Précisions sur le concept TRINITÉ

Tout est lié, ou bien sort l’un de l’autre :
« Quand le corps se corrompt, ce qui était appelé esprit est décrit corps ; et ce qui était âme est décrit esprit ». Exemple de passage ou croisement d’après le Trésor des Trésors, de Nicolas Grosparmy.
Il doit toujours y avoir *Fluidité* Le fleuve ne peut pas se couper de sa source, sinon il n’y a plus d’eau.
CORPS – ESPRIT – ÂME, l’Âme fait le lien du Corps et de l’Esprit.
« Dieu par lui-même produit la Mère, Dieu par la Mère engendre le Fils, le Fils par la Mère multiplie Dieu. Ainsi Dieu n’a ni commencement ni fin ». (Cité par Louis Cattiaux)

Ramana Maharshi explique la Trinité de l’Église de Rome ainsi :
Dieu le Père représente Ishvara [Dieu].
Dieu le Saint-esprit représente l’âtman [Soi /soi].

Dieu le Fils représente le Gourou.
Dieu apparaît à son adorateur sous la forme d’un gourou (fils de Dieu) afin de lui indiquer l’immanence du Saint-Esprit, c’est-à-dire lui révéler que Dieu est esprit, que cet Esprit et immanent en tous lieux et que le Soi doit être réalisé, ce qui est la même chose que réaliser Dieu. (D’après l’enseignement 90, du 6 novembre 1935)
Ramana Maharshi utilise la « version Patriarcale ».

« Si on admet que le Christ soit vraiment Dieu, et qu’il mérite des honneurs divins, sa mère qui lui a donné son humanité, doit en recevoir aussi ; elle doit être élevée bien au-dessus de toutes les créatures, et adorée comme participant à la Divinité. La divinité du Christ subsiste ou disparaît avec celle de sa mère [la reine Victoria ?]. Telle est la papauté au XIXe siècle ; que dis-je ! Telle est la papauté en Angleterre », écrit Alexander Hislop. Le soi-disant monothéisme devenait polythéisme.
« La Madone de Rome est donc exactement la Madone de Babylone. La reine du ciel d’un de ces systèmes est la même que la reine du ciel dans l’autre. La déesse adorée à Babylone et en Égypte comme le Tabernacle ou la demeure de Dieu, est identique à celle qui sous le nom de Marie est appelée par Rome « la Maison consacrée à Dieu, le mystérieux séjour, la demeure de Dieu, le Tabernacle du Saint-Esprit, le temple de la Trinité », écrit A. Hislop.

Mais Saint Paul a dit : « Ne savez-vous pas que vous êtes un temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? » (I Corinthiens 3, 16)
« Quel accord entre le temple de Dieu et les idoles. Or c’est nous qui sommes le temple du Dieu vivant [SOI ou ‘Fixation Cavalante’], ainsi que Dieu l’a dit : J’habiterais au milieu d’eux et j’y marcherai ; je serai leur Dieu et ils seront mon peuple. » (II Corinthiens 6, 16)


Le polythéisme de l’Église romaine exprimé par Alexander Hislop - Un Mère Vierge (sans virus !).

« Mais lorsque Rome dit que Marie est le Temple ou le Tabernacle de Dieu, cela veut dire, au vrai sens païen de ce mot, que l’union entre elle et la Divinité est analogue à l’union hypostatique entre la nature humaine et la nature divine du Christ. La nature humaine du Christ est le « tabernacle de Dieu », c’est-à-dire que la nature divine a voilé sa gloire en prenant notre nature, de telle manière que nous pouvons nous approcher sans crainte du Dieu saint. C’est à cette glorieuse vérité que Jean fait allusion, quand il dit : « la parole a été faite chair et a habité, (littéralement : a établi son tabernacle) parmi nous pleine de grâce et de vérité et nous avons vu sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père » (Jean I, 14). – C’est dans ce sens que Christ, l’homme Dieu, est le seul « tabernacle de Dieu ». Or, c’est précisément dans ce sens que Rome appelle Marie le « tabernacle de Dieu » ou celui du « Saint-Esprit ». Voici comment parle l’auteur d’un ouvrage papiste consacré à l’exaltation de la Vierge, et où il décerne à Marie tous les titres et les prérogatives du Christ : « Voici, le tabernacle de Dieu, la demeure de Dieu, l’habitation, la cité de Dieu est avec les hommes, dans les hommes et pour les hommes, pour leur salut, leur exaltation et leur glorification éternelle. Il est bien clair que cela est vrai de la Sainte Église, et vrai aussi du très-saint Sacrement du corps de Notre Seigneur ! Est-ce vrai de chacun de nous, si du moins nous sommes chrétiens ?
Sans aucun doute ; mais nous avons à contempler ce mystère comme existant d’une manière spéciale dans la très-sainte mère de Nôtre-Seigneur. » – Puis l’auteur, après s’être efforcé de montrer que « Marie est, à bon droit, considérée comme le tabernacle de Dieu avec les hommes », et cela dans un sens tout particulier, dans un sens différent de celui dans lequel tous les chrétiens sont le temple de Dieu, continue ainsi en faisant une allusion formelle à Marie dans ce caractère de tabernacle : « C’est vraiment un grand bienfait, c’est un singulier privilège que le tabernacle de Dieu soit avec les hommes, et que par lui les personnes puissent venir en toute sûreté près de Dieu devenu homme ! » Hislop précise que les extraits ci-dessus sont emprunté à des ouvrages vieux de plus de 300 ans (en comptant à partir de nos jours).

Ainsi Marie remplace le Saint Esprit (son temple) car elle est appelé « la maison consacrée à Dieu », et « le temple de la Trinité ».

Tout est résumé dans cette phrase de Hislop sur la situation actuelle :
« Où emploie-t-on un pareil langage vis-à-vis de la Vierge ? Ce n’est pas en Espagne, ce n’est pas en Autriche, ce n’est pas dans les parties les plus sombres de l’Europe continentale, mais à Londres même, le siège et le centre de la lumière du monde !
Les noms blasphématoires donnés à Marie par la papauté n’ont pas une ombre de fondement dans la Bible ; ils sont tous fondés sur l’idolâtrie Babylonienne. Il y a plus : les traits mêmes et le teint des deux Madones Romaine et Babylonienne, sont identiques ».

Si Marie est vierge, donc pure Origine, elle est une divinité si on en lui construit un tabernacle (une tente) ! Et effectivement on peut construire des tabernacles ou des temples pour des dieux, alors on retombe dans le polythéisme !
ISIS est la Mère Vierge, la Gloire, le Vautour transmutatoire. Le principe magique féminin (résurrection et chute car elle peut aussi favoriser le négatif).



Mithra, le partriarcat ou le culte de la peur, ou l’élévation pyramidale

MITRA ou Mithra (pers.). Une ancienne divinité iranienne ; un dieu solaire comme cela est mis en évidence par le fait qu’il est à-tête-de-lion. Ce nom existe aussi en Inde et désigne une manifestation du soleil. Le persan Mithra, celui qui fit sortir Ahriman du ciel, est une sorte de Messie dont on attend le retour comme juge des hommes, et il est un dieu porteur-de-péchés qui expie pour les iniquités de l’humanité. Cependant comme tel, il est relié à l’occultisme le plus élevé, dont les principes étaient exposés au cours des Mystères Mithraïques dont ils portaient ainsi le nom. (Glossaire Théosophique, (inachevé).
Avec cette définition on voit tout de suite qu’un certain christianisme a pompé sur le dieu Mithra !

À propos d’Ahriman, et par la même occasion de Lucifer, j’ai oublié de dire sur la page consacrée à Ptah-Osiris, que si sur le bâton Ouas de Ptah il y a la symbolique d’une tête sethienne, c’est pour rappeler la fonction très importante de L’ADVERSAIRE (comme les contraires terrestre et céleste), ce qui veut dire qu’il ne faut pas faire une guerre éternelle entre les bons et les méchants !!! C’est beaucoup plus compliqué que ça. Tout de même, le courant exige au minimum deux pôles pour produire quelque chose...
H.P. Blavatsky écrit dans son Glossaire Théosophique (inachevé), que Ahriman est une variation de Typhon-Seth, et qu’il est de la même essence que Ahura Mazda. Le problème de taille est qu’on ne doit pas voir un symbole fixe sous peine de grosses erreurs !
Ainsi Tammuz était appelé Adon ou Adonis. Sous le nom de Mithra, il était adoré comme Médiateur (selon Plutarque, De Iside, vol. II). Comme Médiateur et chef de l’alliance de grâce, il était appelé Baal-Berit, le Seigneur de l’alliance (Bible de Jérusalem, Juges 8, 33 : Après la mort de Gédéon, les Israélites recommencèrent à se prostituer aux Baals et ils prirent pour dieu Baal-Berit). Selon certains Baal-Berit pourrait être une variation du Seigneur des Mouches : Belzébuth.

Mithra entre parfaitement dans ce qu’on appelle : « Religions à mystères », ou de salut (bonne santé, rachat, rédemption). On va voir qu’il est à l’opposé du dieu Ptah ! Mithra est comme une drogue, souverain des armées, nommé le Dieu ou le Soleil invaincu. Il est représenté sous la forme d’un héros, genre moderne Superman, égorgeant un taureau. On voit déjà la violence !!! et Monsanto et ses OGM n’est pas loin : le sang du taureau fertilisera la pauvre terre jusqu’à donner aussi des animaux, rien que ça ; on voit aussi la modestie !... Le culte de Mithra est essentiellement militaire, une fraternité d’armes, ce qui évoque évidemment la franc-maçonnerie : « se battre et mourir pour le bien ! ». Les femmes ne furent jamais admises à leurs rites initiatiques. Bien-sûr Mithra est né un 25 décembre (le rouge sang du Père Noël ?). Mithra fut introduit de la Perse à Rome, en Gaule, et dans tout le bassin méditerranéen par les légions romaines et leurs escortes de devins, mais aussi par des pirates de Cilicie capturés par Pompée. Les adeptes pratiquent le sacrifice du taureau. On a une sorte de pyramide de symboles avec de bas en haut : le taureau qui fertilise la terre avec son sang, puis grâce à l’énergie solaire, puis grâce à l’énergie d’en Haut « Tout baigne ! ». Le sang du guerrier plus sa bouffe énergétique et le guerrier assis sur son grand cheval avec sa lance : il est prêt à casser la gueule à tous les méchants, tout le monde applaudit dans la salle, l’émotion est à son comble : tout le monde « s’envoie en l’air ! », le Nouvel Ariel lave vraiment plus blanc ! À l’extérieur de la salle l’ordre règne... Ce qui rappel furieusement le Paradis des socialistes :
« D’une main de fer, poussons l’humanité vers le bonheur ! »

Voir aussi :
- Démocraties uniformisées
- Les Grecs inventent le pouvoir du peuple
- Les riches fabriquent le communisme
- Mithridate - Moteur

Dans l’Égypte Ancienne, le taureau était un qualificatif souvent donné aux dieux. Alors ça fait de Mithra le « Tout Puissant », le Big boss, puisqu’il tord le cou des taureaux. Par exemple « Taureau de l’Occident » est le titre d’Osiris ; « Taureau de l’Ennéade » est le qualificatif d’Amon.
Comme dans la communion chrétienne, le sacrement mithriaque se composait de pain, de vin et de sel ; il était consacré lors d’une cérémonie solennelle au sein des mystères.
Comme la franc-maçonnerie est peuplé de beaucoup de Juifs et qu’elle s’inspire  de la tradition de Mithra, et que les mystères mithriaques ont de très nombreuses analogies avec le christianisme, les francs-maçons pratiquent une variation de religion chrétiennes : « Les grandes puissance à l’œuvre dans l’évolution humaine (sic) semblent avoir sérieusement envisagé (sic), pendant un temps, de faire du mithriacisme la religion de la cinquième sous-race, pour remplacer un christianisme mutilé qui avait rejeté sa propre gnose et mis de côté ses Mystères », écrit C. W. Leadbeater dans : Rites Mystiques antiques - Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie. Il y a un temps j’étais intéressé par les idées de ce personnage, mais depuis un moment je le vois et sens tombé bien bas !!! Malgré tout ses recherches sont intéressantes, mais je le lis désormais avec prudence.