Il fut un temps ou il était normal de torturer physiquement son prochain, maintenant on le torture mentalement par l’opinion ou propagande ; en hôpital psychiatrique avec Big Pharma, ça fait plus propre que de faire couler du sang en écorchant vif ou en arrachant les yeux de leurs orbites.
Il fut un temps où dans certains coins, surtout sous la coupe de la religion du sacrifice comme la chrétienté, il ne fallait pas sodomiser les petits garçons où les adultes, c’est laisser au choix de la personne. Par contre avant l'ère chrétienne, pourquoi pas.
Mais en plus de l’époque, de sa logique de pensée et donc de la mode, le « crime » dépend aussi de la fonction de l’éventuelle agresseur :
- En temps de guerre on viole, on torture, on écorche vif en tout impunité et c’est considéré comme normal, on appelle ça « atrocités de guerres », « dommages de guerre ».
- Dans les prisons, les bagnes pour enfants ou adultes, ceux qui ont le pouvoir : les gardiens, en fonction de leur supériorité hiérarchique pyramidale et considérant ceux qu’ils ont à « protéger » de la liberté ! lorsqu’ils ont une envie naturelle, se permettent donc de violer le prisonnier qui les intéresses : petits garçons au bagne ou adultes également au bagne.
Si ce n’est pas de la propagande anti-machin, de nos jours dans des prisons en Israël, des gardiens violent des détenues et photographies leurs exploits afin de montrer plus tard ces photos à la famille du détenu, soit pour le détruire mentalement lui et sa femme et sa famille, soit pour le faire chanter ou lui extorquer des informations.
Autrefois et chez les Burgondes, le crime des crimes c’était l’aventure extra-conjugale.
Au Moyen-Âge sous la coupe du philosophiste Aristote et de la chrétienté, le crime des crimes était la sodomie : parce que les mâles se trompaient de trou et que ça empêchait de « faire des enfants », de la chair à canon et à paroisses, et plus tard de la chair à banquiers pour leurs usines.
Être homosexuel au Moyen-ÂGE était un si grand péché qu’on risquait le bûcher. Ensuite et jusque vers 1975, l’homosexualité était considérée comme une maladie mentale ! Cela toujours aux yeux de la société hétérosexuelle : les plus fort en nombres. Cette discrimination doit cesser. Tout comme doit cesser le classement « moderne » entre hétérosexuel et homosexuel.
Ce monde va à la mort à cause des DIVISIONS FABRIQUÉES PAR LES HUMAINS, qui analysent, fractionnent en fonctions de conventions qu’ils jugent justes ou mauvaises selon d’autres conventions. C’est un monde EN PRISON. Pas besoin d’en construire de nouvelles nous y sommes tous déjà et depuis longtemps.
Tout cela est encore un coup des Men in Black (MIBs)
(1) qui peuvent faire avaler n’importe quoi : TOUT EST VIBRATIONS.
Évidemment et après le libéralisme prôné par la clique de gangsters républicains de 1789, et après la dictature bonapartisme et la montée en puissance de l’ère industrielle grâce aux familles Rothschild et Rockefeller et de leurs tribus de Couilles en Or, le crime des crimes c’était le crime crapuleux d’argent ; qui volait le moindre bout de pain ou de saucisson pour manger, parce qu’il n’avait pas le moindre billet des Couilles en Or, se retrouvait au bagne pour de longues années. On appelle ça maintenant : « les pays industrialisés », et ceux qui sont en phase de l’être : « Pays émergents ».
Ensuite le crime des crimes fut celui contre l’humanité, délit inventé à cause d’Adolphe Hitler et de son coup sur les Juifs et autres populations : mais ce « crime contre l’humanité » devait être pris en conscience dès 1789 !!!
Ensuite au 20è siècle, le sexe était essentiellement sacré et social ! C’est-à-dire qu’il fallait mettre au monde une âme, surtout un garçon, et là encore à cause du fric : parce que les filles mourait si jeune, que c’était les garçons qui servaient de caisse de retraite ! (Comme le dit Boris Cyrulnik dans une chronique sur France-Info).
De nos jours le sexe est devenu un plaisir... partagé. Ainsi on ont arrive au crime des crimes moderne : LE VIOL. On le voit immédiatement avec l’affaire de l’excité prostatique
Dominique Strauss-Khan ; avec les accusations de pédérastie et autre affaire du cinéaste
Roman Polanski ; la chasse hautement suspect à la pédophilie servant de prétexte à la censure et autres diarrhées législatives. Évidemment imposer le plaisir égoïste d’un homme pénétrant de son sexe une femme qui n’a rien demandé, chez les humains ça peut s’appeler un viol. L'appel de la Nature...
Homosexualité, viol, etc., donc ce qui n’est pas de l’hétérosexualité ou ce que certains considèrent comme « normal », ils appellent ça : « perversions » sexuelles. Ceux qui se considèrent comme « normal » appellent ceux qui ne font pas comme tout le monde : des pervers, des terroristes, des délinquants, des brigands (pour les Vendéens en 1793) ; et ils associent l’homosexualité avec le sadomasochisme, avec le style cuir qui frappe l’imaginaire social. Le sadomasochisme existe aussi chez ceux qui ont des rapports sexuels « normaux ». C’est la même chose pour la pédophilie, impliquant le plus souvent des hommes qui abusent sexuellement de filles et beaucoup moins de garçons. la grande majorité de cas de pédophilie est donc de nature hétérosexuelle, et implique toujours des hommes. Des femmes abusant de mineurs sont rarissimes. Il y a confusion dans le « grand public » avec le mot pédéraste !
C’est là qu’entre le crime de l’homophobie, lequel a remplacé le « crime de l’État et de la religion » institué au Moyen-Age. « Quand une bande de jeunes harcèle, bat ou tue un homosexuel, c’est souvent « parce qu’ils aiment ça ». Il y a en effet des clichés qui tuent, et les plus dangereux sont, sans doute, ceux qui se rapportent à la sexualité », écrit Marina Castaneda dans :
Comprendre l’homosexualité. L’homophobie prend beaucoup de formes, pouvant aller jusqu’au crime ; elle est de toutes façons de la violence à n’importe quel stade. Dire des stéréotypes tout fait comme : les homosexuels sont inconstants, instables, impulsifs, etc. c’est de la violence homophobe.
En fait de nos jours, le sexe est désacralisé, il n’est plus social, il est le plaisir égoïste de l’un au dépend de l’autre : c’est ça le libéralisme et cela correspond parfaitement avec cette mentalité issue de 1789 :
« Je définirais la mondialisation comme la liberté pour mon groupe de s’implanter où il veut, le temps qu’il veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant et en vendant où il veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possibles en matière de droit du travail et de conventions sociales ».
Percy Barnevik, PDG d’ABB, 1995.
Ici de pdg parle bien de « conventions sociales », mais il voit ça coupé d’un ensemble comme tout bon occidental qui se respect.
Le sexe produit de consommation comme un autre et privé de l’affectif est donc la loi du plus fort : monter sa « petite entreprise », écraser la concurrence ! Le mâle qui en veut aussi pour son plaisir. À notre époque de l’image, le culte du corps est primordial, aussi passé la cinquantaine et dans le milieu gay, les hommes cessent d’être des objets sexuels. Aussi pour trouver du plaisir avec un homme plus jeune, il faudra souvent payer. Aujourd'hui en matière de sexe rien n'est gratuit ! Évidemment éprouver uniquement le plaisir et rapidement c’est plus masculin, alors que le plaisir féminin sera plutôt affectif.
NOUS SOMME BIEN DANS UN MONDE EN GUERRE, non seulement depuis plusieurs millénaires, mais depuis 1789 c’est permanent et INTENSE. C’est la loi de désocialisation antique.
Une femme violentée lorsqu’elle cesse de se défendre va devenir victime une deuxième fois.
Les conséquences sont qu’il faut réapprendre le sexe, c’est-à-dire le réintroduire dans la culture. L’acte sexuel doit être une RENCONTRE, un partage de plaisirs affectifs puisque présentement ça ne peut plus être le sacré et le social (1789 a détruit le sens du sacré et de la tradition).
Il faut apprendre aux jeunes à courtiser une femme, car les jeunes et adultes sont soumis à différentes pulsions :
- Ils ne tiennent pas compte de la femme en tant que personne : « Je suis CE JE SUIS » ou SOi de
Ramana Maharshi, alors ils se servent parce qu’ils sont plus fort. Les violeurs ont des carences affectives les faisant avoir peur des femmes, ils ne savent pas les courtiser et sont inhibés jusqu’au moment où ils explosent.
Chez les humains ils faut apprendre à aimer, la civilisation les a totalement déglinguée. Se faire aimer affectivement est tout un art.
- Ensuite comme écrit plus haut, il y a le contexte ou la fonction qui permet des folies : en temps de guerre on apprend aux hommes à se servir d’armes pour tuer, on leur apprend à mutiler, à torturer. Ainsi ils se demandent où est le crime quand ils violent une femme.
Comme en Vendée en 1792-1793 et au-delà, en Russie en 1917 et au-delà, puis à la seconde guerre mondiale, les soldats des armées alliées américano-anglo-saxonne et russe et française violaient les femmes allemandes, et personne ne considérait cela comme un crime ! À tel point que la France n’a toujours pas reconnu le génocide de la Vendée, s’accrochant désespérément à sa république et à « ses valeurs ». L’époque 1789 n’était pas encore à la « mode victime ».
(En référence et en partie d’après la chronique de Marie-Odile Monchicourt sur France-Info le 7 août 2011 :
Histoire d’Homme, par
Boris Cyrulnik)
Note.
1. Les MIBs visitent un témoin d’Ovni pour lui intimer l’ordre de se taire sur son observation et confisquer les éventuelles preuves matérielles. Les MIBs apparaissent et disparaissent comme par miracle, ils « parlent » par télépathie. Ce phénomène allant avec les Ovnis terrifie les animaux.
« Il semblerait que le message ou les impressions télépathiques s’adaptent aux capacités cognitives du sujet, en passant à travers les mémoires lexicale et sémantique, c’est-à-dire le vocabulaire et les concepts familiers au témoin, ce qui suggère un accès directe à sa psyché », écrit Fabrice Bonvin dans : «
Ovnis, les agents du changement ».
Effectivement le langage du futur sera la TÉLÉPATHIE. Nous ne devrions pas avoir besoin de mots/maux, seulement de brèves images abolissant la chronologie ou temps.
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