Accueil arrow News arrow Dernières news arrow Martyrs prochains de l’humanité
Martyrs prochains de l’humanité Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 06-07-2011 19:56

Pages vues : 7174    

Favoris : 39

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Temps, Terreur, Yôkai

 
Free Image Hosting at www.ImageShack.us
 
 
Martyrs prochains de l’humanité
 
à cause de Lénine et autres terrorismes d’États ou
« VIOLENCE LÉGITIME »

En route vers un monde sécuritaire-pépère !
En route vers le DORG (Demain On Rase Gratis)
En route vers le BIEN, donc le MAL, puisque tout devient FAUX !

 
 
Si depuis 1945 on a fait des Juifs un symbole de martyrs, il ne faut pas oublier que ce sont eux qui ont voulu et installé la révolution russe de 1917 ! Et qui ont à leur tour martyrisé le peuples russe. Esclave vient du mot Slave, le peuple russe est capable d’endurer les pires souffrances, les Russes sont donc martyrisés autant sinon plus que les Juifs mais « seulement » depuis environ 1500 ans. Et comme déjà écrit à propos du mot VICTIME et de la banalisation de la VIOLENCE, depuis 1945 la victime et l’autorité qui va avec sont reines ! Les VICTIMES russes du Goulag, étrangement, ne se révoltaient presque jamais contre leurs tortionnaires, mais réduites au plus profond désespoir, elles se mutilaient en se coupant les pieds et les mains à coups de hache (en se faisant couper les mains par un autre), se pendaient, se jetaient dans des trous percés dans la glace, mais ne tuaient jamais les gardes du Goulag.
 
IMAGES, VIOLENCE et VICTIMES se retrouvent bien chez les Juifs et leur Shoah, mais actuellement on la trouve chez Dominique Strauss-Kahn confronté à la violence de la justice américaine totalement médiatisée à la Phineas Barnum et Hollywood !
IMAGE : violence de la TÉLÉVISION, ce « communisme » laveur de cerveaux : car c’est le contraire de « l’idéal absolu » du communisme : la télévision ne met absolument pas en commun la moindre parcelle de savoir afin de créer un désir de vivre ensemble en harmonie, mais bien de faire régresser ce désir commun sous une multitude de pulsions égoïstes. Les téléspectateurs sont des VICTIMES DE L’HUMANITÉ.

VIOLENCE et VICTIMES DES ADDICTIONS : aux jeux et à toutes sortes de drogues. Dans ce domaine le premier dealer de la France est la Française des Jeux : 35.800 points de vente, autant qu’il y a de boulangerie dans l’Hexagone. L’État français applique la bonne vieille recette de la Rome Antique : du pain des jeux ! Dans ce domaine des jeux, plus la récompense est rapide et plus un plaisir devient addictif. Dans ce domaine du plaisir, des expériences ont été faite sur nombre d’animaux.

Et qui dit VICTIME dit SACRIFICE, c’est valable notamment en ÉCONOMIE !!! À quand des sacrifices humains avec du sang sur un autel de pierres !!! Mais les communistes soviétiques ont déjà fait cela.
VIOLENCE s’associe parfaitement avec ARBITRAIRE.

Donc maintenant on associe VIOLENCE, et VICTIME à JUIFS/SIONISTES et à BANQUES, d’où la violence absolue de l’ARGENT et ce qui va avec. Comme tout est symbole, la violence absolue est L’IMAGE : L’ICÔNE, lorsque celle-ci ne reflète que le matérialisme (la pub et le médias audio-visuels). Pour les partisans de l’établissement d’un état d’Israël : il n’y à qu’à voir ce qui se passe avec la colonisation non seulement de la Palestine... mais du monde... avec les problèmes nombreux : économiques, matières premières, etc. Seulement les choses ne sont pas aussi simple que le blanc et le noir ou les bons et les méchants ; il existe des variations indéfinies.
Mais Karl Heinrich Marx avec l’influence du killer Luther utilise le blanc et noir, le bon et le méchant : il oppose ses « travailleurs libres » (sic) aux paysans de la féodalités qui étaient « la propriété » des seigneurs. Nous voyons directement les conséquences d’un tel système binaire : l’horreur du Goulag, pire que les camps nazis et la Shoah des Juifs. Et si les Juifs sont voués à la conscience globale comme l’écrit Jean Coulonval dans son livre : Synthèse et Temps Nouveaux, ce n’est pas une raison pour faire de cette planète un État mondial à vocation uniquement pécuniaire et matérialiste... Mais si les Juifs sont réellement voués, doués pour la conscience globale, que faut-il entendre par le mot CONSCIENCE ??? Une 'énergie'... Car la plupart des banques sont des affaires juives... et l’argent est tout l’inverse de la moindre conscience ! L'argent est tout au plus une addiction, une ivresse, un cancer...

Une autre violence désormais bien présente, c’est LE FAUX.
Exemple en Union soviétique proprement diabolique, chanson propagandiste imposée par les tchékistes :
Nous sommes les détenus d’un pays libre et pur (sic sic)
Où il n’y a ni souffrance ni torture
Nous ne sommes pas châtiés mais rééduqués (sic)
Ce n’est ni un mystère, ni un secret.

Nous sommes ici car nous avons violé la loi (sic)
Mais nous avons quand même énormément de droits (sic)
Nous recevons des journaux et nous en publions (sic)
Nous montons des spectacles et chantons des chansons !


L’État n’a rien à faire avec la finance ! Oui, mais tout de même, voir ci-dessous !


Par exemple : « Faire travailler tous les déshabillés en leur attribuant les vêtements des détenus revenant du travail après avoir rempli leurs objectifs chiffrés » : instruction envoyée à tous les camps. pour rentabiliser la « productivité » des esclaves contre-révolutionnaires russes, le système répressif, faisant crever ses esclaves 24 heures sur 24, avait trouvé le moyen de « rentabiliser » de façon absolu le problème de l’habillement. Par exemple, les personnes condamnées à 5 ou 10 ans de « camps de rééducation par le travail » ne recevait jamais de vêtement, ils arrivaient aux camps avec leurs habits d’avant d’être condamnés, et au bout d’un mois ou moins, leurs vêtements n’étaient plus que des loques. Il faut savoir que la plupart des « nouveaux vêtements » consistaient en de vieux sacs percés pour laisser passer tête et bras.
« Désormais, le détenu de retour du travail, épuisé, affamé, trempé de neige et de sueur, à peine capable de mettre un pied devant l’autre, doit avant toute chose ôter ses vêtements et les donner à un camarade. Tant qu’il avait ses vêtements, il pouvait encore se réchauffer et reprendre un peu de force. Et voilà que même cela, on le lui prend. Il ne lui reste qu’à ramasser des branches de sapin, à les poser sur les planches nues qui lui servent de lit et à se coucher dessus pour essayer de dormir », mais comme il n’arrive pas à dormir et grelotte de froid, il court jusqu’à un maigre poêle et s’y réchauffe un court instant, et revient à son « lit » et se rendort, pour à nouveau courir vers le poêle quelques instants après... D’après le formidable témoignage du livre de Nikolaï Kisselev-Gromov : Aux origines du Goulag, récits des îles Solovski (l’autre récit étant celui de Sozerko Malsagov).

Marx appartient au thème des ergoteurs gréco-latins, comme les philosophistes du siècle des lumières et autres Hegel, Engels, Locke, etc. Tous des matérialistes sans nuance. Tous des dictateurs, puisqu’ils imposent leurs idées aux autres, et même si ces autres ont aussi leur part de responsabilité dans les chaînes qu’ils sont contraint de porter, les vrais responsables sont les fabricants d’âmes ; ce sont les oligarchies : commandement de quelques-uns (sens de 1361, du grec oligarkhia). Comme sous certaines royautés, c’est la même chose avec l’oligarchie actuelle : les dynasties familiales des Kennedy, Indira Gandhi, Bush, etc. ; ou des clans : partis politiques, lobbys, parrainage, sectes et franc-maçons, adoubements, etc. Tout cela n’a rien de démocratique !!! La vraie démocratie c’est réunir toutes les quantités indéfinies de population ou ses représentants, y compris ceux qui sont silencieux ou qui croient n’avoir rien à dire. Là est la vraie communication. Il y a assez de ces fausses élites de gangsters qui se réunissent entre eux et en secret genre Bilderberg ! Ces fausses élites font l’inverse de la Nature puisqu’elles se coupent de la Nature en ne diffusant pas leurs informations à tous.

Seule la partie, l’individu, le Point, ou encore la diversité, l’indépendance, permet d’éviter la fabrication des âmes comme le catastrophisme du communisme en son ensemble, ou le catastrophisme de l’économie imposée à tous.

Comme déjà écris, je rappel que ces philosophistes et autres gangsters-élites sont des fabricants d’âmes, car leurs systèmes ont fait des ravages mondiaux.

Vladimir Ilitch Oulianov devrait être condamné à titre posthume pour crime contre l’humanité, car c’est lui qui voulu le Goulag. Lénine avec Staline sont les plus grands criminels de tous les temps. Hitler passe après !!!
Non seulement Lénine a fait des Russes des esclaves, mais il a tué des dizaines et des dizaines de millions d’arbres pour en exploiter le bois. Les esclaves Noirs étaient du « bois d’ébène » alors que les Russes étaient du « bois blanc » ou plutôt du « bois orthodoxe ». Tout ce bois blanc se vendait très bien dans le monde entier, pour construire des maisons, des meubles, etc.

Voilà l’autre association au mot violence : LA TERREUR, qui s’associe parfaitement avec l’ÉCONOMIE !!! D’ailleurs, Naomi klein a écrit tout un gros livre sur ce drame : La stratégie du choc.
De tous temps LA PEUR est la meilleur arme utilisée par tous les dictateurs malades (ils sont tous malades)


SADISME, BRIGANDAGE ET TERREUR D’ÉTAT ET D’ÉCONOMIE ou comment le communisme s’appuie sur le capitalisme.

« Le SLON [ou l’origine du Goulag dans les îles Solovski] est un organisme autosuffisant, du point de vue économique comme administratif. Au sens économique, c’est une énorme entreprise commerciale et industrielle qui transforme le travail, les souffrances, le sang et la vie même des êtres humains en bénéfices pour l’État : bois destiné à l’exportation [ici bois blanc par opposition au bois d’ébène, synonyme d’esclaves Noirs], routes, amélioration des terres, poisson, apatite, etc. Ce profit n’est pas seulement commercial mais aussi politique [ici il y a donc mélange du pouvoir économique et du pouvoir politique, le troisième pouvoir : le pouvoir religieux, étant mélangé dans les deux précédents, eux aussi mélangés ! La religion étant devenue « l’opium du peuple »], le SLON permet également au pouvoir de se débarrasser d’une population « nuisible » et « hostile » au régime communiste [les ennemis de la liberté], écrit N. Kisselev-Gromov dans : Aux origines du Goulag.

Qui dit terrorisme d’État dit son pendant : terrorisme de lutte qui deviendra atroce afin de lutter pour la survie. Et la lutte pour la survie fut hautement plus intense en Russie soviétique que dans les camps nazis allemands, car comme l’écrit justement Nikolaï Kisselev-Gromov, il est probable que jamais dans l’histoire de l’humanité, la lutte pour la vie n’a pris des formes aussi terribles que dans la Russie du régime des communistes, particulièrement dans le système du Goulag.

Terrorisme d’État c’est aussi le « dossier n°9 contenant la liste de tous les contre-révolutionnaires qui, sur ordre de la Loubianka, doivent être rapidement éliminés sans qu’une condamnation à mort ait été prononcée à leur encontre. L’OGPU envoie une instruction officielle concernant ces détenus-là : « Les affecter exclusivement aux travaux d’abattage de bois les plus pénibles ». Oralement et officieusement, les instructions sont encore plus claires : ces détenus doivent « crever » aussi vit que possible.

En vidéo ci-dessous, très intéressant argument sur l’Europe devenant un futur CCCP (URSS) : tout devient non seulement FAUX, mais pour mieux faire avaler la pilule, ou pour faire « moderne », ou « civilisé », on le fait en douceur !!!
Exemple du récent « Droit français » : le mot « terrorisme » est définit comme « une entreprise (sic) individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur ». Un comble ! car c’est ce que faisait exactement les sbires juifs bolcheviks de la troïka Lénine Trotsky et Staline !!! En URSS le terrorisme d’État était à son comble. En France le mot « terrorisme » s’est vu adjoindre l’article 421-2-1 : « l’association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ». Cela ratisse large pour permettre la neutralisation judiciaire préventive de « cellules terroristes », ou de ceux qui ne sont pas d’accord avec le pouvoir en place. Cela rejoint l’enfer communiste, car là où le droit pénal commun sanctionne des faits certains ou réels, ou bien matérialisés, « l’association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » est essentiellement une infraction d’INTENTION, à caractère préventif où coupable et suspect, ou « présumé innocent ou coupable » se confondent !!! Nous sommes en plein dans Orwell et 1984 et la logique symbolique de la caméra de surveillance transformée en « caméra de protection ». Ainsi on retrouve toujours la MODE DU SÉCURITAIRE.
 
« À chacun son article du Code pénal... » était un célébre proverbe de l'époque URSS.
Cette mode du sécuritaire était déjà appliquée en URSS : un pauvre Russe condamné pour « banditisme ». Il était accompagné de son épouse, condamnée pour « complicité ». L’OGPU n’a pas eu à se forcer pour fabriquer cette accusation : un officier de l’Armée Blanche, qui avait pris le maquis contre les bolcheviks, avait vécu quelques années auparavant dans l’immeuble où résidaient les époux condamnés. C’était amplement suffisant !!!

Ne jamais oublier qu’un « terroriste » n’est pas un gangster ! c’est quelqu’un qui lutte contre un pouvoir en place qu’il juge injuste. Donc le terrorisme est TOUJOURS politique, et les juifs bolcheviks avec leurs tchékistes en savaient quelque chose et connaissaient nécessairement au minimum le sens du mot « terroriste » ou « ennemis du régime », ou « ennemis du peuple », ou « ennemis de la liberté » façon Saint-Just. Ainsi, faire preuve d’individualisme, par exemple en portant des cheveux longs comme les prêtres orthodoxes, était considéré comme « délation » et « mépris des masses ». Les prêtres aussi bien en 1789 que dans la Russie des juifs bolcheviks étaient des « terroristes », puisque en Vendée en 1793 les contre-révolutionnaires étaient qualifiés de « BRIGANDS ». En résumé : il faut manger la même soupe que tout le monde !

Ainsi, l’État, qu’il soit communiste comme en Union soviétique, ou républicain comme en France républicaine, voir même monarchique il y a quelques temps, a seul le droit d’être terroriste et donc il est le seul détenteur de la « VIOLENCE LÉGITIME ».
Nous allons en « douceur » vers cette VIOLENCE, ce VIOL du système communiste, à savoir le célèbre proverbe en Russie communiste : « À chacun son article du Code pénal... ». Incroyable, car l’individualisme n’existait qu’au niveau répressif et donc totalement ARBITRAIRE. Aussi, il suffisait de répéter ce proverbe quelque part, et si un agent de l’OGPU (remplaçant de la Tchéka) l’entendait, le pauvre type se retrouvait dans l’enfer du Goulag.

Un exemple de terrorisme d’État en Russie :
« Je suis un tire-au-flanc ! Je suis un tire-au-flanc ! Je suis un parasite de la société soviétique », phrase à répéter des centaines de fois par un opposant au régime soviétique, battu, installé sur une souche d’arbre sous l’œil vigilant d’un garde qui comptabilise la citation...

Autre exemple de terrorisme d’État :
« Cher Papa.

Je ne peux pas aller à l’école parce que tu es un contre-révolutionnaire. Papa, je t’en prie, envoie-moi  une lettre disant que je ne suis pas ton fils. En vérité, mon petit papa, je t’aime toujours et tu seras toujours mon papa ; mais j’ai besoin de cette lettre pour aller à l’école... »

Terrible lettre envoyé par son fils à un docteur à l’été 1929.
 

SADISME D’ÉTAT.


Les prisons de transit : « des cellules prévues pour accueillir cinquante personnes en contenaient deux ou trois cents ! Ils étaient tous couchés sur le sol de béton, terriblement serrés, empilés les uns sur les autre. Ils ne disposaient ni de lits, ni de tables, ni de bancs. En revanche, il y avait une grande cuve en bois dans laquelle tous les détenus faisaient leurs besoins. Odeur insupportable, saleté indescriptible, densité impossible », écrit N. Kisselev-Gromov.
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 06-07-2011 21:56

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >