMPÉRIALISME = CANCER DE LA SOCIÉTÉ
Qui dit impérialisme dit FRIC : on domine les autres, c’est ce que font les Couilles en Or, le FRIC commande le monde et le détruit.

Les écoles du franc-maçon Jules Ferry n’ont fait que fabriquer des consommateurs et des individus poussés par la « maturité dans la violence », la compétition le rendement et donc la violence qui débouche sur la guerre. Ces écoles fabriquent la traditionnelle chair à canon.

« Transportez vos viandes à la vitesse de l’éclair », écrit Georges Bernanos, et l’Homme peut bien crever : « Hélas ! c’est vous que vous fuyez, vous-mêmes - chacun de vous se fuit soi-même, comme s’il espérait courir assez vite pour sortir enfin de sa gaine de peau... On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l’on admet pas d’abord qu’elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure ». Mais il dit exactement la même chose que Jean Coulonval et Ramana Maharshi.

Que peut une institution conçue par des hommes qui ont perdu le sens de l’être humain, et qui se soucient autant que de leur première chaussette de toute base qui pourrait leur rappeler ce sens ?
Le comportement social de la société actuelle dirigée par les « puissants de ce monde », ou « Princes de ce monde » n’a pour seul moteur que la cupidité des individus, alors qu’il devrait y avoir le respect qu’inspire une institution sociale bien constituée. Basses convoitises et intrigues en tous genres accompagnées des forces « obscures » franc-maçonniques dérégleront la marche de la production et de la consommation des biens temporels.

Une autre évidence relevée par Georges Bernanos, mais aussi par H.P. Blavatsky : l’état sinistre et mortifère du 19è siècle, qui pourtant succède à la révolution de 1789 !!!
Oui, sinistre jusque dans l’habillement de l’après 1789 : costume noir ou bleu foncé rehaussé de tricolore... Mais surtout l’architecture devient laide et triste, il n’y a qu’à voir les mairies, les églises, etc. Comme l’écrit Bernanos, la France du 19è siècle porte le deuil de la révolution manquée, le pire c’est que l’Europe l’imite par habitude !
Oui 1789 fut une catastrophe, pourtant les idées des philosophistes tentaient quelque chose de leurs grands chapeaux, mais il n’en sortit que des drames horribles, qui s’est poursuivit par le désastre de Waterloo, puis l’autre désastre napoléonien : la Sainte Russie.
La Révolution de 1789 était déjà pourrie bien avant la chute de Robespierre (9 Thermidor), il n’y a qu’à voir l’épisode de la Terreur et les guerres et le génocide des Vendéens.

Georges Bernanos écrit que la première république française ou Directoire fut l’époque la plus pourrie de l’histoire : banqueroute, guerre civile, familles dispersées par la conscription, blocus continental et Empire... J’ajoute le règne des banques et des familles Rothschild et Rockefeller, et donc de la naissance de l’ère industrielle. Cela nous donna la dictature du capitalisme, des grèves sanglantes, des bas salaires, le travail des enfants esclaves et la misère noire. Sinistre héritage de 1789 !!! Cette révolution de 1789 et sa République « Une et indivisible » se voulant singer l’Église chrétienne alors qu’elle ne faisait que de multiplier les erreurs : la Vérité est une et les erreurs multiples, comme celles de 1789 et des républiques suivantes toutes bâti sur l’empire romain. La République ne saurait être Une et indivisible, elle n’est pas la vérité.

Quand est-ce qu’un quelconque gouvernement, prochainement monarchique ou non, comprendra que la société est au service de la personne, et non la personne au service de la société ! C’est-à-dire que seule compte LA DIGNITÉ HUMAINE. Seule la personne est LA VALEUR, à laquelle la valeur de la société doit être subordonné. Les « valeurs républicaines » ça n’existe pas !!! La personne est transcendante par rapport à la société, c’est la personne qui donne un sens à la société, et non le contraire. Sarkozy et ses complices devraient tout de même comprendre cela !!! Mais j’en doute, car ce ne sont que de vulgaires commerçants. Qui se ressemble s’assemble dit le proverbe, ainsi tout homme, que qu’il soit, ne peut donner à son semblable que ce qu’il est lui-même, or les politiques ou « grands de ce monde » ne donnent plus que de la MERDE depuis longtemps, et pour cause de non connaissance de leur nature d’être humain : ils sont coupés de la Nature, comme la plupart des individus sur cette planète, cependant dans la population la tendance commence heureusement à s’inverser lentement.

Toute société devrait se composer des trois paliers : spirituel, politique, économique. Le palier de l’amour peut correspondre à celui affecté à la vie spirituelle ; le palier de la connaissance est affecté à la vie politique ; le palier de la vie économique devrait être associé à la sensibilité.

Le philosophiste Aristote contamina, ou mina, tout le Moyen-Âge et bien plus jusqu’à notre 1789, institua le Goulag bien avant les juifs bolcheviks et en fit même une institution, une industrie du travail forcé bien avant même le tsar Pierre le Grand. Aristote voyait « l’utilité de l’esclavage ». Il écrivit : « Il y a dans l’espèce humaine des individus aussi inférieurs aux autres que le corps l’est à l’âme, ou que la bête l’est à l’homme ; ce sont les hommes chez qui l’emploi des forces corporelles est le meilleur parti qu’on puisse en tirer. En partant des principes que nous avons posés, ces individus sont destinés par la nature à l’esclavage, parce qu’il n’y a rien de meilleur pour eux que d’obéir... », ce que ne manqua pas d’exploiter les pervers sadiques du Goulag des Lénine Trotsky Staline... mais de façons encore plus vicieuses et corrompues.
Cet Aristote qui écrit encore (Politique, I, 4-5) : « l’esclave est non seulement esclave, mais entièrement la propriété de son maître ». Voilà déjà les prémices de l’ère industrielle et impérialiste.

Je pense aussi comme Coulonval, Rimbaud, que la « vraie vie » n’est pas de ce monde, apparemment totalement absurde à cause de ses drames et imbécilités et incohérences. La civilisation actuelle telle qu’elle progresse à une vitesse folle depuis environ 260 ans s’est déjà construite sur une société du FAUX, ET DONC DE L’INHUMAIN, qui ne saura s’établir et se maintenir que grâce à une stérilisation totale des hautes valeurs de la vie. Et sur sa folle lancée cette civilisation pourra poursuivre indéfiniment ses expériences de plus en plus monstrueuses, car les signaux conçus au début de l’ère « moderne » sont devenus de plus en plus arbitraires en ne faisant plus directement référence aux choses mais aux idées quelles représentes. Le signal, le mot perd son origine, son lien directe avec la chose, il ne s’agit plus du « juste mot pour désigner chaque chose » : il la représente, il est mis pour la chose ; et avec nos outils informatique et le binaire, ça dérive vers le virtuel et l’artifice total, car il n’y a plus de « justesse » de la représentation dite objective.
Mais cela finira mal.

C’est le langage qui semble imbécile, car tout est langage et donc symbole, c’est pourquoi les mystiques ne l’emploient pas pour con-naître !!! Comme écrivait Coulonval, l’étude donne le savoir, une forme, mais elle est incapable de conférer le « sens », qui est essence. On ne fait rien sans partir de l’intérieur pour aller vers l’extérieur, la vie est surtout faite de « faits » ‘infra-rationnels’ et ‘supra-rationnels’, comme l’explique d’ailleurs à sa façon l’Alchimie.
 
 

Dernière mise à jour : 18-06-2011 23:02

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